NOTES sur MESNIL BACLEY Le
– Mesnillus Baccalecrii – Mesnillum Baccarii – Maisnil Bachelarii
- Le Mesnil-Baclé (sic)
- Le fief de la Vauboitière, les abbés et relligieux de Saint-Pierre-sur-Dives.
- Le fief de Mesnil-Baclé (sic) Eustache de Neufville, escuyer.
- Le fief de Vineras, Nicolas Jamot.
1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.
1 – Bibliographie:
CAUMONT Arcisse de : Statistique monumentale du Calvados, réédition FLOCH Tome III, page 622.
Editions FLOHIC : le patrimoine des Communes du Calvados page1112.
Le Mesnil-Bacley, Le Manoir de la Saminière, CDMPA, pp. 187-188
Le Mesnil-Bacley, Le Manoir du Rouy,CDMPA, pp. 189-190; manoir à 5 travées + ajout de 5 travées avec lisse d’allège,chronogramme 1676
Gouhier, seigneurs du Mesnil-Bacley, d’Ectot, de Saint-Clément, etc., en Normandie, In-8°, 36 p. (Extrait des Archives généalogiques par LAINE)
= Bibl. municipale de Pont-Audemer
FOURNIER Dominique : notes de toponymie normande (Mesnil-Bacley) Bulletin du Foyer rural du Billot n°76, Décembre 2001.
MANEUVRIER Jack : L’église de Mesnil-Bacley, Bulletin du Foyer rural du Billot n°76, Décembre 2001
MANEUVRIER Jack : Le manoir de la Harderie à Mesnil-Bacley, Bulletin du Foyer rural du Billot n°76, Décembre 2001
MANEUVRIER Jack : Les saints réputés guérisseurs du canton de Saint Pierre sur Dives. Bulletin du Foyer rural du Billot, n° 91, septembre 2005.
PAUMIER Solange et Henri, « Contribution à l’histoire du textile normand – 1572-1861 », BULLETIN DU FOYER RURAL DU BILLOT,, Décembre 1993, N° 44, pp. 55-57
Contrats d’apprentissage de toiliers et tisserand: Mesnil-Bacley (23 mars 1681; 8 novembre 1683; 14 octobre 1685; Saint-Martin-de-Fresnay (1665).
LE MESNIL-BACLEY. – Le camp du Val-Boutry, placé par Guilmeth (1) sur Sainte-Marguerite-de-Viette, semble plutôt appartenir au territoire du Mesnil-Bacley. C’est une enceinte carrée dont les angles sont orientés suivant les points cardinaux ; elle est défendue au N.-E. par un fossé semi-circulaire. Son entrée était au N.-O. Ce camp pouvait correspondre avec la motte ou vigie qui a donné son nom à Castillon-en-Auge et avec le camp de Quévrue. Des fouilles auraient livré des tuiles romaines (2).
(1) Guilmeth, Loc. cit., p. 9-10.
(2) Ferault-Larue, Op. cit.
Voir le site: j.y.merienne.pagesperso Villes et villages du Calvados
STATISTIQUE MONUMENTALE DU CALVADOS PAR ARCISSE DE CAUMONT
Mesnil-Bacley, Menillus Baccalerii, Maisnil Bachelarii. L’église du Mesnil-Bacley s’élève tout près de Livarot, sur la rive gauche de la Vie, sur le bord de la route allant à Trun; quoique peu importante, elle offre cependant un certain intérêt.
D’abord, sa porte occidentale appartient au style ogival et présente cette particularité, assez rare, que les tores de l’archivolte se continuent sans colonnes depuis le sommet jusqu’à la base et qu’il n’y a pas de tympan. Cette porte, à plusieurs tores détachés, pourrait remonter au XIIIe siècle ou au commencement du XIVe ; une ouverture en forme de lancette la surmonte.
Les vantaux de la porte ont leurs panneaux plissés et me paraissent du XVIe siècle. Un porche en bois, formant un vestibule, avec des bancs, en avant de cette porte, doit remonter au XVIIe siècle au moins, s’il n’est pas du temps des panneaux dont je viens de parler.
