NOTES sur SAINT-ANDRE-d’HEBERTOT – 14555
Dictionnaire Topographique Du Département Du Calvados C. Hippeau.
Saint-André-d’Hébertot, canton de Blangy. Prieuré-cure; parr, l’abbé de Joyenval , au dioc. de Chartres. Léproserie.
Dioc. de Lisieux, doy. de Touque. Génér. de Rouen, élect. de Pont-l’Évêque, sergent, de Saint-Julien-sur-Galonne.
Hectot, (1) châtellenie mouvant de la baronnie de Blangy, avait son chef assis en la paroisse de Saint- André-d’Hébertot. — Demi-fief de haubert, relev. de la Rocque-Baynard (Baignard) (fief de la vicomte d’Ange). Huitième de fief Guieuredonet, mouvant de la vicomte d’Auge.
(1) Ectot, chât. et f. commune d’Epinay-sur-Odon. Châtellenie dont le chef était assis à Saint-André-d’Hébertot, relevant de la baronnie de Blangy.
Saint-Beau-Fiquet (Le), h. – Bourgs (Les), h – Château-Neuf (Le), h – Ernouderie (L’), h. – [Falaise (La), f.. Fief mouvant de la baronnie de Blangy, appartenant aux religieux de Cormeilles]. – Forge (La), h – Garenne (La), h. – [Hébertot, Chât. et moulin,. — Hebertot, 1195 ( magni rotuli , p. 44). — Heberti Humus, 1250 (parv. Lib. Rub. Troarn. p. 9.] Marteries (Les), h. – Paumerie (La), h – Rouillerie (La), h – Thironnière (La), h – Trousseauville, h –
Collection de Répertoires Sommaires des Documents Antérieurs à 1800 Conservés dans Les Archives Communales.
SAINT-ANDRÉ-D’HÉBERTOT
I. Dioc . de Lisieux. Baill . et maîtrise de Pont-l’Évêque. – Gr. à sel de Honfleur. Gen. et int . de Rouen: él , et subd . de Pont- l’Évêque,
II. Distr. et canton de Pont- l’Évêque ( Arrêté du 1er mars 1790) .
III . 3 arr. communal (Arr. de Pont l’Évêque) ; canton de Pont-l’Évêque (Loi du 28 pluviôse an VIII) ; canton de Blangy (Arrêté du 6 brumaire an X). Pop.: 450 hab. ( 1911) .- Sup.: 979 hect. 64 a . 55 c.
ADMon Gale Délibérations, depuis le 14 février 1806 .
ÉTAT- CIVIL. -Baptêmes, mariages et sépultures, depuis 1643. Lacune : 1695-1696 . Les actes antérieurs à 1697 sont en mauvais état.
Tables alphabétiques. 1643-1792 ( 2 cah. , 114 , 71 fol . )
Voir aux Archives du Calvados les actes de catholicité de Saint- André-d’Hébertot. 1673,1679-1682 ( Série G. Saint- André- d’Hébertot, 5 cah. )
1 – Bibliographie :
2 – Pièces Justificatives:
3 – Archives SHL:
1 – Bibliographie :
CAUMONT Arcisse de : Statistique monumentale du Calvados.
ANDURANT Michel, (monuments ou sites visités:) Château de Saint-André-d’Hébertot; AAN, 1987 (1988).
DETERVILLE Philippe, Richesse des châteaux du Pays d’Auge, 1989.
DEVILLARD Philippe : Quelques personnages civils normands du Premier Empire ; BSHL N°55 décembre 2003. (Vauqelin)
Editions FLOHIC : Le Patrimoine des Communes du Calvados.
FOURNEE Dr Jean : Saint-André-d’Hébertot.. AAN, 1987 (1988), pp. 3-54.
FOURNEE Dr Jean : A propos des statues Saint-André-d’Hébertot AAN, 145, 1987 (1988).
GUILMETH Auguste : note manuscrite E.D.: Rouen, 1849. In-12 Saint-André-d’Hébertot.
LE CACHEUX Paul, Actes de la chancellerie d’Henri VI concernant la Normandie sous la domination anglaise (1422-1435), 1907, 2 vol.. In-8°; Hébertot, I, 317, 338.
LE COURT Henry, Le Château d’Hébertot dans La Normandie Monumentale et Pittoresque réédit. Corlet, t. II, pp. 201-203
LESAULNIER Chanoine, « Les Moines au pays d’Hébertot », Société des Amis de Pont-l’Evêque, Recueil III, 1952.
MAYER Jannie, Ministère de la Culture et de la Communication Direction du Patrimoine. Catalogue des Plans et Dessins des Archives de la Commission des Monuments Historiques – Tome I, Basse-Normandie: Calvados Saint-André-d’Hébertot : ancien prieuré; Château d’Aguesseau;
ROBLOT-DELONDRE, « Notes sur Hébertot « , Revue catholique de Normandie, 36e année, mai 1927, 37e année, 6e livr., novembre 1928 (fin).
RUPRICH-ROBERT V., L’architecture normande aux XI° et XII° siècles en Normandie et en Angleterre Saint-André-d’Hébertot.
SAINT-GERBOLD Sœur Marie, Monographie de Saint-André-d’Hébertot, m.s., s.d.c. 1885. Arch. Départ. du Calvados, Br. 9466
SEYDOUX Ph., Le Château de Saint-Benoît-d’Hébertot in Châteaux du Pays d’Auge et du Bessin.
SOULANGE-BOUDIN Henry, Les Châteaux de Normandie – 69 monographies, 1949. Hébertot.
TREUIL-DEMARS Martine, « Les églises romanes du Nord du Pays d’Auge: Saint-André-d’Hébertot », PAR, 42, N° 8, Août 1992.
2 – Pièces Justificatives:
STATISTIQUE MONUMENTALE DU CALVADOS PAR ARCISSE DE CAUMONT.
Notes par M. Charles Vasseur.
St.-André-d’Hébertot, S. Andreas de Hebertot.
Ce qui frappe d’abord, en considérant l’église, c’est sa tour en pierre, chose rare dans la contrée. Quoique d’une certaine hauteur, ce n’est qu’une surélévation des murs sud-ouest, sans que rien, en plan, vienne accuser un membre d’architecture particulier. Elle n’a pas même de contreforts (V. la page suivante). Du reste, elle est romane, et présente une particularité que l’on a déjà plusieurs fois constatée dans des constructions d’une antiquité non équivoque; ses angles sont évidés comme si ses quatre murs ne se trouvaient que juxtaposés.
Ses quatre faces offrent une similitude complète. La base est pleine et sans ouvertures. C’est seulement à la hauteur intermédiaire qu’apparaît une petite fenêtre cintrée, étroite, vraie fente dans le mur. Au-dessus se trouvent deux petites ouvertures jumelles, carrées, qui ne présentent pas non plus une grande largeur. L’étage proprement dit est éclairé sur chaque face par une grande baie cintrée, subdivisée en deux arcades, également cintrées au moyen d’une colonnette centrale dont le chapiteau et la base ne sont formés que de grossières moulures. La corniche est ornée de modillons.
Au-dessus se trouve une construction carrée, en ardoise, qui enferme le beffroi des cloches, et que termine une toiture pyramidale.
