MESNIL EUDES Le

NOTES sur MESNIL EUDES Le
Mesnillus Odonis

Cliquez sur l’image pour l’agrandir

Archives du Calvados.
Le Mesnil-Eudes (Calvados)
Canton actuel : Mézidon-Canon
Arrondissement actuel :Lisieux
Code INSEE : 14419
MESNIL-EUDES
I. Dioc. de Lisieux. Baill. et maîtrise de Pont- l’Évêque. – Gr. à sel de Lisieux. – Gén. et int. de Rouen, él. et subd. de Pont- l’Évêque.
II. Distr. et canton de Lisieux (Arrêté du 1er mars 1790).
III. 4 arr.communal (Arr.de Lisieux), canton de Lisieux (Loi du 28 pluviôse an VIII), – canton de Lisieux (2º section ) (Arrêté du 6 brumaire an X). Pop.: 270 hab. ( 1911 ). Sup. 842 hect. 12 a. 25 c.
ADMon Gale. Délibérations (1), depuis le 10 mai 1836.—
Trois registres de délibérations municipales et enregistrement des lois et décrets, depuis 1787, avec lacunes de 1812-1816, et un registre de délibérations paroissiales, depuis 1767, mentionnés par l’inventaire arrêté le 28 septembre 1859, n’ont pu être retrouvés.
ÉTAT-CIVIL( ).- Baptêmes, mariages et sépultures, depuis 1630. Lacunes : 1684-1685.
STATISTIQUE. États nominatifs de la population. An VII- an VIII (3 cah. ).94 fol. ),
IMPOSITIONS États nominatifs de la population. An VII- an
États de sections (Sections A-C). 1791 ( Cah. 94 fol. ) – an VI ( Cah., 68 fol. )
Matrices des contributions foncière. 1792, an V (4 cah. ) :
personnelle-mobilière. 1791, an IV-an V, an VII (5 cah. )
Voir aux Archives du Calvados les délibérations du Comité de surveillance de Mesnil- Eudes. 20 octobre 1793-21 fructidor an II (Reg. ), enregistrement des lois et décrets, affaires diverses ( Reg. et liasse).
Dictionnaire Topographique Du Département Du Calvados C. Hippeau.Mesnil-Eudes (LE), canton de Lisieux (2° section). Mansus Odonis, 1086 (cart. de la Trinité, p. 12). Mesnillum adonis, 1195 (magni rotuli, p. 87). Mesnil Oude, 1694 (carte de Tolin).
Par. de Notre-Dame, patr. le seigneur. Dioc. de Lisieux, doy. de Livarot. Génér. de Rouen, élect. de Pont-1’Évêque, sergent. de Saint-Julien-le-Faucon.
Assemont, quart. – Chemin-d’Assemont (Le), q. – Cour-du-Four (La), h. – Cour-du-Presbytère (La), f. – Croix (La), h. – Fieffe (La), h. – Forge-Sandebreuil (La), q.- Fresnes (Les), h.- Lieu-Bée (Le), h.- Lieu-Carpentier (Le), b.- Lieu-des-Regniers (Le), h.-
[Lieu-d’Orville (Le), h. comm. du Mesnil-Eudes. -.Aurevilla, 1216 (cart. norma. n° 246, p. 38). – Orvilla, 1217 ( Delisle, échiquier de Norm. ).- Ecclesia de Aurrevilla, 1278 (chap. de Lisieux, n° 5).]
Lieu-Robin (Le), h – Logettes (Les), h. – Mont-Gassart (Le) – Radoult, h.- Rainiers (Les), h.- Vallée (La), h..
1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.
1 – Bibliographie:
CAUMONT Arcisse de : Statistique monumentale du Calvados, réédition FLOCH Tome III, page 349.
CAVANNA Emlie : Spatialisation de la petite élite rurale dans la vallée de la Touques – Xve-XIXe siècles. Mémoire de maîtrise d’Archéologie médiévale.
Editions FLOHIC : le patrimoine des Communes du Calvados page 1050.
Voir :
Mémoires des Antiquaires de Normandie tome XXVI p.252-256-321.
Bulletin de la SHL n°59, décembre 2006
2 – Pièces Justificatives:
Statistique Monumentale Du Calvados Par Arcisse De CaumonT
Notes de M. Charles Vasseur
Le Mesnil-Eudes, Mesnillus Odonis.
Situé au fond d’un vallon sauvage et boisé, le Mesnil-Eudes a été fondé par Odon Stigand, le chef de la maison de Tancarville, le seigneur de L’Honneur, d’Écajeul et de Mézidon, le constructeur de Ste-Barbe, qui lui a laissé son nom. On y compte 294 habitants; -au XVIIIe siècle, il y avait 3 feux privilégiés et 59 feux taillables, c’est-à-dire 310 habitants environ. On voit que la population n’a jamais été considérable, bien que par sa superficie cette commune doive être classée parmi les grandes paroisses de ce canton.
Elle était comprise dans l’élection de Pont-l’Évêque, sergenterie de St-Julien-le-Faucon, et pour le spirituel, dans le doyenné de Livarot.