Des reprises considérables et des reconstructions ont été faites dans le corps de la nef et du choeur, mais on remarque quelques restes d’appareil ancien dans le mur septentrional de la nef qui approche du choeur, au lieu que des appareils plus grands, et qui paraissent du XVIe siècle, se voient en approchant de la façade. On trouve, du côté du nord et du côté du sud, des lancettes dont la tête, en accolade aiguë, annonce le XVIe siècle.
Plusieurs fenêtres sont modernes et de forme carrée. On en voit une autre à deux baies et à compartiments flamboyants dans la nef, du côté du sud.
On entrait dans le choeur, du même côté, par une porte cintrée épannelée sans caractère.
Enfin, le mur du chevet s’arrête à la hauteur des murs latéraux, et le pignon triangulaire qui existe sous la charpente du toit est en clayonnage.
Le retable du maître-autel est orné de colonnes torses avec une niche en attique; il doit dater du règne de Louis XIV;
le tabernacle, de forme hexagonale. a des colonnes torses aux angles et, sur ses faces, des niches avec les statues du
Sauveur, de saint Paul et de saint Luc.
Les deux petits autels, entre choeur et nef, datent du même temps.
Une piscine géminée, du XIIIe siècle, existe dans le choeur.
On voit dans le choeur la pierre tumulaire de Thomas Maheult, prêtre, curé du lieu, décédé le 25 avril 1759, âgé de 49 ans.
Le clocher, en charpente et de la forme habituelle, est assez élégant: La cloche, de 60 centimètres de diamètre, porte l’inscription suivante :
L’AN 1777 JAY ETE BENITE PAR PIER(re) COSME CVRB DE CE LIEV
ET NOMMEE FRANÇOISE TARSILLE PAR MESSIRE ANTOINE THOMAS MOVLIN
CHr DE LORDRE ROYAL ET MILITAIRE DE ST LOVIS LIEVTENANT COLONEL
DE CAVALERIE SEIGNEVR DV MESNIL BACLEZ ET DV MEZET ET PAR DEMOISELLE
FRANÇOISE TARCILLE DESHAIS. PIERRE DVCHESNE TRESORIER (*).
(*)Transcription faite par M. Vasseur.
L’église du Mesnil-Bacley est sous l’invocation de saint Pierre. La présentation à la cure appartenait à l’abbaye de
St-Pierre-sur-Dive.
La commune du Mesnil-Bacley était autrefois comprise dans l’élection de Falaise; mais, dans l’ordre judiciaire, elle dépendait en partie de la vicomté d’Argentan.
On compte 248 habitants au Mesnil-Bacley. Au dernier siècle, il y en avait plus de 500 (102 feux).
Anciennes familles.
— D’après les recherches de M. le vicomte Louis de Neuville, la seigneurie du Mesnil-Bacley se trouva divisée, il y a déjà plusieurs siècles, en diverses portions, sans doute par suite d’un ou de plusieurs partages successifs. Dans la seconde moitié du XVe siècle, des membres de la famille Gouhier ont été qualifiés sieurs de Mesnil-Bacley, et Jean Eschallart portait le même titre en 1469 ; dans les deux siècles suivants la même qualification à été donnée à des membres des familles de Neufville, Le Fournier, Le Chastelain, de Marguerin, de Croisilles, Jamot, de Costard, Le Menant et autres. Ne pouvant suivre avec exactitude l’histoire de chacun de ces fragments féodaux, continue M. de Neuville, nous nous contenterons d’esquisser celle des principaux manoirs qui leur servirent de chefs-lieux.
