ANGERVILLE

NOTES sur ANGERVILLE – 14012


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Archives Calvados.
Angerville (Calvados)
Canton actuel : Cabourg
Arrondissement actuel :Lisieux
Code INSEE : 14012

ANGERVILLE:
I. Dioc, de Lisieux.
Baill. et maîtrise de Pont-l’Évêque. Gr. à sel de Danestal. – Gén, et int. de Rouen; él. et subd. de Pont-l’Évêque.
II. Distr. de Pont-l’Évêque; canton de Bonnebosq ( Arrêté du 1er mars 1790 ). III. 3 arr. communal (Arr. de Pont -l’Évêque ); canton de Bonnebosq ( Loi du 28 pluviôse an VIII ); canton de Dive-(Dozulé) ( Arrêté du 6 brumaire an X).
Pop . 189 hab . (1911 ). Sup.: 390 hect . 86 a. 72 c.
ADMn Gale . Délibérations, depuis le 20 brumaire an III. Un registre antérieur commencé en 1790, mentionné par l’inventaire arrêté le 20 juin 1862 , n’a pu être retrouvé .
ÉTAT-CIVIL. Baptêmes, mariages et sépultures, depuis 1669 .
Audience de contrat . 1681 .
IMPOSITIONS. Des états de sections de l’an II (Reg., 52 fol.), cote G. 9 du même inventaire, n’ont pu être retrouvés .

Adigard des Gautries Jean, Lechanteur Fernand. Les noms des communes de Normandie – II
51. — Angerville (Dozulé, C.) :
Ansgervilla [fin du XI° s.] : A. d. G., NPSN, p. 442.
Nom formé soit sur n. h. vx-sc. Asgeirr, soit sur n. h. francique
Ansger (de Ansgari). une confluence des deux noms étant possible (A. d. G., NPSN, p. 186-189).

ANGERVILLE OU Angerville-en-Auge canton de Dozulé.
Ansgerii Villa, 1079 (Orderic Vital, t. II, p. 312).
Angervilla, 1230 (parv. lib. rub. Troarn. n°12 ).
Angiervilla, 1234 (ibid. n° 18).
Ansgervilla, 1269 (cart. norm. n° 767, p. 173).
Angerville-l’Auricher, 1320 (rôles de la vicomté d’Auge).
Angovilla, XVI° siècle (pouillé de Lisieux, p. 5 a).

Par. de Saint-Léger, auj. de Saint-Martin;
patr. le duc de Normandie, puis le chap. de Notre-Dame de Cléry.
Dioc. de Lisieux,
doy. de Beaumont.
Génér. de Rouen,
élect. de Pont-l’Évèque,
sergent.de Dive.

Lieux-dits d’ANGERVILLE.
Enclave (L’), h.Lieu-des-Perrons (LE), h. – Forge-Moisy (La), q. – Haut-de-Coquerel (LE), h. – Lieu-Marmion (LE), h. – Lieu-Quérel. (Le) h – LIEU-VASSAL (LE), h.- Moulin-Troussel, Moulin –

Rôle des Fiefs de la vicomté d’Auge 1620 – 1640:
– Plein fief de chevalier, mouvant de la vicomté d’Auge et ressortissant à la sergenterie de Dive.
Auricher, autre fief tenu du roi, acquis d’Henri des Ylles par Philippe d’Harcourt; vavassorie mouvante de la vicomte d’Auge, ainsi que le fief dit le fief Colin, 1155 (Brussel).
Fief Blesmare et moulin de Troussey relevant du fief de Pré-d’Auge.
Le fief d’Auricher, plein fief assis à Angerville, possédé par Anthoine Dhemery, seigneur de Villers.
– Au fief du Pré-d’Auge relève : Le moulin Troussey, 8° de fief assis à Angerville.
– No 53.- La vavassorie de Bézu, assise à Angerville, tenue par les hoirs Jean Andrien Duquesne.
– No 54. – La Vavassorie qui fût maître Pierre Le Lieur, assise à Angerville, tenue par Mr Duquesnay, procureur au Parlement.
– No 55. – Le fief de Boscrabasse, assis à Angerville.

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

Bulletin de la Société historique et archéologique de l’Orne. GÉNÉALOGIE DE LA FAMILLE TURGOT

De CAUMONT Arcisse : Statistique monumentale du Calvados réédition FLOCH, tome IV, page 80.
Editions FLOHIC : Le patrimoine des communes du Calvados, page 699.
Voir : Beaurepaire – Agriculture p.165 – 294
Congrès Archéologique 1870 p.102

Voir :
Beaurepaire – Agriculture p.165 – 294
Congrès Archéologique 1870 p.102

STATISTIQUE MONUMENTALE DU CALVADOS PAR ARCISSE DE CAUMONT
Angerville, Ansgerivilla, Hansgerivilla.