L’église, sous l’invocation de Notre-Dame, offre un certain intérêt. Elle est du petit nombre de celles qui n’ont subi que peu de mutilations, dans ce canton, où les curés sont coupables de nombreux faits de ce genre. Elle remonte jusqu’à l’époque romane. La partie conservée de cette construction primitive est le mur septentrional du choeur, ou l’on voit encore le cintre d’une porte bouchée. Les autres murs, dans leur ensemble, paraissent seulement du XVII, siècle. Les contreforts qui les buttent, les fenêtres, soit ogivales, soit cintrées, à moulures prismatiques, qui y sont pratiquées, accusent bien cette époque. La porte est précédée d’un porche en charpente.
Le clocher date aussi du XVI, siècle ; il est en charpente revêtu d’ardoise, avec quatre petites lucarnes posées sur les angles.
L’intérieur offre une foule d’objets sur lesquels doit se porter l’attention. En entrant, un vieux banc à panneaux flamboyants, du règne de Louis XII; deux bancs à balustres tournées, du commencement du XVIII siècle, frappent d’abord les regards.
La voûte de la nef, parfaite de forme et construite avec des matériaux choisis, est maintenue par quatre fermes complètes bien équarries. Des festons sont gravés en noir sur ses douvelles de merrain. L’oeil se porte ensuite sur l’arc triomphal roman, bien caractérisé, qu’accompagnent deux petits autels, du règne de Louis XIV, formant avec le maître-autel un tout complet et harmonieux. Le maître-autel est vraiment curieux et remarquable. Ses quatre colonnes torses sont évidées à jour au tiers inférieur et au tiers supérieur; le centre seul est resté plein. Les pampres de vigne qui entourent ces colonnes servent de refuge à mille oiseaux qui s’y jouent ou becquettent les grappes. Des pentes de fruits remplissent le nu des piédestaux. Dans les niches sont deux statues: la Vierge et saint Sébastien. Au centre est un tableau. Le tabernacle, en forme de pavillon semi-hexagonal, a un groupe de trois colonnettes à chacun de ses angles. Ces autels, encore nombreux dans le Pays-d’Auge, sont généralement dus à des artistes de talent ; mais ils sont passés de mode: leur ampleur offusque nos idées étroites, et on les jette bas partout. Une publication, qui en reproduirait les principales variétés avec leur polychromie, serait certainement très-recherchée par les artistes et par l’étranger. Six candélabres en bois, peints et dorés, complétaient généralement ces autels. Au Mesnil-Eudes, il en reste deux qui méritent aussi l’attention.
La voûte du choeur est couverte de rinceaux de couleurs variées, jetés sur les douvettes, dont la composition est fort curieuse. Malheureusement on a coupé l’entrait central, qui maintenait l’équilibre de la construction, de sorte que les murs latéraux poussent au vide et que le chevet est lézardé. Mais ce sera une occasion de rebâtir l’église dans un genre plus moderne. Cette mutilation des charpentes est fort à la mode dans le canton, et son effet immédiat est toujours le même.
Voici l’inscription de la cloche : elle me paraît se composer d’une inscription plus ancienne qu’on a reproduite lors de la refonte, et d’une ligne de hiéroglyphes, dont j’avoue ne pas avoir la clef.
A. M. D. G. J’AI ETE NOMMÉE MARIE PAR Mr GUI DUVAL DE
BONNEVAL ANCIEN PRÉSIDENT A MORTIER DU PARLEMENT DE NORMANDIE
ET Mme MARIE PIERRE DE TOURNEBU DAME DU MESNIL-EUDES, DE LIVET,
St HYPOLITE ETC , ET BENITE PAR MR BARDOU CURE DU MESNIL-EUDES LAN
1845. LE TERRIER O DL. L. BI. LG BBB. SEDVMLFG LFGL SVMAM.
LOUIS SAUDEBREUIL TRÉSORIER.
F. BAILLY FILS AINE FONDEUR A BERNAY.

L’if du cimetière a environ 8 pieds 1 /2 de circonférence.
La croix date du règne de Louis XIV. Le fût est une colonne d’ordre composite assez bien proportionnée ; sur la base, on lit les dix commandements de Dieu, qui occupent deux des faces. Sur les deux autres sont les inscriptions suivantes:
CETTE CROIX A ESTÉ
DONNEE PAR LA CHA
RITÉ DE CEANS LAN
1654.
ECCE CRVCEM DNI
IN QVA SALVS MVNDI
PEPENDIT , IN QVA
CHRISTVS TRIVMPHAVIT
ET MORS MORTEM SVPE
RAVIT IN AETERNVM –
ADVIS AU MONDAIN,
JESUS CRHIST TA MONSTRÉ
LE CHEMIN DE LA CROIX
LE MONDE TE RETIENT EN CELUY
DES DELICES

Cette croix a été replacée le 22 juillet 1808. Proes. T.J. Bertaume.
Le patronage de l’église du Mesnil-Eudes paraît avoir été alternatif entre le chapitre de Lisieux et le seigneur du lieu.
On trouve dans les rôles de l’Échiquier, à la date de 1195, Bernardus de Mesnillo-Odonis.
Au XIVe siècle, Jean de Courcy était seigneur du Mesnil-Eudes. En 1463, Montfaut enregistre Jean de Heudreville,
sur la paroisse du Mesnil-Eudes.