Les deux murs latéraux de la nef sont symétriques, sauf quelques additions de détail. Ils étaient primitivement romans.
Trois contreforts plats délimitent les trois travées vers le midi ; le côté du nord est consolidé par deux autres gros et massifs piliers butants qui paraissent modernes. Les trois contreforts du nord datent du XVII. siècle, ainsi que les deux fenêtres qui sont ouvertes dans la muraille. Au midi, on trouve dans la première travée la porte d’entrée, de l’époque primitive ; elle a dû subir quelques retouches. Dans les deux autres travées sont des fenêtres modernes.
Les murs sont en pierre d’appareil et les corniches portées par des modillons à figures grotesques.
Au dernier siècle, on a percé une porte dans le mur de l’ouest, qui est soutenu par un contrefort du XVIe. siècle.
Le choeur fait retraite sur la nef. Le mur méridional est resté roman, avec contreforts plats et corniches à modillons.
Les deux fenêtres sont modernes. On trouve une ouverture romane dans le mur du chevet, soutenu par deux contreforts, et construit, comme le reste, en pierre d’appareil.
C’était une fenêtre cintrée, présentement bouchée. Nous en trouvons une autre étroite, d’assez petite dimension, dans le mur du nord. Toute cette travée est romane et bien caractérisée.
Une chapelle fait saillie dans la largeur de la seconde travée (V. le plan, p. 347). Elle date du XVe. siècle. Les murs sont construits simplement en blocage ; les contreforts seuls sont en pierre de taille. Dans le pignon et dans le mur de l’est sont deux belles fenêtres flamboyantes. Celle de l’ouest est cintrée, subtrilobée. Une porte, dans le style Louis XV, a été percée dans le pignon. En pénétrant dans l’intérieur, il faut aller droit au choeur. Ses deux travées sont d’un style roman sévère et nerveux, et d’une conservation malheureusement
bien rare. Les voûtes sont en pierre ; un arc-doubleau les sépare en deux sections sur lesquelles se croisent de grosses nervures toriques pour former les arceaux. Les retombées sont portées par des faisceaux de grosses colonnettes trapues demi-cylindriques. Nous avons trouvé déjà ce système, rare dans le pays, aux parties les plus anciennes de l’église de St.-Ymer, qui peuvent remonter au XIe. siècle.
Le sommet de l’arc-doubleau a été orné, probablement au dernier siècle,
d’un écusson aux armes de Nollent, trois roses avec une fleur de lis en coeur. L’autel est du XVIIe. siècle, simple, mais de bon goût. Le tombeau a été enduit d’une épaisse couche de peinture brun-rouge ayant des prétentions à simuler l’acajou, ce bois exotique si chéri du premier Empire : cependant il est en marbre, c’est-à-dire était en marbre lorsqu’il fut donné à l’église par noble dame Françoise-Marthe-Angélique de Nollent, veuve de messire Henry-François de Paule d’Aguesseau. La généreuse donatrice a pris soin de nous laisser son nom au moyen du blason accolé entouré d’une cordelière, qui remplit un cartouche au milieu de l’entablement. Il est surprenant que ses émaux aient trouvé grâce devant l’amateur d’acajou. Le premier est de gueules à deux fasces d’or accompagnées de 6 coquilles de même, posées 3, 2,1. Le second est d’argent à trois roses de gueules,posées 2 et 1, à la fleur de lis de même, en coeur (Au moment où j’imprime cet article, j’apprends que cet autel vient d’être modifié. L’écusson des Notent est jeté dans le cimetière sous le larmier du toit. DE CAUMONT).
La grille du sanctuaire est en fer forgé. Chaque compartiment se compose d’une grande fleur de lis habilement contournée, portant, au centre, une coquille dorée, peut-être en mémoire des coquilles d’Aguesseau. L’arc triomphal est roman. Sa voussure est formée de trois rangs de claveaux en retraite l’un sur l’autre; le dernier s’arrondit en tore. Il est porté par des gros piliers cylindriques formés de colonnettes engagées, dont les chapiteaux ont peu de relief, comme ceux des autres colonnettes du choeur.
La chapelle, qui double pour ainsi dire le choeur, communique avec lui par une arcade romane, et avec la nef, par une arcade ogivale à moulures prismatiques, portée par des piliers arrondis à bases polygonales. La voûte est en merrain et ne manque pas d’élévation. La fenêtre de l’est a conservé dans ses lobes quelques minces débris de ses brillantes verrières.
Près de l’autel, il faut considérer une très-grossière statue d’évêque, au bas de laquelle on lit: S. Firmin. Je la crois ancienne.
La nef est voûtée également en merrain.
Dans le mur du midi existe une piscine du XVI siècle, et dans les fenêtres du nord, des vitraux de la même époque, d’une exécution médiocre.
La plus petite des deux cloches est antérieure à la Révolution.
Sur sa panse on retrouve le blason qui a été décrit en parlant de l’autel du choeur, elle porte l’inscription suivante :
CETTE CLOCHE A ÉTÉ FONDUE EN 1779 ET NOMMEE ANGELIQUE PAR
HAUTE ET PUISSANTE DAME MADAME FRANCOISE MARTHE ANGELIQUE DE
NOLLENT VEUVE DE HAUT ET PUISSANT SEIGNEUR HENRY FRANCOIS DE
PAULE DAGUESSEAU CHEVALIER CONSEILLER DETAT ORDINAIRE ET AU CONSEIL
ROYAL DU COMMERCE DAME DE CETTE ÉGLISE ET DE LA PAROISSE DHESBERIOT
ET AUTRES LIEUX ET PAR HAUT ET PUISSANT SEIGNEUR MESSIRB
NICOLAS IACQUES DE NOLLENT CHEVALIER SEIGNEUR DE COULERVILE CHEVALIER
DE L’ORDRE ROYAL ET MILITAIRE DE SI LOUIS ET BENIE PAR Mre
FRANCOIS DURIEZ CHANOINE REGULIER PREMONTRE DE L’ABBAYE DE IOYENVAL
PRIEUR D’HESBERTOT.
Château.
— Dès le XIIe. siècle, il y avait un château d’une certaine importance à Hébertot, et l’Itinéraire de Jean-Sans-Terre, publié d’après les rôles conservés à la Tour de Londres, prouve que ce prince était au château d’Hébertot le 30 mai de l’an 1200 et qu’il y passa le 28 et le 29 décembre de l’année 1202 (Voir le tableau que j’ai publié dans l’Atlas du t. V de mon Cours d’antiquités).
Le château actuel d’Hébertot est dans une situation magnifique, un rideau de sapins de la plus belle venue garnit les collines qui l’entourent : il est assis au milieu d’un vaste enclos planté d’avenues séculaires, de charmilles, de bosquets, orné de cascades, entouré en un mot de toute la splendeur des grandes résidences féodales du XVIIe. siècle.
Il s’élève sur un terre-plein entouré de douves profondes, alimentées par un petit cours d’eau. La construction se divise en trois époques, qui s’accordent néanmoins parfaitement ensemble et offrent un aspect imposant.
