BAZOQUES – 27




NOTES sur BAZOQUES – 27

BASOQUES – (Ecclesia de Basoquis – Basoches)

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

2 – Pièces Justificatives:

Insinuations

Basoques : le vocable de cette commune annonce une origine fort ancienne. Il en est de même de son nom Basilica qui doit dater de l’époque mérovingienne.

En 1246 Pierre de Calida Tunica (Caudecôte) renonça à toute prétention sur le patronage de l’église de Basoches en faveur de l’Evêque de Lisieux.
Ce lieu, Caudecote, était un fief plein de haubert relevant de Beaumont le Roger ainsi qu’il résulte d’un hommage portant la date de 1454. Nous ne l’avons point rencontré dans le Registrum Philippi Augusti ni dans aucune autre liste du XIIIe siècle.
La comme de Basoques est une des plus fertiles que renferme le riche plateau du Lieuvin (A. Le prévost)

Arrêt du Parlement de Paris du 4 septembre 1674 maintenant Monseigneur Léonor de Matignon dans le patronage de l’église paroissiale de Basoques contre le seigneur dudit lieu.

Basoques
Vingtièmes de 1762
Monsieur de Barville, seigneur de cette paroisse 1370
Nicolas Cordouin, escuyer 640
Monsieur Leprevost, secrétaire du Roy 460
Monsieur M. de la Vastine Cordouin 440
M. de Malleville écuyer, seigneur du Plessis 325

Les insinuations ecclésiastiques (Abbé Piel) signalent à plusieurs reprises Cordouen (notables et curé)

Labbey de La Roque, Pierre Élie Marie
Recherche faite en 1540, par les élus de Lisieux des nobles de leur élection…
BASOQUE.
144. Guillaume de Clinchamp , Sr. de Cautecôte et du Fay , pour lui et pour les enfans sousages de Jean , son frère aîné ; Constantin et Me. Jean de Clinchamp , président en cette élection , pour justifier leur noblesse ancienne , ont produit plusieurs lettres et écritures , par lesquelles ils ont dit justifier leur descente jusqu’au cinquiesme dégré, de Philippes de Clinchamp et damoiselle Jeanne de Bayez, sa femme, vivants en 1407.
145. Guillaume et Isaac le Boucher, frères, fils de feu Charles , et de damoiselle Marguerite de Bigards, pour justifier leur noblesse , fondée sur la charte des francs-fiefs , ont produit plusieurs lett. et écritures, sur le nom de Jean le Boucher leur ayeul, entre lesquelles est une quittance, signée : Monfaut, de 20 liv. ts. par lui reçues du dit Jean, et une sentence donnée à son profit et entente en l’élection de Bernay, en l’an 1488 , dont du tout copie est demeurée au greffe. Mais parce qu’ils n’ont prouvé suffisamment, que le dit Jean , leur ayeul, fût tenant noblement avant sa dite cotisation aux francs-fiefs, ainsi qu’il est déclaré dans l’édit sur ce fait par le Roi, le procureur du Roi a requis qu’ils soyent assis.

Recherches de 1463 – Montfaut
Nobles de la sergenterie de Folleville: Olivier de Clinchamp de Basoques

Recherches de 1666
Adrian de Livet, seigneur de Fresnes, ancien noble

3 – Archives ShL:

Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE MOYAUX.

Doyenné de Moyaux – Sergenterie de Folleville –95 feux

Sous l’invocation de Saint Martin

Patronage:
XIVe – XVIe – XVIIIe : Dominus Lexoviensis Episcopus

Curés:
J.-A.Lebourg 1764/1774
Ph.Lamidey 1782/1787
Vicaires N. Maignen.- A. Pivalle.
Clercs — J.-B. Cousinard – J.-Ph.-H. Cousinard – P.-J.-A Daubichon – L.-J.B. Mordant.

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