Plus tard, la famille de Tournebu joignit ce fief à ses nombreux domaines, et le conserva jusqu’au commencement de ce siècle.
L’Association Le Pays d’Auge.
L’origine du nom du village viendrait du latin mansionile « domaine rural». Au XIVe s. (Pouillés du diocèse de Lisieux), il porte le nom de Mesnillo Odonis, du nom d’Odon Stigand, chef de la maison de Tancarville, baron de Guillaume le Conquérant au XIe siècle.
Extérieur
L’édifice date du XIe siècle et du XVIe siècle. Le chœur a conservé des traces de l’époque romane, comme l’appareil en arêtes de poisson et la porte latérale cintrée qui est désormais bouchée. Le clocher en charpente, revêtu d’ardoises, présente la particularité d’être muni d’une petite lucarne à chacun des angles. Un porche en bois doté d’une charpente à pannes (XVIIe?) (27) précède l’entrée.
Intérieur
Maître-autel et autels latéraux avec leurs retables
Le retable du maître-autel, tripartite en bois polychromé et doré date du XVIIe siècle. Il est scandé par quatre colonnes torses cannelées au centre, évidées et décorées d’oiseaux et de pampres aux extrémités. Entre les deux colonnes centrales se trouve la toile de la Mise au tombeau du Christ qui a remplacé la toile précédente, une Crucifixion (datée 1913 et signée Barnoin) actuellement au revers de la façade ouest. Cette toile du retable est encadrée par deux niches entourées par les mêmes colonnes torses, avec au nord une statue de Vierge à l’Enfant et au sud une statue de saint Joseph.
Les socles sur lesquels reposent les statues surplombent deux reliquaires. Au couronnement, l’attique est décoré d’un feuillage stylisé et du monogramme du Christ avec un cœur. Le tabernacle-pavillon comporte une série de trois colonnettes à chacun de ses angles, les niches qui devaient abriter probablement des statuettes, sont vides. L’antependium présente une reproduction de La Cène, inspirée du tableau de Léonard de Vinci. Les autels latéraux, plus récents que le maître-autel, dédiés au nord à la Vierge et au sud au Christ, sont ornés de colonnes composites et d’attiques surmontés de palmes et de pots à feu encadrant des bustes de la Vierge et du Christ. Les devants d’autels sont décorés de bas-reliefs, représentant à gauche La Mort de la Vierge en présence des Apôtres, et à droite, l’illustration de la parole du Christ « Laissez venir à moi les petits enfants ».
Sculptures
Hormis les deux statues en pierre de saint Sébastien et de la Vierge situées dans le chœur et qui ornaient les niches latérales du retable, datées du XVIIe siècle, les statues correspondent au sentiment religieux du XIXe s. et du début du XXe s. Parmi elles nous pouvons remarquer, dans la nef côté nord, une statue de sainte Thérèse et côté sud, une représentation de saint Christophe.
Décor architectural
Vitraux
Dans la nef (côté sud en partant de l’entrée), on trouve successivement, un double vitrail représentant saint Victor et saint Emile habillés en Romains, ainsi qu’une Annonciation. Du côté nord (d’ouest en est), un vitrail de Jeanne d’Arc en armure. Les deux vitraux, situés de part et d’autre des autels latéraux, figurent côté nord Notre-Dame de la Délivrande et Marguerite-Marie Alacoque et la dévotion au Sacré-Cœur, côté sud. Dans le chœur deux vitraux, une présentation de la Vierge au Temple au nord, et une figuration du Sacré-Cœur au sud. Ces vitraux (signés Devisme, Rouen) sont dus à des dons de paroissiens et du curé de la paroisse.
Peintures murales
Le décor architectural, riche et coloré, constitue l’une des particularités de cette église. Il a été commandé par l’abbé Anthoine, curé de la paroisse (sa pierre tombale est située sous le porche), en 1932 à A. Durand, peintre décorateur à Caen. Dans la nef, on peut observer l’alternance décorative des «A. M. » entrelacés, des fleurs de lys, des motifs quadrilobés, surmontés d’un rinceau qui court tout le long des murs. Dans le choeur, les murs sont ponctués de grands panneaux représentant les quatre évangélistes et l’Eucharistie.
Autre mobilier
Le banc-coffre en bois près du maître-autel daterait, selon Arcisse de Caumont, du règne de Louis XII (1498-1515). Il s’agit sans doute d’un banc d’une confrérie de charité, en raison de la présence des trois serrures en façade. L’intérêt de cet objet réside aussi dans les panneaux à décors gothiques de son dossier.
Recherche de Montfaut, 1465 (P-E-M Labbey de la Roque, 1818)
Jean de Heudreville du Mesnil-Eudes, certifié noble (sans précision du fief)
Histoire généalogique de la maison et de la baronnie de Tournebu – M. Ch. Fierville.
La famille de Richard Gain, a possédé le Mesnil-Eudes jusqu’en 1380
La seigneurie du Mesnil-Eudes était assise en la paroisse de ce nom (1); le seigneur avait droit de court, usage, justice, juridiction, etc., et le droit de patronage de la paroisse; il relevait par foi et hommage du comté de Lisieux.
