MESNIL MAUGER LE



NOTES  sur MESNIL-MAUGER Le – 14422

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

CAUMONT Arcisse de : Statistique monumentale du Calvados, réédition FLOCH Tome III – Mesnil-Mauger page 481 –
Saint Crespin page 404 – Cerqueux (sur Vie) page 405 – Ecajeul page 467 – Soquence page 480 – Plainville (rattaché à Ecajeul) page 476 – Ste Marie aux Anglais page 492 – Doux Marais page 502 – Saint Maclou page 477

CONSEIL GENERAL DU CALVADOS.- DIR. des ARCHIVES DEP. : Carnets de Cyrille PAYNEL (1817-1886) éleveur-fromager en pays d’Auge.
voir à SHL : BIB-Pays d’Auge.

Editions FLOHIC : Le patrimoine des communes du Calvados page 1161.

FOURNIER Dominique : Quelques traces franciques, anglo-saxonnes et scandinaves dans la toponymie augeronne. BSHL N°55, Décembre 2003.

LE CHERBONNIER Yannick : L’architecture fromagère en Pays d’Auge. Bulletin du Foyer rural du Billot n° 91 Septembre 2005.

MANEUVRIER Jack : Le Mesnil Mauger : l’affaire de Carrouges. Bulletin du Foyer rural du Billot, n°56, décembre 1996.
MANEUVRIER Jack : La ligne de Mesnil Mauger à Sainte Gauburge. Bulletin du Foyer rural du Billot. N°83, septembre 2003.

PANNIER Arthème : voir Archives SHL, NE12, 2e carton.

POREE chanoine André, « Thomas Giroult, prédicateur, Principal du Collège, Curé de la Madeleine de Verneuil-sur-Avre », BSAN, XXXII, 1917, pp. 13-35
Jean Le Veneur, baron de Tillières et de Mesnil-Mauger, n’étaient pas seigneurs de Mesnil-Mauger mais possédaient le château de Capomesnil ou Carrouges

TRAMBLAIS Jean : Ligne de Chemin de fer Ste Gauburge-Mesnil Mauger. Bulletin de la Société Historique du Canton de Livarot. N°11,  juin 2004.
Mesnil-Mauger – « Manoir de la Pernelle au Mesnil-Mauger. Propriété de Monsieur et Madame Chalot, elle-même descendante de Marie Harel ».
= reproduit in A. LANGLOIS, Mézidon-Canon et ses environs – pp. 108
Mesnil-Mauger – Fabrique de vis de pressoir
= reproduit in A. LANGLOIS, Mézidon-Canon et ses environs – pp. 108
Mesnil-Mauger – La Moranderie (Manoir de 2 niveaux et de 5 travées, sans contreventement apparent avec cheminée axée dans la 3e + 3 avec écharpes. – Au premier plan logis bas à usage agricole.
= reproduit in A. LANGLOIS, Mézidon-Canon et ses environs, pp. 108
Mesnil-Mauger – Chalet Lamare (construction sur 2 niveaux avec portes aux extrémités, cheminée centrale, traverse d’allège. Grand pignon avec traverse d’allège au 3e niveau sous croupe rabattue.
= reproduit in A. LANGLOIS, Mézidon-Canon et ses environs, pp. 108
Mesnil-Mauger – Moulin de Carouge
= reproduit in A. LANGLOIS, Mézidon-Canon et ses environs, pp. 109
Mesnil-Mauger – Château du Coin (XIVe siècle) (Vue arrière avec décoration d’essentage d’ardoise.
= reproduit in A. LANGLOIS, Mézidon-Canon et ses environs – p. 109

Archives SHL dossier « Lieux M à Z » ! 19 – Mesnil-Mauger : église de Sainte Marie aux Anglais. Société d’archéologie et d’histoire de la Manche   –   Mélanges multigraphiés, ­10e   série, 1981
Archives SHL. FONDS Michel COTTIN
11 FA – 20 – Divers IV – Plans lignes de chemin de fer Mesnil-Mauger / Sainte-Gauburge; Lisieux / Trouville-Deauville. Documents divers sur les églises de Monteille etc.
Archives SHL : Fonds STURLER (photos), boite 60 :
n°4 Notre-Dame.de Mesnil-Mauger 3 pellicules
VASSEUR Charles : archives SHL : « Doyenné de Mesnil-Mauger »
Voir ci-après à Sainte Marie aux Anglais et à Ecajeul.