L’église d’Angerville se compose d’une nef et d’un choeur plus élevé et plus étroit qu’elle, avec chevet rectangulaire.
La nef est peu caractérisée ; les fenêtres ont toutes été refaites à diverses époques, les unes carrées, les autres cintrées.
Une tour en bois avec une petite flèche couverte d’ardoises s’élève à l’extrémité occidentale, portée sur le mur de façade et sur une charpente dont l’étendue, à l’intérieur, correspond à la première travée. Je suppose que la porte qu’on voit à l’ouest, et qui est moderne, n’existait pas dans l’origine, car un contrefort a été coupé pour l’établir.
Peut-être entrait-on du côté du sud, quoique l’on ne voie pas de traces de cette entrée dans les murs.
Le choeur a, de chaque côté, deux fenêtres ogivales. assez grandes subdivisées en deux baies par un meneau bifurqué ; une fenêtre arrondie et beaucoup moins ancienne, car elle a motivé le raccourcissement du contrefort central, existe au milieu du chevet.
Peut-être le choeur peut-il remonter jusqu’au XIVe. siècle ou la fin du XIIIe. Quant à la nef, elle doit être un peu plus ancienne dans ce qui reste des murs primitifs au milieu des retouches qu’on y a faites.
La voûte de la nef est en merrain ; on a plâtré celle du choeur. Deux autels se trouvent entre le choeur et la nef, près de l’arc triomphal Un d’eux a été refait, il y a quelque temps, en marbre blanc, pour la somme de 900 fr. On doit regretter une pareille dépense.
Les fonts baptismaux me paraissent anciens; ils se composent d’une cuve cylindrique portée sur un piédestal de même forme, d’un diamètre un peu moins considérable ; quelques- moulures, du reste fort simples, ornent le pourtour de la cuve au point où elle repose sur le piédestal.
On voit une certaine quantité de tableaux dans l’église d’Angerville. Le curé actuel, M. l’abbé Gaugain, en attribue plusieurs à un de ses prédécesseurs nommé Perrée, qui vivait au commencement du XVIIIe. siècle. Un autre tableau beaucoup meilleur, et dont on ne connaît pas l’auteur, représente l’Annonciation.
L’église d’Angerville dépendait du doyenné de Beaumont; elle est sous l’invocation de saint Léger. Le duc de Normandie nommait à la cure au XIVe. siècle. Plus tard, le roi, puis le chapitre de Cléry eurent ce privilège.
Il y avait 2 feux privilégiés et 39 feux – taillables à Angerville. La paroisse faisait partie de la sergenterie de Dives et de l’élection de Pont-l’Évêque.
On remarque dans le cimetière un assez bel if, du côté du sud, à la hauteur du choeur.
ANGERVILLE. – De Caumont a signalé une motte dans la vallée, auprès de l’église (Caumont, Cours, V, p. 113 ; A. N., 1843, p. 167 ; B. M., 1843, p. 303; C.A.F., 1870, p. 102).

2 – Pièces Justificatives:

Inventaire historique des actes transcrits aux insinuations ecclésiastiques de l’ancien Diocèse de Lisieux.
180. – Le 20 nov. 1694, la nomination à la cure d’Angerville, appartenant au Chapitre de N.-D. de Cléry, les srs chanoines nomment à lad. cure, vacante par la mort de Me Paul Duclos, dernier titulaire, la personne de Me Jean Perrée, pbfë du diocèse de Lx, habitué en l’église collégiale de Cléry.
Le 28 décembre 1694, Mr. François de Carbonnel, vie. gl. de Lx donne aud. sr Perrée la collation dud. bénéfice.
Le 10 janvier 1695, le sr Perrée prend possession de la cure d’Angerville, en présence de Me Nicolas-François Morel, pbfë, desservant en icelle, Roland Dauge, Escr, sr de Marimond, demeurant à Angerville, et autres témoins.

41 0. – Le 13 sept. 1707, Me Gabriel de Grosourdy de Marimont, diacre, chanoine prébende en la Cathédrale, obtient en cour de Rome des lettres de provision de la chapelle simple de N.D. du Montbottin, sise en la parr. d’Angerville et vacante par la résignation faite en sa faveur par Mesre Nicolas de Hally, diacre, dernier titulaire, qui s’est réservé toutefois une pension annuelle de 450 livres à prendre sur les revenus de ce bénéfice.
Le 14 nov. 1707, le seigr évêque donne son visa auxd. lettres de provision.
Le même jour, led. sr de Grosourdy prend possession dud. prieuré, en présence de Me Christophe Courtin, pbfë, chapelain en la Cathédrale ; Me Robert Inger, pbrë, curé du Mesnil-Erreux, diocèse de Séez ; Me Jean Senose, pbrë, desservant la chapelle dud. prieuré ; Me Yves Du Lys, conser du roy, président en l’élection de Lx ; Henry Rousseau, Escr, sr des Fontaines, lieutenant de cavalerie au régiment de Marcillac, et François d’Ecosse, sr de la Hide, aussi lieutenant du même régiment.

Curés. – P. Duclos – J. Perrée.
Prêtre desservant. – N.-F. Morel.
Patron. – Le Chapitre de Cléry.
Seigneur. – R. R. Dauge de Marimond.
Prieuré de N.-D. du Montbottin. – Prieurs. – N. de Hally – G. de Grosourdy de Marimond -Patron.
L’abbaye de Longpont – Prêtre desservant ledit prieuré – J. Senoze.

303. – Le 18 avril 1712, vu l’attestation du sr Perrée, curé d’Angerville, dispense de bans pour le mariage entre lves Blacher, demeurant à Hérouville, diocèse de Bayeux, fils de feu Me lves Blacher et de damlle Catherine Legrand, d’une part, et damlle Marguerite Dauge, fille de feu Rolland Dauge, Escr, sr de Marimont, et de feue damlle Jeanne Baffard, de lad. parr. d’Angerville.