– Pierre II de Tournebu, seigneur de la Vacherie, de ‘Livet, de St-Vast, etc., fils puîné de Jean IV, baron de Tournebu, et d’Alix Poignant, Il épousa Jeanne Louvet, fille et héritière en partie de Colin Louvet,
écuyer, et petite-fille de Guilbert Louvet, seigneur de Livet, Mesnil-Eudes et autres lieux, et de Marie de Mailloc, veuve en secondes noces de son père, le baron Jean IV (2). Par suite il partagea l’héritage des Louvet et des Mailloc (3), avec Jean de Heudreville, écuyer, sieur du Mesnil-Eudes, mari de Catherine Le Coutelier, fille de Marie Louvet, elle-même fille aînée de Colin Louvet.
– Jean VII, seigneur de Livet, de Pont-Mauvoisin et du Mesnil-Eudes. Jean VII acquit, le 25 février 1570, pour 9,000 livres et 200 écus d’or au soleil de pot-de-vin, la terre et seigneurie du Mesnil-Eudes, à Guillaume de Mailloc, sieur de La Grue, de St-Marc et du Mesnil-Eudes, et il augmenta la terre de Livet de plusieurs dépendances. Sur le prix d’achat, 3,300 livres durent être employées à amortir une rente due à Nicolas de Vipart, sieur et baron du Bec-Thomas.
– Robert II, seigneur de Livet, etc. Robert II de Tournebu, bailli de Lisieux, réunit les titres de seigneur de Livet, de Pont-Mauvoisin, du Mesnil-Eudes, de Bouges, Bretagne, la Champenoise, Mont-de-l’If, Lessart et Le Chesne. Il hérita de sa mère Marie de Croismare des gouts plus intellectuels que ses prédécesseurs guerriers. Il fit des études juridiques et fut bailli de Lisieux
Il épousa le 11 Avril 1586, Madeleine de Seghizo, fille de Marc-Antoine de Seghizo, seigneur de Bouges en Berry, chevalier de l’ordre du roi. Il mourut vers 1614.
De son mariage sortirent:
Anne de Tournebu – Antoine, qui continua la postérité,- Madeleine – Catherine – Charlotte et Geneviève.
Madeleine épousa Anne d’Aché, écuyer, seigneur de Serquigny.
Catherine épousa Louis de La Haye, seigneur de la Pinardière.
Charlotte épousa Charles Houel, écuyer, sieur de la Pommeraye et de Morainville.
Geneviève épousa Jacques de Saint-Laurent, écuyer, seigneur de Quetiéville.
– 16 bis. Antoine De Tournebu, seigneur de Bouges, Mesnil-Eudes, Pont-Mauvoisin, le Chesne, St-Martin-de-la-Lieue, de Neuville, du Chesne et Lessard et la ferme du Val de la Haie etc., gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, justifia de sa noblesse en 1641, en qualité de seigneur de Bouges, il avait établi son domicile au Pont-Mauvoisin.
Le 25 août et le 8 septembre 1620, il passa un contrat d’assences de la seigneurie du Mesnil-Eudes, avec les habitants de la paroisse, par-devant Louis Delavigne et Robert Audrieu, tabellions royaux en la vicomté d’Auge pour le siège de Cambremer.
Le 18 février 1618, il épousa en premières noces Jeanne de Courtarvel.
Après la mort de sa femme, il se remaria avec Jacqueline Gruel de La Frette.
De son premier mariage il eut François, Pierre, Jacques, Madeleine et Guyonne; du second, Marie-Françoise et Geneviève.
– 17. François De Tournebu, seigneur de Livet, Mesnil-Eudes, Pont-Mauvoisin, etc., porta les armes pour le service du roi, et assista au siège de Gravelines en 1644 (1); il était alors qualifié sieur de Bouges.
Le 6 juillet 1651 il épousa Marie de Guiton. Il eut cinq enfants de son mariage : Pierre, Jacques, François, Léonor et Anne.
1° Jacques de Tournebu, chevalier, seigneur du Mesnil-Eudes, Il épousa en premières noces Marguerite-Thérèse de Bonnet, et en secondes, Claude-Philippe-Michelle Duval de Bonneval, et eut pour fille Marie-Pierre de Tournebu, à qui devait revenir l’héritage de toute la famille. Il mourut le 3 octobre 1732, et fut inhumé dans le chœur de l’église du Mesnil-Eudes
– 18. Pierre 111, fils aîné de François de Tournebu, seigneur de Livet, de Bouges, de Mesnil-Eudes, Pont-Mauvoisin, etc.,
Ce fief rapportait en 1706, 2515 lt de rentes foncières, réparties ainsi le manoir, 385 livres, le lieu aux Regniers, 350″; la Morinière, 170; les prés, 220″; le moulin, 120″; les rentes et casuels, 400; le lieu des Champs, 820″; les bois, 50″. La contenance des terres que messire de Tournebu y possédait à cette époque était de 212 acres 1/2.
Les rentes seigneuriales étaient : 29 boisseaux de blé (les grains, mesure de Lisieux), 512 boisseaux 1/2 d’avoine, 25 livres en argent, 76 chapons, 8 gélines, 760 œufs.
