SAINT MARTIN aux CHARTRAINS



NOTES sur SAINT-MARTIN-aux-CHARTRAINS – 14620

La commune de Roncheville fut supprimée par ordonnance du 1er juin 1828 et réunie à SAINT MARTIN AUX CHARTRAINS.

Le fief de Toutlaville, quart de fief assis en la paroisse de Saint-Martin-aux-Chartrains, possédé par Thomas de Blanvillain, sieur de La Ferrière.

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

– 1 – Bibliographie :

CAUMONT Arcisse de : Statistique monumentale du Calvados, réédition Floch, tome IV, pages 267 et 226.
CHAPPET Alain : Avec ceux de Lisieux et alentours dans les Armées de premier Empire ; BSHL N°55, Décembre 2003 (L.-F.-J. Pellegars)
Editions FLOHIC : Le Patrimoine des communes du Calvados page 1310

FOURNEE Dr. Jean, « Saint-Martin-aux-Chartrains – église », AAN, 145, 1987 (1988), pp. 21-22
(torchères de charité)

STATISTIQUE MONUMENTALE DU CALVADOS PAR ARCISSE DE CAUMONT

St.-Martin-aux-Chartrains, Sanctus Martinus ad Carnotenses. et affinium necnon et eorum quorum intererat manibus corroborari simul et omnibus insigniri precepi.
Datum XI kalendas octobris regnante Roberto rege feliciter. Actum Rothome. (Cartulaire de Notre-Dame de Chartres, a La Bibliothèque
imperiale, n°. 28, fonds des Cartulaires
).
Il n’est pas question de St.-Martin dans cette charte, ce qui me ferait supposer que la paroisse est un démembrement d’Anglesqueville
ou de Roncheville, fait, postérieurement à la donation de Richard II, par le Chapitre de Chartres. Le Chapitre aurait fait bâtir l’église de St.-Martin en même temps qu’il érigeait une nouvelle paroisse.
Cette paroisse tire son surnom de ce que la cathédrale de Chartres en avait le patronage.
L’église est intéressante.
Le choeur est roman, du XIIe. siècle. Le chevet était éclairé par une fenêtre cintrée, avec archivolte ornée de zigzags et portée sur colonnettes. Une autre fenêtre romane, mais sans colonnes, se montre dans le côté nord du choeur.
Du côté du sud, le sanctuaire est éclairé par une fenêtre, vraisemblablement de la première moitié du XIIIe. siècle, et qui est très-certainement une imitation des fenêtres du clérestory de la nef de Chartres : ce sont deux ouvertures subtrilobées, séparées par un meneau et surmontées d’une rose ; le tout encadré dans un cintre.
Une porte romane dont l’archivolte est ornée de zigzags donne accès au choeur, du même côté ; l’entablement est porté sur des modillons très-volumineux.
Ce choeur est voûté ; des arceaux toriques croisés consolident les voûtes, qui sont ogivales et peut-être des dernières années du XIIe. siècle. L’arc triomphal est à plein-cintre.
La nef, composée de quatre travées, n’a que des voûtes en bois; elle a été retouchée ou refaite en partie au XIIIe. siècle; la dernière travée, près du choeur, est éclairée, au nord et au sud, par des lancettes géminées réunies sous une arcade.
Des fenêtres, du XVII. siècle, à deux baies ont été ouvertes au sud dans deux autres travées, et dans une autre on voit une fenêtre carrée.
La porte occidentale est de la fin du XV.. ou du XVIe. siècle.
La tour, en bois, avec flèche couverte en ardoise, s’élève sur la première travée de la nef ; mais elle se trouvait, il y a quelques années, sur la dernière travée près de l’entrée du choeur.
La cloche de St.-Martin-aux-Chartrains porte l’inscription
suivante :