314. – Le 16 oct. 1717, Mesre Gabriel de Grosourdy de Marimont, diacre, chanoine prébende de Verson (1re P.) et trésorier de la Cathédrale et aussi prieur du prieuré ou chapelle simple de St-Eutrope du Montbottin, en la parr. d’Angerville, donne sa procuration pour résigner led. prieuré entre les mains de N.-S.-P. le pape en faveur de son neveu, Me Guillaume Le Dorey, acolyte, demeurant à Lx. Il se réserve toutefois 400 livres de rente viagère. Fait à Lx en la maison de Mme Le Dorey, mère dud. acolyte, en présence de Mesre Gilles Le Diacre, Esc, seigr de Martinbosc, conser du roy, lieutenant général au bailliage de Pont-l’Evêque et y demeurant.

360. – Le 3 février 1718, le seig, évêque donne son visa aux lettres de provision du prieuré du Montbottin, obtenues en Cour de Rome par Me Gilles Le Dorey, acolyte.
Le 8 février 1718, le sr Le Dorey prend possession dud. prieuré simple de St-Eutrope du Montbottin, sis en la parr. d’Angerville, en présence de Me Gilles Le Diacre, Esc, sr de Martinbosc, conser du roy, lieutenant général à Pont-l’Evêque ; Me Jean Perrée , pbfë , curé d’Angerville ; Pierre Fortin, officier de dragons, de la parr. d’Angerville, et Martin de la Reue, aussi de lad. parr.

Curé. – J. Perrée.
Notables. – R. Dauge de Marimond – P. Fortin – M. de la Reue.
Prieuré de Saint-Eutrope du Montbottin. – Prieurs. – G. de Grosourdy de Marimond – G.F. Le Dorey.

785. – Le 3 juin 1729, la nomination à la cure de St-Léger d’Angerville appartenant au chapitre de N.-D. de Cléry, les srs chanoines nomment à cette cure, vacante par la mort de Me Jean Perrée, pbrë, dernier titulaire, la personne de Me Pierre Godin, pbfë du diocèse de Lx et ancien habitué en lad. collégiale.
Le 21 juillet 1729, Mre Pierre Leboucher-Dumesnil, vicaire général donne aud. sr Godin la collation dud. bénéfice.
Le 24 juillet 1729, le sr Godin, demeurant en la parr, de N.-D. des Prés, prend possession de la cure d’Angerville, en présence de Me Jean de Longpré, conser du roy, élu en l’élection de Bernay, demeurant en lad. ville, et autres témoins.

780. – Le 6 juin 1729, Me Pierre Guilbaud, pbrë du diocèse de Nantes, chanoine de la Pommeraye en la Cathédrale de Lx, obtient en Cour de Rome des lettres de provision du prieuré simple de St-Eustache du Montbottin, vacant par la résignation faite en sa faveur, pour cause de mutuelle permutation, par Me Gilles-François Le Dorey, pbrë, dernier titulaire.
Le 12 oct. 1729, le seigr évêque donne aud. sr. Guilbaud la collation dud. bénéfice.
Le 30 nov. 1729, Ied. sr Guilbaud, pbrë, chanoine de la cathédrale de Verdun, conser au parlement de Paris, demeurant en son hôtel, quai de Bourbon, à Paris, et représenté par Mre Alexandre Dubuisson, pbrë, chanoine de Lx, prend possession du prieuré du Montbottin, parr. d’Angerville, en présence de Me Jean-Baptiste Satis, tabellion royal à Beaumont, y demeurant, et plusieurs autres témoins.

1333. – Le 20 mars 1732, la nomination au prieuré du Montbottin appartenant au seigr abbé de Longpont, diocèse de Soissons, Mgr Louis de la Vergne de Tressan, archevêque de Rouen et abbé de Longpont, nomme aud. prieuré simple, Ordre de Cîteaux, vacant par la mort de Dom Pierre Guilbaut, conser-clerc au parlement de Paris , dernier titulaire, la personne de Dom Gabriel-François de Montaubon, pbfë, religx profès de l’Ordre de Cîteaux, demeurant à Paris, au collège dud. Ordre, rue des Bernardins.
Le 3 avril 1732, led. sr de Montaubon, représenté par Dom Charles Pierrat, pbfë, relig. profès dud. Ordre et prieur de l’abbaye du Val-Richer, diocèse de Bayeux, prend possession dud. prieuré simple de Se Eutrope du Montbottin, en la parr. d’Angerville.

1311. – Le 30 oct. 1732, la nomination à la cure de St-Léger d’Angerville appartenant au Chapitre de N.-D. de Cléry, les srs chanoines de lad. collégiale nomment à cette cure, vacante parla mort de Me Pierre Godin, dernier titulaire, la personne de Me Guillaume Hébert, pbfë du diocèse de Lx, habitué en leur Eglise.
Le 16 déc. 1732, le seigr évêque donne aud. sr Hébert la collation dud. bénéfice.
Le 17 déc. 1732, le sr Hébert prend possession de la cure d’Angerville, en présence de Me Jacques Bizey, pbfë, desservant lad. parr., et autres témoins.

