LE FAULQ

NOTES sur LE FAULQ
Falcum – Faucum – Ecclesia de Fauco – le Faoucq – le Fauq – le Faule – le Faulcq .


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Archives du Calvados
Le Faulq (Calvados)
Canton actuel : Pont-l’Évêque
Arrondissement actuel :Lisieux
Code INSEE : 14261
LE FAULQ.

I. Dioc. de Lisieux . Baill. d’Orbec Maîtrise d’Argentan. – Gr. à sel de Lisieux – Gén. et int. d’Alençon ; él . et subd . de Lisieux.
II. Distr. de Pont-l’Évêque ; canton de Blangy (Arrêté du 1er mars 1790) .
III. 3 arr. communal (Arr. de Pont-l’Évêque) ; canton de Blangy (Loi du 28 pluviôse an VIII et arrêté du 6 brumaire an X). Pop.: 222 hab. ( 1911). — Sup.: 445 hect. 21 a. 40 c .
ADMO Gale. Délibérations, depuis le 27 avril 1806.
ÉTAT- CIVIL. Baptêmes, mariages et sépultures, depuis 1638 . Lacunes: 1665-1668, 1716.

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

BUREAU Dr Jean, « Le Faulq », PAR, 10, N° 3, Mars 1960, pp. 4-7 Revue le Pays d’ Auge.
CAUMONT Arcisse de: Statistique monumentale du Calvados, réédition Floch, (non trouvé)
L’EXPLOITATION ANCIENNE DES ROCHES DANS LE CALVADOS : HISTOIRE ET ARCHEOLOGIE. Serv. dep. d’Archéologie 1999.
Editions FLOHIC: Le Patrimoine des Communes du Calvados : page 232
OLIVIER M., Monographie de la commune du Faulq, Ms. 1886, 6 p.= Arch. Départ. du Calvados, Br. 941714265- ARCGCADR 14590 oct. : Liste archives.

2 – Pièces Justificatives:

Inventaire historique des actes transcrits aux insinuations ecclésiastiques de l’ancien Diocèse de Lisieux – PIEL L.F.D.

341. Le 4 août 1696, vu l’attestation du sr Boivin, vicaire du Faulq, et du sr Savourey, vicaire de St-Aubin-de-Scellon, dispense de bans pour le mariage entre Pierre Duval et Marie Treffouel.

379. – Le 21 nov. 1701, vu l’attestation du sr Laugeois, curé du Faulq, et du sr Lebourg, curé de Bonneville-la-Louvet, dispense de bans pour le mariage entre Renault Corneille et Jeanne Julien.

347. – Le 20 février 1702, vu l’attestation du sr Laugeois, curé du Faulq, et du sr Paulmier, vicaire de Blangy, dispense de bans pour le mariage entre Philippe Legras et Barbe Boulley.

860. – Le 9 août 1703, Me Charles Laugeois, pbre, curé du Faulq, y demeurant, et Charles Laugeois, son frère, demeurant en la parr. du Pin, constituent 150 livres de rente en faveur de leur frère, Me François Laugeois, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres
sacrés.

Le Faulq (Salut Martin)
Curés. – P. Herrier – J. Le Ménager – C. Laugeois.
Vicaires.- Boivin – F. Périer.

Le Faulq (St Martin)
Curés. – F.-O. Lelasseur – Ph.-Jq Beuzelin – N. Fortin.
Vicaire. – N.-R. Legaigneur.
Prêtre desservant. – F. Neuville.
Seigneurs. – Jn-F. du Hauvel – P. G. de Clinchamps.

Le 17 janv. 1697,1e seigr évêque nomme led. sr de Pierres aux canonicat et prébende volante du Faulq, vacants par la démission de Me Simon Davoust-Langottière, chanoine de Lieurrey. Donné à Paris en l’hôtel dud. Seigr.
Le 30 avril 1697, led. sr de Pierres résigne aussi entre les mains du seig r évêque sad. prébende du Faulq, appelée prébende volante, en faveur dud. sr Deleau, pour cause de mutuelle permutation. Le 8 mai 1697, le sr Deleau est mis en possession du canonicat du
Faulq par le ministère de Mr le doyen du chapitre.