La partie la plus ancienne est un gros pavillon, que l’on pourrait presque appeler un donjon, auquel le temps a laissé une teinte grisâtre qui ne manque pas d’harmonie. Son toit rapide est porté sur une corniche à corbeaux saillants, avec mâchicoulis. On l’a attribué à Louis XIII.
Il occupe l’extrémité des constructions. Contre son flanc s’appuie le corps principal du château, sans détails architectoniques, mais encore assez grandiose. Je crois que ce bâtiment date au plus tôt du règne de Louis XIV. Le propriétaire y a récemment ajouté une bâtisse assez bien comprise, que termine une svelte tourelle, dont l’image se mire dans l’eau, à l’extrémité opposée au donjon.
Si l’extérieur a été respecté par les propriétaires successifs, malgré la mode, cet ennemi barbare des choses les plus belles, il n’en a point été de même pour l’intérieur. Il a été ravagé pour satisfaire à ce qu’on nomme les exigences des moeurs de chaque époque successive. Aussi est-on heureux de voir encore un petit salon, ou plutôt une galerie assez étroite, dont le plafond, peint sous Louis XIV, est orné à chaque angle des blasons des anciens maîtres. Ils ont été décrits avec d’autres, que nous trouverons plus loin, dans le Bulletin monumental ( t. XVIII, p. 192 et suiv. ) par Mme. Philippe-Lemaître, et nous avons reconnu l’exactitude de cette description. Disons seulement que ce sont des alliances de la famille de Nollent, et que les trois fleurs de lis de France figurent dans les quartiers.
Cette pièce sert d’antichambre au grand salon, ou , pour parler plus archéologiquement, à la grande salle qui occupe tout le reste du rez-de-chaussée du donjon. Cette grande salle, dans son dernier état, avait été décorée également sous le règne de Louis XIV. Un plafond de plâtre couvrait les solives et les sommiers ; des trumeaux peints à l’huile surmontaient les portes ; la cheminée, l’immense cheminée,
avait été réduite à des proportions exiguës, et sa large hotte disparaissait sous une toile allégorique, véritable généalogie peinte, où figurent quatorze alliances des Nollent. On en trouve la description dans le travail de Mme. Philippe-Lemaître.
Sous ces pastiches de l’avant-dernier siècle, on vient de retrouver une ornementation incontestablement contemporaine de la construction. La cheminée dégagée a pour pieds-droits deux pilastres cannelés d’ordre dorique : un blason en relief occupe le centre du manteau. Les poutres et poutrelles du plafond, la frise du haut des murs sont tout couverts de rinceaux d’une riche composition, de tons bien entendus, et dont la restauration sera facile. Dans les entrelacs de la frise apparaît une nouvelle série de blasons dont plusieurs répètent les armoiries déjà décrites ; mais qui sont accompagnées des noms des familles auxquelles ils appartenaient. J’en ai compté onze, non compris le blason en relief du manteau de la cheminée qui porte les trois roses et la fleur de lis de Nollent. Comme Mme. Philippe-Lemaître n’a point connu ces blasons, j’en donne ici la liste, en commençant par la droite du spectateur :
1°. D’argent fretté de sable de 6 pièces, au chef d’or chargé de 3 roses de Au bas, on lit : Herbetot.
2°. D argent à la bande fuselée de gueules. — Caurel-Taoni.
3°. Party, au 1er. de Nollent ; au 2e. coupé au 1er. échiqueté d’or et d’azur, au 2p. d’argent à 3 lions de sable couronnés de gueules.
4°. D’or au lion d’azur armé et lampassé de gueules. — Roncy-Plenne.
5°. De gueules à 3 maillets d’or 2 et 1. — Mouchy.
6°. D’argent fretté de sable.
7°. De gueules à la bande d’argent accompagnée de 6 croisettes de même, fleuronnées au pied fiché.— Poix.
8°. D’argent au lion coupé de sable et de gueules. — D’Halluyn.
9°. De gueules à 3 lionceaux armés et lampassés d’argent.- Hasse.
10°. D’argent fretté de gueules. — Rochefey.
11°. D’azur au chevron d’or accompagné de 3 pommes tigées et feuillées du même. — Pomereuil.
On voit sur la hauteur, tout près et à l’ouest du château, une habitation moderne qui appartient à Mme. Du Hamel : elle a été construite sur une dépendance du château seigneurial.
Aujourd’hui le chemin de fer, qui passe à peu de distance sur un énorme remblai avant d’entrer dans un tunnel, masque, du côté du sud, la vue de la vallée.
Monument à la mémoire de Vauquelin. — Sur les confins de la commune de St.-André, à l’embranchement des routes de Pont-Audemer et de Cormeilles, on voit une borne monumentale cylindrique avec soubassement carré, semblable à celles que j’ai fait ériger sur plusieurs points pour rappeler des faits historiques. Je l’ai donnée, en 1849, aux habitants d’Hébertot pour y consacrer un souvenir à la mémoire du chimiste Vauquelin.
Ma pierre a été entourée d’une grille ; on y a gravé l’inscription suivante :
L N VAUQUELIN
CHIMISTE
LE PAYS OU IL EST NÉ
NÉ A SAINT ANDRÉ D’HÉBERTOT
LE 16 MAI 1743.
MORT A SAINT ANDRÉ D’HÉBERTOT
LE 14 NOVEMBRE 1829.
A L’AUTEUR DES DÉCOUVERTES
DU CHROME ET DE LA GLUCINE
ACTIF PROMOTEUR
DE L’ANALYSE CHIMIQUE RIGOUREUSE
La tombe de Vauquelin existe dans le cimetière d’Hébertot : c’est une stelle en marbre blanc.
St. -André-d’Hébertot faisait partie de l’élection de Pont- l’Évêque, sergenterie de St.Julien-sur-Calonne. On y comptait 3 feux privilégiés et 180 feux taillables. Ce nombre considérable de feux nous fait connaître l’importance qu’avait autrefois la paroisse de St. André-d’Hébertot.
L’église, par sa construction, sert aussi à l’attester, tout autant que la puissance et la richesse de ses patrons, les abbés de Joyenval.
L’enclos du cimetière forme enclave dans l’enceinte du qui parc entoure le château ; c’est en 1240 que Guillaume du Pont de Larche, évêque de Lisieux, avait donné le patronage de l’église à la puissante abbaye chartraine.
Recherche faite en 1540, par les élus de Lisieux des nobles de leur élection -Labbey de La Roque, Pierre Élie Marie.
SAINT-ANDRÉ-DE-HÉBERTOT.
277. Olivier de Nollent, Sr. de Fatouville, et Me. Roger de Nollent, sieur spirituel et temporel de Trouville, freres, ont produit plusieurs lettres et écritures, dont la copie est demeurée au greffe, qui justifient leur descente de Jean de Nollent, leur bisayeul, qui fut Sgr. de SaintLéger-sur-Bonnevile, et épousa damoiselle Marguerite de la Harusse, duquel Jean le nom et état de noblesse est justifié par la Ire. des dites lettres, datée de l’an 1406. V. le n°. 319.