1333. – Le 2 mars 1733, la nomination au prieuré simple du Montbottin, Ordre de Citeaux, en la parr. d’Angerville, appartenant au seigr abbé de N.-D. de Longpont, Mgr Louis de la Vergne de Tressan, archevêque de Rouen et abbé commendataire de lad. abbaye, nomme aud. prieuré, vacant par la mort du R. P. Gabriel-François de Montaubon, pbrë, religieux dud. Ordre, la personne de R. P. Antoine Faure d’Alouis, aussi pbrë et religieux de l’abbaye de Clairvaux, bachelier en théologie de la Faculté de Paris.
Le 12 mars 1733, led. sr Faure d’Alouis, demeurant à Paris, au collège des Bernardins, représenté par Dom Charles Pierrard, pbrë, prieur de l’abbaye du Val-Richer, Ordre de Citeaux, y demeurant, parr, de St-Ouen-le-Peing, prend possession de la chapelle du prieuré du Montbottin avec toutes les cérémonies accoutumées, en présence de plusieurs habitants du pays. Cette prise de possession fut faite par le ministère de Me Jean Morel, tabellion à Cambremer, à cause de la maladie de Me Pierre Duhamel, notaire apostolique. Mais quand celui-ci fut rétabli, le 1 er avril suivant, la cérémonie de prise de possession du prieuré de St-Eutrope du Montbottin, fut renouvelée dans tous ses détails.

1403. – Le 7 avril 1733, M6 Paul Bernard de Grandmaison, clerc du diocèse de Nantes, obtient en cour de Rome des lettres de provision per obitum du prieuré simple de St-Eutrope du Montbottin, diocèse de Lx, vacant par la mort de Pierre Guilbaud, dernier prieur commendataire.
Le 19 avril 1734, led. sr Bernard, clerc du diocèse de Nantes, demeurant à Paris, au collège de la Marche, et représenté par Me Robert Mesnier, pbfë de la parr, de St-Germain de Lx, prend possession du prieuré du Montbottin en la parr. d’Angerville, par la prière faite devant la porte de la chapelle dud. lieu et le toucher de lad. porte, la clef ayant été refusée par le fermier des biens dud. prieuré. Dom Michel Rouxel, pbfë, religieux de l’abbaye du Val-Richer, agissant au nom et comme représentant de Dom Antoine Fauvre, religieux de Clairvaux, prieur titulaire du prieuré du Montbottin, nommé par le seigr abbé de Longpont, se présente et déclare s’opposer formellement à lad. prise de possession. Le sr Mesnier proteste de nullité lad. opposition. Fait et passé dans la cour du prieuré, en présence de Me Jean Du Lys, pbre, curé de Heulland, et autres témoins.

1497. – Le 18 mai 1731, Paul Bernard de Grandmaison, fils de François Bernard, conser du roy, et de dame Jeanne Guilbaud, de la parr. St-Laurent de Nantes, reçoit la tonsure et les ordres mineurs.
Le 11 mars 1734, les vicaires généraux, en l’absence du seigr évêque, donnent leur visa aux lettres de provision du prieuré simple de S’ Eutrope du Montbottin, obtenues en cour de Rome, le 7 avril 1733, par led. sr Bernard, en conséquence de la démission faite en sa faveur par Me Pierre Guilbaud, dernier titulaire.

379. -Le 21 août 1740, Mesre Jean Bedeau de Lécochère, clerc du diocèse de Nantes, prieur des prieurés simples de St-Denis de Mauve et de St-André de Carquefou, aud. diocèse, obtient en cour de Rome des lettres de provision du prieuré simple de St-Eutrope du Montbottin, en la parr. d’Angerville, diocèse de Lx ; led. prieuré vacant par la résignation faite en sa faveur par Me Paul Bernard de Grandmaison, clerc tonsuré et dernier titulaire.
Le 16 oct. 1740, le seigr évêque donne son visa auxd. lettres de provision.
Le 18 oct. 1740, le sr Bedeau prend possession dud. prieuré du Montbottin, en présence de Me Guillaume Hébert, pbrë, curé d’Angerville, et autres témoins.

Curés. – J. Perrée – P. Godin – G.Hébert.
Prêtre desservant – J. Bizey.
Patron. – Le chapitre de Cléry.
Prieuré de Saint-Eutrope du Mont-Bottin. – Prieurs. – G. de Grosourdy de Marimont – G. -F. Le Dorcy – P. Guilbaut – G -F. de, Montaubon – A. Faure d’Alouis – P. Bernard de Grandmaison – J. Bédcau de Lecochère.
Patron. – Le prieur deLongpont.-L.de la Verge de Tressan.

335. – Le 19 sept. 1752, vu l’attestation du sr Farcy, vicaire de Beaufour, et du sr Hébert, pbrê, curé d’Angerville, dispense de bans pour le mariage entre Jacques de Perceval, Escs., sr de la Bouffardière, fils de feu Guillaume de Perceval, Escr, et de feue noble dame Anne-Aimée de Courseulles, de la parr, de Beaufour, d’une part, et Marie-Françoise Clémence, fille de feu Jean Clémence et de Marie Moulin, de la parr. d’Angerville.