Le 12 mars 1700, sr Laugeois résigne la chapelle simple de St-Joseph du Boullay, située dans le manoir dud. lieu, parr. St-Pierre de Cormeilles, entre les mains du seigr évêque en faveur de Me Pierre Hérier, pbfë, curé du Faulq ; et led. sr Hérier résigne également sa cure entre les mains de Sa Grandeur en faveur du sr Laugeois, pour cause de mutuelle permutation. Le 13 mars 1700, le seigr évêque de Lx donne aud. sr Laugeois la collation de la cure du Faulq.

24. – Le 22 décembre 1774, Me François-Olivier Lelasseur, pbrë, curé du Faulq, se trouvant à Rouen, fait signifier à Me Antoine Selot, sous-diacre, chanoine prébende du Faulq en la cathédrale de Lx, gros décimateur en lad. parr., demeurant en lad. ville de Rouen, rue de Revelle, parr. St-Laurent, qu’en vertu de l’édit de mai 1708, il entend opter sa portion congrue et celle de son vicaire et renonce à toutes les dîmes auxquelles il peut avoir droit.

38. – Le 3 janv. 1775, Me François-Olivier Lelasseur, curé du Faulq, fait signifier par ministère d’huissier à Mesre Louis-Sébastien Marchai de Saincy et à M. Marchai, son fils, Esc., directeurs généraux des Economats de France, demeurant à Paris, rue des Fossés-Montmartre, parr. St-Eustache, que, en vertu de l’édit de mai 1768, il entend opter la portion congrue pour lui et pour son vicaire et abandonne tous les droits qu’il peut avoir aux dîmes de sa parr. Fait et passé au Bec-Hellouin, au palais abbatial de l’abbaye, en parlant à la femme du concierge.

292. – Le 3 juin 1776, Me François-Olivier Le Lasseur, pbrë, curé de St-Martin du Faulq et, depuis, pourvu de la cure du Brèvedent, donne sa procuration pour résigner lad. cure du Faulq entre les mains de N.-S.-P. le Pape en faveur de Me Philippe-Jacques Beuzelin, pbrë, de la ville de Lx, (parr. St-Jacques). Fait et passé à Lx. Le 24 juin 1776, led. sr Beuzelin obtient en cour de Rome des lettres de provision dud. bénéfice.
Le 22 août 1776, le seigr évêque donne son visa auxd. lettres de provision. Le 18 sept. 1776, le sr Beuzelin prend possession de la cure du Faulq, en présence de Me Nicolas-Robert Le Gaigneur, vicaire du lieu, demeurant en la parr, du Pin ; Me François Neuville, pbrë, desservant la parr, du Brèvedent ; Me Jean-Jacques Rogerey, sous-diacre, demeurant
au Pin, et autres témoins.

191 . – Le 14 mai 1778, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Jacques-François de Malherbe, fils de feu Mesre Simon-Jacques de Malherbe et de feue noble dame Françoise-Michelle de la Valley, originaire de la parr. d’Allemagne, diocèse de Bayeux, d’une part, et noble demlle Aimée-Marie-Jeanne-Thérèse de Clinchamps, fille de feu Mesre Paul-Gabriel et de noble dame Aimée-Marie-Magdeleine Deshayes de Chifretot, de la pafr. du Faulq.

831. – Le 24 mars 1786, Me Philippe-Jacques Beuzelin, curé du Faulq et aussi pourvu de la cure de Montabard, diocèse de Séez, demeurant au Faulq, donne sa procuration pour résigner lad. cure du Faulq, entre les mains de N.-S.-P. le pape, en faveur de Me Nicolas Fortin, pbre du diocèse de Lx, vicaire du Sap. Fait et passé à Lx.