Il n’y avait qu’un arrière-fief noble, celui des Noës, dont Nicolas de Seurey rendit aveu le 28 juillet 1601, et Jean de Seurey le 29 juillet 1662.
Les possesseurs connus du Mesnil-Eudes (2) sont, de 1462 à 1530:
1° Jean Le Coustellier;
2° Jeanne Le Coustellier;
3° Jean de Heudreville, qui avait épousé Catherine Le Coustellier, petite-fille de Colin Louvet;
4° Catherine Le Coustellier, sa veuve. –
De 1530 à 1544, on trouve Jean Hédiart; de 1544 au 25 février 1570, Jean, puis Guillaume de Mailloc, dont la famille était alliée avec les Le Coustellier, les Heudreville, les Louvet et les Tournebu. Ce fut Guillaume de Mailloc qui en fit la vente à Jean VII de Tournebu. Depuis lors elle n’est pas sortie de sa famille.
Quant au bénéfice du Mesnil-Eudes, on trouve que, le 4 juin 1576, Jen Le Haynuyer (sic) évêque et comte de Lisieux, vu la vacance de la cure de Se-Marie du Mesnil-Eudes de Montgobert, sur la présentation de Jean de Tournebu, seigneur temporel de Livet et dudit lieu, nomme à ce bénéfice Guillaume Ruzen ou Ruzé, prêtre du diocèse de Lisieux, que l’on retrouve comme témoin au contrat de mariage entre Robert II de Tournebu et Madelaine de Séguize.
(1) On lit dans le Dictionnaire de d’Expilly (1770): Le Mesnil-Eudes, en Normandie, diocèse de Lisieux, Parlement et intendance de Rouen, élection de Pont-l’Évêque, sergenterie de St-Julien-le-Faulcon; on y compte trois feux privilégiés et 59 feux taillables, etc.
(2) Avant le XVe siècle nous ne connaissons rien du fief du Mesnil-Eudes, si ce n’est la donation qui en avait été faite par Jue de L’Épée à l’église de St-Martin et de Se-Barbe en 1191, comme le prouve la charte suivante dont l’original nous a été communiqué par MMlles de Foucault, de Lisieux.
Les terres du Mesnil-Eudes, Livet et Pont-Mauvoisin appartiennent à ses cousines, MM Sophie et Aglaé de Foucault. Voir, Pièces justificatives n° 17, le relevé des aveux rendus au roi par les barons de Tournebu, et à ces derniers par leurs vassaux, d’après des copies inventoriées en 1703.
Recherche faite en 1540, par les élus de Lisieux des nobles de leur élection – Labbey de La Roque, Pierre Élie Marie
Rodolphe Osmond- Thomas Osmond, Sr du dit lieu de Beufvilliers, et Jean, Sr de Malicorne et de Marolle, son frère, ont baillé leur généalogie, justifiée par plusieurs lettres, chartes et écritures Rodolphe Osmond la 1re desquelles, du 15 décembre 1390 est sur le nom de Jean Osmond, leur trisayeul, seigneur de la Roque, du Mesnil-Eudes, du Castellier, Creuly, Ofey, marié à damoiselle Jeanne, soeur de Mre Marin de Bouquetot, chev, Sr du Breuil, duquel ils ont dit fournir leur descente.
Nobiliaire de Normandie, – Édouard Drigon comte de Magny.
Richard Osmond, Écuyer, seigneur du Mesnil – Eude et du Castelier,
vivant en 1267, marié à noble damoiselle Alix De Guépré, dont il eut plusieurs enfants, entre autres :
II. – Rodolphe Osmond, Écuyer, seigneur du Mesnil- Eude, de la Roque et autres lieux, lequel a épousé vers 1313 haute et puissante damoiselle Marguerite De Montgommery, de cette alliance sont issus :
1 ° Louis Osmond, Chevalier.
2 ° Jean qui suit.
III. – Jean Osmond, Écuyer, seigneur du Mesnil- Eude, du Castelier, de Creuilly, etc., né en 1340, a épousé damoiselle Gasparde de la Roque, dont il eut
IV. – Jean Osmond, 11• du nom, Écuyer, seigneur de La Roque, du Mesnil- Eude, du Castelier, de Creuilly, d’Assy et autres lieux. Il a épousé noble damoiselle Jeanne de Bouquetot, dame de Millouet, qui l’a rendu père de dix enfants, tous dénommés dans un
acte de partage qu’ils firent le samedi 15 décembre 1396. Cet acte est signé de Messires Jean Le Bigot, Jean de Merlemont, Martin de Bouquetot, Guyot de Bailleul, Jean de Montfort, Jean de Hautemer et Henri de Querville.
Parmi ces enfants :
1 ° Jean Osmond, Écuyer, sieur du Mesnil -Eude, mort sans postérité,
20 Louis Osmond, sieur du Castelier, mort sans postérité;
3° Robert, qui suit :
4° Jehannot Osmond, qui eut en partage le fief d’Assy, curé d’Équaquelon, en
5° Raoul Osmond, seigneur d’Assy, prêtre.
Recherches nobiliaires en Normandie – A. Du Buisson de Courson.