278. Jean de Sandret, Charles et Helie, ses fils, ont dit avoir acquis le degré de noblesse par les francs-fiefs , où Nicolas, son pere , avoit été taxé à 30 liv., comme tenant le fief de Toup, et deux portions de fief ou vavassories nobles, joûte la quittance du 18 mars 1471, signée : Montfaut, et la lettre des commissaires des dits francs-fiefs du 14 décembre 1472., et plusieurs autres lettres et écritures, dont la copie est demeurée au greffe. Le tout vû par le procureur du Roi, il a requis , que le dit Jean vérifiât être fils légitime du dit Nicolas, autrement qu’il fût assis.
Inventaire historique des actes transcrits aux insinuations ecclésiastiques de l’ancien Diocèse de Lisieux – PIEL L.F.D.
310. – Le 4 novembre 1693, la nomination au prieuré-cure de St-André d’Hébertot appartenant au seigr abbé de Joyenval, Messire Georges d’Aubusson de la Feuillade, consr du roy, évêque de Metz et abbé commendataire de lad. abbaye, nomme à lad. cure, vacante par la mort de Mr. Nicolas-Marguerite du Carrouge, dernier titulaire, la personne de Mr. Pierre Pannetier, pbrë, chanoine régulier de l’ordre Prémontré en lad. abbaye. Le 19 nov. 1693, Mre Pierre Audran, vic. gl, donne aud. sr Pannetier la collation dud. bénéfice. Le 27 nov. 1693,le sr Pannetier prend possession du prieuré-cure d’Hébertot.
149. – Le 22 nov. 1694, vu l’attestation du sr Pannetier, curé de St-André-d’Hébertot, et du sr Liesse, curé de St-Benoit, dispense de bans pour le mariage de Guillaume Main, avocat, et de Marie Paulmier.
211 . – Le 7 févr. 1695, vu l’attestation du sr Pannetier, curé de St-André-d’Hébertot, du sr Flambart, pbfê, curé de Surville, et du sr Huguelle, vicaire de Quetteville, dispense de bans pour le mariage de Jacques Guibert et de Marguerite Bourdon.
410. – Le 7 juillet 1698, dispense de bans pour Je mariage entre Mesre Jean de Nollent, chever, seigr d’Hébertot, fils de Mesre François-Marie de Nollent, chever de l’Ordre du roy, seigr d’Ollendon et de Fatouville, de lad. parr.. d’Hébertot, d’une part, et damlIe Marie-Madeleine-Angélique de Nollent, dame et patronne de Trouville, fille de Mesre Georges de Nollent, chever, seigr de Trouville, et de dame Barbe de Croisaille, de la parr., de St-Paul de Rouen.
380. – Le 5 décembre 1704, Fr. Pannetier, pbrê, religieux de l’abbaye de Joyenval, -ordre de Prémontré au diocèse de Chartres, prieur curé de St-André-d’Hébertot, «déclare que le 29 ou 30 nov. dernier, il aurait passé une résignation de sond. prieuré en faveur de Me Jean-Baptiste Lecomte, pbrê, vicaire dud. lieu, à la réserve de 200 livres de rente viagère, ce que led. sr prieur n’auroit fait que dans son extrémité de maladie. Pour quoy il révêque lad. prétendue résignation. » Fait à Hébertot, en présence dud. sr Lecomte qui consent à la révocation ; présence aussi de Mesre Henry de Costard, Escr, St- de St-Léger-sur-Bonneville ; et de Me Romain Paulmier, pbre de lad. parr.. d’Hébertot
641 . – Le 8 déc. 1708, la nomination au prieuré-cure de St-André-d’Hébertot, de l’ordre de Prémontré, appartenant au seigr abbé de l’abbaye royale de N.-D. de Joyenval, diocèse de Chartres, Mgr Paul Godet des Marais, évêque de Chartres et abbé de lad. abbaye, nomme à ce bénéfice, vacant par la mort de Fr. Pierre Pennetier, pbrê, dernier titulaire, la personne de Fr. Gaspard Godefroy, pbrë du diocèse de Paris, docteur aux droits de la faculté de Paris, religieux-profès de lad. abbaye et désigné aud. seigr abbé pour cette cure par le prieur et les religieux de lad. abbaye. Le 10 déc. 1708, le seigr évêque se trouvant à Paris pour ses affaires, donne aud. sr Godefroy la collation dud. bénéfice. Le 24 déc. 1708. le sr Godefroy prend possession du prieuré-cure de St-André-d’Hébertot, présence de Me Nicolas Liesse, pbrë, curé de St-Benoit-d’Hébertot ; Me Romain Paulmier, pbrë de lad. parr, de St-André; Jean Simon, agent des affaires de la maison d’Hébertot, et autres témoins
HÉBERTOT (Saint André). – Prieuré-cure
Curés. -N.-M. du Carrouge – P. Pennetier – J.-B. Lecomte – G.Godefroy.
Vicaires. -J.-B. Lecomte – Paulmier.
Prêtre de la paroisse. – R. Paulmier.
Clerc. – E. Fosse.
Patron. – L’abbé de Joyenval. – G. d’Aubusson de la Feuillade – P. Godet des Marais.
Seigneurs et notables. – F. -M. de Nollent – Jean de Nollent.- Jean Simon.
97. – Le 9 sept. 1709, vu l’attestation du sr Liesse, curé de St-Benoit-d’Hébertot, et du sr Duhaut, pbrê, desservant la parr. De St-André-d’Hébertot, dispense de bans pour le mariage entre Jean Rebut et Jeanne Marinet.
380. – Le 20 sept. 1715, reçurent la tonsure et les ordres mineurs :
Mc Jean Ernoult, de la parr., de St-André-d’Hébertot. Le 20 août 1716, Guillaume Ernoult, marchand, de la parr., de St-André-d’Hébertot constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Jean Ernoult, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Romain et François Ernoult, frères, fils Robert, et par Romain et François Rebut, aussi frères, fils Pierre, tous marchands, demeurant à St-André-d’Hébertot.
369. – Le 17 juin 1714, Louis. Ernoult, fils de François et de Marie Fortin, de la parr., de St-André-d’Hébertot, rite dimissus, reçoit la tonsure et les ordres mineurs dans la chapelle du séminaire de Caen. Le 20 avril 1715, il est ordonné sous-diacre à Lx. Le 10 marSt-715, Marie Fortin, vve de feu François Ernoult, et son fils François Ernoult, demeurant ensemble à St-André-d’Hébertot, constituent 150 livres de rente en faveur de Me Louis Ernoult, acolyte, fils de lad. veuve et frère dud. François, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés.
Le 11 avril 1716, il est ordonné diacre. Le 30 marSt-720, il est ordonné prêtre. Vers le 20 mai 1720, la nomination à la cure de Tontuit appartenant au seigr dulieu, Jean-Pierre Néel, Escr, avocat à la cour de parlement de Rouen, seigr de Tontuit, nomme aud. bénéfice, vacant par la mort de Me Gabriel Fillion, pbrë, dernier titulaire, la personne de Me Louis Ernoult, pbfë. Fait en la maison dud. sr Néel, demeurant à St-Benoit-d’Hébertot, en présence de Me Jean-Baptiste Leduc, pbrë, curé dud. lieu de St-Benoit; Me Thomas Athinas, avocat au parlement de Rouen , demeurant à Tontuit. Le 27 juillet 1720, le seigr évêque donne aud. sr Ernoult la collation de lad. cure. Le 5 août 1720, le sr Ernoult prend possession de la cure de Tontuit, en présence de Me Gaspard Godefroy, prieur-curé de St-André- d’Hébertot; Me Jean-Baptiste Leduc, curé de St-Benoit; Me Jean Ernoult, pbrë, desservant la parr. de Tontuit ; Thomas Athinas, avocat au parlement de Rouen, et autres habitants du lieu.
