Photo modifiée Géoportail Lisieux 1930Cliquez dessus pour l’agrandir .
– Les textes des noms de rues proviennent du: Dictionnaire historique et étymologique des noms de rues et lieux-dits anciens et modernes de Lisieux, Société Historique de Lisieux, 4e édition revue, corrigée et augmentée, 2024 (inédite) Dominique Fournier. DRL. Voir Sources des abréviations. – Les photos, retouchées, sont extraites de la Collection de cartes postales de la ShL. Cliquez dessus pour les agrandir.
HISTORIQUE:
Annuaire 1938 : Commence Pont de Caen (Grande-Rue n° 191, actuelle rue Henry Chéron ). Finit Commune de Saint-Désir.
Comme de nombreux quartiers de Lisieux, celui du « faubourg Saint-Désir » a été profondément modifié lors de la reconstruction après les bombardements de la Seconde Guerre mondiale. Le cours du bras ouest de la Touques fut remanié, et l’aspect de l’île « Saint- Dominique » totalement modifié; il n’y a maintenant qu’un seul pont (moderne) à cet endroit, permettant de franchir la Touques au sortir de la Porte de Caen.
La partie Est de la rue est totalement détruite, seules quelques rares maisons sont « rescapées » sur la partie Ouest. La rue Gustave David disparaît. Elle est remplacée par l’actuel tronçon du boulevard du Six Juin allant du rond-point (Carrefour de Bd. Ste-Anne,et du Quai des Remparts) jusqu’au boulevard Pasteur; seul le pont est approximativement à la même place.
Dominique Fournier. DRL.
Porte de Caen (rue de la) : Faubourg de la Porte de Caen [graphie normalisée] 1622 CCL, Fauxbourg de la porte de Caen 1684 RTL, rue de la porte de Caen 1715 JL, F. B. de la porte de Caen 1794 ERD. — Rue prolongeant la Grande Rue au-delà de la Porte de Caen au 18e siècle, en franchissant le Pont de Caen et la pointe sud de l’île Saint-Dominique. Brièvement nommée rue des Deux Ponts à la Révolution, elle deviendra partiellement la rue de Caen au 19e siècle, puis l’extrémité ouest de la rue Henry Chéron après la Reconstruction de Lisieux.
Caen (rue de) : [le] chemin de Caen 1343 LXM, rue de Caen [graphie normalisée] 1390 ARTL, rue de Caen 1820 AVL, Rue de Caen 1825 CN, rue de Caen 1826 CN, 1845 PDD, Rue de Caen 1867 SMC, 1869 PVLCa, rue de Caen 1876 ALPE, Rue de Caen ~1882 PVLB, 1896 NPLM, rue de Caen 1899 PVLC, 1912 AAL, 1921 AL, Rue de Caen 1927 PLBM, rue de Caen 1930 BSHL, 1937 PLL, 1939 AL, 1944 PA, 1954 PLRV, 1955 LPDA 90,1960 BSHL, 1964 ACAA 1187, 1975 GVM, rue [de] Caen 1982 PTT. — Cette rue partait au 19e siècle du Pont de Caen, et se prolongeait sur le territoire de Saint-Désir par la route de Caen. C’était à cette époque l’emplacement du marché aux porcs.
Entre les Deux Ponts (rue) : inter Duobus Pontis [sic; lire Duos Pontes] 1210/1218 LXM, in vico de inter duobus pontes [même remarque] 1252 LXM. — Appellation désignant au Moyen Âge le prolongement de la rue Saint-Germain (bas de la future Grande Rue, puis rue Henry Chéron), et correspondant aujourd’hui à l’extrémité ouest de la rue Henry Chéron, jusqu’à la rue Bon Ange. La rue traversait la pointe sud de l’île Saint-Dominique, au moyen de deux ponts enjambant successivement les deux bras de la Touques. Devenue par la suite la rue de la Porte de Caen, cette voie reçut à l’époque de la révolution un nom pratiquement identique : la rue des Deux Ponts [→], avant de devenir au 19e siècle l’une des sections de la rue de Caen.
