Photo d’origine « Site Géoportail, Lisieux 1930 » – Plan Courel.
HISTORIQUE:
– Les textes des noms de rues proviennent du: Dictionnaire historique et étymologique des noms de rues et lieux-dits anciens et modernes de Lisieux, Société Historique de Lisieux, 4e édition revue, corrigée et augmentée, 2024 (inédite) Dominique Fournier. DRL.
Voir Sources des abréviations.
– Les photos, retouchées, sont extraites de la Collection de cartes postales de la ShL. Cliquez dessus pour les agrandir.
Annuaire 1938 – Commence n° 2 rue du Bouteiller (rue Dr Degrennes). Finit n°1 rue Paul Banaston.
Le Hennuyer (place) : place Hennuyer 1820 AVL, place hennuyere 1825 [le -e final semble rayé], place d’hennuyer; place Hennuyer 1826 CN, place Hennuyer 1845 PDD, Place Hennuyer 1869 PVLCa, place Hennuyer 1876 ALPE, place Le Hennuyer 1879 ALPE, Place Hennuyer ~1882 PVLB, Pl. Hennuyer 1896 NPLM, place Hennuyer 1899 PVLC, place Le Hennuyer 1903 AAL, place Hennuyer 1904 PVL, place Le Hennuyer 1904 AAL, place Le Hennuyer, place Hennuyer 1921 AL, Place Le Henruyer [sic] 1927 PLBM, place Le Hennuyer 1932 FEL, 1939 AL, 1944 PA, place le Hennuyer 1972 PCN, place Le Hennuyer 1995 PVLPA, 2001 PVAN, place le Hennuyer 2004 PTT, 2019 LVL. — Ancien friche aux Chanoines [→],terrain vague de forme trapézoïdale qu’entouraient les maisons canoniales jusqu’au 18e siècle. À l’époque de la Révolution (1791), ce lieu fut appelé la Place d’Armes, avant de devenir la place Hennuyeren 1810, puis place Le Hennuyer à partir de 1903. Il servit longtemps de place de marché annexe, lorsque la place Thiers (place François Mitterrand) se révélait insuffisante. Sa dernière appellation commémore la mémoire de Jean V Le Hennuyer (1497-1578), 46e évêque de Lisieux, de 1559 à 1578. Ce personnage fut grand-aumônier de France, sous les règnes de Henri II, François II, Charles IX et Henri III; il fut également le directeur de conscience de Diane de Poitiers et de Catherine de Médicis. Son rôle passe pour avoir été déterminant à l’époque de la Saint-Barthélémy, où il aurait évité que ne fussent massacrés les protestants lexoviens. Cependant, sa présence à Lisieux à cette occasion reste historiquement douteuse. ☞Il existe à Lisieux un célèbre tableau de Gosse représentant Jean Le Haynuyer haranguant la foule devant la porte de son palais épiscopal et arrêtant les soldats sur le point de massacrer les Huguenots. Il fut envoyé à Lisieux en 1835 par le Ministre de l’Intérieur, et initialement installé dans l’Hôtel-de-Ville, avant d’échouer au Musée. — Le nom de famille Le Hennuyer est issu d’un surnom médiéval à valeur ethnique Le Hainuier, “originaire du Hainaut”.
Chanoines (friche aux) : jusques au chemin pavé par lequel on va du Friesche aux Chanoines en ladicte eglise [graphie sans doute en partie rajeunie] 1433 APCC, in introitu Frichei [“à l’entrée du Friche”]~1550 OCL, le friche aux chanoines 1685 MC, Friche aux Chanoines 18e s. IHDL, place des Chanoines 1748 ALM, place du Friche; le Friche aux Chanoines ~1770 LSL, le Friche 1782 PDC, Place du Friche 1785 PVFL, Friche aux Chanoines 1790 PLE, place 1818 PV, Friche-aux-Chanoines 1867 SMC. — Ancien nom de la place Le Hennuyer, devenue temporairement Place d’Armes sous la Révolution. Elle était encore connue sous le nom de place du Friche au début du 20e siècle. Il s’agit initialement d’un friche communal ou pâture à l’usage des chanoines, dont les maisons cernaient cette place vaguement trapézoïdale au 18e siècle : en 1790, se succédaient sur son côté ouest la Maison Saint-Michel (au coin de la place et de la rue du Bouteiller, actuelle rue du Docteur Degrenne), la Maison Saint-Paul, la Maison de la Grande Chantrerie, la Maison Saint-Leu et la Maison Saint-Laurent (siège actuel de la Société historique de Lisieux); la Maison Sainte-Catherine (actuelle dépendance de l’Institution Frémont) et la Juridiction des Prébendes en occupaient le côté est, et la rue des Chanoines y aboutissait par le sud (portion ouest de l’actuelle rue du Docteur Degrenne). La place se prolongeait au nord par la rue de la Chaussée (actuelle rue Paul Banaston), le long de laquelle se trouvaient d’autres maisons canoniales, telles que la Maison Saint-Georges, la Maison Sainte-Marie, la Maison Saint-Ouen, la Maison Saint-Taurin, etc.