163. – Le 19 août 1722, Mre Julien de Gré de la Jonchère, pbrë, chanoine régulier de St-Augustin de l’ordre de Prémontré, diocèse de Paris, obtient en cour de Rome des lettres de provision du prieuré-cure de St-André-d’Hébertot, vacant par la résignation faite en sa faveur par Me Gaspard Godefroy, chanoine régulier et dernier titulaire.
Le 5 janv. 1723, les vicaires généraux du seigr évêque donnent leur visa auxd. provisions.
Le 9 janvier 1723, led. sr de Gré de la Jonchère prend possession dud. bénéfice, en présence de Me Gaspard Godefroy, ci-devant prieur ; Me Pierre Mabon, pbrë, demeurant à Hébertot ; et Me Guillaume Duhaut, pbrë, vicaire de lad. parr..
HÉBERTOT (Saint André). – Prieuré-cure
Curés. – G. Godefroy -J. de Grey de la Jonchère.
Vicaire. – G. Duhaut.
Prêtre de la paroisse. – P. Mabon.
Clercs. – Jn Ernoult – L. Ernoult – J. Letailleur.
1600. – Le 20 juillet 1734, Fr. Julien de Grey de la Jonchère, pbrë, religieux-profès de l’Ordre de Prémontré, prieur-curé de St-André-d’Hébertot, donne sa procuration pour résigner sond. bénéfice entre les mains du seigr évêque en faveur de Fr. Pierre Delahaye, pbrë, chanoine régulier de l’abbaye de N.-D. du Val, diocèse de Bayeux, et prieur du prieuré simple de St Siméon en la parr., de Vaucé, diocèse du Mans; et led. sr Delahaye résigne son prieuré de St-Siméon entre les mains du seigr évêque du Mans, en faveur dud. sr de Grey, le tout pour cause de mutuelle permutation. Le 9 sept. 1734, le seigr évêque de Lx donne aud. sr Delahaye la collation dud. prieuré-cure de St-André-d’Hébertot. Le 11 sept. 1734, le sr Delahaye prend possession dud. bénéfice, en présence dud. sr de la Jonchère, dernier titulaire ; de Me Jean Brunet, pbrë, vicaire de lad. parr., et autres témoins habitants dud. lieu.
HÉBERTOT (Saint André). – Prieuré-cure
Curés. – J. de Grey de la Jonchère – P. Delahaye.
Vicaire. – J. Brunet.
Prêtre delà paroisse. – Je Ernoult.
193. – Le 18 juillet 1707, la nomination au prieuré-cure de St-André-d’Hébertot, appartenant au seigr abbé de Joyenval, Mgr Pierre-Augustin-Bernardin de Rosset de Fleury, évêque de Chartres et abbé commendataire de Joyenval, nomme à lad. cure, vacante par la mort de Fr. Pierre De Lahaye, chanoine régulier, dernier titulaire, la personne de Fr. François Duriez (1), pbrë, chanoine régulier de l’Ordre de Prémontré, prieur-curé de Bargny, diocèse de Meaux. Donné à Chartres, etc. Le 20 sept. 1767, le seigr évêque donne aud. sr Duriez la collation dud. bénéfice. Le lendemain, le sr Duriez prend possession de la cure d’Hébertot, en présence de Me François-Bernard Frémont, pbrë, desservant lad. parr..; Me Adrien-Jean-Baptiste Closloge, vicaire du lieu, et autres témoins.
(1) Lorsque l’on demanda à Mr Duriez en 1791 de prêter le serment constitutionnel, il répondit qu’il consentait bien à jurer fidélité à la Constitution en tout ce qui concernait le temporel, mais qu’il exceptait formellement tout ce qui touchait à la religion. Ce serment ne fut pas accepté et le prieur d’Hébertot fut destitué. Il s’exila en Angleterre au mois de septembre 1792 et ne revint en France qu’au moi de juin 1892. Il fit immédiatement sa soumission a l’évêque de Bayeux ; mais sa santé et ses forces étant épuisées par les souffrances et les privations de l’exil, il ne reprit pas de ministère ecclésiastique. Il se retira à St-André-d’Hébertot et il mourut en 1807. (Archives du Calvados. – Revue cathol. de Normandie ; année 1892. – Ordo de Bx.)
151. – Le 24 avril 1769, Me Louis Le Goupil du Mont, curé de St-Pierre de la Lande, fait signifier à Charles Ridel, marchand, demeurant à St-André-d’Hébertot, fermier des trois quarts des grosses dîmes de lad. parr., de la Lande, le dernier quart appartenant au trésor de l’église dud. lieu de la Lande, qu’il entend opter pour la portion congrue de 500 livres pour les curés et de 200 livres pour les vicaires fixée par l’Edit du 13 mai dernier, et déclare qu’il n’y a aucune dîme ni aucune terre appartenant à sa cure qui ne soit grevée de fondations ou obits. Le sr Ridel ayant répondu qu’il entendait payer au sr curé la même somme que par le passé, celui-ci le fait assigner à comparoir en bailliage de Pontaudemer.
HÉBERTOT (Saint André). – Prieuré-cure
Prieurs-curés. – P. Delahaye – F. Duriez.
Vicaires.- Boussel-L.- Prey – Labbé .- A. -J.-B. Closloge.
Prêtre desservant. – F.-B. Prémônt.
Patron.-L’abbé.-B de Rosset de Pleury.
140. – Le 12 marSt-770, Louis Rebut, marchand, demeurant à St-André-d’Hébertot, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils Me Jacques Rebut, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Led. sr acolyte fut représenté par Me Charles Isabel, pbrë, habitué à Pont-l’Evêque.
Le 11 marSt-769, Jacques Rebut, fils de Louis et de Jeanne Paulmier, de la parr., de St-André-d’Hébertot, rite dimissus, reçoit à Bayeux la tonsure et les ordres mineurs.
283. – Le 24 déc. 1778, Jean-Baptiste-Jacques Leconte, marchand, demeurant à Quetteville, constitue 150 livres de rente en faveur de Me Pierre Vastel, acolyte de la parr., de St-André-d’Hébertot afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Jacques et Robert Vastel, frères, laboureurs, cousins dud. sr acolyte, demeurant en lad. parr. d’Hébertot. Fait et passé à Honfleur, en l’étude de Me Guillaume-Noël Mallet, notaire royal.