8. – Le 11 avril 1786, Me Nicolas Fortin, pbrê du diocèse de Lx, obtient en cour de Rome des lettres de’provision de la cure de St-Martin du Faulq, vacante par la résignation faite en sa faveur par Me Philippe-Jacques Beuzelin, pbrê, dernier titulaire. Le 22 juin 1786, le seigr évêque donne son visa auxd. lettres de provision. Le 2 juillet 1786, led. sr Fortin (1) prend possession de la cure du Faulq, en présence de M Nicolas-Robert Le Gaigneur, vicaire de lad. parr., et autres témoins.
(1) M. N. Fortin, originaire de Vimoutiers, prêta serment sans restrictions et resta curé constitutionnel du Faulq. Il passa tout le temps de la Révolution dans cette paroisse et nous trouvons bon nombre de baptêmes administrés par lui dans les paroisses voisines qui n’avaient plus de prêtres. J’ignore ce qu’il devint après le Concordat. (Archives du Calvados).

Jean-Pierre Hauzey était vicaire du Pin quand vint la Révolution. Il refusa de prêter le serment à la Constitution civile du clergé et se retira à Rouen, rue des Charettes, 83. Il partit pour l’Angleterre au mois de septembre 1792 et résida à Londres. Il y resta jusqu’en 1802. A son retour, il fut nommé curé du Faulq, et dirigea cette paroisse jusqu’à sa mort arrivée en 1852. Il était âgé de 98 ans. Il avait été nommé chanoine honoraire de Bayeux en 1836. (Archives du Calvados. – Archives de l’Hôtel-de-Ville de Rouen. – Mss de Reux. – Ordo de Bx.)

Prébende du Faulq. – (Prébende volante.) – G. Lhuillier – S. Davoust de Langottière – J. de Pierres -J. Deleau .

Le 29 déc. 1710, le sr Le Turc, requiert du seigr évêque sa nomination à la prébende volante du Faulq, vacante parla mort du Me Jacques Deleau, dernier titulaire, décédé dans le mois de juillet, mois réservé aux gradués.
Le 27 déc. 1710, Mesre Léonor de Matignon, pbrë, vicaire général de Lx, donne à Me Joseph Mahiet, pbrë, la collation de la prébende non-distributive du Faulq, dite prébende volante, vacante par la mort de Me Jacques Deleau, pbrë, dernier et paisible possesseur.
Le 23 janvier 1711, les chanoines de la Cathédrale étant assemblés, Me Joseph Mahiet, pbfë, Me ès-arts en l’Université de Caen, nommé au canonicat du Faulq par Mesre Léonor de Matignon, pbfë, vicaire général de Monseig.- l’évêque de Lx, est mis en possession dud. bénéfice par le ministère de Mr le doyen du Chapitre, en la manière accoutumée.
Le 19 février 1712, Me François Leturc, pbfë du diocèse de Coutances, pourvu du canonicat du Faulq en la cathédrale de Lx, fait réitérer ses noms et grades au seigr évêque et aux chanoines de Lx, ainsi qu’aux religieux de l’abbaye de St-Pierre de Préaux.
Le 20 février 1712, le Chapitre de la Cathédrale étant assemblé, Me François Leturc, pbrë du diocèse de Coutances, est mis en possession des canonicat et prébende volante du Faulq ad conservationem juris par le ministère de Mr le doyen.