Le nom de manoir de Mesnil-Bacley a été ordinairement employé pour désigner le manoir de la Harderie, situé à peu de distance de l’église paroissiale. La maison est une vieille construction en bois du XVIe siècle, qui n’offre que les caractères généraux des édifices de ce genre; le colombier, de la même époque, est assez pittoresque. Ces lieux ont
longtemps servi de résidence à une branche de la famille de Neufville. Jean de Neufville demeurait à Mesnil-Bacley lors de la recherche de Montfaul en 1463. Son arrière petite- fille, Jeanne de Neufville, épousa, en 1510,
Robert de Neufville, sieur de Belleau, issu de la branche des Loges; celui-ci est le premier de sa maison que nous trouvions qualifié du titre de seigneur de Mesnil-Bacley, que ses descendants ont constamment porté jusqu’à Robert de Neufville, sieur de Mesnil-Bacley et de la Fressengère, qui vendit cette terre vers 1680 pour aller résider dans la paroisse d’Athis où sa branche s’est éteinte au commencement de ce siècle, ayant toujours professé la religion protestante.
Le fief de Mesnil-Bacley, de la famille de Neufville, relevait par un quart de fief de chevalier de la seigneurie d’Ailly, appartenant à la maison de Courseulles au XVIe )siècle.
Possédé ensuite par les familles; Lemenant de Grandval, Moulin, Deshayes,Gondeau et Lemyre de Villers.
– le manoir de Mesnil-Bacley a été vendu par un membre de cette dernière famille à M. Desgenetez: il appartient aujourd’hui à Mme Bannier, sa fille.
A peu de distance de ce manoir se trouve une autre construction de la même époque, aujourd’hui connue sous le nom du Rouy, mais qui se nommait autrefois le manoir de la Brasserie. Il ne paraît pas savoir jamais été le chef-lieu d’un fief. Guy de Neufville, un des fils du seigneur de Mesnil-Bacley, se qualifiait cependant de sieur de la Brasserie vers 1620. Marie de Neufville sa petite-fille, épousa, dans les dernières années du même siècle, Charles Le Conte, seigneur du Rouil, à Ste-Marguerite-des-Loges. C’est de cette époque que ce domaine paraît avoir changé de nom : il a appartenu depuis aux demoiselles Sauval et est aujourd’hui la propriété des héritiers Desgenetez.
Un autre manoir du XVIe siècle, celui de Mont-Audin, a été longtemps le centre d’une portion du fief de Mesnil-Bacley, qui a appartenu à la famille Le Fournier. Henri-Le Fournier, sieur de St-Martin-du-Bû, avait épousé, sons le règne de François I°, Jeanne de Neufville-Mesnil-Bacley, et possédait un fief qui fut divisé en trois portions par partage entre ses trois petites-filles. L’une d’elles, Madeleine Le.Fournier, épousa, en 1580, Nicolas de Marguerie, seigneur de Bretteville et de Sorteval; une autre fut mariée à Yves Le Chastelain, sieur de Pont-Hardy. Nous ne savons à laquelle échut le manoir de Mont-Audin ; mais, vers 1655, il fut acquis par Roger Costard, sieur de la Droictière et depuis de Mesnil-Bacley.
Un de ses descendants, M. de Costard de Bursard, l’a revendu en 1792, et il est aujourd’hui la, propriété de M. Pierre. Les constructions, bien qu’intactes, n’offrent rien qui mérite l’attention.
Un peu plus loin, en remontant le vallon du Douet-Hoquin, se trouvait, entouré de belles douves, le manoir des Mézerets, centre d’une autre portion de la seigneurie de Mesnil-Bacley, qui fut, vers 1580, l’apanage d’une des trois filles de Pierre Le Fournier et de Guillelmine de Nossy : celle-ci épousa Henri Jamot. Un de ses descendants, Nicolas Jamot, sieur de Mesnil-Bacley, fut, en 1666, condamné à l’amende comme ayant usurpé la noblesse. Il eut pour héritier Pierre Lemenant de Grandval, chevalier de St-Louis, possesseur de plusieurs fiefs et de terres considérables dans le voisinage, lequel faisait sa résidence au manoir des Mézerets.
Ce domaine passa depuis par succession-à M. Moulin, puis par vente au sieur Graverend, qui l’a transmis au propriétaire actuel, M. Mignot, maire de Mesnil-Bacley ; celui-ci a remplacé l’ancien manoir par une habitation moderne.
Une autre portion de la seigneurie de Mesnil-Bacley a longtemps appartenu à la famille de Croisilles, peut-être comme dépendance de son fief de Poix. Au siècle dernier, M. de Panthou se qualifiait de sieur du Mesnil-Bacley, probablement au même titre.