DE GOUIX OU GOUY. — Nicolas de Gouy, écuyer, sieur de Haguechon (ailleurs Haguelon), demeurant en la paroisse du Mesnil-Eudes, élection de Pont-l’Evêque, dont les ancêtres sont employés dans Montfaut en 1463, et, depuis, ès élus de Lisieux en 1540; maintenu le 8 mai 1669.
Archives du Cogner (J. Chappée-Le Mans). Fonds de Caix – Chambois, Émile Louis.
1616, 8 juillet, Lisieux. Robert Duboys, fils de Pasquier, de la paroisse du Mesnil-Eudes, dem. au Mesnil- Durand, reconnaît devoir à Antoine de Tournebu, sgr de Bougy, le Mesnil-Eudes, Pontmauvoisin, la somme de 60 livres, pour parpaiement du contrat d’affranchissement passé par led. sgr de Bougy, aud. Duboys, de 20 livres de rente que celui-ci était tenu faire aud. sgr. Fait à Lisieux, en la demeure de Robert Auffrey, chanoine prébendé en l’église cathédrale. Témoins : Raoullin Lucas, sieur de la Morandière, et Pierre Herbouin l’aîné.
Dictionnaire historique de toutes les communes du département de l’Eure – Charpillon.
Le 25 février 1570, Guillaume de Mailloc, seigneur de la Grue, de Saint-Mards et du Mesnil-Eudes, demeurant au château ou manoir de la Grue, ayant agi comme se portant fort pour Marie de Droisy, sa mère, et pour Louise de Houdetot, sa femme, vendit à Jean de Tournebu, seigneur de Livet et de Pont-Mauvoisin, la seigneurie du Mesnil-Eudes, moyennant une somme de 9,000 l.et un pot de vin de 200 écus d’or au soleil (Histoire de la maison de Tournebu. Mémoire des Antiq. de Normandie).
Histoire de l’ancien évêché-comté de Lisieux – H. de Formeville.
Le Prieur et le couvent de Sainte-Barbe tiennent dudit Evêque un tiers de fieu de chevallier, assis en la paroisse du Mesnil-Eudes, en baillage de Rouen, en la viconté d’Auge, en la chastellerie de Touque. « Jehan de Heudreville, escuier, tient ung tiers de fieu de chevallier, assis en ladite paroisse du Mesnil-Eudes, et que soulloit tenir Guillaume de Courcye.
« Ledit Jehan de Heudreville tient en ladite paroisse de Mesnil-Eudes ung aultre tiers de fieu de chevallier que soulloient tenir Jehan Osmont et la déguerpie Thibault de La Varende.
Spatialisation des élites rurales médiévales et modernes dans le Bassin parisien. Pour une approche archéogéographique des pratiques sociales de distinction. Thèse Emilie Cavanna.
Jean de Heudreville, écuyer, apparait dans un acte de 1452 comme tenant « un tiers de fieu de chevallier, assis en ladite paroisse du Mesnil-Eudes » et est cité dans la recherche de Montfaut. Après lui, aucun Heudreville n’est mentionné à nouveau, notamment parce que les documents imprimés n’englobent pas tous la paroisse du Mesnil-Eudes. D’après A. de Caumont il entre au cours du XVIe s. dans le domaine des Tournebu (cf. château de-Livet) qui le conserva jusqu’au XIXe s. Le manoir St-Marc pourrait être une réalisation de cette famille, notamment en raison d’un massif de cheminée disposées dos à dos, caractéristique du XVIe s.
Inventaires Sommaires Des Archives Départementales Antérieures à 1790.
1577-1687.- Maladrerie Du Mesnil- Eudes. Obligation prise devant Olivier Carrey et Jean Debray, tabellions à Lisieux, par Toussaint de Fougy et Thomas Alleaume, de la paroisse de Mesnil – Eudes, envers le trésor de ladite paroisse, de 9 livres 12 sols de rente,
en paiement de 96 livres, montant de l’adjudication des pommes et fruits du cimetière et maladrerie dudit lieu. Copie requise par l’ordre de St – Lazare ( 1687 ).
Mémoires pour Servir à L’état Historique et Géographique du Diocèse de Bayeux.
Pierre de Tournebu, chevalier, seigneur de Bouges, de Livet et du Mesnil- Eudes (Dictionn.de Moreri, au mot TOURNEBU), réunit à sa maison la baronnie de Tournebu, par contrat d’acquisition passé l’an 1701 avec Guillaume- Florentin, comte Rhingrave de Salm, et souverain de Fenestrange.
Il épousa, l’an 1680, Elisabeth Le Couteux, dont il eut un fils, Jean – Henri de Tournebu, père de Marie – Pierre de Tournebu, baronne de Tournebu, laquelle est mariée à M. Pierre-François-Jean-Baptiste de Bernières, Depuis 1771 jusqu’en 1785 environ, époque de sa mort, messire
Pierre-François-Jean-Baptiste de Bernières, chevalier de l’ordre royal et militaire de St.-Louis, seigneur et patron de Mondrainville, Gavrus, Tourville, Baron, Tournauville, Deux-Jumeaux, Longueville, Camilly-Le-Fresne, Cainet, Brécy; baron de Tournebu, Moulines, Fontaines, Halbout, Caumont, Livet, Mesnil-Eudes, St.-Hippolyte et autres lieux, ayant épousé noble dame Marie-Pierre de Tournebu, était aussi seigneur de Fierville
La Déportation Du Clergé Orthodoxe Pendant La Révolution.
