Résistance et Libération en Pays d’Auge




Réédition du Livre « Le Pays d’Auge
un des berceaux de la Résistance normande »

Résistance et Libération

Ghislain QUÉTEL ; 63 Ter rue Jean Moulin ; 50120 Équeurdreville-Hainneville

Tel : 06.27.55.04.18 et 02.33.03.43.15
Email : quetel.ghislain@neuf.fr et Email sécurisé : ghislain@quetel.fr

Il est toujours possible de voir le reportage télévisé de 10 minutes + 5 minutes de débat sur Internet concernant mes recherches sur la Résistance à Touques et l’amoureuse d’Amiens !
Sur Google écrire « France3 Caen pomme à gratter résistance 26 avril 2014 » cliquer sur l’image, après une courte pub, le premier reportage concerne mes recherches.

« Résistance et Libération en Pays d’Auge »

Voici la couverture définitive de la révision de mon livre qui sera mis en vente le 25 avril 2015 en librairie, juste avant la commémoration du 70ème anniversaire de la fin de la Guerre le 8 mai 1945. Ce nouveau titre met en valeur les deux aspects de l’Occupation allemande, d’une part, la Résistance des « résistants et des patriotes » et d’autre part, la “Libération” en Pays d’Auge en 1944. En sous-titre, lisible sur la 4ème page de couverture, il a été ajouté :

« En liaisons et actions entre Cherbourg et Pont-Audemer jusqu’à Amiens ».

Par cohérence, j’ai donc choisi deux images qui symbolisent la Résistance et la Libération. Cette révision comporte 52 nouvelles pages de récits, de témoignages et d’archives très émouvantes. En particulier, j’ai retrouvé deux autres camarades de lutte aux cotés de Émile Louvel et son dossier militaire archivé à Vincennes. Ces compléments d’informations sur Émile Louvel me permettent d’établir un dossier pour demander aux ministères concernés d’officialiser le grade de Lieutenant de Résistance (actuellement l’armée reconnait le grade de Sergent) décerné par le Général Charles de Gaulle et de proposer l’attribution de la Légion d’Honneur à titre posthume.

Anne Sablery, mon éditrice à Cabourg, a accepté d’ajouter 48 pages et 100 nouvelles photos noires et blanches et une couverture de luxe en carton rigide comme les grands livres de collection, soit un total de 416 pages cousues et reliées par cahiers de 16 pages 22 x 30 et environ 630 photos. Cette réédition représente en réalité 52 pages de nouveautés après réduction de certaines photos pleine page.

Le prix librairie est fixé à 44 euros. Pour les commandes postales, voir le site de l’éditrice avec les frais de transport à ajouter : « Les Cahiers du Temps à Cabourg », site internet de commande : www.cahiersdutemps.com.

Conscient que cette réédition de luxe, enrichie, complétée et révisée, s’avère coûteuse, et toujours selon mon principe de « ne pas faire de bénéfice sur le dos des Résistants et des Patriotes qui ont sacrifié leur santé ou leur vie pour notre liberté », je propose :

Il sera aussi possible d’entrevoir un dépôt de livre à Beuzeville et à Épaignes dans l’Eure, à Equeurdreville-Hainneville-Cherbourg dans la Manche, à Saint-Charles de Percy près de Vire dans le Calvados et à Royan en Charente-Maritime.

La première version intitulée « La Pays d’Auge un des berceaux de la Résistance normande » reste toujours en vente jusqu’à épuisement du stock.

“Résistance et Libération en Pays d’Auge”

En liaisons et actions entre Cherbourg et Pont-Audemer jusqu’à Amiens… et la libération de Cabourg, Deauville, Trouville, Saint-Arnoult, Touques, Saint-Gatien-des-Bois, Saint-Martins-aux-Chartrains, Quetteville, Beuzeville, Cormeilles, Epaignes, Villerville, Honfleur et Le Havre

« Avec le soutien participatif de plusieurs historiens Ghislain Quétel a réalisé une émouvante compilation de témoignages, récits et documents retraçant les entraves à la liberté, les privations de la vie quotidienne, les délations, les emprisonnements, les déportations, les exécutions pendant l’occupation allemande de la fin de l’année 1940 au 30 août 1944, jusqu’à la libération de Cabourg, Deauville, Trouville, Saint-Arnoult, Touques, Saint-Gatien-des-Bois, Beuzeville, Épaignes, Cormeilles, Lieurey, Villerville et Honfleur.

Cet historique se concentre plus particulièrement sur le groupe d’Émile Louvel qui agissait en liaison avec les autres groupes de résistants, et notamment ceux de Buckmaster “Jean-Marie” et du maquis Surcouf, dans le triangle géographique de Dives-Cabourg à Honfleur, sur le littoral marin, et de Pont-L’Évêque à Cormeilles, à l’intérieur des terres.

Sur les pas de son grand frère André, Émile Louvel est un patriote de la première heure, chef de groupe FTPF, à la tête de ses camarades-résistants sur le secteur de Touques, Trouville-Deauville, Saint-Gatien, Quetteville. Il est arrêté par la Gestapo au domicile de ses parents à Touques fin juillet 1944, torturé puis fusillé sur la plage de Deauville en compagnie de cinq autres de ses camarades qui, comme lui, n’auront pas parlé.

Ghislain Quétel retrace le parcours d’Émile Louvel du Pays d’Auge au sud Manche, en passant par Vire, puis Amiens-Boves où il découvre le grand amour avec Odette, Chartres et Saint-Pierre-de-Cormeilles où il anime un groupe de résistants en liaison avec le maquis Surcouf. Il fera de Saint-Pierre et Saint-Sylvestre une base de repli et de sécurité pour les réfractaires au STO et les aviateurs abattus – en perdition dans la campagne – et les déserteurs polonais de l’armée allemande. Ce périple lui vaudra de se voir décerner le titre de chef de maquis par ses camarades.

Ce livre, dont Émile Louvel est le fil conducteur, aborde aussi les actions d’autres groupes de résistance contre l’occupant, tout en évoquant les événements les plus retentissants de cette période, les attentats, la pression collaborationniste du gouvernement de Vichy et l’oppression de l’armée allemande fortement concentrée sur la zone côtière du Calvados, dite zone interdite.

Roger Houlbrèque, adjoint et meilleur ami d’Émile Louvel, décédé à 89 ans en 2014, raconte leurs souvenirs communs et revient sur le rôle qu’il a lui-même joué et les actions qu’il a menées.

Ghislain Quétel est le fils d’André Quétel, décédé à 60 ans en 1985, cultivateur à l’Hermitage, au hameau de Daubeuf à Touques, alors deuxième adjoint d’Émile Louvel, camarade de classe et confident de Roger Houlbrèque ».