105. – Le 2 oct. 1758, Me François Couillard de la Rive, pbrë du diocèse de Nantes, chanoine de la collégiale de N. D. de Nantes, obtient en cour de Rome des lettres de per obitum du prieuré simple de St-Eutrope du Montbottin, en la parr. d’Angerville, diocèse de Lx, vacant par la mort de M Jean-Ignace Bedeau de Lecochère, pbrë, dernier prieur commendataire.
Il est autorisé à conserver ce bénéfice avec son canonicat.
Le 2 mai 1759, Mre Renault, vie. gl., donne son visa auxd. lettres de provision.
Le lendemain, le sr Couillard de la Rive prend possession du prieuré de Montbottin, ordre de Cluny, « par la libre entrée de la chapelle d’icelluy prieuré, prise d’eau bénite, prière à dieu devant l’autel, baiser d’icelluy, touchant le Missel, son de la cloche, entrée en la maison prioralle ou led. sr prieur a bu et mangé avec nous, écrit le notaire, et a fait du feu et fumée dans la maison manable, de là au jardin où led. sr de la Rive a fait émotion de terre, effraction d’arbres et autres cérémonies accoutumées. » Fait aud. prieuré, en présence do Me Jacques-François Le Pec, pbrë, vicaire de St-Jouin, et autres témoins.

237. – Le 8 août 1763, Me René-Cyr Rouillard, clerc du diocèse de Bayeux, obtient en cour de Rome des lettres de provision en commende du prieuré simple et régulier de St-Eutrope et N.-D. du Montbottin, vacant par la résignation faite en sa faveur par Me Nicolas-Claude du Chastenier, dernier titulaire, pour cause de mutuelle permutation.
Led. sr Rouillard avait cédé aud. s r du Chastenier son prieuré simple de St-Philbert de Beauvoir-sur-Mer, diocèse de Luçon.
Le 13 avril 1764. Mr Regnault, vie. gl., donne son visa auxd. lettres de provision.
Le 18 avril 1764, le sr Rouillard prend possession du prieuré du Montbottin, situé en la parr. d’Angerville, en présence de Me Guillaume Hébert, pbrë, curé d’Angerville; Philippe Lepec, marchand bouilleur, demeurant en lad. parr., et autres témoins.

Curé. – G. Hébert.
Notables. – Jn Clémence – P. Lepec.
Prieuré de S’ Eutrope du Montbottin, (Ordre de Cluny).- Prieurs. – J.I. Bedeau de Lecochère – F. Couillard ou Couillaud de la Rive – N.-C. du Chastenier – R.-C. Rouillard.

353. – Le 9 avril 1771 , la nomination à la cure de St-Léger d’Angerville appartenant au chapitre de N.-D. de Cléry, les srs chanoines de lad. collégiale nomment à cette cure, vacante par la mort de Me Guillaume Hébert, dernier titulaire, la personne de Me Claude Mière, pbrë du diocèse d’Avranches, habitué en leur Eglise.
Le 13 juin 1771, le seigr évêque donne aud. sr Mière la collation dud. bénéfice. Fait au château des Loges.
Le 15 juin 1771, le sr Mière(1) prend possession de la cure d’Angerville, en présence de Me Michel Grainville, curé de St-Léger-du-Bosc ; Me Jacques Rault, desservant lad. parr. d’Angerville, et autres témoins.
(I)Mr Mière prêta serment à la Constitution civile du clercs et continua ses fonctions curiales à Angerville en qualité de curé constitutionnel. En l’an II, quand tout culte a cessé il retourna probablement dans son pays : car on ne trouve plus la moindre trace de lui dans le pays de Dozulé ou des environs. (.Arch Calvados).

307. – Le 14 janv. 1772, Me Claude Mière, pbre, titulaire de l’un des deux grands vicariats situés et desservis en l’Eglise collégiale de Cléry, diocèse d’Orléans, et qui exigent la résidence, pourvu, depuis, de la cure d’Angerville au diocèse de Lx, y demeurant, donne sa procuration pour résigner entre les mains de N.-S.-P. le pape led. grand vicariat en faveur de Me Jacques Lefèvre, pbrë du diocèse de Lx, habitué de lad. collégiale et demeurant actuellement à Cléry. Fait et passé à Lx.

Curés. – G. Hébert – C. Mière.
Prêtre desservant. – J. Rault.
Patron. – Le chapitre de Cléry,