Le 26 mars 1773, Me Robert-Gilles Lesueur, pbrë, curé de Fontaine-la-Louvet, chanoine titulaire du canonicat volant du Faulq, demeurant à Fontaine, étant en son lit, malade, donne sa procuration pour résigner lad. prébende entre les mains du seigr évêque de Lx en faveur de Me Antoine Selot, clerc tonsuré du diocèse de Rouen, habitué en l’église St-Laurent de Rouen et titulaire de la chapelle simple de Ste Marie, 2e portion, en lad. Eglise; et led. sr Selot donne aussi sa procuration pour résigner lad. chapelle entre les mains du seigr archevêque de Rouen en faveur dud. sr Lesueur, le tout pour cause de mutuelle permutation. Fait et passé au manoir presbytéral de Fontaine-la-Louvet.
Le 28 mars 1773. – Led. sr Selot s’étant présenté dès le 26, vers 7 heures du soir, au château des Loges, pour requérir du seigr évêque la collation du canonicat du Faulq, Sa Grandeur lui dit de revenir le lendemain pour avoir la réponse. Il y est retourné le 27, vers 3 heures après midi. Le seigr évêque lui a remis l’acte de permutation et lui a refusé la collation dud. bénéfice. C’est pourquoi ce jourd’hui, 28 mars, accompagné du notaire apostolique, il se transporte de nouveau au château des Loges, et requiert les provisions dud. canonicat. Sa Grandeur répond « qu’attendu les offices du jour (C’était le jour de la Passion), elle renvoyé le requérant à demain, 4 heures après midy pour subir l’examen au cas requis. »
Le 29 mars 1773, le seigr évêque nomme au canonicat du Faulq la personne dud. sr Selot.
Le lendemain, le sr Selot est mis en possession de ce bénéfice par le ministère de Mr Chastan, président pendant la vacance du doyenné.
Le 10 mars 1769, Antoine Selot, fils d’Etienne et de Geneviève Angot, de la parr. St-Laurent de Rouen, rite dimissus, reçoit la tonsure à Evreux.

186. – Le 5 avril 1773, Me Louis Jouen de Bornainville, Me èsarts en l’Université de Paris, vicaire de St-Germain-la-Campagne et titulaire de la chapelle St-Vivien en la Cathédrale, demeurant en lad.parr. de St-Germain-la-Campagne et représenté par son père, Me Jean-Louis Jouen de Bornainville, docteur en médecine, demeurant à Lx, parr. St-Jacques, requiert du seigr évêque, en sa qualité de gradué, sa nomination au canonicat du Faulq, vacant par la mort de Mre Robert-Gilles Le Sueur, pbre, dernier titulaire, décédé dans le présent mois d’avril affecté aux gradués. Sa Grandeur répond qu’elle accorde volontiers la collation demandée et qu’elle la fera expédier par son secrétaire.
Fait et passé au château des Loges. Le même jour, led. seigr évêque nomme le sr Jouen de Bornainville aud. bénéfice. Le 15 mai 1773, led. sr de Bornainville est mis en possession des canonicat et prébende volante du Faulq par le ministère de Mr Chastan, président du Chapitre.

Prébende de Faulq, (prébende volante). – R.- . Lesueur – A. Selot – L. Jouen de Bornainville.

Recherche des nobles de l’élection de Lisieux 1540.
LE FAULCQ.
83. Martin de Brevedent, Sr. du Faulcq, pour justifier sa noblesse , a produit plusieurs lettres et écritures , dont la copie est demeurée au greffe ; par lesquelles il a dit fournir sa descente en tiltre de noblesse , jusqu’à lui-même faisant le 5e. dégré , depuis Roger de Brévedent vivant en 1325, lequel était Seigr. du Faulcq suivant plusieurs des dites lettres , et depuis fût chevalier, comme on le voit par une lettre de l’an 1369. V. le n°. 90.

D’après un acte original du 23 mai 1669 Messire Jean Pierre Dufour, écuyer, prenait le titre de seigneur du Faulq.

Au 18e le 10 mars 1782 Vénérable et discrète Personne Messire Adrien Antoine Achard, abbé de Vacogne, seigneur et patron honoraire de St Martin du Faulq et de la Peltière, licencié aux lois, ancien curé de St Jean de Caen etc., inhumé à Caen le dimanche 10 mars 1782.
On retrouvera les Achard au Pin, paroisse voisine, mais de l’arrondissement de Lisieux.