MESSIRE BERNARD MARIE GABRIEL IVBERT DE BOVVILLE SEIGr ET PATRON
DE S’ MARTIN AVX CHARTRAINS EN QVALITÉ DE PREVOT DE NORMANDIE EN
L’ÉGLISE DE CHARTRES IAY ÉTÉ BENIE PAR Me JEAN FRANÇOIS DE LANNOY
CVRÉ DE CE LIEV ET NOMMÉE IEANNE IOSEPH PAR MESSIRE IOSEPH CHAVFFER
DE St MARTIN CHF. ER SEIG R DE LEPINEY TOVTLAVILLE ET AVTRES
LIEVX ET PAR NOBLE DAME JEANNE DE BREVEDENT VEVVE DE MESSIRE
IEAN FRANÇOIS DE PELGAS ECVIER Sr DV MIROVET MICHEL BVTARD TRESORIER.
LAVILLETTE DE LISIEVX M’A FAI EN L’ANNÉE 1738.
Le maître-autel, décoré de colonnes corinthiennes et surmonté d’un fronton coupé, peut dater du temps de Louis XIV.
Il existe deux autres autels plus petits, à droite et à gauche de l’arc triomphal, l’un dédié à la Sainte Vierge, l’autre à saint Sébastien. Derrière ces autels, le mur est tapissé de découpures qui ont appartenu , selon toute apparence, à un ancien retable qui a précédé l’établissement de l’autel à colonnes du choeur. Cette conjecture a été confirmée par l’ancien tabernacle hexagone, du XVIe. siècle, en style flamboyant et en bois, qui se trouve dans les greniers du presbytère et dont le style s’accorde avec celui des applications flamboyantes dont je viens de parler.
Les greniers du presbytère, que le nouveau curé de St-Martin, M. Samson, a bien voulu parcourir avec moi, renferment un certain nombre d’autres débris, notamment un vase à eau bénite en bronze et deux encensoirs en cuivre dont un ( V. la page suivante ) doit être de la première moitié du XVII. siècle ; c’est le troisième du même type que j’ai trouvé, depuis quelque temps, dans les sacristies de l’ancien diocèse de Lisieux.
On voyait dans l’église de St.-Martin une statue équestre du patron, sculptée en calcaire de Caen et peinte à l’huile, il n’y a pas bien long-temps, qui a été replacée en-dehors, dans un porche qui précède l’entrée occidentale de la nef : je ne crois pas que cette statue soit antérieure au commencement du XVIIe. siècle, mais elle ne manque pas d’intérêt, et il serait utile de la replacer dans l’église ; il serait facile de la fixer sur le mur de la nef, du côté nord, à moins qu’on ne préfère la mettre au-dessus du portail ; elle serait mieux à l’intérieur.
Le presbytère est assez important; une terrasse murée enclot le jardin, et la cour est spacieuse ; le Chapitre de Chartres avait voulu que le curé du lieu fût confortablement logé. Le prévôt de l’église de Chartres nommait à la cure.

Château.
— Le petit château seigneurial de St.-Martin est situé à environ 500 mètres à l’est de l’église : c’est un pavillon bâti en briques et en silex qui peut remonter au règne de Louis XIV. Il appartient à la veuve de M. de Saint-Martin.

Vestiges d’antiquités romaines.
— M. Lemétayer-Desplanches, membre de la Société française d’archéologie, m’a dit avoir vu des tuiles à rebord dans les terres labourées
de St.-Martin. J’ai remarqué moi-même une brique de grande dimension, et probablement romaine, dans la maçonnerie de l’église : ce qui confirme l’observation de M. Lemétayer, car cette brique a dû être ramassée dans le voisinage avant d’avoir été mêlée aux pierres de l’appareil.

SAINT-MARTIN-AUX-CHARTRAINS. – De Caumont parle d’un très ancien château situé au hameau de Roncheville, dont il ne reste plus aucun vestige (3).
(3) Caumont, Stat. mon., IV, p. 231 et 275. – Doranlo, Camps, p. 810.