A l’extrémité de la commune de Mesnil-Bacley, vers Heurtevent, se trouve encore un vieux manoir du XVIe siècle, Belleau, qui paraît avoir été construit par Robert de Neufville, sieur de Belleau, vers 1526, et en avoir reçu le nom.
Un des descendants de Robert, Jean de Neufville, sieur de Saint-Rémy, baron de Fresne, gentilhomme de la chambre du roi, le vendit, en 1605, à Michel Costard, sieur de la Quaize, dont les héritiers le revendirent, en 1632, à Louis Costard, sieur de la Moraizière. Le petit-fils de ce dernier, Louis de Costard, sieur de Belleau, voulant quitter la France après la révocation de l’édit de Nantes, pour retourner à la religion protestante qu’il avait abjurée, vendit, en 1689, ce manoir avec le fief de Vauxmeslin dont il dépendait, à Jacques Rioult, sieur d’Ouilly et de Neuville. Le fief de Vauxmeslin, mouvant de la baronnie de Courcy, avait été acquis par les Costard de Nicolas de Mannoury, sieur de Fribois, qui lui-même l avait acquis d’un sieur Samin de LaSaminière.
Belleau-Vauxmeslin est aujourd’hui la propriété de M. le comte de Neuville.
Le territoire de Mesnil-Bacley renfermait, en outre, le prieuré du Val-Boutry, dépendance de l’abbaye de St-Pierre-sur-
Dive. Cet établissement religieux, dont l’origine parait remonter au XIIe siècle, possédait, outre des terres et des
bois assez importants, une mouvance féodale sur une partie de la paroisse. La chapelle et les bâtiments du prieuré sont encore subsistants, mais ils n’offrent aucun caractère digne d’attention. Dédiée à Notre-Dame, la chapelle est encore de nos jours fréquentée par des pélerins (Extrait des notes manuscrites de M. le vicomte Louis de Neuville).
2 – Pièces Justificatives:
Insinuations
Description de l’église – 10 août 1853
L’abbé de St Pierre dur Dive nommait à la cure d’un revenu de 700 livres, doyenné de Mesnil Mauger, archidiaconé d’Auge (Archives du Calvados –Bénéfices)
Description de la cloche
En l’an 1777 j’ai été bénite par Pier Cosme, nommée Françoise Torsille, par Messire Antoine Thomas Moulin, chevalier de l’ordre royal et militaire de St Louis, lieutenant colonel de cavalerie, seigneur de Mesnil Basclez … et par Demoiselle Françoise Torcille Deshais, Pierre Duchesne trésorier.
L’an de l’Incarnation de notre Seigneur Jésus Christ 1074 … le chevalier Guillaume, surnommé Pantol …donna à St Evroult … la terre d’un vavasseur et deux gerbes de la dîme de sa propriété et de tous ses hommes du Mesnil Bacley et toute la dîme du moulin de Rouville … et les hôtes de l’aumône de St Germain d’Aubri (Aubri le Pantou) Sa sœur Helvis donna à St Pierre tous ses droits sur Aubri que le même Guillaume concéda alors …
(Ordéric Vital Livre V – Traduction Guizot Tome II p.411 – 412)
Quelques biographes font mention de deux seigneurs d’Ifs sur Laizon, Favières et Mesnil Bascley dont le nom de famille était Costard. Tous deux eurent de la réputation dans les lettres.
Frédéric Costard a publié la vie de Jacques de Thou.
Frédéric Eugène son fils né le 12 mars 1713 fut membre de l’Académie des belles lettres de Caen, il est l’auteur de poèmes et de dissertations
Le Mesnil Bascley appartenait au commencement du 18e siècle à la famille de la Ménardière d’où il passa dans celle d’Acher puis dans celle de Croisille de Bretteville.
La cure de Mesnil de Bascley fut occupée par l’Abbé Hébert homme instruit qui a laissé des notes historiques et chronologiques pour servir à l’histoire du diocèse de Sées. MS () déposé à la bibliothèque de Falaise où il était né en 1728. Elevé à la prêtrise en 1752 il mourut au commencement de ce siècle au château du Val Hébert, après avoir été vicaire général de l’Evêque constitutionnel Claude Fouchet.