M. P. Vastel, né en 1753, entra de bonne heure dans les ordres sacrés. Il fut nommé titulaire de la chapelle St-Sauveur, près Honfleur, et remplit en même temps les fonctions de précepteur des enfants de M. de Brèvedent au château d’Ablon. Quand la Révolution se déchaîna contre le clergé, il refusa toute espèce de serments. Il « parvint d’abord sans quitter la France, à se soustraire aux terribles conséquences de cette détermination. On le vit tour à tour homme de loi, ouvrier, réquisitionnaire, et officier de cavalerie. Plus tard profitant du séjour de son corps en Allemagne, il se réfugia en Pologne où il retrouva et perdit bientôt son frère », prêtre réfractaire comme lui. « Apres le Concordat en 1801, il rentra en France et se fixa à Honfleur. Il y fonda une maison d’éducation qui prospéra sous sa sage direction et fut bientôt érigée en collège secondaire. Peu d’hommes ont porté plus loin le goût de l’étude et il n’était étranger à aucune science ». Il publia plusieurs ouvrages (Essai historique sur Honfleur, d’une Notice sur
la Chapelle de Notre-Dame de Grâce, et d’un Nouveau système du flux et du reflux de la mer). En 1829 il fut nommé chapelain de N.-D. de Grâce, et c’est sur cette colline bénie, aux pieds de la Madone chère aux marins qu’il termina sa vie si agitée ; il mourut le 29 avril 1839 à Notre-Dame de Grâce, dont il était le chapelain, â l’âge de 88 ans. (Archives de l’évêché de Bayeux. – Semaine religieuse de Bx. 1872.)
287. – Le 28 décembre 1778, François-Guillaume Rabel, marchand, demeurant à St-André-d’Hébertot, constitue 150 livres de rente en faveur de Louis-François Vastel, acolyte de lad. parr.., afin qu il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Jacques et Robert Vastel, frères, laboureurs, demeurant aud. lieu d’Hébertot.
Fait et passé à Honfleur, en l’étude de Me Guillaume-Noël Mallet, notaire. Les srs Jacques et Robert Vastel étaient cousins dud. sr acolyte.
Mr L.-F. Vastel, frère de l’abbé P. Vastel, avait rempli les fonctions de vicaire dans plusieurs paroisses des environs d’Honfleur et se trouvait au même titre à Ste Catherine en 1791. Il refusa le serment constitutionnel et se retira en 1792, à Rouen, rue St-Patrice, 21; il avait alors 35 ans. Il ne tarda pas à partir pour l’exil. Il se réfugia d’abord à Gand, puis se dirigea vers l’Allemagne et la Hongrie, forcé de reculer à mesure que les armées françaises gagnaient du terrain. Il se trouvait en Pologne, à bout de forces, miné par les privations, les fatigues et la maladie, quand il rencontra son frère. C’était la Providence qui le lui envoyait pour lui fermer les yeux. Il mourut en effet à cette époque sur la terre étrangère. (Archives de l’Hôtel-de-Ville de Rouen. – Semaine religieuse de Bx. 1S72.)
51. – Le 2 décembre 1779, M. François Duriez, pbrë, chanoine régulier de la commune observance, Ordre de Prémontré, profès de l’abbaye de Joyenval au diocèse de Chartres, et prieur-curé de St-André-d’Hébertot, remet purement et simplement sond prieuré entre les mains du seigr évêque de Lx. Fait et passé dans la salle du manoir prioral d’Hébertot.
Le 14 décembre 1779, la nomination aud. prieuré-cure appartenant au seigr abbé de Joyenval, Mgr Pierre-Augustin- Bernardin de Rossel de Fleury, évêque de Chartres et abbé commendataire de Joyenval, nomme à lad. cure la personne de M. Jean-Baptiste Pomelot, pbrë, chanoine régulier dud. ordre et prieur-curé de Tarzy et de Fligny, diocèse de Reims. Donné à Chartres. Le 12 févr. 1780, le seigr évêque de Lx donne aud. sr Pomelet la collation dud. bénéfice. Le 14 févr. 1780, le sr Pomelet prend possession du prieuré-cure d’Hébertot en présence de Me Jean-Baptiste Cordier, pbrë, vicaire de lad. parr.., et autres témoins.
153. – Le 28 juillet 1783, Me Jean-Baptiste Poncelet, chanoine prémontré, prieur-curé des Bréviaires et de la Grange-du-Bois, son annexe, diocèse de Chartres, et aussi prieur-curé de St-André-d’Hébertot, demeurant aux Bréviaires, donne sa procuration pour résigner lad. cure d’Hébertot entre les mains de N.-S.-P. le pape en faveur de Me François Duriez, chanoine prémontré de l’abbaye de Joyenval, y demeurant, aud. diocèse de Chartres. Fait et passé à Montfort-l’Amaury. Le 18 août 1783, led. sr Duriez obtient en cour de Rome des lettres de provision dud. bénéfice.
Le 14 oct. 1783, Mr de Grimouville-Larchant, vic. gl du Chapitre, donne son visa auxd. lettres de provision. Le 16 nov. 1783, le sr Duriez prend possession du prieuré-cure d’Hébertot, de Lx, vicaire de lad. parr.., et autres témoins.
M. Duriez voulut mettre dans son serment relatif à la Constitution, des conditions qui firent rejeter. Le curé destitué émigra en Angleterre et se retira à Gosport, King Street, chez Mr Turner. C’est là que Mr Duriez parait avoir passé toute la Révolution. Il rentra au Havre le 2 juin 1892 et revint se fixer à Hébertot ; mais il ne reprit pas les fonctions pastorales. Il mourut en 1807. (Archives du Calvados. – Mss de Reux. – Revue catholique de Normandie. 1892. – Ordo de Bx.)
HÉBERTOT (Saint André). – Prieuré-cure
Prieurs-curés. – F. Duriez – J.-B. Pomelet ou Poncelet.
Vicaires.- J.-B. Cordier – G.-N. Duclos.
Prêtres de la paroisse.- L.-F. Vaslel .- P. Vastel.
Clercs. – Je, Rebut .- L.-F. Vaste – P. Vastel.
Patron. -L’abbé de Joyenval.-P.-A. -B.de Rosset de Fleury.
Seigneur. – N.-F. de Trousseauville,
Histoire de L’ancien Evêché – Comté de Lisieux – H. de Formeville.
Dudit fief de Vassy relève : Le fief de Guieuredonet, qui est un 8° de fief, assis en la paroisse de Hébertot, possédé par Guy de Nollent, écuyer, sieur de Hébertot.
Dudit fief de la Roque relève : Le fief de Hébertot, demi fief de Haubert, assis à Saint- André- d’Hébertot , tenu de la baronnie de Blangy, possédé par messire François de Nollent , écuyer.
La Normandie monumentale et pittoresque-Calvados Partie 2.
Robert de Nollent et sa femme devinrent la tige d’une branche des plus importantes de cette famille A partir de leur petit-fils, Olivier de Nollent, chevalier, seigneur de Trouville, cette branche se divise en trois rameaux.
L’aîné reste à Trouville en la personne d’Hélie, qui figure en tête de ces lignes.
Le second s’établit à Hébertot; nous le retrouverons plus loin et aussi en faisant l’histoire de son magnifique château.
Quant au dernier, celui du seigneur de Couillarville en Haute-Normandie, il devait, deux cents ans plus tard, hériter de ses aînés.
Le château se compose de deux parties bien distinctes : l’une, plus ancienne, vers l’est, datant de l’époque Louis XIII et comprenant un gros donjon carré; l’autre, à la suite, dont la construction révèle le style Louis XV et à l’extrémité de laquelle a été bâtie une tourelle moderne dans le goût du donjon, quoique moins élevée : malgré ces styles divers, l’ensemble des constructions présente un harmonieux effet.