2 – Pièces Justificatives:

XIIe siècle – Mesnil-Simon
Accord fait entre les chanoines de Sainte-Barbe et les moines du Bec au sujet des dîmes du fief de Turouff de Magny, dans la paroisse du Mesnil-Simon réglant que les moines recevront les dîmes à charge de donner aux chanoines un septier de blé et deux d’avoine.
= Arch. SHL – Charles VASSEUR.-Notes et documents- Portefeuille « Doyenné du Mesnil-Mauger)

1260 – 1er décembre – Mesnil-Simon
Guillaume dict Quesnel, de la paroisse du Mesnil-Simon vend aux religieux, abbé et couvent de Sainte-Marie du Bec-Hellouin, neuf sous et IIIIxx deniers (?) ts. sur le tènement qu’il a et tient par 8 deniers de rente annuelle avec les services dus en cette paroisse sur une masagio terra arabili et gardino contigu de cette masure contenant deux acres de terre bornée d’un côté le chemin et d’autre le doito qui dirinatur a molinendo eorum deum sitii ex utroque latera inter terras feodi domini de hotot pro quator libris turonensium
= Arch. SHL – Charles VASSEUR.- Notes et documents – Portefeuille  » Doyenné du Mesnil-Mauger  » Extrait d’un feuillet 26e d’un cartulaire du Bec retrouvé par M. Z. Métayer servant de reliure à un livre en décembre 1859 – Lu par M. R. BORDEAUX  »

1399 – 24 mai
Information du vicomte de Falaise pour la mise hors de garde noble de Colin de La Fontaine, né au Mesnil-Mauger le 28 septembre 1377, fils de Raoul de La Fontaine, qui était en la garde du roi à cause de la sergenterie de Breteuil en la vicomté de Falaise.
= Arch. nat. Dom Lenoir, 6, pp. 322.-323.
+ IND. M. NORTIER, Cahiers L. Delisle – XVI, fasc. 1-2, 1967, p. 40.

1625 – Survie
Titres justificatifs du droit qu’ont les décimateurs de Survie de percevoir la dîme pour les terres converties de labour en herbe – Accord entre François Dellyer (de Lyée), chevalier, seigneur de Tonnencourt-­le-Couldrey et Heurtevent, Saint-Jean-de-Livet et Saint-Martin-de-la-Lieue, et François Hardy, prêtre, curé de Tortisambert, doyen de Mesnil-Mauger, au sujet de trois pièces de terre ci-devant en labour et depuis converties en herbage
61 – H. 1756 –

Voir :
Congrès archéologique de 1870 p.28.
Bulletin Monumental 1855 p.562 note
Archives normandes I p.257 à 261
Archives de la Manche – Seigneurie de Mesnil Mauger de 1394 à 1643 -1 liasse-
972
Delisle – Catalogue des Actes de Philippe Auguste n°972.
Congrès archéologique de 1873 p.662 – Vitraux de l’église de Mesnil Mauger
Abécédaire d’archives Tome I p.446 et p.130 – Description des Fonts Baptismaux et de la Tour   – Tome II p.224 Dessin et description de la ferme du Coin
Annuaire Normand 1864 p.112
Notice sur Mezeray p.10
Bulletin Monumental p.573.
Mesnil-Mauger – Musée de Caen Fonts baptismaux p.84 n°453
Mémoires des Antiquaires de Normandie 1864 p.424 – Mesnil-Mauger –  Monnaie Gauloise

3 – Archives ShL:

Archives SHL : Carnets de Charles VASSEUR :
“Doyenné de MESNIL-MAUGER”.

