FIERVILLE les PARCS

NOTES sur FIERVILLE.
FIERVILLE les PARCS


Cliquez sur l’image pour l’agrandir.

N° 238. — DÉCRET IMPÉRIAL (contre-signé par le ministre de l’inté­rieur) portant:
ART. 1. La commune de Fierville et des Parcs-Fontaines, canton de Blanzy, arrondissement de Pont-l’Évêque, département du Calva­dos, sont réunies en une seule commune, qui portera le nom de Fierville-les-Parcs, et dont le chef-lieu sera fixé à Fierville.
2. Ces communes réunies continueront à jouir, comme sections de commune, de tous les droits d’usages ou autres qui pourraient être respectivement acquis, sans pouvoir se dispenser de subvenir en com­mun à toutes les charges municipales. (Du 26 Février 1853.)
Certifié conforme:
Paris, le 21 Mars 1853, Le Garde des Sceaux, Ministre Secrétaire d’état au département de la Justice,
ABBATUCCI.

Archives Calvados.
Fierville (Calvados; jusqu’en 1853)
Histoire administrative : Fierville intègre la commune des Parcs-Fontaines et prend alors le nom de Fierville-les-Parcs par le décret du 26 février 1853.
Fierville-les-Parcs (Calvados; à partir de 1853)
Canton actuel : Pont-l’Évêque, Arrondissement actuel :Lisieux
Code INSEE : 14269
Histoire administrative : Fierville-les-Parcs est le nouveau nom de la commune de Fierville après la réunion avec Les Parcs-Fontaines par le décret du 26 février 1853.
TA Fierville (Calvados; jusqu’en 1853)

FIERVILLE- LES – PARCS
I. Dioc. de Lisieux.- Baill. d’Orbec. – Maîtrise d’Argentan. — Gr. à sel de Lisieux. Gen. et int. d’Alençon; él. et subd. de Lisieux .
II. Distr. de Pont-l’Évêque; canton de Blangy (Arrêté du 1º mars 1790).
III . 3 arr. communal (Arr. de Pont- l’Évêque) ; canton de Blangy (Loi du 28 pluviôse an VIII et arrêté du 6 brumaire an X). — Pop.: 148 hab. ( 1911). — Sup.: 490 hect. 51 a. 25 c .
La commune de Fierville-les- Parcs a été constituée par la réunion des communes de Fierville et Les Parcs Fontaines, qui formaient chacune, avant 1790, une paroisse et communauté (Décret du 26 février 1853) .
ADMINISTRATION GÉNÉRALE : Fierville. Délibérations, depuis 1834.
Les Parcs-Fontaines. Délibérations, depuis le 15 pluviose an IX. Lacune: 1830-1846.
ÉTAT- CIVIL: Fierville. Baptêmes, mariages et sépultures, depuis 1639. Les Parcs-Fontaines. – Baptêmes, mariages et sépultures depuis 1674. Lacune: 1779. Les archives de Fierville-les -Parcs n’ont pu être vérifiées .

Chartier Guy. De l’étymologie de certains noms de communes normandes.
On peut se demander si tous les Fierville de Normandie ont bien pour premier élément l’adjectif Fier (quel que soit le sens exact qu’il puisse convenir de lui attribuer dans un toponyme). Si en effet les formes anciennes de … (Ferevilla Feravilla)… qui au XVIe siècle représente Fierville-les-Parcs, ct de Blangy-le-Château, Calvados (C. Hippeau), semblent compatibles avec cette étymologie.

Fierville-les-Parcs, canton de Blangy.
Ferevilla, Firvilla, Fiervilla, XVI° siècle (pouillé de Lisieux p. 38), Fereville, 1683 (ibid. note), Feureville.