En juin 1751 le patron était le curé de Fontaine, alors prébendé du lieu et le curé J.B le Tainturier (Archives du Calvados – Bénéfices)
Messre Barthélémy Dufour, chever, seigr du Faulq, conser du roy, maître ordinaire en sa cour des Comptes, Aides et Finances de Normandie.
1706. Jean Pierre du Four, seigneur du Faulq, conseiller maître des comptes à Rouen (Farin)

Nobles ou Vivant Noblement à Pont-L’evesque – Henry Le Court.
– M De La Brunnerie, et sa soeur Mme de La Barberye.
1 Servante. Ces deux dames appartenaient à la famille Racinne, paraissant originaire du Faulq ou des environs de Lisieux.
– Les trois branches de la famille de Brévedent ont porté des armes différentes.
Celle du Faulq : D’azur à la croix ancrée d’or.
A la même époque, la branche du Faulq fut maintenue avec les armes pleines; malgré nos recherches, nous n’avons pu trouver à quel personnage s’appliquait cette maintenue. Cette branche est certainement éteinte depuis longtemps.

Camps, enceintes, mottes et fortifications antiques du Calvados, par M. le Dr Doranlo – Prospections GRAPPA.
LE FAULQ. – Une vieille tradition de combats est attachée au hameau de l’Epine du Faulq. Olivier, Monagr, du Faulq,

Extrait des chartes et autres actes Normands ou Anglo-Normands – Par Léchaudé D’anisy.
Mathieu de Faulq , fils de Robert de Faulq cède , en 1246 , à Henri Louvet, chevalier , deux pièces de terre à Bonnevillette , dont l’une située sur le chemin qui conduit à Cormeliis ad Honflue.
Monsieur Guilmeth (Notices sur diverses localités du département du Calvados) nous apprend qu’un Robert du Faulq vivait en 1225 et que Mathieu du Faulq, son fils, vivait en 1231 et 1246; mais les chartes qui parlent de ce dernier lui assigne comme résidence Bonnevillette (Bonneville-la-Louvet), paroisse limitrophe il est vrai, mais elles ne font aucune mention de la paroisse du Faulq. Raoul Bérenger donne (à l’abbaye de Ste.-Barbe) tout le tènement qu’il tenait en fief de Mathieu du Faulq. Mathieu du Faulq, à son tour, aumône une pièce de terre, située entre celle des chanoines et la Querière du Bois-d’Or, tout en confirmant la donation de Raoul Bérenger, son homme (1231).

Archives Généalogiques Et Historiques De La Noblesse De France – Publiées par M. LAINÉ.
DU HAUVEL, Seigneurs de Heudreville, de la Morsengliere , de la Chevalerie, du Brevredent, de Goudehard, du Faulq, etc., en Normandie.
Armes : d’azur , a la colonne d’hermine. Couronne de comte. Supports : deux lions.
Seigneurs De Heudreville ,Seule branche existante.
Philippe du Hauvel ayant préféré la terre du Brèvedent, située sur les paroisses du Brevedent, de Blangy et du Faulq.
Marie-Anne-Madelaine de Gaultier de Saint-Basile, fille de Jean-Maurice de Gaultier de Saint-Basile , seigneur de Launay-Benard et du Tertre, lieutenant dans le régiment de Navarre, infanterie, suivant son brevet du 5 janvier 1747» et de noble dame Marte-Anne de la Houssaye. Cette dame survécut à Jean-Félix du Hauvel , comme on le voit par des actes postérieurs au décès de celui-ci, où elle est qualifiée dame du Faulq.

Dictionnaire Topographique Du Département Du Calvados – C. HIPPEAU.
Faulq (Le), cantn. de Blangy. — Falcum, 1155 (pouillé de Lisieux, p. 38 , note ). — Faucum, XVI°(ibid. ). — Saint Martin du Fauq , 1395 (fouages français, n° 182).
Par. de Saint-Martin, préhende; patr, le seigneur du lieu. Dioc. de Lisieux, doy. de Touque. Génér. d’Alençon, elect. de Lisieux, sergent, de Moyaux.
Cour-Maudelonde (La), h. – Donnay, f – Forge (La), h. – Lieu-Val-la-Reine (Le), h..