Noms des RUES et PLACES qui ont été modifiés dans la deuxième moitié du XIX° ou dans les premières années du XX° Siècle – Moidrey Baron de.
Place Hennuyer ; les chanoines devaient avoir des droits particuliers sur cette place. En 1774, dans une réunion, chargent un de ses membres désignifier au Sir Lajeunesse, qui y avait déposé du bois, de les enlever.
Cette place se nommait la Friche aux Moines, et pendant longtemps on disait « la Friche ». Elle était entourée de maisons canoniales. A l’époque de la révolution, elle fut nommée Place d’Armes. Plus tard, l’administration lui donne le nom de Place Le Hennuyer, en souvenirs de l’évêque de ce nom qui en 1562, se fit le défenseur des protestants. En 1900, la ligue des droits de l’Homme, sur l’observation de l’un de ses membres, le citoyen Groult, voulut attaquer cette tradition pour donner à cette place le nom qui ne rappelait aucun souvenir local. Plusieurs Lexoviens défendirent la tradition, et le nom de Le Hennuyer fut conservé. Depuis la Société Historique de Lisieux a publié un intéressant travail à ce sujet. On dit que l’évêque Hennuyer (1560-1578) habitait une maison près de cette place. C’est peu vraisemblable. Ce n’est pas lui qui fit changer le château d’Arnoult, il y avait le château des Loges ou il aurait pu aller. La délibération du chapitre du 13 mars 1772 (arch. du calvados) dit que « Messieurs les Majors et Commandants du régiment du « Limousin », actuellement en garnison dans cette ville, demandent qu’il leur soit permis de faire dresser et daller la Friche aux Moines, pour y faire l’exercice à leurs troupes, et leur faire dire une messe à midi dans l’église cathédrale les dimanches et fêtes . La compagnie consent volontiers à l’une et l’autre demande de ces messieurs. La compagnie a aussi consenti à la demande des sieurs Chanoines qui occupent les maisons canoniales placées sur « la friche » de la fermer par des lices à leurs frais. Dans un procès verbal du Chapitre de 1768, on lit « sur la représentation du Sieur d’Osmont que le chantier du Sieur Lajeunesse, charpentier, a établi devant l’église St Germain dans « place appartenant au Chapitre », avait occasionné quelques dégâts « aux pavés ». Il a été arrêté qu’on en ferait la réparation, et que les Sieurs Commissaires aux maisons diraient à Lajeunesse que la Compagnie n’entend point qu’il continue de faire un chantier dans cette place. Cette place pavée est peut-être la rue des Chanoines, entre le cimetière St Germain et les maisons Ste Barbe, St Sébastien et le manoir des trois marches (Banque de France actuelle). La friche aux moines était bien la propriété du Chapitre. Pendant longtemps on disait : La Friche, comme on disait : traverser l’évêché. La maison au titre de St Michel (maison Huchon au n°13) avec sa porte à colonnettes et leurs chapiteaux ainsi que la fenêtre au dessus, a conservé son aspect ancien.
Histoire de Lisieux : ville diocèse et arrondissement – Louis Du Bois 1845
La place Hennuyer ou plutôt Le Hennuyer.