Mais l’intérieur de la grosse tour, au rez-de-chaussée, a recouvré, grâce aux réparations faites il y a quelques années par M. Gillotin, sous la direction de M. Ruprich-Robert, l’architecte bien connu, son caractère primitif. Là, en effet, se trouve un immense salon rectangulaire, dont le plafond offre des poutrelles peintes et ornées des sujets les plus délicats, et à la base desquelles on voit un grand nombre d’écussons dont les mille couleurs présentent les nobles alliances de la famille qui possédait et fit bâtir Hébertot : les Nollent.
Au fond de cette salle magnifique, est une cheminée monumentale en pierre, revêtue de peintures comme celles du plafond, et au centre de laquelle on voit un sujet guerrier entouré d’écussons rappelant encore les alliances des Nollent, dont le blason, d’argent a 3 roses de gueules a la fleur de lys de memie en cœur, — occupe lui-même le centre, avec la devise de la maison de Lorraine : ce Passe Avant », suivie de celle de la famille de Nollent, « Pas à Pas » ; ce blason et ces devises se répètent l’un au-dessus, l’autre au-dessous du tableau central.
Il est difficile d’imaginer un ensemble plus majestueux, tant par l’harmonie de ses proportions que par l’agencement des tons et des couleurs, que celui qu’offre cette vieille salle, vestige aussi rare que pur du style normand à l’aurore du grand siècle.
Derrière la cheminée se trouve un cabinet de grand style, dont les plafonds reproduisent en de délicates peintures les armoiries d’alliances des anciens possesseurs du château.
Au premier étage de ce donjon, notons une chambre arrangée à la moderne, et qui n’a d’autre intérêt que d’avoir vu mourir Nicolas-Louis Vauquelin, né le 16 mai 1763 à Saint-André-d’Hébertot et mort le 14 novembre 1830, à 11 heures du soir à Saint-André-d’Hébertot, célèbre chimiste enfant d’Hébertot. Au-dessus de cet appartement subsiste un immense grenier laissant voir les créneaux et les mâchicoulis très curieux de la tour.
Quant aux autres pièces du château, elles sont relativement modernes et meublées avec goût d’objets anciens recueillis avec soin par M. Gillotin, à qui on doit la réfection du bel escalier central en pierre.
Dans le parc se trouvent de très belles cascades et des arbres magnifiques; un cèdre du Liban, paraissant contemporain de celui du Jardin des Plantes de Paris, a été détruit par l’ouragan du 19 novembre , 1894.
Un mot maintenant sur l’histoire du château Hébertot, depuis longtemps divisé en deux paroisses, Saint-Benoît et Saint-André, – ces, sur cette dernière que se trouve le château, – parait être un lieu de fondation très ancienne, englobant jadis dans ses limites la paroisse voisine du Vieux-Bourg, – Notre-Dame d’Hébertot.
On y trouve, dès le XIVe siècle, l’antique famille de Nollent déjà divisée en plusieurs branches, et nous avons fait l’historique en parlant du château d’Aguesseau à Trouville.
C’est sur Saint-Benoît d’Hébertot que paraissent le plus anciennement les Nollent : ils y possédaient le fief principal de Fatouville et les fiefs secondaires de Launay, du Quesney et de la Heurtrie; ce ne fut que plus tard, dans les dernières années du XVIe siècle. que Jacques de Nollent, escuyer, seigneur de Fatouville, Olendon et Hébertot, frère d’Hélie, seigneur de Trouville, fit l’acquisition de la terre de Saint-André d’Hébertot; Guy, son fils, se maria avec Jeanne de Lannoy- Améraucourt., d’une illustre maison, et bâtit le donjon actuel, qu’il vint habiter en 1617.
A sa mort, en 1647, il avait deux fils, François et Nicolas de Nollent, – sa branche forma deux rameaux, bientôt réunis, dès 1664, par le mariage de ses petits-enfants, François-Marie de Nollent escuyer, seigneur de Fatouville, fils de Nicolas et de Marie d’Espinay Saint-Luc, et Marie-Madeleine de Nollent, dame d’Hébertot, fille de François et de Madeleine Arthur.
Mais Jean de Nollent, marquis d’Hébertot, leur fils unique, né en 1675, n’eut de son mariage avec sa cousine Madeleine-Angélique de Nollent, dame de Trouville-sur-Mer, qu’une fille, Françoise-Angélique de Nollent, qui naquit à Hébertot, le 16 septembre 1704, et que nous avons vue épouser le fils aîné du chancelier d’Aguesseau, dont elle n’eut pas d’enfants.
Tandis que la terre de Trouville passait aux Nollent-Couillarville, puis aux Pimbert, celle d’Hébertot fut vendue par Madame d’Aguesseau, vers la fin de sa vie, à Pierre-Constantin Le Vicomte, Châtelain et comte de Blangy, d’une antique famille normande; mais celui-ci ne la conserva que quelques années et la transmit à M. Thomas Duhamel, banquier à Rouen.
A la mort de ce dernier, vers le commencement de notre siècle, la terre d’Hébertot fut une première fois divisée: le château et une grande partie de ses dépendances restèrent la propriété – de Thomas-Pierre Duhamel, fils de l’acquéreur; mais le surplus, comprenant notamment la colline vers le nord passa à sa veuve, remariée de M. Christophe Mac-Cartan. Ce dernier fit bâtir là un petit château qui a conservé son nom et n’a d’autre mérite que ses beaux ombrages et la vue splendide qu’on y découvre.
Après Mr Duhamel fils et sa mère, le domaine d’Hébertot subit un nouveau partage, entre MM Edouard et Stanislas Duhamel : le premier vendit bientôt le château et les fermes, contenant environ 50 hectarest, à M. Gillotin, en 1853, et les héritiers du second possèdent encore aujourd’hui le petit château de Mac-Cartan avec le surplus de l’ancien domaine d’Hébertot.
C’est nous l’avons dit, à M. Gillotin, qui représenta longtemps le canton de Blangy au Conseil général du Calvados et mourut il y a vingt ans, regretté de toute la contrée, qu’on doit les importantes restaurations qui ont rendu au château d’Hébertot son ancienne splendeur et sa physionomie primitive; sa veuve entretient avec le plus grand soin ce précieux joyau d’architecture normande.
L’église de Saint-André d’Hébertot, enclavée dans le parc et les jardins du château, était jadis desservie par un prieur-curé comme la chapelle de Saint-Arnoult-sur-Touques. Elle offre un curieux spécimen du style roman et mérite d’être visitée. Avant la tourmente révolutionnaire, elle renfermait les tombeaux de la famille de Nollent; cet édifice a été, il y a quelques années, l’objet d’importantes réparations.
Le Commandeur HENRY LE COURT.
SAINT-ANDRÉ-D’HEBERTOT. – Au lieu-dit « La Falaise » , vestiges d’un ancien château féodal (12).
(12) Soeur Saint-Gerbold, Monoqr, de Saint-André-d’Hébertot, s. d, (vers 1885) mss. Archiv. du Calv.
3 – Archives ShL:
Revue Le Pays d’Auge.