3 – Archives ShL:

Fonds Cailliau.
– 3F 71- 1728-1792 – Faulq (Le) truge de la Taupe : pièce de terre
– Fonds Cailliau – Sous-série 3 F
1642 25 mai – Contrat de Mariage de Pierre Caulmont de Fauguernon et de Marie Debief, fille de Jacques, sieur du Faulq, de Fauguernon.

Inventaire des enveloppes du n° 335 au n° 363.
Enveloppe n° 357 L’usine Saint Denis à Lisieux – Eglise de Le Faulq

25 F – Fonds Lemetayer-Desplanches.
II C 2 b
Dates – Contenu – Personnes – Lieux
03/04/1848 lettre au sous-préfet remplaçant M. Taillefer, réclamation sur une somme due MAUZEY ? PONT L’EVEQUE LE FAULQ
16/06/1848 sur papier de deuil (de l’épouse – demande appui pour un autre poste DE..? TOUQUES.

Archives NEDELEC Communes.
com.22.4. 1 Le Faulq Notes historiques
com.22.4. 2 Le Faulq Colombier
com.22.4. 3 Le Faulq La Moinerie
com.22.4. 4 Le Faulq La Bruyère alias la Moinoirie
com.22.4. 5 Le Faulq Eglise
com.22.4. 6 Le Faulq Inauguration de la mairie 15/11/2005
com.22.4. 7 Le Faulq Famille du Four

Carnets de Charles VASSEUR.
DOYENNE DE TOUQUES.
Election de Lisieux sergenterie de Moyaux 68 feux.
Sous l’invocation de St Martin
Patronage:
16e Prabendarius loci
18e le prébendé
Curés:
Pierre Herier, prestre curé de la paroisse du Faux 20 mars 1688
La Sœur 1764-1774
Fortin 1786

C’était une prébende du chapitre de la cathédrale de Lisieux.
Description de l’église du 26 août 1852.
Description de la cloche
L’an de Jésus-Christ 1810 j’ai été bénie par Monsieur Jean Pierre Hausei, desservant de la paroisse du Faulq, et nommée Marie Françoise par Monsieur François Auguste Malherbe et par Dame Marie Anne Madeleine Gontier, veuve de Monsieur Jean Félix du Hauvel. Monsieur François Beaucher, maire, Messieurs Pierre Roussel, Pierre Félix Legras, Robert Olivier trésoriers.
JB Callain, père et fils, fondeurs à Rouen m’ont faite.

Le château qui se trouve tout près de l’église n’est qu’une grosse maison postérieure au règne de Louis XV. Le colombier, bâti en briques, date du même temps ; il est surmonté d’un épi en terre vernissée.
Le fief du Faulq appartenait à la maison de Brévedent au moins depuis le 14e siècle.
La recherche de Montfaut y trouva noble un Jean de Brévedent, apparemment le même que Jehan de Brefvedent, seigneur du lieu (de Brévedent) et du fief du Faulq qui comparut aux Montres de la Noblesse du bailliage d’Evreux en 1469 en « abillement de vougier à deulx chevaulx » dont il a été fait mention à l’article du Brévedent.
Une production faite en 1540 par Martin du Brévedent, seigneur du Faulq, devant les élus de Lisieux nous apprend que Roger de Brévedent, vivant en 1325, était aussi seigneur du fief du Faulq, ce qui faisait cinq générations de la même famille qui s’étaient succédé dans la possession de cette terre.

Une seule fabrique de bas existe au Faulq. M. Davidy occupe de 300 à 350 ouvriers.
Voir le site: j.y.merienne.pagesperso Villes et villages du Calvados

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