2 – Pièces Justificatives :

1540 RECHERCHE DES NOBLES DE L’ELECTION de LISIEUX
Faite en 1540…
Saint-Martin-aux-Chartrains
280. Jacques du Mesnil, a produit un anoblissement, donné en mai 1485, à Pierre du Mesnil, qu’il a dit être son père, pour 20 l. ts par lui payées, joûte la quittance; et il s’est submis vérifier être fils légitime du dit Pierre anobli. Ainsi requis par le procureur du Roi.
= LABBEY de LA ROQUE.- Recherche faite en 1540, par les Elus de Lisieux des nobles de leur Election, Caen, Poisson, 1827, In-8°, 170 p.

1550 – Saint-Martin-aux-Chartrains, Coudray
Aveux rendus à la seigneurie du Coudray pour terres à Saint-Martin-aux-Chartrains.
= Arch. SHL. FL 770.

1554, 16 juin – Saint-Martin-aux-Chartrains, Coudray
Aveux rendus à la seigneurie du Coudray pour terres à Saint-Martin-aux-Chartrains.
= Arch. SHL. FL 770.

1603, 19 juin – Saint-Martin-aux-Chartrains, Coudray
Aveux rendus à la seigneurie du Coudray pour terres à Saint-Martin-aux-Chartrains.
= Arch. SHL. FL 770.

1648 : 17 mai 1648.
Archives SHL : 1F263 : 17 mai 1648 : Jean Chauffer demeurant à St Martin aux Chartreux vend à André Launoy (Pont l’Evêque) 2 pièces de terre en pré.

1648, 13 juillet –
Florent Brunet, boucher, demeurant à Saint-Martin-aux Chartrains, adhère à une clameur lignagère qui lui avait été (signigiée)? par le sergent Janon requête de Guillaulme Ballan, écuyer, sieur des Prays, conseiller du Roy, lieutenant de robe courte en la prévôté générale de Normandie, à propos d’une portion de terre nommée le Pré des Aulnaies, à Canapville, vendue le 21 avril 1648.
= Arch. 9 FB – 6 – Familles. Notes ms. Et. DEVILLE.

1664, 26 décembre.
Devant les tabellions de Pont-l’Evêque et Touques, Jean de Carville, écuyer, demeurant à Ners, vicomté de Falaise et Olivier Guérin, écuyer, sieur de Saint-Léger, procèdent au partage de la succession de feu noble homme Guillaume Ballan. Le premier lot comprenant le lieu où ledit Ballan faisait sa demeure, comprenant 8 corps de logis et huit et huit tonnes se trouvant dans la maison; 11 pièces de terre, le Moulin de Tacue (ou Tacul) avec ses droitures et dépendances.
Le 2e lot 18 pièces de terre sises à Canapville, Englesqueville et Saint-Martin-aux-Chartrains et des rentes annuelles en argent et en nature s’élevant à la somme de 154 livres 10 sols 6 deniers, 6 poules et 1 chapon.
Les héritiers devaient payer à Marie Corneille, chacun 400 livres pour sa part de la succession par chacun an. Jean de Carville, en qualité d’aîné choisit le premier lot. L’acte est passé à Canapville le vendredi après midi 26e jour de décembre 1664, en présence de Pierre Ballan, sieur de la Champaigne, demeurant à Honfleur et Jean Cavelier, demeurant à Canapville.
= Arch. 9 FB – 6 – Familles. Notes ms. Et. DEVILLE. Parch. 16 ff.