Bulletin de la Société des antiquaires de Normandie

– Mandement de Charles, duc d’Orléans, à Jean le Flament, conseiller des finances, relatif aux religieux de Beaumont-en-Auge.
(Blois, 16 février 1457.)
Les religieux de Beaumont-en-Auge devaient payer au receveur du Pays d’Auge, Charlot Castellan, une rente annuelle de 202 livres 14 sous 6 deniers pour la ferme d’Angerville et de Tillart. Mais, par suite de diverses circonstances, cette ferme était dans un état si lamentable qu’ils ne pouvaient payer une somme aussi élevée. Ils adressèrent donc une supplique au seigneur dont ils dépendaient, Charles, duc d’Orléans, alors en résidence au château de Blois. Celui-ci prescrivit, le 16 février 1457, au conseiller des finances Jean le Flament de faire diminuer pendant trois ans le prix de cette ferme d’une somme de 32 livres 14 sous 6 deniers d’obliger Charlot Castellan, receveur du pays d’Auge, à diminuer pendant trois ans de 32 livres, 14 sous, 6 deniers tournois la rente de 202 livres, 14 sous, 6 deniers due par les religieux de’ Beaumont-en-Auge (71), pour la fiefferme d’Angerville (72) et de Tillart, conformément aux derniers accords, par suite de l’état lamentable dans lequel se trouve la dite ferme.
Sur parchemin. Le bas est mutilé.
Charles, duc d’Orleans, de Milan et de Valois, conte de Blois, de Pavie et de Beaumont, seigneur d’Ast et de Coucy, a nostre amé et feal conseillier sur le fait de noz finances, Jehan le Flament, salut. Receue avons humble supplicacion des religieux prieur et couvent de Il Beaumont-en-Auge contenant comme ilz soient tenuz nous faire et payer, a cause de la fiefferme d’Angerville et Tillart, la somme de Il deux cens deux livres, quatorze solz, six deniers tournois de rente par chacun an aux termes de SaintMichel et Pasques, de laquelle rente, Il pour consideracion de la grant ruyne et non valoir, en quoy a tousjours esté la dicte fiefferme, ilz ont eu de toute ancienneté relasche et Il diminucion de noz predeccesseurs et mesmement de nous depuis la redducion (71) Beaumont-en-Auge (Calvados, arr. et cant. de Pont-L’évêque).
du pays de Normandie jusques au terme de Pasques derrierement passé includ de la somme de trente deux livres, quatorze solz, six deniers tournois et soit ainsi que la dite fiefferme soit encores en grant ruyne et ne l’ont peu ne pevent les dis supplians remectre sus, obstant leur povreté, ce non obstant, Charlot Castellan, nostre receveur d’Auge, les a voulu et veult contraindre a payer totallement la dite rente de deux cens deux livres, xmi sous, vi deniers tournois, pour le terme de Saint Michel derrierement passé et doubtant que doresenavant, de terme en terme, les vueille pareillement contraindre, laquelle chose leur seroit importable et impossible de payer, si comme ilz dient, actendu ce que dit est, requerans tres humblement nostre grace leur estre de nouvel sur ce estandue et impartie || pour quoy, nous, les choses dessus dites considérées, voulans aidier et secourir aus dis supplians a avoir leur vie et substantacion, affin que tousjours ilz puissent continuer le service divin ou dit prieuré et que, de plus en plus, soyons participans es bienffaiz, Il prieres et oroisons d’icellui, a iceulx supplians, pour ces causes et autres nous mouvans, avons donné, remis et quicté I et, par ces presentes, donnons, remectons et quictons, de grace especial, de la dite rente de deux cens deux livres, quatorze solz, six deniers tournois, par an, jusques a trois ans entiers et acompliz, a commancer du terme de Saint Michel derrenier passé inclut et qui finiront au Il terme de Saint-Michel mil i.ccc cinquante neuf exclud, la somme de trente deux livres, quatorze solz, six deniers tournois, pour chacun des dis trois ans, moyennant et parmy ce qu’ilz seront tenuz chanter et celebrer pour nous et noz parens et amis trespassez Il quinze messes solempnelles en leur dite eglise, chacun an, pendant les dis trois ans, c’est assavoir trois de requiem, trois de Nostre Dame, Il trois de la Croix, trois du Saint Esperit et trois de la Trinité. Si vous mandons et commandons que par nostre dit receveur d’Auge vous Il faictes tenir quictes et paisibles les dis supplians de la dite somme de trente deux livres, quatorze solz, six deniers tournois par chacun des dis trois || ans, sur et en deducion de la dite somme de iicii livres, xmi sous, vi deniers tournois, pourveu toutesvoyes que les dis supplians seront tenuz baillier a nostre dit receveur d’Auge lettres de recongnoissance de la rente totalle de la dite fiefferme et que ces presentes et autres relasches et diminucions || par nous a eulx faictes ne nous puissent tourner a prejudice ou conséquence, ou temps a venir, et aussi en chantant ou faisant Il chanter et celebrer les dites quinze messes solempnelles, ainsi et par la maniere que dessus est dit, et, en rapportant ces presentes par nostre dit Jj receveur avecques les dites lettres de recongnoissance des dis supplians et d’avoir esté tenuz quictes de la dite somme de trente deux livres, xitii sous, vi deniers tournois, Il par chacun des dis trois ans, et aussi certifficacions souffisantes d’avoir dictes et célébrées les messes solempnelles dessus dites, nous || voulons que icelle somme soit allouée es comptes d’icellui nostre receveur et rehatue de sa recepte par noz amez et feaulx gens||de noz comptes, ausquelz nous mandons que ainsi, le facent sans aucun contredit ou difficulté, non obstans quelconques ordonnances, Il restrinclions, mandemens ou deffences a ce contraires. Donné en nostre chastel de Blois, le seizieme jour de fevrier, l’an de grace mil cccc cinquante six.