Par. de Saint-Gervais et Saint-Protais,
patr. l’abbé de Cormeilles.
Dioc. de Lisieux, auj. Bayeux.
doy. de Touque.
Génér. d’Alençon,
élect. de Lisieux,
sergent.de Moyaux.
archidiaconé de Pont-Audemer3
SS. Gervais et Protais, prieuré augustin de Corneville.
Patronage: 16e abbas de Cornevilla (abbé de Cormeilles)

Lieux dits de FIERVILLE les PARCS
CARREFOUR (LE), h. – MARELLES (Les), h. – Mont-Main, f. – Terrerie (LA), h. – CARREFOUR (LE), h. – Cour-d’Ussy (LA), h. – Cour-Gibon (LA), h. – Cour-Loutrel (La), h. – Cour-Manable (La), h. – FORGE (LA), h. – Gibon, q. – Lieu-Sanotin(Le) h. – MARELLES (Les), h. – Mont-Main, f. – Morel, quai – Terrerie (La), h. –

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives S.h.L.

1 – Bibliographie:
CAUMONT Arcisse de : Statistique monumentale du Calvados, réédition Floch, tome IV pages 398 et 434.
Editions FLOHIC : Le Patrimoine des Communes du Calvados : page 234.
L’EXPLOITATION ANCIENNE DES ROCHES DANS LE CALVADOS : HISTOIRE ET-ARCHEOLOGIE. Serv. dep. d’Archéologie 1999
GUILMETH Auguste, Bourg de Blangy , s.l., s.d. (note manuscrite E.D.: Rouen, 1849). In-12, 48 p.
LE CLERC Léon, « Chaumières normandes « , L’Illustration rec. factice « Pages de Tourisme de l’Illustration  »
NORTIER Michel, Contribution à l’étude de la population en Normandie au bas moyen âge (XIVe-XVIe siècles).
PANNIER Arthème : voir Archives SHL, NE12, 1er carton.
Dr TULASNE, Association des Amis du Vieux-Havre. Compte Rendus des Visites et Excursions (1936), Le Havre, 1937.
PONSOT Philippe, Bâtiments et équipements des usines à huile du Calvados.
BULL. SOC. HISTORIQUE ET ARCH. DE L’ORNE, n° spécial, 1990, pp.347-362, carte, fig.
REVUE « LE PAYS D’AUGE » : – Jean-Pierre RIVIERE: La destruction de l’église de Fierville. Novembre 1975. Jean BUREAU: La ferme de Fierville. Février 1976. Jean-Pierre RIVIERE: Vente du sol de l’église et du cimetière. Février 1976.
Henri PELLERIN : Architecture romane :Fierville. Juillet 1975.
Revue Athena sur la Touques – Fierville – Les parcs de F. n°105/sep.1990 – Davy Michel
Ivan Jahier -Patrice Méniel -Jean-Claude Ozou – Une petite ferme de La Tène ancienne au «Pré de la Val» à Fierville-les-Parcs (Calvados)
Morembert.T: Fierville-les-Parcs, prieuré-cure de Corneville. Dictionnaire d’hist. de géogr. ecclésiastiques, t. XVI.

Hippeau – Gouvernement de Normandie VIII p.233 à 237.
D’Hozier p.81
Cahaignes
Bulletin Monumental 1862 p 554 et 555
Antiquaires de Normandie in 4° 1863 p.169 et suivantes.
Beaurepaire – Agriculture p.369.

2 – Pièces Justificatives:

STATISTIQUE MONUMENTALE DU CALVADOS PAR ARCISSE DE CAUMONT.
Notes de M. Charles Vasseur.
Fierville, Ferevilla, Fiervilla.
L’église de Fierville est classée dans les anciens pouillés du diocèse de Lisieux parmi les bénéfices réguliers, ecclesia de Fiervilla (regularis ). Le patronage appartenait à l’abbaye de Cormeilles.
Sa construction remonte à la plus haute antiquité, à ces époques de la période romane primitive pour lesquelles la science n’a pas encore de classification. Elle se compose d’une nef, d’un choeur et d’une chapelle, relativement moderne, construite sur le flanc nord.
La nef et le choeur, qui appartiennent à l’édifice primitif, sont dépourvus de contreforts, membre architectural qui fait toujours défaut aux églises les plus anciennes de style roman.
Le portail de l’ouest n’a point de caractère dans son état actuel; la porte est du dernier siècle et le petit porche qui la protège a l’air de sortir des mains de l’ouvrier. Le clocher esseulé qui s’élève au-dessus est assez obtus, et partant peu gracieux.
Les deux murs latéraux sont mieux caractérisés. Les angles sont en coral-rag taillé ; le reste est un blocage noyé dans le mortier. Au midi, les moellons de ce blocage sont mêlés de briquetons d’aspect antique et de pierres plates et longues faisant presque l’office des chaînes de briques, sans en avoir cependant la régularité. J’en ai dessiné avec soin les parties les mieux caractérisées.
Les briques ont 14 et 20 centimètres de long. Les fenêtres datent du dernier siècle, et il ne reste plus de trace des ouvertures anciennes. Ce mur n’a que 8 pieds d’élévation; mais le sol offre une légère pente de ce côté. Le mur du nord n’offre aucune trace de briques ; mais les mortiers sont identiques. Près de l’angle, vers l’ouest, était une petite porte cintrée étroite et basse; elle est bouchée, et il serait difficile d affirmer qu’elle appartient à la construction primitive.
Les fenêtres datent du dernier siècle.
De ce même côté se trouve la chapelle entre le choeur et la nef; ses murs sont composés d’un échiquier de pierre de taille et de moellon. Elle paraît de la fin du XVI°. siècle.
La porte, percée dans le mur de l’ouest, est carrée, avec clef saillante. Dans le pignon s’ouvre une fenêtre ogivale, sans moulures. Au dessus sont incrustées, en triangle, dans la maçonnerie, trois statuettes en pierre qui m’ont paru anciennes par leur travail. L’une représente un moine, le capuchon ramené sur la tête ; les deux autres sont un diacre et un évêque.
Le choeur forme retraite sur la nef. Le mur du nord est en partie recrépi, ce qui empêche l’inspection de l’appareil.
Il est éclairé par une fenêtre ogivale assez large, peut être du XIII° siècle.
Le mur du midi paraît d’une grande épaisseur : à une hauteur moyenne se présentent des briques antiques, disposées symétriquement en arêtes de poisson, alternant avec des moellons.
Ces briques, ou plutôt ces fragments, n’ont que 4 pouces environ de longueur, et leur épaisseur varie d’un pouce à 15 lignes; les joints ont 18 lignes. Ailleurs, viennent, sans ordre, des fragments très-minces de terre blanchâtre que l’on prendrait volontiers pour des fragments de poterie. Il s’en trouve aussi d’un rouge vif, comme la terre de Samos, légèrement concaves: je les ai pris pour des débris de tuiles.
Ce mur est percé d’une fenêtre cintrée, du XVII. siècle, et d’une petite porte plus récente. Celte dernière a amené, en partie, la destruction d’une petite fenêtre cintrée ayant les caractères de l’époque romane. Les claveaux sont assez minces, les joints peu épais et réguliers. Prise en dehors de son entourage, on ne pourrait la faire remonter au-delà du XIIe. siècle.
Le chevet est un mur droit. Au milieu s’ouvre une grande fenêtre en style ogival primitif. Quelques briquetons sont mêlés sans ordre dans la maçonnerie. On y distingue un rang de pierres très-plates, disposées en chaînage dans toute la largeur, à l’instar des chaînes de briques des constructions romaines.
En somme, je regarde cette église comme fort ancienne bien que les briques ne soient pas romaines, et que leur emploi ne paraisse qu’accidentel et en dehors de tout système de construction déterminé, il est certain que, dans la disposition de ces divers matériaux, on voit une réminiscence de la manière de bâtir des Romains ou des Carlovingiens. Je ne serais pas éloigné de penser que cette église, si peu intéressante au premier abord, est une des premières constructions des Normands, après leur conquête, et qu’elle a été, par conséquent, élevée vers 950.
Sur le bord de la route, un gros if, dont le tronc n’a pas moins de 9 pieds de diamètre à sa partie moyenne, étale ses nombreux et vigoureux rameaux. On peut le croire contemporain de l’édifie près duquel il est excru. Il est remarquable par sa vigueur et par sa forme.
L’intérieur de l’église n’est pas fait pour arrêter longtemps les investigations. Le mobilier est nul, sauf l’autel de la chapelle qui date du règne de Louis XIV. La voûte de bois est couverte de dessins.
Je n’ai rien pu trouver concernant les anciens seigneurs de Fierville.
La paroisse dépendait de l’élection de Lisieux, sergenterie de Moyaux, et comptait 70 feux au XVIIIe. siècle.