1694, 4 octobre – Le Coudray
Le 4 octobre 1694, la nomination à la cure de Saint-Pierre de Coudray appartenant au seigneur du lieu, Messire Louis-Gaspard Auber, conseiller du roy en son parlement de Normandie, seigneur et patron de Trémauville, Géfosse et Coudray, etc. nomme à ladite cure de Coudray, vacante par la mort de Mre… de Neufville, dernier titulaire, la personne de Me Gourgon Louvet, prêtre du diocèse de Bayeux, habitué en l’église saint-Sauveur de Caen. Fait et passé au Bourg-Achard.
Le 13 octobre 1694, le seigneur évêque donne aud. sieur Louvet la collation dud. bénéfice.
Le 26 octobre 1694, le sieur Louvet prend possession de la cure de Coudray en présence de Mre Jean Bonnant, prêtre, desservant lad. paroisse; Me Michel de Queudeville, prêtre, curé de Saint-Germain de Manneville-la-Raol (Manneville-la-Raoul), bachelier en théologie; Me François Castillon, prêtre, curé de Saint-Thurien en Romois, et Charles du Mesnil, Escuyer, de la paroisse Saint-Martin-aux-Chartrains, et autres témoins.
= abbé PIEL, Inventaire historique…, t. I, p. 108, N° 143

1770
Plan de partie des paroisses de Coudray, Saint-Martin et Saint-Gatien.
= Arch. SHL. FL 759.

1848. – Archives SHL. 1F802 :
1848 : Enquête commerciale, artisanale et industrielle concernant la région de Pont-l’Evêque (Bonneville, Canapville, Clarbec, Drubec, Englesqueville, Pont-l’Evêque, St Arnoult, St Hymer, St Etienne la Thillaye, St Martin aux Chartrains, Ste Melaine, Surville, Tourgéville, Touques, Tourville, Trouville, Villerville.

Les possessions du chapitre de Chartres au pays d’Auge.
Autrefois paroisse de la généralité de Rouen. élection de Pont-l’Evêque, sergenterie d’Aragon, archidiaconé de Pont-Audemer et
doyenné de Touques. 51 feux ; actuellement commune, canton et arrondissement de Pont-l’évêque. 270 habitants

Outre sa seigneurie qui appartenait au grand prêvost de Chartres la paroisse possédait une terre noble, celle de Toutlaville. dont le Chef lieu un joli manoir en brique et silex noir.
Cette terre assez importante était au XVII° siècle aux mains de l’antique race normande des Marguerye. originaire de la Basse-Normandie et alliée dans une de ses branches à la famille de Jeanne d’Arc (Jean de Marguerye. dit l’auteur connu de cette famille, vivait en 1004 ; armes : d’azur à 3 marguerites le prè d’argent 2 et 1).
Le 8 mai 1633, devant les tabellions d’Honfleur. Cuillaume Marguery Escs de Saint-Gilles et de Toutlaville vendit ce fief— un demi-fief de chevalier avec basse justice, regard de mariage, etc. — à M. Thomas Blanvillain Sr de la Forière, bourgeois d’Honfleur et conseiller au gouvernement de cette ville, moyennant 14000 livres (il avait épousé Marie Guimer).
L’acquéreur, qui prit alors le titre de sieur de Toutlaville. fut anobli par lettres de juin 1648; un siècle après.
le 4 avril 1748, les héritiers de sa petite-tille Mme Vaultier de Vaulaville. vendirent cette terre à M. Chauffer de Lépiney. elle est actuellement la propriété du célèbre peintre Gérôme ((21 Ibid. C’est Mme de Boishebert. née Chauffer de Saint-Martin, qui a vendu Toutlaville.

3 – Archives ShL:

PANNIER Arthème : voir Archives SHL, NE12, 2e carton.

Carnets de Charles Vasseur : « Doyenné de Touques » :
7 – SAINT MARTIN AUX CHARTRAINS – S.Martino ad Carnotenses – S.M. de Carnotensibus

Patronage:
14e – 16e et 18e : propositus Normaniae in Ecclesia Carnotensi

Curés:
Delaunay 1764
Jean-Fraçnois de Lannov des Barres, d’une famille notable du pays d’Auge; il résigna sa cure le 17 août I764 (2)
(2) Famille notable du pays d’Auge, connue depuis Benoist 1er,
anobli en 1467 seigneur de Criqueville, Bois-Louvet, aux armes : d’argent à trois fasces de gueules.(Archv. de Lierremont)

Vasse 1764-1787 – qui vivaient encore en 1791 refuse à l’envi le serment schismatique. (Insinuations de Lisieux).,

Voir Charité de Surville

Election de Pont l’Evêque sergenterie d’Aragon, comptait 1 feu privilégié et 50 feux taillables.