– Une autre inscription tumulaire fait connaître qu’à la date du 23 novembre 1760, il avait été précédé dans la tombe par son fils aîné, Louis-Auguste d’Auvrecher,(1) décédé à l’âge de vingt ans.
La propriété de Ste-Honorine passa bientôt après, sans que nous ayons pu vérifier à quel titre, à M. Louis-Jacques-François d’Auvrecher, marquis d’Angerville mort en 1775; sur son épitaphe il est qualifié: « marquis d’Angerville d’Auvrecher, chevalier, seigneur a d’Ouville Grainville Heuland Angerville Ste-Honorine etc. »
Le dernier propriétaire de ce nom fut messire Henri René vicomte d’Angerville d’Auvrecher, capitaine d’infanterie, qui décéda le 27 mars 1789. Il avait épousé Marie-Victorine Turgot.

(1) D’AUVRECHER: famille noble de nom et d’armes, la même que les d’Auvrecher d’Angerville; elle tire son nom de la terre d’Auvrecher ou Orcher, située dans le bailliage de Caux. Les sires d’Auvrecher ont pris part à la conquête d’Angleterre, en 1065 ; à la première Croisade, en 1096. Jean d’Auvrecher d’Angerville, sieur de Grainville, et Antoine, sieur de Gonneville, ont été maintenus nobles en l’élection de Pont-l’Evêque, le 15 septembre 1668, par M. Barin de la Galissonnière, intendant de la généralité de Rouen.
Armes : d’or, au léopard de sable posé au canton dextre de l’écu, et à deux quintefeuilles de sable posées (une au canton senestre, l’autre en pointe. Recherches nobiliaires en Normandie -A. Du Buisson de Courson

– Il y avait autrefois à Barbery trois tuileries dont les produits étaient fort estimés. Elles passaient pour être fort anciennes: deux appartenaient à la famille d’Angerville d’Auvrecher et la troisième à la famille d’Auge. Elles disparurent au commencement du XIXe siècle.

Histoire de Lisieux : ville, diocèse et arrondissement. Tome 2 par M. Louis Du Bois.
LES URSULINES.
Fondées en Italie en 1357 par Angèle de Brescia, les Ursulines durent en 1611 leur établissement en France à Marie L’Huillier de Sainte-Beuve. Elles étaient consacrées à l’éducation des jeunes filles, et suivaient la règle de Saint-Augustin. Celles de Lisieux y furent fondées le 11 décembre 1628, par Nicolas Le Myre, baron d’Angerville, qui fit pour les établir un don de soixantetrois mille livres. Elles furent d’abord logées dans le faubourg de la Chaussée. Après le consentement de l’évêque Guillaume Aleaume, donné le 16 avril 1629, l’établissement fut confirmé par des lettres-patentes de Louis XIII, datées du mois de décembre suivant, mais qui ne furent enregistrées au parlement de Rouen que le 28 novembre 1630. Elles ne furent vraisemblablement constituées qu’en 1631.