C’est l’ancienne Friche aux Chanoines, que, par abréviation, on appelait le Friche, parce que ce terrain était négligé, non sablé, et ne produisait que de chétives graminées. Sous aucun rapport le nom de l’évêque Le Hennuyer ne convient à cette place qui porta quelque tems, à partir de 1791, le nom de Place-d’Armes. Le seul nom qui lui appartienne raisonnablement est celui de Friche-aux-Chanoines, qu’elle portait de tems immémorial et qui rappèle qu’elle était partout entourée d’habitations de ces ecclésiastiques. Le 2 septembre 1809, cette place fut nommée Place-Matignon, puis en 1810 Place-Hennuyer – Place du Prêche aux Chanoines — aujourd’hui Place Le Hennuyer
MONUMENTS:
Dominique Fournier. DRL.
MISERICORDE (LA). — a) rue Paul Banaston – place Le Hennuyer : la maison des Dames de la Miséricorde 1867 SMC, Sœurs de la Miséricorde 1869 PVLCa, ~1882 PVLB, 1896 NPLM, 1899 AAL, 1921 AL, la Miséricorde ~1938 PCL, 1944 PA. — b) rue du Docteur Lesigne : Communauté Notre Dame de la Miséricorde 1997 PTT. — a) Établissement des religieuses de Notre-Dame de la Miséricorde, fondé en 1873 par l’abbé Rolland, aumônier de l’hospice; il était initialement situé aux n° 9 et 11 du Friche aux Chanoines (place Le Hennuyer, à l’emplacement des anciennes maisons canoniales Saint-Leu et partiellement Saint-Laurent). Contraint de s’agrandir, il acquit en 1879 le site du REFUGE [→]. Le bâtiment principal du Friche aux Chanoines datait du 17e siècle [SMC III 294]. Les locaux de la place le Hennuyer hébergent maintenant le C.C.A.S. (Centre Communal d’Action Sociale), sis 1 rue Paul Banaston. — b) Le siège de la Communauté Notre Dame de la Miséricorde est aujourd’hui rue du Docteur Lesigne.
REFUGE (LE) : religieuses de Notre-Dame de la Miséricorde du Refuge 1873 HL, Refuge 1921 AL, 1939 GIL, le Refuge, C.té de la Miséricorde ~1973 PVLM, le Refuge 1982 IGN, le Refuge; Communauté de la Miséricorde 1991 PTT, le Refuge 2019 IGN. — Institution fondée en 1873 sur la petite place du Friche aux Chanoines (aujourd’hui place Le Hennuyer) par l’abbé Rolland, aumônier de l’Hospice . Elle acquit en 1879 un vaste terrain, à l’emplacement d’un ancien lieu-dit de Saint-Désir nommé le Buhot, sur le versant de coteau qui domine la rive gauche de la Touques. Il surplombe la rue Bon Ange et le chemin du Point-de-Vue, et jouit d’un panorama exceptionnel sur la ville. L’Œuvre du Refuge avait pour but avoué de “recueillir des jeunes filles exposées aux séductions du monde, ou qui, déjà victimes de ces séductions, donnent des preuves d’un vrai repentir”. Le domaine, rebaptisé la Colline, accueille aujourd’hui les Orphelins Apprentis d’Auteuil. Quant au Refuge, il a actuellement trouvé… refuge rue Guizot.
Saint-Leu (maison) : [la maison] du titre de St-Louis [lire Leu] 1759 CCCL, Maison Saint-Leu ~1770 LSL, [maison canoniale du titre de] Saint Luc [lire Leu] 1788 CCCL, M[ais]on St Leu 1790 PLE. — Maison canoniale située au nord-ouest du Friche aux Chanoines (place Le Hennuyer), entre la maison Saint-Laurent et la Grande-Chantrerie. Au début du 20e s., ce bâtiment hébergeait la communauté des sœurs de la Miséricorde. Voir également la chapelle Saint-Gilles et Saint-Leu.
Bulletin ShL.
Cette maison était situe à l’extrémité du nord-ouest du Friche aux Chanoines, et bornée vers le nord et l’est par la maison Saint-Laurent, au midi la maison du Grand-Chantre et en arrière le rempart de la ville. (1)
L’architecture de celle maison dénote le XVII° siècle, l’inscription suivante se trouve sur la façade :
Etiam, niger in puritate
Constans coronatur
Ignominia sacerdotis
Propriis studere
Divitiis, Haro a Nero.