Election de Falaise,
Election de St Pierre sur Dives
152 feux
Sous l’invocation de St Etienne
Patronage divisé en portions :
1ere portion :
XIVe épiscopus lexoviensis
XVIe capitulum lexoviense
XVIIIe : …

2e portion:
XVIe: prior St Barbara
La possession de la moitié des Dîmes fut confirmée à l’abbaye de Ste Barbe par la charte de l’Evêque Arnoul
Curés :
1 ère portion :
Formage 1764
Fleury 1770/1787
2e portion :
Carrey 1760/1787
D’après d’Hozier n° 267 et 147
François Fromage ou Formage curé du Mesnil Mauger : d’azur à 3 besans d’argent

La Cavée, cure du Mesnil Mauger : d’argent au lion de sable à la bande d’azur chargée de 3 croisettes d’or brochante

Insinuations
Dîme de Mesnil-Mauger donnée pour moitié à St Barbe ainsi que la tenure de Robert de Hotot
Arnoul, évêque de Lisieux, consentit en 1141 à réunir à ce prieuré les prébendes assez pauvres du reste, qui existaient de toute ancienneté dans l’église St Etienne du Mesnil Mauger. (Guilmeth – Bourg de Mézidon)
Description de l’église 17 avril 1856
Dans l’année 1128 on trouve un Serton seigneur du Mesnil Mauger.
Dans le livre des fiefs de Philippe Auguste, nomenclature du commencement du XIIe siècle on lit : « Dominus Petrus de Tilleyo tercium … feodi apud Mesnillum Mauger, apud Viquetot et apud Herbigneium et apud Livetum unum feodum. »
Charte de Henri II en faveur de Ste Barbe (texte en latin)
Essai de restitution d’un registre perdu des Olim par Léopold Delisle (texte en latin)
Fragments de l’histoire de Gonesse principalement tirés des archives hospitalières de cette commune, par Léopold Delisle Paris 1859 (texte en latin)
Pierre de Thillay, originaire des environs de Gonesse et bailli de l’Orléanais fut choisi par Philippe Auguste après la conquête pour habituer les Nornands à sa domination. Il fut nommé bailli de Caen. En 1206 le Roy comme pour l’intéresser à l’affermissement de la conquête, lui concéda de vastes domaines au cœur de la Normandie. Il lui assigna le manoir qui avait appartenu à Robert de Fribois, la terre que Geoffroy de Mesnil-Mauger avait tenue du fief de Montfort et du chambellan de Tancarville, la terre que Robert des Vaux tenait de Geofffroy de Mesnil-Mauger et la terre que Henri Heuse possédait à Barneville.
Philippe Auguste s’était réservé quelques droits au Mesnil-Mauger. Deux ans après il les abandonna en échange de rentes et de terres que Pierre avait acquises de Raoul de Rupière à Beaumont-le-Roger….
Ainsi se forma un fief considérable dont le chef-lieu était au Mesnil-Mauger, localité importante dès la première moitié du XIIe siècle.
Pierre de Thillay eut une femme nommée Aveline, qui était fille de Eudes de St Cyr. Il en sorti une fille nommée Héloïse qui épousa un chevalier du voisinage de Gonesse, Eudes du Tremblay, qui paraît avoir hérité dès 1225 des possessions de Pierre en Normandie. C’est ainsi que la famille du Tremblay s’établit au Mesnil-Mauger; nous pouvons l’y suivre pendant plusieurs générations. En décembre 1264 Jean du Tremblay, chevalier, baille des terres à Eudes Viel, bourgeois de Falaise.
Un acte de l’Officialité de Lisieux, nous fait connaître Clémence, femme de Jean du Tremblay, escuyer en novembre 1270.
En 1271, Jean du Tremblay, encore escuyer, échangea avec les religieux de Ste Barbe, la dîme des moulins et des près du Mesnil-Mauger. Au mois de février 1278, un arrêt du Parlement décida que Jean du Tremblay, chevalier, ferait hommage au Roi et non pas à Jean de Brucourt pour la terre de Fribois qu’il possédait comme héritier de Pierre du Tremblay.
Je termine ces détails généalogiques par la mention de Jean du Tremblay, chevalier et seigneur de Mesnil-Mauger en 1290.
Pierre du Thillay avait fait de nombreuses donations aux églises … et quand il fut devenu seigneur de Mesnil-Mauger, il s’empressa de détacher quelques revenus de son fief pour doter la chapelle de Notre-Dame de Fribois, desservie par les chanoines de Ste Barbe en Auge.
Vers 1207, il affecta à l’entretien du luminaire de cette église une dîme qu’il avait achetée à Robert Louvel à Condé sur Laizon pour une somme de 30 livres en monnaie de Tours. Il obtint de Philippe Auguste en avril 1219 des privilèges pour ce petit prieuré et décida son ami Guillaume d’Ouilly, archidiacre d’Angers, à lui aumôner 15 acres de terres situées au Pont d’Ouilly.
Charte de Philippe Auguste pour Pierre du Thillay en 1208 (suit texte en latin)
Extrait du terrier de Pierre du Thillay vers 1220 (texte en latin)
Henry de Manoury chevalier seigneur du fief du Coing au Mesnil-Mauger avait dans la mouvance la seigneurie de Barneville (ou Bonneville) la Campagne, dont il fut rendu aveu le 20 août 1555.

Carouges

Fief situé sur le territoire de la Commune de Mesnil Mauger. En étaient vraisemblablement propriétaires : Thomas et Jehan de Carouges que l’on trouve cités parmi les hommes d’armes qui devaient garder la forteresse du Prieuré de Ste Barbe en l’an 1411.
C’est, dit M. Dubois, au hameau de Capomesnil où est le château de Carouges qu’eut lieu le viol de Marguerite de Thibouville, femme de Jean de Carouges en 1386, à la  suite duquel eut lieu le duel judiciaire entre ce dernier et Jacques Le Gris qui y périt. Il fut reconnu innocent plus tard. Juvénal des Ursins a fait le récit du combat (voir Odolon-Desnos Tome I p.439 à 447) (voir Froissard 22 décembre 1387)
An 1386 – « En ce temps y avoit un gentil chevalier nommé Messire Jean de Carrouget, qui avoit épousé une très belle et vaillante dame, lequel par aucun (?) temps avoit été absent. Et quand il revint, la dame en plorant dit à son mary qu’elle avoit esté prise de force et cognue charnellement par un escuyer nommé Jacques le Gris. Lequel quand il scent qu’on le vouloit charger d’un tel cas, fut bien desplaisant et souvent affirmoit par serment, que oncques le cas ne luy estoit advenu. Toutes fois Carrouget ne le crut point et le fit adjourner en la présence du roy en cas de gage de bataille et comparut et fut jetté le gage et cette matière renvoyée en la cour du parlement. Et le tout veu et considéré, fut dit qu’il y escheait gage et fut adjugé le gage et ordonne que la dame serait détenue prisonnière. Et feroit serment, que ce qu’elle imposoit à Jacques le Gris estoit vray, et ainsi le jura et afferma et ledit Jacques, aussi pareillement le contraire. Si furent les parties mises en champ et les cris faits en la forme et matière accoustumée. Et disoit on que Messire Jean de Carrouget avoit fiefvres, et que à ceste heure le prirent, si combatirent lesdits champions bien et asprement l’un contre l’autre. Et finalement Jacques le Gris cheut Et lors Carrouget monta sur luy, l’espée traite, en luy requérant qu’il lui dist vérité. Et il répondit que sur Dieu et sur le péril de la damnation de son âme, il n’avait oncques commis le cas dont on le chargeoit. Et pourtant Carrouget qui croyait sa femme, lui bouta l’espée au corps par-dessous et le fit mourir, qui fut grande pitié.
Car depuis on scent véritablement qu’il n’avoit oncques commis le cas et que un autre l’avoit fait, lequel mourut de maladie en son lict et en l’article de la mort, il confessa devant gens ce qu’il avoit fait. » (voir Juvénal des Ursins – Edition du Panthéon littéraire p.358 colonne)
Le duel judiciaire était défendu par une ordonnance de St Louis de 1270 rétabli par Philippe le Bel en 1306, seulement pour les cas de meurtres ou de trahisons et le Parlement lui même par arrêt que rapporte Lecoq le prescrire sur une accusation d’adultère intentée contre Jacques Legris par Jean de Carouge son voisin, tous deux habitant Paris. (Discours de rentrée de M. Paul Fabre, avocat général à la Cour de Cassation, sur les Ordonnances et Etablissements de St Louis. Gazette de France du 5 novembre 1864)
Le duel Judiciaire de Messire Jean de Carouges et Jacques Legris.
Froissard prétend que l’action qui donna lieu à cette affaire judiciaire se passa … « en chastel sur les marches du Perche et d’Alençon lequel chastel on nomme, ce m’est avis, Argenteuil… « du reste la distance à parcourir était, dit l’historien, de 24 lieues – 12 pour aller 12 pour revenir.
(Froissard –Chroniques- Livre III chapitre XLIX Tome II p.534 et suivantes)
(L’éditeur donne en note diverses pièces tirées des registres du Parlement de Paris, qui ne sont importantes que si l’on voulait approfondir le fait et en faire une étude spéciale)

Recherches de 1666
Guillaume de Couvert, sieur de St Laurent, condamné
Guillaume de Foucques, sieur du Mesnil Manetot, ancien noble,
Adrian de Foucques, sieur du lieu
Delisle – Restitution d’un volume des Olim – Archives de l’Empire – Actes du Parlement – Tome I p.350. Texte en latin concernant Robert de Fribois

CARTES POSTALES SHL.

Mesnil-Mauger – » Cet ancien chef-lieudu doyenné était le plus étendu du diocèse de Lisieux. L’église, le jour de la fête patronale vers 1900″. (Le curé au premier plan est tiré par la main hors du champ du photographe. Civière décorée en blanc. Groupe de musiciens avec sa bannière de la Fanfare de la Vallée d’Auge – Crèvecoeur en Auge – 1907 (Fillion, phot.-édit. Lisieux)
Mesnil-Mauger – La Gare (313 ND. Phot.)
Mesnil-Mauger – « Mesnil-Mauger un jour de fête ». (Fillion, phot.-édit., Lisieux)
Mesnil-Mauger – Embarquement de bestiaux
Mesnil-Mauger – Caparmesnil (intéressant ensemble de constructions en bois) (Cliché Fillion, Lisieux – Edition Bisson)
Mesnil-Mauger – » Manoir de la Pernelle au Mesnil-Mauger. Propriété de Monsieur et Madame Chalot, elle-même descendante de Marie Harel ».
Mesnil-Mauger – Fabrique de vis de pressoir
Mesnil-Mauger – La Moranderie (Manoir de 2 niveaux et de 5 travées, sans contreventement apparent avec cheminée axée dans la 3e + 3 avec écharpes. – Au premier plan logis bas à usage agricole.
Mesnil-Mauger – Chalet Lamare (construction sur 2 niveaux avec portes aux extrémités, cheminée centrale, traverse d’allège. Grand pignon avec traverse d’allège au 3e niveau sous croupe rabattue.
Mesnil-Mauger – Le Fort-Bazeville, par Mesnil-Mauger (grande partie en pierre à 1 étage. Tourelle d’escaqlier hors d’oeuvre – Partie bois très remaniée avec cheminée dans l’axe.
Mesnil-Mauger – Moulin de Carouge
Mesnil-Mauger – Château du Coin (XIVe siècle) (Vue arrière avec décoration d’essentage d’ardoise.

Voir le site : Mézidon-Canon et son Canton LE MESNIL MAUGER

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