1260, (n. st.) février – Paris
Concession par le roi Saint Louis, au prier de Beaumont-en-Auge pour 200 livres 54 sous 6 deniers tournois de plusieurs terres et revenus en fiefferme, dans les paroisses d’Angerville, la Thillaye, Beaumont, Blainville, etc.
= AD 76. 14 H 797
EDIT. DELISLE, Cartulaire normand, n° 641.
1303 – 1771.- Le Brévedent
Note informe concernant la filiation des seigneurs du Brévedend : Faveril, seigneur de Brévedend, mort en 1288 ; Michel Faveril, fils de Guillaume et son petit-fils seigneur dudit fief, mort en 135 ; en 1390, on trouve Jean et Rogier de Brévedend ; en 1459, Richard Vainel, chevalier au droit de Marie Lempereur, sa femme ; en 1600, Thomasse Paré (Parey), fils d’Abel et épouse de Gabriel Lebouteiller, écuyer, sieur de Lécausde ; en 1627, Jacques Lebouteiller, écuyer, seigneur du Brèvedent ; en 1660, Nicolas de Mire, baron d’Angerville et seigneur de Brèvedent ; en 1686, Françoise de Mire, comtesse de Fauguernon, baronne d’Angerville, dame du Brèvedent, épouse de Louis-Jacques Lecomte, marquis de Piencourt.
= AD14 – Baronnie de Creully. E 874
1394 – Angerville
Lettre de Louis, duc d’Orléans, portant réduction de la ferme d’Angerville en faveur des religieux de Beaumont (copie)
= Cité in Suzanne d’HUART.- Archives de la Maison de France (Branche d’Orléans) Tome I – Fonds de Dreux (300 AP I, 389), Paris, 1976, p. 174.
1691.- Le Brèvedent
Acte accordé par Jean Lecourtois, docteur et professeur de droit français en l’Université de Caen, sénéchal de la baronnie de Creully, à Louis Vauquelin, écuyer, sieur de la Brosse, procureur de Françoise de Mire, marquise de Pierrepont, comtesse de Fauguernon, baronne d’Angerville, etc., veuve de Louis-Jacques Lecomte, seigneur et marquis de Pierrecourt, de l’aveu rendu du fief du Brèvedent.
= AD14 – Baronnie de Creully. E 874
VASSEUR Charles : voir « Transcriptions. Doc » ou le carnet « Analyses et transcriptions »
AVEUX DE FIEFS : Angerville. :
– 3 octobre 1391
Philippe d’HARCOURT chevalier et seigneur rend aveu du fief entier d’Angerville acquis de Robert des YLLES chevalier
-1455, 7 juin
Jehan de HARCOURT escuyer rend aveu du fief d’Angerville acquis de ses antécesseurs
– 20 juin 1486
Jacques de HARCOURT
– 6 septembre 1494
Guillaume VIPART chevalier rend aveu du 1/4 du fief de Lambert d’AURECHIEN (?)
– 8 novembre 1498
Noble et puissant seigneur Charles de HARCOURT rend aveu du fief entier d’ANGERVILLE
– Page.40 -1663 14 juillet
Aveu rendu à haut et puissant seigneur Louis Jacques Lecomte, Chevalier Seigneur, Marquis de Pierrecourt, Louis, Beteville, Le Coudrey, Beteville en Caux, Moudrainville, Malou, Vicomte et Chastelain de Fauguernon, Baron d’Angerville, seigneur de Forges, le Beschet, Bois Ravenot, la Coeurie, la Pintherie, Brévedent, Carsis? Sourdeval et autres lieux, par François Godart pour 2 pièces de terre Saint-Philbert-des-Champs, sur le chemin de Moyaux à Pont-l’Evêque, dépendante de la terre de la Coeurie
– Page 143 : 1741 18 juin
Messire Marc Anthoine de Angerville, chevalier et seul seigneur de Gonneville-sur-Dives, patron de la première et seconde portion dudit lieu
– 23 juin 1763
Messire Louis de Bailhache, escuyer, sieur de Longueval, seul seigneur de Gonneville-sur-Dives, et patron de la première et seconde portion du bénéfice cure dudit lieu, ayant épousé Noble Dame Catherine d’Angerville fille et héritière de feu Messire Marc Anthoine d’Angerville, domicilié ledit seigneur de Longueval ordinairement en son manoir seigneurial de Gonneville-sur-Dives
– page 146 1757 20 juillet
Jacques de Percaval, escuyer, sieur de la Bouffardière, demeurant en la paroisse d’Angerville
– page 197 1760 20 octobre
Jacques de Percaval, escuyer, demeurant à la paroisse d’Angerville
– page 213 : 1723 11 avril
Lettre signée de Madame Clacy d’Angerville reprochant à un avocat d’avoir laissé prendre défaut contre son père
– 1823 n° 580 9 février
Monsieur Antoine Buphile de Brancas, autrefois propriétaire des terres voisines du presbytère des Authieux-sur-Calonne
Vente par contrat du 17 décembre 1822 à Robert Mariette, percepteur par Monsieur François Aimé de Touchet, ancien officier de cavalerie, chevalier de l’Ordre royal et militaire de Saint Louis, et Madame Marie Félicité d’Auvrecher d’Angerville, son épouse, demeurant en la paroisse de Ranville, de la terre de Saint Cloud appartenant à ladite dame comme héritière de Monsieur Thomas Robert Nicolas D’Auvrecher d’Angerville, son père, décédé à Caen il y a 21 ans (prix 67.000 f)
– n° 615 19 octobre
Le 9 avril 1823, Monsieur Louis Victor Dauvrecher dAngerville, escuyer, chevalier de l’Ordre royal et militaire de Saint Louis, ancien capitaine de cavalerie, demeurant à Bréville, arrondissement de Caen, cède à bail à rente, la ferme du Colombier, sise à Douville. Il avait pour épouse la dame Julie Housset
– page 223 : 1765 11 octobre
Messire Louis Jacques François d’Angerville d’Aurcher, chevalier seigneur de Grainville, contre Noble dame Françoise Catherine Elisabeth d’Angerville de Gonneville, épouse de Louis de Baillehache escuyer, sieur de Longueval.
– 1743 22 janvier
Noble dame Marie Geneviève de Glacy veuve de Monsieur d’Angerville
Insinuations:
Insinuations du Prieuré du Mont Bottin
Richard d’Angerville, archidiacre de Lisieux entre 1082 et 1101
Traité du Ban et Arrière Ban
1236 Loys d’Angerville
Thomas d’Angerville
Guerre de la Marche en 1242
Loys d’Angerville la femme de feu Thiébaut d’Angerville
Montfaut 1463
Non noble : Richard Genaut d’Angerville en Auge
Prieuré Mont Bottin : Bulletin Monumental 1860 p.17
Motte féodale dans la vallée au nord de la route de Caen à Pont l’Evêque, ancienne construction de château en bois du Xe ou XIe siècle. (Caumont Bulletin Tome III p246)
Motte féodale près l’église (Bulletin Monumental 1860 p.19)

3 – Archives ShL

Charles VASSEUR « Doyenné de Beaumont en Auge »
Election de Pont l’Evêque
Génér. de Rouen
sergenterie de Dives
2 feux privilégiés, 39 feux taillables
Sous l’invocation
de St Léger
auj. de Saint-Martin
Patronage:
XIVe siècle duc normandia
XVIe Rex
XVIIIe chapitre de Caen
Curés:
Hebert 1764
Mieré 1771/1787
Chapelle du mont Bottin (prieuré)
le duc de Normandie, puis le chap. de Notre-Dame de Cléry. Dioc. de Lisieux, doy. de Beaumont.

ARCHIVES ShL – NEDELEC COMMUNES
Com.1. 8. 1 Angerville Vie quotidienne 1992-1998
Com.1. 8. 2 Angerville Notes historiques 5 f.

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