Inventaire historique des actes transcrits aux insinuations ecclésiastiques de l’ancien Diocèse de Lisieux – PIEL L. F. D.

118. – Le 19 décembre 1695, la nomination au prieuré-cure non-conventuel de St-Gervais et St-Protais de Fierville appartenant au seigr abbé de X.-D. de Corneville, de l’ordre des chanoines réguliers de St-Augustin, Mre Jacques Durand, pbrê habitué en l’église paroissiale de N.-D.-du-Prey de Pontaudemer, vicaire général de Mesre Louis Desme de la Chesnaye, abbé commendataire de Corneville, nomme à lad. cure de Fierville, vacante par la mort de Fr. Jean Goudier, dertitulaire, la personne de Fr. Philippe Longer, pbre, religieux de la maison de Beaulieu, diocèse de Rouen, prieur-curé de Cauverville, même diocèse de Rouen. Fait et passé en l’hôtellerie du Louvre, faubourg et parr, de St-Aignan de Pontaudemer.
Le 20 décembre 1095, Mre Christophe Le Nepveu, vic. gl, donne aud. sr Longer la collation dud. bénéfice.
Le 30 décembre 1695, le sr Longer prend possession du prieuré-cure de Fierville, en présence de Me Jacques Baudouin, prieur de l’abbaye de Corneville; Me Jean Sionville, pbre, curé de Martainville; Me Jean Sorel, pbfë, curé de Manneville-la-Pipard; Me Pierre Ive, .pbfë, desservant le prieuré de Fierville; Me Henry Desmonts de lad. abbaye, et Sébastien Ive, de la parr, du Torquesne.
Le 8 févr. 1696, Me Philippe Longer, pbfë, prieur-curé de Cauverville, pourvu du prieuré-cure de Fierville, proteste au nom des religieux de Corneville contre certains termes de la collation à lui donnée de lad. cure de Fierville : Jureque proefati III. ac RR. dni comitis Lexov. in nominatione, in deportu, semper salvo; » led. prieuré cure, comme les autres cures régulières dépendantes de l’abbaye de Corneville, n’étant sujet à aucun déport.

235. – Le 17 avril 1696, M. Philippe Longer, chanoine régulier de St-Augustin, profès de l’abbaye de Beaulieu, prieur-curé de Cauverville, diocèse de Rouen, et de St-Gervais de Fierville, demeurant encore à Cauverville, donne sa procuration pour résigner entre les mains de N.-S-P. le pape lad. cure de Fierville en faveur de Me Jacques Souris, pbrë séculier du diocèse de Rouen, à la charge pour lui défaire, profession dans led. ordre de St-Augustin.
Le 2 mai 1696, led. sr Souris obtient en cour de Rome des lettres de provision dud. bénéfice.
Le 9 juillet 1696, le seigr évêque donne son visa auxd. lettres de provision.
Le 21 juillet 1696, le; sr Souris prend possession du prieuré-cure de Fierville, en présence de Me Pierre Ive, vicaire du lieu, et autres témoins.