Deux Ponts (rue des) : rue des deux Ponts 1794 ERD, ruë des Deux Ponts 1801 AJBD. — Nom révolutionnaire donné à la rue de la Porte de Caen [→] en 1794; il est presque identique au nom médiéval de cette voie, qui empruntait deux ponts successifs pour franchir la pointe sud de l’île Saint-Dominique [→Entre les Deux Ponts]. Devenue par la suite une section de la rue de Caen, elle correspond aujourd’hui au bas de la rue Henry Chéron, depuis la Porte de Caen jusqu’à l’extrémité ouest de la rue Bon Ange.
Unité (rue de l’) : rue de l’Unité 1794 ERD. — Nom révolutionnaire du Faubourg Saint-Désir, et sans doute de la rue de Caen, donné en 1794.
Jardins (chemin des) : chemin des Jardins 1874 PGL. — Ancien chemin connu dès le 18e siècle, mais dont le nom ne semble attesté qu’au 19e. Il reliait la route de Caen (aujourd’hui avenue du Six Juin) au ruisseau du Merderet, face à l’embranchement de la rue du Pré d’Auge. Son tracé correspond à la limite des territoires de Lisieux et Saint-Désir à cet endroit au début du 19e siècle.
Il devait son nom à un ensemble de petits jardins qu’il longeait à cette époque. Ceux-ci, situés derrière les maisons de la rue de Caen, formaient un bloc compact séparé des jardins de l’abbaye Notre-Dame-du-Pré par le Merderet. Tout cet ensemble est aujourd’hui entièrement urbanisé.
Merderet (allée du) : allée du Merdrey 1824 CN. — Petite allée en cul-de-sac, qui prolongeait l’actuelle rue du Pré d’Auge de l’autre côté de la route, puis rue de Caen (aujourd’hui avenue du Six Juin), le long de la rive droite du Merderet [→].
Noms des RUES et PLACES qui ont été modifiés dans la deuxième moitié du XIX° ou dans les premières années du XX° Siècle – Moidrey Baron de.
Le faubourg St Désir qui compose la plus grande partie de cette rue, tire son nom de l’église qui existait à son extrémité ouest. L’ancienne église St Désir démolie à la Révolution était ou se trouve aujourd’hui l’église de l’Abbaye. Le faubourg est fort ancien, car il en est fait mention dans la Charte de la fondation de l’Abbaye qui doit avoir été donnée par le duc Guillaume avant la conquête de l’Angleterre en 1066. Elle porte que ce monastère serait établi dans le faubourg de Lisieux.
Le pont dit de Caen a dû être reconstruit en 1718, ainsi que l’indique l’inscription portée sur un écusson au Nord de ce pont. Au Sud du Pont de Caen, il existait une espèce d’étang contenant alors du poisson.
Notes : après le Pont de Caen, la grande voie se nommait le Faubourg St Désir. En l’an II (1793-1794) elle fut nommée rue des Deux Ponts, et après le second pont, rue de l’Unité. En 1809, elle prit dans toute sa longueur le nom de rue de Caen. Près du pont, il y avait un moulin à Blanc qui était à l’Abbaye. Il fut détruit à l’époque de la Révolution.
Puis le commencement de la rue Bon Ange, aujourd’hui rue de Beaumont en Auge.
Le coteau en arrière des maisons de la rue de Caen se nomme le Buhot. En continuant la rue vers le numéro 89, avant le coude formé par la rue, était l’Epine du Chapitre. C’était là que finissait la juridiction du Chapitre et que commençait celle de Madame l’Abbesse.
A l’endroit ou se trouve la chapelle des Bénédictines, se trouvait l’église paroissiale de St Désir. Détruite à la Révolution, elle était entourée par les bâtiments de l’Abbaye.
Près du Pont de Caen, la Grâce de Dieu à droite, et aussi le Dauphin ou descendit Charlotte Corday en allant à Paris. Les Trois Rois, Ste Barbe qui fut vendue comme propriété nationale. Le Palais Royal au coin du chemin d’Assemont, Le Coq Hardi à l’entrée du chemin de Manerbe. Le Cheval Blanc en bas de la Couture de l’Abbesse (chemin du Pré d’Auge), La Crosse, propriété de l’Abbaye, occupée maintenant par les Petites Sœur des Pauvres, la Crosse de Fer, la Vache.
La partie de la rue entre le Chemin d’Assemont et le chemin du Pré d’Auge, se nommait le Coin Normand.
En face de la porte de l’Abbaye, il y avait un cimetière.
MONUMENTS:
Dominique Fournier. DRL.
Petites Sœurs des Pauvres (maison des) : les Petites Sœurs des Pauvres ~1855 HL, Petites Sœurs des Pauvres 1869 PVLCa, ~1882 PVLB, Ptes Sœurs des Pauvres 1896 NPLM, Petites Sœurs des Pauvres 1921 AL, 1939 GIL, Communauté des Petites Sœurs des Pauvres 1991 PTT, maison des Petites Sœurs des Pauvres 1995 PVLPA, Maison des Petites Sœurs des Pauvres 2001 PVAN. — Institution établie vers 1855 dans le faubourg de Saint-Désir (route puis rue de Caen). Divers dons effectués dans la seconde moitié du 19e siècle lui permirent d’entreprendre d’importantes constructions dans ce quartier. Ainsi, Jean-Lambert Fournet, peu de temps avant sa mort, offrit à l’établissement une chapelle inaugurée en 1873; elle était desservie par un des vicaires de la paroisse Saint-Désir.
Saint-Désir (ancienne mairie de) : Mairie St Désir et Ecoles 1869 PVLCa, Ancienne Mairie de St Denis [sic] ~1882 PVLB, Ancne Mairie de Saint Désir 1896 NPLM, Mairie 1939 AL 388b. — Comme son nom l’indique, il s’agit de l’ancienne mairie-école de la commune de Saint-Désir, qui eut le malheur de se trouver sur une portion de territoire rattachée à Lisieux le 24 mars 1875. Elle était située rue de Caen, vers l’actuel n° 88 de l’avenue du Six Juin (extrémité est de la barre d’immeubles à cet endroit). Elle fut détruite par les bombardements alliés sur Saint-Désir en 1944.
Saint-Désir (école libre de) : a) rue de Caen : Ecole Libre de Saint-Désir 1921 AL, 1939 AL. — b) rue du Héron : Ecole Libre St Désir 1982, 1988 PTT, Ecole Libre de Saint-Désir 1995 PVLPA, Ecole Libre de St-Désir 2001 PVAN, École Libre de Saint-Désir 2004 PTT. — Ancien nom de l’école Libre Sainte-Thérèse(elle-même ancienne école de l’Abbaye) utilisé du début du 20e siècle à 1990 environ (les mentions postérieures sont des archaïsmes). Elle était dirigée en 1921 par une demoiselle Morin, et en 1939 par une demoiselle Adam.
Saint-Désir (presbytère) : presbytere St Desir 1826 CN. — Il est situé à cette époque rue de Caen, sur le territoire de Lisieux.
Sainte-Thérèse (école libre) : Ecole Libre Sainte Thérèse 1994, 2004 PTT. — Établissement catholique d’enseignement primaire, initialement situé 107 route de Caen sous le nom d’École de l’Abbaye en 1876. On le trouve localisé 51 rue de Caen durant la première moitié du 20e siècle; il porte alors le nom d’École Libre de Saint-Désir. Il était dirigé en 1921 par une demoiselle Morin, et en 1939 par une demoiselle Adam. Transplanté 10 rue du Héron après la Seconde Guerre mondiale, il prend le nom d’École Libre Sainte-Thérèse (sans doute plus commercial dans un contexte lexovien) au début des années 1990.
ENTREPRISES – COMMERCES:
Dominique Fournier. DRL.
Cheval Blanc (hôtel du) : Hôtel du Cheval Blanc 1912 AAL 198b. — Ancien hôtel autrefois situé 120 rue de Caen; il était tenu en 1912 par le sieur Trèche fils. L’établissement n’est plus attesté en 1921, et était devenu en 1939 le siège d’une Société Normande d’Alimentation.
Coq Hardi (le) : le Coq Hardi s.d. (av. 1900) CCL. — Ancienne hôtellerie autrefois située rue de Caen (extrémité ouest de l’actuel boulevard pasteur, ou avenue du Six Juin), disparue en 1903; l’enseigne subsistait toujours sur la route de Dives à cette date [CCL 67].
Nom d’enseigne traditionnel, utilisant un élément héraldique [→] animalier (le coq) qualifié de hardi, ce qui, dans le langage du blason, évoque un coq au bec ouvert et à la patte levée.
Croix d’Or (la) :la Croix d’Or 1598 CCL, l’h[os]tellerie de la Croix d’Or, faubourg de St Désir 1696 IEL I 188 § 168, la Croix d’Or ~1770 LSL. — Ancienne auberge, tenue par Jacques Bourdenceau en 1622, Cardin Lefort en 1624, Jacques Herefort en 1664, Adrian Lefort en 1670 et 1678, Thomas Clozet en 1674 [sic], Philippes Lefebre de 1681 à 1686, et par la veuve, puis les enfants d’Adrian Lefort de 1694 à 1696 [CCL, tableaux VII et VIII]. Aux 17e et 18e siècles, elle est localisée faubourg Saint-Désir (extrémité ouest du boulevard Pasteur (ancienne rue de Caen), près de l’actuelle rue Bon Ange). Nom d’enseigne traditionnel, utilisant un élément héraldique [→] de la croix associé à un métal ou une couleur (ici, l’or, cas le plus fréquent)
Dauphin Couronné (le) : le Dauphin Couronné 1622, [le] Dauphin [graphie sans doute normalisée] 1653 CCL, le Daufin 1664 CCL, au Dauphin 1696 IEL I 182 § 129, le Dauphin ~1770 LSL. — Hôtellerie localisée faubourg de la porte de Caen au 17e s., faubourg Saint-Désir au 18e s. (ancienne rue de Caen = extrémité ouest du boulevard Pasteur, ou avenue du Six Juin). Elle est tenue par Jacques Bourdenceau en 1624, une veuve Bordenceau de 1664 à 1670, Jacques Bordenceau de 1674 à 1684 et Pierres Bordenceau de 1686 à 1696 [CCL, tableaux VI, VII, VIII; IEL I 182 § 129]. Charlotte Corday y séjourna [CCL 66].
Nom d’enseigne traditionnel utilisant un élément héraldique [→] animalier (le dauphin), associé à un symbole de la royauté (la couronne), avec sens doute un jeu de mot sur dauphin, en tant qu’héritier de la Couronne.
Douel (maison) : la Maison Douel s.d. (av. 1900) CCL. — Ancienne hôtellerie, autrefois située rue de Caen (extrémité ouest de l’actuel boulevard Pasteur, ou avenue du Six Juin), et portant le nom de son propriétaire.
Facteur (café du) : Café du Facteur 1876 ALPE 54b. — Ancien établissement autrefois situé rue de Caen; il était tenu à cette date par un certain Jeanne.
Le bureau de poste de Lisieux était alors localisé rue du Bouteiller (= rue du Docteur Degrenne), aussi cette référence au facteur est-elle difficile à expliciter : c’est peut-être une allusion à l’auberge de la Grâce de Dieu (ancien relais de poste), à moins que le patron du Café du Facteur ne fût un ancien préposé.
Grâce de Dieu (la) : la Grâce de Dieu ~1770 LSL. — Ancienne auberge située au 18e siècle faubourg Saint-Désir (plus tard rue de Caen, puis boulevard Pasteur). C’était à cette époque l’arrêt de la voiture publique de Caen à Rouen. Le bâtiment est actuellement occupé par le Musée d’Art et d’Histoire de Lisieux. Nom traditionnel d’auberge , et particulièrement de relais de poste, évoquant la protection divine nécessaire au voyageur soucieux d’arriver à bon port, au temps où les routes n’étaient pas toujours sûres. Cette dédicace s’apparente à l’usage d’ériger des calvaires au carrefours, qui ne fait d’ailleurs que continuer, sous une forme déguisée, une pratique magique pré-chrétienne.
Quatre Saisons (Aux) : Aux Quatre Saisons 1929, 1930 GFMR. — Commerce de primeurs autrefois situé 30 rue de Caen, tenu par Georges Chapelière en 1929-1930. Il avait succédé au commerce de cycles des époux Debotte (1921), et devint par la suite le Comptoir Normand des Essences et Pétroles, attesté en 1939.
Archives ShL:
BULLETINS SHL Numéro 12, 1900. A propos d’un arbre nommé » l’Epine du Chapitre » situé rue de Caen et marquant la limite territoriale entre le Chapitre de la cathédrale de Lisieux et l’abbaye Notre-Dame-du-Pré.
Inventaire des enveloppes. n° 149 Dons de Mr Raveaux, Mr Dufros et Mr Cairon Photos de procession devant le café des deux sœurs, rue de Caen, avec le chanoine Beuret (avant 1956) Dans lot enveloppes 01 à 96 Copie d’une lettre manuscrite de Mr F. VERDIER (161 rue de Caen à Lisieux) adressée à Mademoiselle Anni MELLANDER en Suède
INVENTAIRE COOPERATIVE DE RECONSTRUCTION DE LISIEUX. Gardan 170, rue de Caen CARTON 26: ILOTS 39 – 40 : Ilot 40 Permis de construire avec plans secteur rue de Caen, en face petites sœurs des pauvres après la rue du Pré d’Auge vers Caen
FONDS DUVAL Georges 2S Manoirs et Monuments Historiques 2S75 – 8, rue de Caen FONDS COUREL. 3S53 M. Bouche (vin): rue de Caen 1953
Annuaire de 1938.
n° 19, Rochais Restaurant – n° 23, Cycles – n° 25, Gouix Epicier – n° 29, Leherpeur Coiffeur – n° 31, Léfèvre Boulanger – n° 43, Lenormand Cabaretière – n° 47, Jardin fils Boucher – n° 51, École libre de Saint-Désir – n° 55, Perrigot, cordonnier – n° 59, Meulen Café – n° 75, Automobile Renault – n°79, Chorin, Boulanfer – n° 87, Verdier Boulanger – n° 89, Jus Cabaretière – n° 91, Abbaye des Bénédictines – n° 95, Onfroy Carrossier – n° 103, Bonvoisin Crémerie – n° 105, Lecesne Cordonnier – n° 115, Riquier Boucher – n° 127, Petites Soeurs des Pauvres – n° 129, Pouette Café, débit de tabac – n° 131, Bouhours Menuisier – n° 135, Guibé Epicier – n° 149, Boutron Electricité-Auto – n° 170, Manoury Épicerie-débit.
n° 8, Bisson Café de l’Union – n° 24, Gremont Cafetier – n° 33 Comptoir Normand des Essences et Pétroles – n° 34, Bouché négociant en vins – n° 38, Beuché Entrepreneur de couvertures – n° Docks Modernes – n° 58, Bonis Menuiserie – n° 76, Chesnel Charcutier – n° 80, Coopérative Régionale de Basse-Normandie – n° 82, Goedgebuer Coiffeur – n° 84, Milcent Liquides et restaurant – n° 92, Lecat Jean Grains – n° 96, Breton Café du Progrès – n° 102, Roger Fab. de brosses – n° 106, Auvray Boulanger.
Annuaire de 1945.
Du n° 1 au n° 45 Détruit.
n° 87, Verdier Boulanger – du n° 87 au n° 115 détruit – n° 127, Petites Soeurs des Pauvres – n ° 129 au n° 133 détruit ainsi que les n° 137, 139, 143, 145, 147, 155 au 161.
N° 2 au n° 12 détruit – n° 34, Bouché négociant en vins – du n° 38 au n° 50 détruit – ainsi que du n° 56 au n° 104 – n° 106, Mercelot Boulanger – du n° 108 au n° 120 détruit – n° 122, Marguerite Café – n°124 et 126 détruit – du n° 124 au n° 126 détruit – n° 168 bis détruit – n° 170, Gardan Épicerie-débit.
Lots de factures. 52 rue de Caen 1909, Peinture et vitrerie, Bricoteaux.
FONDS CAILLIAU 3F1 – 3F201. 3F 16 1763-1863 – Lisieux, rue de Caen : titres d’une maison.
Fonds Jean-Denis GAUTIE. – 01 Photographies Lisieux en ruines : 4 CPA (Lisieux avant / après les bombardements) : rue vers St Jacques et la cathédrale, rue de Caen, Hôtel de ville, place du Marché au beurre -14×9 cm), par Real Photo. 1 photo, bas de la rue de Caen, en bas à gauche le pont de Caen.
Fonds Guy Lemessier. Reconstruction et divers – Maison, rue de Caen, photocopie de photo.
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