Ecclésiastiques Embarques A Dieppe – 17 septembre.
1454 Fouques (Jean-Baptiste), vicaire de Mesnil-Eudes, Calvados, 52 ans, passeport délivré à Rouen, le 2 septembre.
Société historique et archéologique de l’Orne.
Mandement de Jean, roi d’Angleterre, au sénéchal de Normandie, de remettre à Gautier: Le Francais, la terre de Mesnil-Eudes, avec ses appartenances, confisquée sur Guillaume de Feugeray, coupable d’avoir suivi le comte de Séez, rebelle.
Rot. Norm., 4e année du roi Jean, memb. G. Duffus Hardy, p. 71. Lechaudé d’Anisv, p. 114.
3 – Archives ShL:
Carnets de Charles VASSEUR.
Doyenné De Livarot – 14.
Election de Pont-l’Evêque, sergenterie de St Julien le Faucon. 3 feux privilégiés et 59 feux taillables.
Sous l’invocation de Notre-Dame
Patronage:
14e Johannes de Courceyo
16e Capitulum lexoviense
18e le Seigneur
Curé: Goubert 1763-1787
– Insinuations
– Description de la Croix du cimetière donnée par la Charité en l’an 1654 et replacée le 22 juillet 1808..
– On trouve dans les rôles de l’Echiquier de Normandie de l’année 1195 : Bernardus de Mesnillo Odonis (Est-ce Mesnil-Eudes ou Mézidon ?)
– En 1463 Montfaut trouve au Mesnil-Eudes Jean de Heudreville (p.25)
– Plus tard la famille de Tournebu la joint à ses nombreux domaines
La généalogie des Tournebu : d’autres documents mentionnent encore le Mesnil-Eudes ou des familles résidant au Mesnil-Eudes (Voir Mémoires des Antiquaires de Normandie 1863 p.173)
– Il a existé une maladrerie au Mesnil-Eudes car on trouve aux archives de l’Hospice une obligation du 15 juin 1577 pour 9 livres 12 sols de rente envers le trésor de l’église de Mesnil-Eudes par suite de l’adjudication des pommes et autres fruitages du cimetière et maladrerie d’icelle paroisse du Mesnil-Eudes en date du 15 août 1574.
Fonds Cottin 2013.
Boite archives 85.
Photographies environs de Lisieux Mesnil-Eudes.
Fonds Michel COTTIN Série 11F A1
1655, 7 juillet – Mesnil-Eudes. Aveu rendu par François Goubey, bourgeois de Lisieux, à Mre François de Tournebu, sieur et patron de Mesnil-Eudes pour l’aînesse Chambrelain.
1672, 25 mai – Mesnil-Eudes. Aveu rendu par Guillaume Montfort aux nobles enfants mineurs de feu François de Tournebu, sgr. du Mesnil-Eudes, La Pommeraye, et autres seigneuries, à cause d’une portion de terre à prendre dans ma cour nommée le « Clos Jouard », contenant acre et demy, moyennant à la Saint Michel six sous et à Noël un chapon un denier.
Titre justificatif de la perte de la plus grande partie des titres de l’évêché de Lisieux. 1387 – 1456 – 1475 – 1612; Copie collationnée sur les originaux
Fonds Etienne Deville.
Extrait du Carton 6/16
Contrats De Mariages 1564-1749
1604 31 juillet – Contrat de mariage de Nicolas Porte de St Germain de Lisieux et
Barbe Bias, fille de Jehan du Mesnil Eudes.
1641 12 octobre – Contrat de Mariage de Jacques Le Belhomme, fils de feu Jean et de Marie Commel de St Germain de Lisieux et Jeanne Selles, fille de feu Jean et Charlotte Hellouin de Mesnil Eudes.
1660 14 juin – Contrat de Mariage de Pasquet Bence, fils de Robert et de Barbe Honteste du Mesnil Eudes et Marie Furet, fille d’Etienne et de Isabeau Lejusteur
Fonds Enveloppes.
– Enveloppe n° 14 Promenades à Travers les Communes Rurales des Environs de Lisieux
1ère série : Mesnil Eudes.
– Enveloppe n° 63 Photos De Porches Des Églises Du Pays D’auge
Mesnil Eudes.
FONDS Arthème PANNIER.
NE 12.2 – 2e carton « Communes ».
Mesnil-Eudes.
Analyses Et Transcriptions De Documents Originaux, Aveux De Fiefs.
1597, 8 février – Lisieux
François Montfort, fils Jacques, de la paroisse de Mesnil-Eudes et Ymer Petit, de Saint-Germain de Lisieux, reconnaissent avoir vendu et promettent fournir à Guillaume Paisant, bourrelier, bourgeois de Lisieux, deux boeufs, l’un de poil faulve, l’autre de poil roulge de présent estant en la saisie dud. Montfort. Passé après midi en la maison de Simon Chiron au faubourg de la porte d’Orbec, d’icelle ville de Lisieux.