533. – Le 16 août 1702, la nomination au prieuré-cure de St-Gervais et St-Protais de Fierville, appartenant au seigr abbé de Corneville, Mre Louis Desmé de la Chesnaye, chevr, abbé commendataire des abbayes de N.-D. de Corneville, diocèse de Rouen, et de N.-D. d’Angles, diocèse de Luçon, demeurant à Paris, dans le château du Vieux-Louvre, nomme à cette cure, vacante par la mort de Me Jacques Souris, pbre, dernier titulaire, la personne de R. P. Jean Pasquet, pbfë, chanoine régulier de St-Augustin, demeurant présentement à Paris, en la maison de St-Antoine.
Le 8 sept. 1702, Mre Pierre Audran, vicaire général, donne aud. sr Pasquet la collation dud. bénéfice.
Le lendemain, le sr Pasquet prend possession de la cure de Fierville, en présence de Me Pierre Ive, pbrë, vicaire du lieu, et autres témoins.

Freville, auj. Fierville (St-Gervais et St-Protais) Prieuré-cure
Curés. – J. Goudier – P. Longer – J. Souris – J. Pasquet.
Prêtre de la paroisse. – P. Ive.
Patron. – L’abbé de Corneville . – L. Desme de la Chesnaye.

514. – Le 9 juin 1711, Fr. Jean Pasquet, pbfë, chanoine régulier de St-Augustin, congrégation de St-Antoine, en Viennois, prieur-curé de St-Gervais de Fierville, pourvu par Sa Sainteté d’un canonicat régulier en l’église collégiale de St-Evremond de Creil, diocèse de Beauvais, dont il n’a pas pris possession, donne sa procuration pour résigner led. canonicat entre les mains de N.-S.-P. le pape en faveur de Fr. Mathieu Desnos, chanoine régulier dud. ordre de St-Augustin et curé de St-Jean-des-Salles, diocèse de Limoges.

275. – Le 26 août 1716, Charles de Fréville, Escr, demeurant en la parr, de Fréville (Fierville), constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Pierre de Fréville, Escr, acolyte de lad. parr., afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Fait à Blangy en l’étude de M Pierre Le Garand, notaire.

410. – Le 16 avril 1718, furent ordonnés diacres :
Me Louis-François Bernière, sous-diacre de Fierville.

538. – Le 16 avril 1718, Me Pierre de Fréville, sous-diacre de Fierville, est ordonné diacre par Mgr Henry-Ignace de Brancas.

69. – Le 8 avril 1719, furent ordonnés prêtres :
Me Pierre de Fréville, diacre de la parr, de Fierville.

1 33. – Le 8 oct. 1722, la nomination au prieuré-cure de St-Gervais et St-Protais de Fierville, appartenant au seigr abbé de N.-D. de Corneville, Dora Nicolas Gallot, pbrë, chanoine régulier de St-Augustin, prieur-curé de Colletot, diocèse de Rouen, et grand vicaire de Mes François-Alexis Joubert de la Bastide de Chasteau-Morand, abbé commendataire de Corneville, nomme aud. prieuré de Fierville, vacant par la mort de Dom Jean Pasquet, pbrë, dernier titulaire, la personne de Dom Jean Quintaine, pbrë, chanoine régulier de la parr, de Cauverville, diocèse de Rouen.
Le 9 oct. 1722, led. sr Quintaine ayant requis du seigr évêque de Lx la collation dud. bénéfice, celui-ci la lui refuse parce qu’il n’a présenté aucune attestation de bonne vie et moeurs.
Le 16 nov. 1722, le seigr évêque donne aud sr Quintaine la collation de lad cure.
Le 17 nov. 1722, led. sr Quintaine prend possession de la cure de Fierville, en présence de Me François Bence, pbrë, desservant lad. parr. et autres témoins.

171. – Le 16 janvier 1723, Dom Jean Ouintaine, pbfê, religx de l’ordre de St-Augustin, prieur-curé de Cauverville, diocèse de Rouen et pourvu du prieuré-cure de Fierville, diocèse de Lx, donne sa procuration pour résigner led. bénéfice de Fierville entre les mains de N.-S.-P. le pape en faveur de Me Denis Thorel, pbrê, vicaire de Colletot, diocèse de Rouen.