Celle inscription à fait attribuer la reconstruction de cette maison au chanoine Binot Le Paulmier de Gonneville, descendant d’un chef indien.
Le dernier chanoine qui demeura dans celle maison fut M. l’abbé Lerat : il appartenait à une famille de Lisieux ; il fit exécuter plusieurs travaux décoratifs dans la cathédrale, malheureusement dans le goût de son temps.
Cette maison payait 2 livres de pension ancienne et 18 livres de pension nouvelle.
Elle fut vendue le 19 mars 1791 ainsi qu’une autre maison, « ci-devant dépendant du corps du Chapitre de la Cathédrale, » l’une 7,350 livres payées en douze annuités 7,958 livres 11 s. 8 d. ou 18,900 livres.
Les minutes indiquent la vente de ces deux immeubles du Chapitre le même jour sans indiquer d’une façon précise quel
était le prix de la maison Saint-Leu.
(1) Cette maison, par la suite, a été occupée par les religieuses de la Miséricorde.
Saint-Michel (maison) : la maison canoniale du titre de Saint-Michel 1685 RC, [la maison] du titre de St-Michel 1759 CCCL, Maison Saint-Michel ~1770 LSL, [maison canoniale du titre de] Saint Michel 1788 CCCL, M[ais]on St Michel 1790 PLE. — Maison canoniale autrefois située au coin du Friche aux Chanoines (actuelle place Le Hennuyer) et de la rue du Bouteiller (actuelle rue du Docteur Degrenne), à l’emplacement du Crédit Agricole. En 1876, la maison Saint-Michel abritait le commerce de M. Huchon, artisan tapissier (à la même époque, deux autres Huchon, père et aîné, pratiquent le même métier, l’un dans la Grande Rue et l’autre rue du Bouteiller); la maison Huchon était toujours attestée en 1915 [LSL 153].
Bulletin ShL
Cette maison était à l’angle de la rue du Bouteiller et du Friche, des autres côtés vers le nord, elle était bornée par la maison Saint-Paul et vers l’ouest « jouxtant » une maison appartenant aux Jacobins.
Dans la Statistique monumentale, tom. V, de M. de Caumont, on lit le passage suivant : « Cette maison qui porte le n° 3 du Friche aux Chanoines, a certains caractères propres aux maisons du XIV° siècle, principalement dans ses lucarnes, son rez de chaussés est en pierre, la porte cintrée garnie de moulures toriques, paraît ne dater que du XVIe siècle. L’étage supérieur en bois, n’a conservé aucune trace des ouvertures primitives.
L’on a vu dans la note concernant la maison Saint-Paul que cette du titre de Saint-Michel avait été possédée par M. de Borel chanoine prébendé de Bourguignolles vers 1650. Quand ce Chanoine mourut peu d’années après cette époque, la maison Saint-Michel fut adjugée à M. Jacques Tourfault, chanoine prébendé de Crèvecœur deuxième portion. Le nouveau titulaire ne put entrer en possession de son manoir, parce que le Baron de Livarot, héritier de M. de Borel, s’y était établi, il dut continuer à résider au manoir des Trois-Marches qu’il tenait en loyer du Chapitre, en 1656 il renouvela le bail, la procédure entre les héritiers de Borel et le Chapitre ayant duré longtemps.
En 1789 la maison Saint-Michel était en la possession de M. Gilles-François Ledorey, ancien chanoine prébendé de la Pommeraye.
En 1791:au moment de la spoliation des biens du clergé. elle était habitée par un autre chanoine M. J.-F. de Naudin, prébendé de Cordebugle.
Cette maison payait 12 livres de pension ancienne et 20 de pension nouvelle, Elle fut vendue le 27 décembre 1791 pour 18,800 livres.
Cette maison fut, dit-on, au XVI° siècle la demeure de Guillaume de Hautemer, seigr. de Fervaque. Le vendredi 01 septembre 1911, un violent incendie détruit une partie de cette maison, dont la partie sur la rue du Bouteiller (Dr.Degrenne) et une partie de la façade Pl. Le Hennuyer.
Saint-Paul (maison) : [la maison] du titre de St-Paul 1759 CCCL, Maison Saint-Paul ~1770 LSL, [maison canoniale du titre de] Saint Paul 1788 CCCL, M[ais]on St Paul 1790 PLE. — Maison canoniale située du côté ouest du Friche aux Chanoines (place Le Hennuyer), entre la maison Saint-Michel (Crédit Agricole) et la Grande-Chantrerie.
Bulletin ShL:
Cette maison avait pour abornements : au nord, le manoir du Grand-Chantre, à l’est le Friche aux Chanoines, au midi la
maison Saint-Michel et au couchant le rempart.
Au milieu du XVII° siècle ce manoir était habité par M. de Berel, chanoine prébendé de Bourguignolles et trésorier de la Cathédrale, jouissant en même temps de la maison St Michel. La prébende de Bourguignolles devait être affectée à cette fonction. Après le décès de M. de Borel ses héritiers ne voulaient pas la quitter, ainsi que la maison Saint-Paul, Le Baron de Livarot s’était établi dans la maison Saint-Michel, et M. Lavalette Saint-Aubin dans la maison Saint-Paul: il paraît avoir existé entre ces deux personnes, une espèce de communauté dans ces deux maisons.
Le Chapitre ayant adjugé la maison Saint-Paul à M. Jacques de Girard, chanoine prébendé de Lieurey, 1° portion, fit faire le 3 juillet 1654 des instances auprès de M, de Lavalette St-Aubin pour le déterminer à exécuter les réparations qui étaient à la charge des héritiers du Chanoine. En 1655 il la donna à bail à M. de Boutemont, Le dernier Titulaire fut M. l’abbé de Créquy, chanoine, grand vicaire, abbé de Saint-Maur. Cette maison n’existe plus, elle a été remplacée dans le commencement du XVIII° siècle par une maison dans le goût moderne. Cette maison fut vendue le 19 octobre 1791 « une maison, cour et jardin, située place d’Armes, ci-devant le Friche, » fut adjugée 14,600 livres.
ENTREPRISES – COMMERCES:
Salle des Ventes : L’examen du plan de distribution des maisons canoniales publié par l’abbé Piel dans son préambule des Insinuations ecclésiastiques le montre à l’évidence, à l’origine le manoir Saint-Laurent s’étendait jusqu’à l’angle de la place Le Hennuyer (la tour carrée en pierre formait l’angle de la rue de la Chaussée – La Normandie monumentale et pittoresque… Calvados, 1re [-2e] partie…. 1895). Nous ignorons par contre tout de la nature des immeubles ayant pu s’élever à cet endroit. La Salle des Ventes, aujourd’hui détruite, fut le premier garage Renault à Lisieux.
Aux lendemains des Bombardements:
Archives ShL:
Inventaire Coopérative de Reconstruction de Lisieux.
ILOT 50 B – Devis à l’identique
Pensionnat Notre Dame, devis à l’identique, Permis de Construire n° 23 Bd Duchesne Fournet et nouveau bâtiment avant guerre c’était Place Le Hennuyer et rue du Bouteiller. Il y a eu transfert dommages de guerre pour le Bd Duchesne Fournet.
Archives ShL, NE12 – PANNIER Arthème 4e carton. Incendies à Lisieux vers 1850. Voir le dossier « Lieux », Lisieux : 08-07-1892 : Ebénisterie Huchon, place Le Hennuyer.
Inventaire des enveloppes.Enveloppe n° 179 – Lisieux: la place Le Hennuyer, un jour de marché Enveloppe n° 33 – 1 photo couleur petit format: place Le Hennuyer à Lisieux
Bulletins SHL Numéro 72, Deuxième semestre 2011. Daniel Deshayes – Lisieux, projet d’un théâtre place Le Hennuyer.
Fonds Erudits NE 26 NEDELEC Yves Communes. com.43.12 Lisieux -Salle des ventes – 1995-1999.
Annuaire 1938 – n° 1 Caisse Régionale de Crédit Agricole – n° 5 Pensionnat Notre-Dame – n° 9 Soeurs de la Miséricorde – n° 11 Salle des Ventes.
Annuaire 1945 – n° 9 Soeurs de la Miséricorde – n° 11 Salle des Ventes. Le reste entièrement détruit.
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