Insinuations:

Description de l’église par Pannier et une autre de août 1860

Description de la cloche de St Martin aux Chartrains
Messire Bernard Marie Gabriel Hubert de Bouville, seigneur et patron de St Martin aux Chartrains en qualité de prévôt de Normandie en l’église de Chartres, j’ai été bénie par Messire Jean François de Lannoy, curé de ce lieu, et nommée Jeanne Joseph par Messire Joseph Chauffer de St Martin, chevalier et seigneur de l’Epiney, Toutlaville et autres lieux et par Noble Dame Jeanne de Brévedent, veuve de Messire Jean François de Pelgas, ecuier, seigneur du Mirovet (ou Mirouet).
Michel Butard, trésorier.
Lavillette me fai en l’année 1738

Description de la cloche de Vauville
J’ai été nommée par Gabriel François Boestard de Prémagny, écuyer, seigneur de Vauville… Duquesne et de Grangue Pr Dom de Mong le Duc d’Orléans, seigneur de cette paroisse et Dame Marie Brochard de Pont l’Evêque, Charle le Lièvre curé de ce lieu ma bénite. JB Paulmierr, trésorier. Les Dubois M.F en 1723
Ecusson du fondeur : Claude Dubois.

Aveu rendu à Vénérable et Discrète Personne Messire Guy Fumée, chanoine, grand prévôt de Normandie en l’église de Notre Dame de Chartres, à cause d’ycelle dignité, seigneur et patron des terres et seigneuries de St Martin aux Chartrains et Englesqueville par Jehan de Barneville, boucher de la paroisse de Sainct Arnoult comme représentant Jehan Taillebot, pour un pray de trois perches, situé à St Martin, borné par Michel Orieult, à cause de sa femme, les représentants de feu Charles Descelliers, écuyer, seigneur de Plainchesne, Jehan Deshayes et la rivière de Toucque, sujette au terme St André à l’équipollent et au prorata de deux sols six deniers de rente pour vergée et de pied à perche, fenou, et charrier les foings, croissant au prey.. … appartenant audit seigneur, y celluy tasser dans la grange du lieu de Sainct Martin, charrier et porter les matières nécessaires pour la réparation de ladite grange quand le cas s’y offrira « pourvu que en partant de ma maison a solleil levant je puisse être de retour à solleil couchant et à servir les ouvriers réparant ladite grange » foy, hommage, obéissance de Court et Usage, reliefs, treizièmes, le tout suyvant lajancement faict par ….. seigneur avec ses hommes et subiectz »
Aux ples de St Martin tenus sur les fiefs, sur une court assise en ladite paroisse appartenant à Robert Hérouard par André Lefournier, licencié es droits, lieutenant des eaux et forestz en la Vicomté d’ Auge, sénéchal, présence de Maître Adrian Loisnel, advocat pris pour adjoint le 21 juillet 1601.
(Original sur un double feuillet de parchemin communiqué par M. Vasseur le 3 août 1869)

3 février 1767 mourut âgé de 58 ans à Rouen, sa patrie, Etienne François Boistard de Prémagny, syndic et doyen du collège des Avocats de la Cour des comptes, aides et finances de Normandie, titulaire et ancien directeur de l’Académie des Sciences, Arts et Belles Lettres de Rouen, conseiller échevin et administrateur de l’hôpital général de cette ville. Un des principaux mémoires qu’il a laissés et sur l’historien Joseph et sur le Vulgate. (Lange).