247. – Le 11 fév. 1723, Me Denis Thorel, pbfë du diocèse de Rouen, obtient en cour de Rome des lettres de provision du prieuré-cure de Fierville, diocèse de Lx, à condition qu’il prendra l’habit et fera profession dans une maison de l’ordre de St-Augustin, dans le délai d’une année.
Le 7 avril 1723, le seig évêque donne son visa auxd. lettres de provision.
Le 9 avril 1723, le sr Thorel prend possession du prieuré de Fierville, vacant par la résignation faite en sa faveur par Me Jean Quintaine, pbre, chanoine régulier de St-Augustin et dernier titulaire. Fait en présence de Me Noël Goubert, pbfë, curé des Parfontaines; Me François Bence, pbfë, vicaire de Fierville, et autres témoins.

630. – Le 3 janvier 1719, titre clérical fait en faveur de Me Henry Marie de Fréville, acolyte, par Me Charles de Fréville, Escr, demeurant en la parr. de Fierville.

Curés. – J. Pasquet – J. Quintaine – Thorel.
Vicaire. – F. Bence.
Clercs. – P. de Fréville – H. -M. de Fréville – L.-F. Bernière.
Patron. – L’abbé de Corneville. – N. Gallot, vic. gl.
Seigneur. – C. de Fréville.

260. – Le 13 juin 1764, vu l’attestation du sr Lecoq, vicaire de Manneville-la-Pipard, dispense de bans pour le mariage entre Louis Ledoux, sr de Bouillon, fils de François Ledoux, sr de Glatigny, officier d’Invalides, et de dame Marguerite Duchemin, de la parr. de Pont-l’Evêque, d’une part, et dame Anne-Marguerite Sellot, vve de Jean-Louis Tragin et fille de feu Nicolas Sellot, originaire de Fierville et demeurant à Manneville.

177. – Le 16 nov. 1765, vu l’attestation du sr Thorel, curé de Fierville, et du sr Le Cavellier, vicaire de Blangy, dispense de bans pour le mariage entre Georges-Guillaume Castel, officier de milice garde-côtes, fils de feu Jean-Baptiste, de la parr, de Beaumont, diocèse d’Evreux, d’une part, et Marie-Marguerite Selot, demeurant à Fierville.

Prieur-curé. – D. Thorel.
Notable. – C.-X. Selot.

206. – Le 17 déc. 1782, M. Denis Thorel, pbrë du diocèse de Rouen, chanoine régulier de l’abbaye de Corneville, diocèse de Rouen, et prieur-curé de St-Gervais et St-Protais de Fierville, diocèse de Lx,
demeurant en son manoir presbytéral et « ayant la vue extrêmement affaiblie à cause de son grand âge de 88 ans, au point de ne pouvoir célébrer la messe, jouissant d’ailleurs d’une santé passable, vu son extrême vieillesse, » donne sa procuration pour résigner sa cure entre les mains de N.-S.-P. le pape en faveur de M. François Perrinelle, pbfè du diocèse de Lx, chanoine régulier de l’Ordre de St-Augustin et congrégation de France au chapitre de St-Volusien de Foix, diocèse de Pamiers, et profès de la maison conventuelle et chef d’Ordre de Ste Geneviève de Paris. Il se réserve toutefois 1° une pension viagère de 800 livres à prendre sur les revenus de ce bénéfice qu’il a possédé pendant 59 ans;
2° une partie du presbytère et de ses dépendances. Fait et passé au manoir presbytéral dud. lieu.
Le 24 déc. 1782, led. sr Thorel déclare que, n’ayant d’autre infirmité que l’affaiblissement de sa vue causé par son grand âge, il révoque lad. procuration passée en faveur du sr Perrinelle, offrant de le dédommager des frais que celui-ci a pu faire en conséquence dud. acte. Fait et passé aud. manoir presbytéral de Fierville.