Le Val Hébert est situé sur la commune de Mézières (canton de Bretteville sur Laize)
Les documents cités en italique ne sont plus dans le cahier repris 6 mars 2006.
En 1463, Montfaut assis à la taille à Mesnil Bascley, Jean de Neufville vivant noblement, mais Girard, fils dudit Jean dudit lieu Mesnil Bascley, fut maintenu par sentence des élus de Falaise confirmé par le Cour des Aides le 30 mai 1482.
Un de leurs descendants, Philippe de Neuville qualifié écuyer, sieur de Cares et de Mesnil Bascley, avocat au Grand Conseil, fils de Gabriel de Neuville et Madeleine Piquot de Magny, épousa Catherine de Waumesle, fille de Jean de Waumesle, écuyer, sieur de Survie et seigneur et patron de St Michel de Livet le 13 juin 1630.
Dans les montres de la noblesse de 1469 on trouve que Benest Houssaye se présenta et fut reçu pour lui Jehan Eschaillant, seigneur du Mesnil Haquelle, en abillement d’archier bon et suffisant.
Robert de Marguerie, écuyer, sieur de Mesnil Bascley fit un transport à Jacques le Lasseur, écuyer, sieur de la Coquardière, suivant un acte signé le 10 septembre 1657 entre Dame Marie de Colmesnil, veuve dudit le Lasseur, tutrice de ses enfants, et Charles et Jacques de Marguerie, écuyers, sieurs de Montpinçon, enfants de Robert et de Catherine Maillard, sa femme.
de gueules au chevron d’argent accompagné de 3 coqs d’or.
(de Courcelles tome III)
Le Rouil ou Rouy au Mesnil Bacley.
Recherche de 1666 :
Robert de Neuville, sieur du Mesnil Baclé, ancien noble.
Pierre de Neufville sieur de la Brasserie. Ancien noble.
PRIEURE DU VAL BOUTRY
Insinuations
Gros manoir d’une grande tournure, en bois, avec bases en pierre et moellons, où l’on voit des ouvertures en accolade fin XVe ou XVIe siècle.
Les parties supérieures paraissent plus récentes, tout au plus de la fin du XVIe siècle. Toit d’une dimension exagérée. Pas de sculptures, ni de caractères bien tranchés.
Entouré de fossés profonds remplis d’eau.
Non loin vers l’ouest, fontaine vénérée, objet d’un pèlerinage.
Vers l’ouest, en dehors de l’enceinte, petite chapelle en moellons, sans valeur monumentale, avec cependant vers le midi, deux jolies fenêtres du XIIe et XIIIe siècle, une cintrée, l’autre à lancette, fortement ébrasées à l’intérieur. Le nord sans ouverture. Chevet droit effondré par une porte de cave.
La partie occidentale a conservé sa destination religieuse. Voûte en merrain ; petit autel multicolore Louis XIV ou Louis XV, autant qu’on peut l’apprécier, vu par la fenêtre.
Sur le sommet du coteau au pied duquel est établi le Val Boutry, est un camp romain rectangulaire régulier, à moitié détruit, dont les fossés n’ont pas une profondeur considérable (Vu le 16 septembre 1869).
Claude Clément, prêtre chanoine de Lisieux prieur du Val Boutry et conseiller ecclésiastique au Parlement de Normandie, légua 300 livres aux pauvres enfermés. Il était mort avant 1662. (Archives de l’Hospice)
3 – Archives ShL:
Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE LE MESNIL MAUGER.
Election de Falaise, sergenterie de St Pierre sur Dive
102 feux
Patronage :
XVI et XVIIIe : abbas St Petri super Divam
Sous l’invocation de St Pierre
Curés :
de Launey 1764
Cosme 1774
Le Manissier 1782/1787
Capella de Val Bouteri
Invocation ; Notre Dame
Patronage : XIVe : abbas St Petri super Dyvam
Revenu : 20 livres