P. Jeanjean – Saint-André d’Hébertot, 1954-06-juin.
Gilbet Bucaille – Asia à Hébertot – Saint Benoit d’Hébertot,1980-11-nov ; 1981-01-janv.
Gilbet Bucaille – Deux hôtes tonitruants – St-André-d’Hébertot,1984-06-juin ; 1984-07-juil.
Abbé Desfrièches – Notice sur Hébertot – 2016, 01-janvier-février
Françoise Dutour – La typologie des villages et des bourgs Saint-André-d’Hébertot, 2016-04-juillet-août.
Fonds Manuscrits.
SECTION F H.
64. – Copie seigneur fondation d’un service en l’église Saint-André d’Hébertot, par François seigneur Nollent, chevalier, seigneur de Fatouville; 1er mai 1681.
701.-Trois pièces. Billets autographes de M. l’abbé de Créquy, et pièce signée de M. de Boulancy, sous-préfet de Lisieux, pour M. Blanchard, ancien desservant d’Hébertot; 1817.
Analyse et Transcriptions de Documents Originaux.
1660 15 octobre – Maistre Jacques Train, sieur de Bofiquet , receveur du domaine d’Auge, bourgeois demeurant en la ville de Paris, paroisse de Saint Nicolas-des-Champs
Etat du nombre bornes, natures et contenances de 6 pièces de terre tant en herbes labours que prés fauchables, qui composent le ferme de Beauficquet, sis à la paroisse d’Hebertot, appartenant à Messieurs Train (en tout 11 acres et 15 vergées) bornées par la rivière de Calonne et un ruisseau et le chemin de la Thirronnière aux Authieux.
1710 28 octobre
Le sieur Anthoine de Sémilly, laissait pour héritiers les sieurs Hesbert(1),et Thiron, ayant épousé les damoiselles de Sémilly demeurant aux paroisses du Mesnil-sur-Blangy et de Saint-André-d’Hebertot
(1)Jean Baptiste Hébert sieur de Courval, fils et héritier de la demoiselle de Sémilly
Carnets VASSEUR Charles : « Doyenné de TOUQUES ».
27 – SAINT ANDRE D’HEBERTOT – ST Andreas de Hebertot
St André d’Hébertot – Origine du patronage – Lettre de Monsieur de Neuville du 6 juin 1875
Monument de Vauquelin à St André d’Hébertot – Annuaire Normand 1862 p.512.
Bulletin des Antiquaires de Normandie Tome VII 1874 p.87-112.
Election de Pont l’Evêque sergenterie de St Julien sur Calonne 3 feux privilégiés 180 feux taillables.
Sous l’invocation de St André
Patronage:
16e et 18e Abbas Gaudii valeis diocèse Carnot (?)
(Joyenval)
Charité fondée dans la même : patron L’Evêque.
Curés:
de la Haye 1764
Duriez 1783-1787
Déclaration de 1751 : curé Pierre de la Haye, chanoine régulier de Notre Dame du Valde Bayeux.
Revenus : les verdages.
Prior St Andre d’Hébertot
Ce patronage fut donné à Joyenval par Guillaume du Pont de l’Arche, évêque de Lisieux en 1240.
Insinuations:
Description de l’église du 25 mai 1859
Dans le cimetière est le tombeau de Vauquelin à la mémoire duquel on a élevé une colonne à la jonction des deux grandes routes de Pont Audemer et de Beuzeville.
Description de la cloche
Cette cloche a été fondue en 1779 et nommé Angélique par Haute et Puissante Dame Madame Françoise, Marthe, Angélique de Nollent, veuve de Haut et Puissant Seigneur Henry François de Paule d’Aguesseau, chevalier, conseiller d’état ordinaire et au conseil royal du commerce, dame de cette église et de la paroisse d’Hesbertot et autres lieux, et par Haut et Puissant Seigneur Messire Nicolas Jacques de Nollent, chevalier seigneur de Coulerville, chevalier de l’ordre royal et militaire de St Louis, bénie par Messire François Duriez, chanoine régulier prémontré de l’Abbaye de Ioyenval, prieur d’Hesbertot ;
I.B Charton et A. Dubois, fondeurs.
Sur cette cloche est un bel écusson accolé d’Aguesseau et de Nollent.
Description du château et détail des écussons appartenant tous à la famille de Nollent.
Léproserie de Hustel de Hébertot, réunie à l’Hôpital de Pont l’Evêque le 13 juillet 1696 (Léchaudé d’Anisy – Mémoires de la Ste des Antiquaires tome XVII p.171)
Itinéraire de Jean sans Terre – Hébertot
30 mai 1200
28-29 décembre 1202
18 avril 1203 à Trianon
22-25 août à Trianon
10-11 septembre à Trianon
12 septembre à Hébertot
29 septembre à Trianon
4 et 6 novembre à Trianon
7 novembre à Hébertot
On annonce dans les journaux de Caen la destruction du retable de St André d’Hébertot pour ouvrir la fenêtre du chevet à laquelle on mettra une belle vitrine en couleur. C’est le blason des d’Aguesseau qui froisse surtout Monsieur le Curé. N’est-ce point plutôt à Monsieur Gilottin qu’il porterait ombrage ? (Vers le 10 septembre 1861).
Le chancelier d’ Aguesseau fut d’abord avocat du Roy au Châtelet, six mois après avocat général au Parlement. Il eut deux fils Monsieur l’Abbé d’Aguesseau et Monsieur de Valjoint. (Journal des Savants Juin 1737 p.368)
Journal de Verdun avril 1737
Madame Anne Louise Françoise Dupré, épouse Monsieur Jean Baptiste Paulin d’Aguesseau de Fresne, conseiller d’état, mourut dans la même ville, Paris, dans la 18e année de son âge.
1731 – Henri François de Paule d’Aguesseau, fils aîné du chancelier, marié récemment à Marie Angélique de Nollent, d’Hébertot en Auge, était en ce moment au château d’Hébertot près de Pont l’Evêque.
Lettres inédites de Monsieur le Chancelier d’Aguesseau, publiées par Monsieur Rives in 8° 1823 (Floquet – Parlement VI p.209)
Fonds 1F ShL.
1587 Novembre 1587 St André d’Hébertot: fieffé d’une pièce de terre et 2 maisons et droit de « pillaige » d’une pièce de terre.
Fonds FONDS BOUDARD 2F
– 2FM189 : 1620 et 1768-69 : abattage d’un arbre en forêt de Passy. Dîmes d’Hébertot, cure de la Goulafrière etc.
– 2FM255 : 1789-92 : famille de Brancas, accord pour vente de biens sur St Léger du Bosc, Blangy, Dozulé et Hébertot.
Archives SHL :
– Dossier « Lieux M à Z 1999, Lisieux-Accueil.
– Erudits divers NE 000: ROBLOT-DELONDRE Mme : Histoire de la paroisse de Saint André d’Hébertot
Bulletins ShL.
BSHL, N° 23, 1918, « Excursion du 16 juillet 1918 (Les Authieux-sur-Calonne, Saint-André-d’Hébertot) »,
BSHL n°37, décembre 1996. PERARNAU Philippe : Nicolas VAUQUELIN itinéraire d’un savant.

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