= Arch. SHL. – Analyse Et. Deville.
1598 – Aveu rendu à noble homme Robert de Tournebu, seigneur de Saint -Germain -de- Livet, Pont Monvoisin et Mesnil -Eudes, par Jean d’Auquainville pour l’ainesse de la Quesnelière en la sieurie de Livet, 8 juillet 1598 : Copie de 1618. = Arch. SHL. Ms. Fonds ancien FC 242.
1634 7 septembre – Nous soussigné Seigneur de Bouges confesse devoir et promet payer à la Charité de Mesnil-Eudes, la somme de 41 livres 4 sols pour le débit du compte par nos rendu de l’année
signé Bourges de Tournebu
Reconnaissance par M. de Tournebu, seigneur de Bouges, de quarante et une livres quatre sols qu’il doit à la Charité du mesnil-Eudes, pour débit du compte de sa charge d’échevin de cette Charité. = Arch. SHL EE 211, 1 p. papier
1659 12 janvier – Devant Gabriel Ryoult, tabellion royal à Auquainville et Pierre Le Monnyer, ci-devant tabellion pris pour adjoint remboursement fait à Guillemette du Val, veuve de feu Michel Chambry, Messire Jean Chambry, diacre et Olliver Chambry, frère et fils du défunt et de ladite veuve de la paroisse de Mesnil-Eudes, à présent demeurant à Courson, se faisant fort Christophe Chambry autre fils desdits Michel et Guillemette du Val sous âge remboursement par Messire Christophe Hardouin, prêtre vicaire de la paroisse de Mesnil-Eudes d’une rente hypothèque de 17 livres 17 sols constituée au profit du sieur Michel Chambry par contrat du 12 août 1648
Fait à Fervacques en la maison où pend pour enseigne L’Ecu de France, en la présence de Louis Charauel hostelier au bourg de Fervacques.
1639-1651 – Le Mesnil-Eudes – Registre des lectures de lettres pour la paroisse du Mesnil-Eude commençant en l’an 1639, par moi soussigné Christophe Hardouin, pour lors vicaire en ladicte paroisse. Registre des certificats faits en la paroisse…= AD 14. G G 529
1672 – Compte des frais de procédures pour la charité du Mesnil-Eudes rendus par Pierre Campion. = Arch. SHL EE 210.2, 1 p. papier
1680, 10 mars – Arresté de compte entre Christophe Hardoin, chapelain de la Charité du Mesnil-Eudes et Jean Boucher fils Pierre de la paroisse de Lyvet. = Arch. SHL EE 210.1, 1 p. papier
1760 – Messire Pierre Lambert, escuyer, sieur de Saint Mars et Thomas Le Bardoüil, escuyer, sieur de Soiyeuse ayant épousé tous les deux les demoiselles filles et héritières de Messire Marc Goyer, sieur de Royville, en son vivant demeurant à Mesnil-Eudes.
1771 28 janvier – Vente devant Jacques Louis Daufresne, garde-notes à Lisieux, au profit de Jacques Guy Cribellier, meunier au Mesnil-Eudes par Messire Thomas de Bardouïl, escuyer, sieur de Soyeuse, et Noble dame Madeleine Gouhier de Royville, son épouse, demeurant à Lisieux paroisse Saint-Germain, ladite dame héritière de feu Messire Jean Marc Gouhier, escuyer, sieur de Royville, son père, de 3 pièces de terre situées au Mesnil-Eudes, relevant de la seigneurie du lieu par foy, hommage, reliefs, treizièmes, sans aucune rente ni faisance
Fonds Nedelec Communes.
com.48.6.1 Mesnil-Eudes – Ferme de la Fougerie
com.48.6.2 Mesnil-Eudes – Manoir St Marc
com.48.6.3 Mesnil-Eudes – Notes historiques
com.48.6.4 Mesnil-Eudes – Famille Duval – Famille Osmont
com.48.6.5 Mesnil-Eudes – Vie de la commune
com.48.6.6 Mesnil-Eudes – Eglise
Fonds Alcide Goupil.
Plaques de verre
407 1919 ? Noce Jaco – Noce Michel – Mesnil-Eude statue – Horticulture.
Fonds Cartes Et Plans.
326 – Mesnil-Eudes (le), tableau d’assemblage – 1955 – Cadastre – 1/10.000 – 3
Fonds Ancien 1F
1667 : 24 septembre.
1F313: 24 septembre 1667 : contrat de mariage entre Robert ­Fougey de Mesnil Eudes et Françoise Maurey de Lisieux.
1F597 : 1722-1724 : Bernard Deauger de Lisieux St Jacques :
– contrat d’acquêt de 3 pièces de terre à Mesnil Eudes.
1F622 – après 1630 : succession de Pierre Feullet : Le Breuil en Auge.
– 1758 : François Dubois vend à Daubichon marchand à Lisieux 2 pièces de terre situées à Mesnil-Eudes.
1F812 : 1802 : Mesnil Eudes : Conservation d’hypothèques.
1F795 : 1735 à 1765 : Sieurie de Mesnil Eudes; Mme de Tournebu, reçus de rente.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *