MONTEILLE



NOTES  sur MONTEILLE – 14444

Mouteilles, Monticelloe, ecclesia de Monticellis, de Moutellis.

1 – BIBLIOGRAPHIE :
2 – REFERENCES HISTORIQUES :
3 – AUTRES ARCHIVES SHL:

1 – BIBLIOGRAPHIE

CAUMONT Arcisse de : Statistique monumentale du Calvados, réédition FLOCH Tome III, page 405.

CHAPPET Alain : Avec ceux de Lisieux et alentours dans les Armées de premier Empire ; BSHL N°55, Décembre 2003 (Jean-Pierre LEVASSEUR)
Editions FLOHIC : le patrimoine des Communes du Calvados page 1169.

MANEUVRIER Jack : L’église de Monteilles. Bulletin du Foyer rural du Billot, N° 84, décembre 2003.

Monteille, Le Manoir du Mont-de-la-Vigne, CDMPA , pp. 217-220

Monteille – Le Manoir (XVIe siècle) (Curieux manoir avec un corps central d’allure XVIIIe siècle, ouvertures à entourage de brique. Aux extrémités, 3 pavillons carrés avec toitures mansardées surmontées d’épis de faîtage, dont l’un avec girouette). (303 A.G. N.D. Phot.)
= in A. LANGLOIS, Mézidon-Canon et ses environs, p. 134

STATISTIQUE MONUMENTALE DU CALVADOS PAR ARCISSE DE CAUMONT

L’église de Mouteilles plaît par son ensemble et par ses proportions modestes, mais harmonieuses.
Elle appartient, en grande partie, au style roman de la fin du XIIe siècle ou de transition; elle a conservé, presque intacte, sa corniche garnie de modillons à figures.
Ses fenêtres étaient primitivement très-étroites et cintrées; il n’en reste plus qu’une, qui montre ce qu’étaient les autres.
Aujourd’hui, presque toutes les ouvertures appartiennent au style flamboyant Une fenêtre de ce style, beaucoup plus large que les autres et divisée en plusieurs baies, a été ouverte à l’extrémité de la nef. du côté du nord, pour éclairer un des petits autels qui accompagnent l’arc triomphal; c’est la plus remarquable par ses grandes dimensions, mais ce n’est pas la plus élégante.
Le choeur et la nef sont de la même largeur; six contreforts garnissent, de chaque côté, les murs latéraux.
Le portail occidental a été refait et n’est pas ancien; il est précédé d’un porche en bois ; on y voit les traces d’une litre ornée de deux écussons coloriés.
La tour, en bois, de forme carrée avec toit pyramidal octogone, surmonte l’extrémité occidentale de la nef; elle est, comme dans beaucoup d’autres églises du pays, portée sur une charpente dont les poteaux sont apparents à l’intérieur de l’église. Elle renferme deux cloches : l’une fondue en 1804, par Lavillelle, de Lisieux, Louis Turquetil étant maire de la commune; l’autre fondue en 1856.
La voûte en bois de cette nef est parfaitement conservée et d’une grande élégance. Les douves qui forment le contour apparent de la voûte ont reçu, près des lignes de jonction, des peintures noires exécutées, selon toute apparence, à l’aide d’un canon ou planchette découpée, comme on le fait encore aujourd’hui pour certains dessins. Les lignes de jonction ont été dissimulées par des tringles sculptées. J’ai expliqué ce système de décoration dans mon Abécédaire d’archéologie, p. 657 de la fil édition. Dans l’église de Mouteilles les tirants ou poutres, traversières qui portent les poinçons ont été revêtus de planches qui donnent à la poutre une forme plus régulière ; ils sont décorés de caissons dans le style de la deuxième Renaissance.
Ce système de voûtes en bois n’est nulle part mieux conservé qu’à Mouilles ; dans le choeur, on les a malheureusement peintes en blanc.

Il paraît que la Fabrique est aussi dans l’intention de faire disparaître les beaux lambris de la nef, pour leur substituer une voûte en plâtre. Ce serait un acte de vandalisme et de mauvais goût, contre lequel je me suis élevé très-vivement; mais il est probable que la chose se fera plus tard, car on m’a affirmé que le défaut d’argent a seul arrêté jusqu’ici.
On doit désirer que les Fabriques restent toujours dans la plus grande pauvreté, quand on voit comment elles emploient partout leurs richesses. Je désire, pour le salut des lambris de Mouteilles, que les coffres du trésor restent toujours vides
Un autel moderne, à colonnes, garnit le fond du sanctuaire et produit un bon effet. Une fenêtre a été bouchée, par suite de l’établissement de cet autel à grand retable; elle se trouve d’ailleurs cachée par la sacristie, qui est appliquée sur le chevet; deux petits autels existent à l’extrémité de la nef, des deux côtés de l’arc triomphal.

L’église de Mouteilles est sous l’invocation de saint Ouen; le seigneur nommait à la cure. Une famille de Malnouri a été en possession de ce privilège, du XIVe au XVI, siècle et probablement plus tard.
Il existe dans le cimetière un certain nombre d’inscriptions tumulaires, qui toutes ont été relevées par M. le docteur
Pépin. La plupart se rapportent à des membres de la famille de Tesson, à la famille Paterelle de Touvoye et aux curés qui ont desservi la paroisse.

Château de Mont-à-la-Vigne. — Ce château s’élève sur une éminence arrondie, au milieu des prairies qui occupent la vallée de la Vie. Il n’a plus sa sévérité d’autrefois. Une tourelle et quelques détails montrent seulement ce qu’il fut, et les annales des guerres de religion attestent qu’il a joué un rôle au XVIe siècle.
Un plan montre la disposition des bâtiments autour de la cour actuelle, les fossés, les tours qui défendaient l’enceinte ; la plupart doivent dater du XVIe siècle ou du XVI.
Ce château appartient, depuis long-temps déjà, à la famille de Tesson.

MONTEILLES. – Par sa situation naturellement fortifiée, le « Mont-à-la-Vigne », avec les restes de retranchements qui l’environnent,
mérite d’être examiné de près (7). Notons encore un nom de lieu intéressant: « Le Parc » , à un kil. à l’Ouest de l’église (8).
(8) Carte E. M., Falaise, N-E

Voir : Château Mont à la Vigne

Voir le site: j.y.merienne.pagesperso Villes et villages du Calvados

2 – REFERENCES HISTORIQUES :

Ancien fichier MONTEILL.SPR :
Sur les Mannoury seigneurs du Mont-de-la Vigne, cf BASIN Thomas, Apologie ou plaidoyer pour moi-même éditée et traduite par Charles Samaran et Georgette de Groër, Paris, 1974, in-8°, xij-285 p. (Coll. Les Classiques de l’Histoire de France),

VASSEUR Charles : voir « Doy. de Mesnil-Mauger.doc »
MONTEILLE (32)
Election de Pont l’Evêque, sergenterie de St Julien le Faucon
2 feux privilégiés
16 feux taillables

Sous l’invocation de St Ouen
Patronage:
XIVe : G.Malnourry
XVIe : Guillemus Manourry
XVIIIe : le seigneur

Curés:
Copie 1754/1774
Nicolas 174/1787

Curé de Monteille : d’or à 3 monts de sable (d’Hozier 352)

Description de l’Eglise par A.Panier.

Robert Becherel, curé de Monteilles 20 juin 1708, assiste à la prise de possession du curé de Notre Dame de Livaye

Le 28 février 1709, Messire Guy du Val, chevalier, seigneur de Bonneval, patron de Cerqueux, Monteil, chastelain du Mont de la Vigne, demeurant au lieu dit Terre de Cerqueux, présente pour la cure de Monteil, Messire Robert Paysant, prêtre vicaire de St Pierre de Caen, qui obtient collation le 11 mars et prend possession le 14.

Par suite du décès de Robert Paysant, Messire Guillaume de la Rocque, seigneur et patron de la paroisse de Monteille, châtelain des fiefs, terre et chatellerie de Montfort dit le Mont de la Vigne, autres lieux etc. … présenta Jacques Coppie, prêtre habitué de St Germain de Lisieux – le 17 février 1749.
Collation 18 février.
Prise de possession 24 mars

Jacques Copie, obtint le 16 février 1753 la chapelle St Clair de Lisieux, de l’abbesse de St Désir.
Collation 19 février

Au décès de Jacques Copie, présentation fut faite le 26 août 1774 par Messire Jullien Jean Tesson, chevalier, seigneur et patron de Monteilles, châtelain de Montfort et Mont de la Vigne, la Tillaye, la Vieilville, Bois-Hébert etc. … de Julien Nicolas, prêtre, vicaire de Monteilles. Il obtint collation le 31 août et prit possession le 1er septembre

Damoiselle Marie Françoise Du Vey, fille de Charles Du Vey, écuyer, officier de feu Monsieur Frère unique du Roy, et Dame Marie du Rosey, de la paroisse de Monteilles, obtient le 4 juillet 1713 dispense de bans pour épouser Monsieur Charles de Fontereau de Strossy.

Lettre de tonsure de Guy Pierre de Fontereau de Strozzy fils de Charles et Françoise Duvey de la paroisse de Monteille – 28 août 1743.

Dispense de bans pour Monsieur Charles François du Vay, écuyer ; sieur de Pommerenil, officier de la maison militaire du Roy, originaire de la paroisse de Monteille, y demeurant, fils de Nicolas Charles Duvay, officier dans la Grande Vénerie, et de Catherine de Lepincey de Beaumanoir, et Demoiselle Jeanne Fouques d’Orville, fille de Charlemagne (ou Charlemaigne) officier ordinaire de la Maison du Roy, et Dame Marie Anne Desprez de St Jacques de Lisieux le 14 août 1772

Charles de Jort, officier chez le Roy, seigneur des Parts, et Dame Louise Charlotte Loriot, de la paroisse de Monteilles, marient leur fille Mademoiselle Marie Magdeleine de Jort avec Charles Adrien Thibout d’Anisy, écuyer, sieur de Villeneuve ; Bans du 4 août 1764.

Une autre fille Julie Victoire de Jort épouse d’après les bans du 29 avril 1766, François Jacques Ricquier, écuyer, sieur de la Bonnevallière. Etant parents au 4° degré par la mère de M. Riquier, qui était une Le Normand, il fallut dispense de mariage qui fut accordée par l’Evêque de Lisieux le 26 avril 1766, pour éviter les délais d’un recours au Pape.

Description du Mont-à-la-Vigne par Arcisse de Caumont – De Caen à Bernay par monts et par vaux (Annuaire Normand 1864 p.113)
« Mont à la Vigne – L’éminence que nous apercevons devant nous est celle du Mont à la Vigne ; dirigeons nous de ce côté. Le château du Mont-à-la-Vigne n’a plus sa sévérité d’autrefois. Une tourelle et quelques détails montrent seulement ce qu’il fut et les annales des guerres de religion attestent qu’il a joué un rôle au XVIe siècle.
J’au lu quelque part que le seigneur auquel il appartenait alors faisait des prisonniers pour les rendre, moyennant rançon, à leurs familles. Ce petit commerce était malheureusement trop usité à cette époque et les guerres de religion n’avaient rien de religieux dans leurs procédés.
Aujourd’hui, le château du Mont-à-la Vigne est habité par des hôtes les plus aimables et dont chacun voudrait être le prisonnier.
Notre temps vaut un peu mieux que XVIe siècle comme vous le voyez. »

St Nicolas du Mont de la Vigne, chapelle à Monteilles.

On trouve déjà un Guillaume de Malnorry comme tenant de deux vavassories dépendant du Mesnil Mauger dans le registre de Pierre de Thillaye, bailli de Philippe Auguste 1205/1225
La terre du Mesnil Mauger appartenait du temps des Ducs de Normandie, avant la Conquête, au chambellan de Tanquarville comme Mézidon et Ecajeul. (Fragments de l’Histoire de Gonesse par L. Delisle 1859)

Le Mont de la Vigne, patrimoine d’un chevalier de mauvaise réputation, appelé Guillaume de Mannoury, qui n’ayant que peu de fortune instruisit ses fils dans l’art de s’enrichir aux dépends d’autrui : deux furent gens d’armes du Corps du Roy, Robert et Jean, et un autre fut ordonné prêtre par Thomas Bazin.
Robert devint capitaine de Lisieux après la guerre du Bien Public. Il résolut de mettre sur la tête de son frère la mitre de Thomas Bazin. Il commença par faire saisir une seconde fois le temporel à son profit. (Acte du 1er octobre 1469)
Malgré les plus atroces machinations, ils ne purent réussir.
Robert, voyageant avec le Roy, mourut à Niort d’un accès de fièvre chaude.
Avec lui finit la prospérité des siens. Jean, son frère qui lui avait succédé, fut évincé, leur père poursuivi en justice, et l’abbé périt dans l’obscurité. (Thomas Basin)

En 1419 Jean Mannoury et Perette de Mailloc, sa femme, furent maintenus dans leurs biens par le Roi d’Angleterre (Vautier – Registre des Dons p.51)

Famille de Mannoury

Le premier auteur connu est Etienne de Mannoury dit le Chevalier du Tremblay, vivant en 1395, seigneur du Mont de la Vigne, Monteil, Fribois etc. Il a épousé en 1417 Austreberte de Dreux de la Maison Royale de France. (De Magny – Nobiliaire de Normandie Tome II p.487)
Ce renseignement est pris par de Magny dans La Chesnaye (tome XIII p.460) qui ajoute que cette dame était fille de Robert seigneur d’Esneval et Guillemette de Ségrie. De cette alliance sortirent un fils et trois filles. Le premier n’eut qu’un fils nommé Louis, seigneur des mêmes terres, marié à Marguerite le Venneur qui ne lui donna pas d’enfants. Il aurait eu ses tantes pour héritières ; l’une mariée au Sire de Bréauté, l’autre au Baron de Mailloc et la dernière successivement au sieur de la Bretonnière d’Ecajeul et au sieur des Varinières.
En 1460, Montfaut trouve à Monteille Henri Mannoury sans doute le père du précédent. Henry de Mannoury, chevalier, noble d’ancienneté, probablement le même, fut trouvé à Monteille en 1524 par les élus de Lisieux. Lors de sa recherche de 1540, aucun gentilhomme n’habitait plus dans cette paroisse.

Dans les Echiquiers de 1463 et 1464, Guillaume Mannoury du Trenblay, bâtard du Mont de la Vigne, ayant été approché en 1450 par le Général des Finances de la Province et par les Elus de Lisieux il fut déclaré noble en présence du procureur du Roy. (Houard – Dictionnaire de Droit normand III p.350)

Messire Jehan Mannoury, chevalier, capitaine de Lisieux, seigneur du Mont de la Vigne, figure dans les registres de l’Hôtel de Ville à la date du 11 février 1493.

François de Montmorency, lige des seigneurs de Hallot, comtes souverains de Lusse, possédait Crévecoeur et Monteille. Il épousa, 1ere : Jeanne de Montdragon, d’où trois fils et une fille, et 2e : Louise de Gebert, d’où une fille seulement, que sa mère veuve, maria en 1589 à René de Rouxelle, baron de Sache. (Duchesne – Histoire Générale de la Maison de Montmorency p.295)

Dans un aveu du 6 août 1601, figure comme seigneur, Messire Hamon de Mailloc, seigneur de Saint Denis, Monteilles et Mezeré.

Messire Jean d’Aisy, seigneur de Monteille 18 janvier 1660. (IIIe Registre de l’Ecaude)

Le fief du Mont de la Vigne –
La seigneurie, fieffée en 1708, à Monsieur de Bonneval et le domaine utile vendu à Monsieur de la Roque-Desnoyers, qui bientôt en fit la réunion. Il mourut en 1730 et ses enfants la vendirent en 1769 à Mademoiselle Harel qui épousa Monsieur Tesson.
On plaida pour les treizièmes montant à 16695 livres avec Messire Fergant, seigneur du fief dominant -1775- (Houard – Dictionnaire de Droit Normand II p.402)

Gilles de la Roque-des-Noyers seigneur, patron de Monteille, châtelain du Mont de la Vigne écuyer, conseiller secrétaire du Roi, maison et couronne de France et de ses Finances ; il avait épousé Dame Charlotte de Jort.

Messire Guillaume de la Roque, écuyer et seigneur de Monteille, châtelain des fiefs et terre et chastellerie du Mont de la Vigne et autres lieux, ayant épousé Noble Dame Catherine le Normand de la paroisse de Monteille, marie sa fille Jeanne Catherine de la Roque à Monsieur Thomas Hélie Harel, fils de M. du Mesnil Aumont de Barbery, diocèse de Bayeux. Dispense de mariage comme parents au 3e degré, le 7 janvier 1746, et de bans 5 janvier 1746.

Son fils Jacques Charles de la Roque, écuyer, seigneur et patron dudit lieu, seigneurs des fiefs, terres et chastellerie de Montfort, Mesnil Mauger en partie, demeurant au Mont de la Vigne, paroisse de Monteille, épouse après le décès de son père le 18 août 1757, damoiselle Marie Magdelaine Legrand de Chaloutières, fille de Maistre Bazille François Legrand de Chaloutière, avocat au Parlement et de Marie Magdelaine Leginzier de la ville de Laigle.

Noble dame Marie Madeleine Legrand de Chalouzière veuve et non héritière de Messire Charles Jacques Guillaume de Larocque, seigneur et patron de Monteille et du Mont de la Vigne, fille de Maître Bazille François Legrand de Chalousière 4 juin 1468
Maître Bazille François Legrand de Chalouzière, avocat, tuteur des nobles enfants mineurs de Messire Jacques Charles Guillaume de Larocques, escuyer seigneur et patron de Monteille. 1762.

Messire Jean Julien Tesson chevalier, seigneur de la Vieville, Boishébert et la Taillaye, seigneur et patron de Monteille et châtelain du Mont de la Vigne ayant épousé feue Damoiselle Marguerite Françoise Harel, adjudicataire de la terre et seigneurie de Monteille et du Mont de la Ville, contre Monsieur Fergant seigneur et patron de Querville et seigneur suzerain du fief et châtellenie de Montfort dit le Mont de la Vigne.(19 avril 1773)

Dispense de bans pour Messire Julien Jean comte de Tesson, écuyer ordinaire du Roy, seigneur et patron de Monteille, domicilié de fait à Saint Paul de Paris auparavant à Versailles et Monteille, et pour Damoiselle Anne Agnès Catherine Thérèze d’Aquin de la Launac, fille mineure de Messire Charles Jean d’Aquin de la Launac, chevalier, conseiller du roi en la cour des Comptes de ¨Paris et de Dame Anne Henriette Legrand de Vaux de Saint Paul de Paris 8 Mai 1780.

Références historiques :
1492, mars
Jean Mannoury, chevalier, seigneur du Mont-de-la-Vigne (à Monteille), capitaine du château de Bayeux, concède à Jean de Pattey, l’office de receveur des gages, pensions ordinaires et deniers de guet des villes et château de Bayeux.
= Bibl. mun. de Rouen. Martainville, Y 102, carton 52 (de Mannoury)
+ IND. M. NORTIER, Cahiers L. Delisle, XVI, fasc. 3-4, 1967, p. 44, n° 868.

1549
Aveux de la vicomté d’Auge
F° 192. – Monteilles, tenu du Mont de la Vigne…
= AD 14. A 281. Registre 517 ff.

1846. – archives SHL. 1F642:
22 juin 1846 : affiche pour adjudication de biens, ¬ succession Gannel (Drucourt et Thiberville, Monteille, Lécaude, ¬ St Jacques de Lisieux)

3 – AUTRES ARCHIVES SHL:

Archives SHL : Fonds Michel COTTIN :
15FA – 20 – Divers IV – Plans lignes de chemin de fer Mesnil-Mauger /Sainte-Gauburge; Lisieux / Trouville-Deauville. Documents divers sur les églises de Monteille etc.

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