114. – Le 23 juin 1785, Mr Denis Thorel, pbrê, religx de l’Ordre de St-Augustin, âgé de 91 ans, prieur-curé de St-Gervais et St-Prôtais de Fierville, jouissant, à cause de son grand âge, d’une santé chancelante, presque entièrement privé de la vue et ne pouvant plus remplir ses fonctions curiales, et néanmoins sain d’esprit et d’entendement, donne sa procuration pour résigner sa cure entre les mains de N.-S.-P. le pape en faveur de son neveu, Me Pierre Cauchie, pbre du diocèse de Rouen, titulaire de la chapelle simple de S4 Pierre des Prés en la parr. du Breuil, et prie Sa Sainteté de bien vouloir admettre lad. résignation en commende décrétée. Il se réserve toutefois une pension viagère de 600 livres à prendre sur les revenus de ce bénéfice qu’il a possédé pendant soixante-deux ans; 2° la moitié du presbytère et du jardin, ainsi que quelques droits et servitudes; 3° un cent de fagots chaque année.
Fait et passé au manoir presbytéral de Fierville.
Le 18 juillet 1785, led. sr Cauchie obtient en cour de Rome des lettres de provision en commende dud. bénéfice.
Le 24 nov. 1785, le seigr évêque donne son visa auxd. lettres de provision.
Le lendemain, le sr Cauchie (1) prend possession do la cure de Fierville, en présence de Me Jean-Baptiste Renier, vicaire de lad. parr., et autres témoins.
(I) Quoique M’ Cauchie eût été dépossédé de sa cure, en 1788, par arrêt du parlement et qu’il eût été obligé de quitter le presbytère de Fierville, on le regardait toujours comme le curé légitime de cette paroisse. Il s’était retiré à Pierrefitte. et la ou lui demanda, en 1791, de prêter le serment constitutionnel : comme il s’y était refusé, il émigra en Angleterre l’année suivante. Il se réfugia à Londres; mais il y mourut au mois de juillet 1793. [Archives municipales de Pierrefitte. – Mss de Reux.)

20. – Le 7 mai 1787, Mr Jean-Marie Duchesne, chanoine régulier de l’Ordre de St-Augustin, religieux-profès de l’abbaye de N.-D. de Corneville, diocèse de Rouen, titulaire du prieuré simple de Ste Catherine de Rondemare. expose en cour de Rome que le prieuré-cure de St-Gervais et St-Protais de Fierville est habituellement desservi par les religieux de lad. abbaye, mais qu’en ce moment il est indûment détenu par un certain Pierre Cauchie qui se dit prêtre, mais qui est absolument inhabile à posséder ce bénéfice. C’est pourquoi le requérant demande et obtient pour lui des provisions dud. prieuré-cure.
Le 11 févr. 1788, M. de Collignon, vie. gl, donne son visa auxd. lettres de provision.
Le lendemain, le sr Duchesne (1) se rend avec le notaire et les témoins à l’église de Fierville pour en prendre possession; mais ils la trouvent fermée. Ils vont au manoir presbytéral pour demander la clef.
Le domestique du sr Cauchie répond que son maître est absent et qu’il ne peut donner les clefs. Sur quoi ils retournent à l’église, et là Mr Duchesne est mis en possession de ce bénéfice par sa prière faite à l’entrée principale, par le toucher de la porte et des murailles, en présence de plusieurs témoins amenés de Lx.
(1) M.Duchesne prêta d’abord le serment constitutionnel avec des restrictions; puis le Directoire lui ayant demandé de nouvelles explications, il prêta le serment pur et simple. Il fut conservé comme curé constitutionnel de Fierville, mais les paroissiens le chassèrent comme il avait chassé Mr Gauchie. II se retira à Bosc-Robert, paroisse aujourd’hui réunie a Gisay (Eure). En l’an III, la municipalité lui donna un certificat de bon citoyen. (Archives du Calvados. – Archives de l’Eure.).

134. – Le 4 fév. 1788, Mr Jean-Marie Duchesne, chanoine régulier de l’Ordre de St-Augustin, congrégation de France, titulaire de la chapelle simple de Ste Catherine de Rondemare, desservie en l’église paroissiale d’Appeville, diocèse de Rouen, demeurant au monastère de N.-D. de Corneville, même diocèse, obtient de Fr. Claude Rousselet, abbé de Ste-Geneviève de Paris, supérieur général de lad. congrégation, chef et supérieur de tout l’Ordre du Val des Ecoliers, l’autorisation d’accepter le prieuré-cure de St-Gervais et St-Protais de Fierville au. diocèse de Lx
Le 11 mars 1788, l’expéditionnaire en cour de Rome, résidant à Paris, envoya une supplique qui fut présentée le 24 du même mois.
Dans cette supplique le sr Duchesne exposait à Sa Sainteté que le prieuré-cure de Fierville était détenu indûment par Me Pierre Cauchie, pbre séculier, pourvu en commende de ce bénéfice sur la résignation faite par Mr Denis Thorel, chanoine régulier et dernier titulaire; que cette résignation, faite sans le consentement du supérieur, était contraire aux statuts et règlements de la Congrégation de France et à la bulle d’Urbain VIII de l’an 1654; qu’en conséquence le sr Duchesne requérait pour lui led. prieuré-cure.
La Cour de Rome n’ayant pas expédié les provisions telles que le sr Duchesne les demandait, celui-ci appela comme d’abus au Grand Conseil, à Paris, le 2 août 1788, et requit l’autorisation de « se retirer devers l’évêque diocésain à l’effet d’obtenir de luy des provisions nouvelles» dud. prieuré-cure et d’en prendre possession; comme aussi de lui permettre de faire assigner devant led. Conseil « le nommé Cauchie pour voir dire que le suppliant sera gardé et maintenu dans le droit, possession et jouissance dud. prieuré et se voir condamner à la restitution des fruits par luy indûment perçus, aux intérêts du montant d’iceux à compter du jour de la demande et aux dépens. » Ce qui lui fut accordé.
Le 2 .sept. 1788, en conséquence de l’arrêt du Grand Conseil, le seigr évêque de Lx donne aud. sr Duchesne des provisions du prieuré-cure de Fierville.
Le lendemain, le sr Duchesne se rend en cette paroisse avec le notaire et les témoins pour prendre possession de ce bénéfice. Ils trouvent les portes de l’église fermées. Ils vont au presbytère demander les clefs; la servante de Me Cauchie leur répond que son maître est absent et qu’elle n’a point d’ordre de remettre les clefs de l’église à personne.
Sommée de signer sa réponse, elle refuse de le faire. Sur quoi on retourne à l’église, et le sr Duchesne est mis en possession du prieuré-cure par sa prière faite a l’entrée principale de l’église, par le toucher de la porte et des murailles et autres cérémonies accoutumées, en présence de deux témoins amenés de Lx.

Prieurs-curés. – D. Thorel – F. Perrinelle – P. Gauchie – J.-M. Duchesne.
Vicaire. – J.-B. Renier.

Monographie des communes et des familles de Fierville – Fierville, Ch.
Fierville – sous – Blangy ou Fierville-les-Parcs.
Château des Parcs-Fontaines, vaste manoir en bois et en plâtre, ayant le caractère des maisons seigneuriales du temps de Henri IV. C’est là que fut cachée l’enfance de Tancrède de Rohan….. qui plus tard se trouva mêlé aux guerres de la Fronde et fut tué dans un engagement, aux portes de Paris (1).
Le curé portait le titre de prieur; la taxe des décimes allait à 25 livres, et l’église était sous l’invocation de saint Gervais et de saint Protais (2).
La paroisse était dans l’élection et diocèse de Lisieux (sergenterie de Moyaux, archidiaconé de Pont- Audemer, doyenné de Touques); le patronage appartenait à l’abbaye de Corneville (départ. de l’Eure, arrondissement de Pont-Audemer ), ainsi que toutes les dépendances, et le curé était choisi parmi les chanoines (3).
L’église ne sert plus au culte aujourd’hui; on lui a préféré celle des Parcs-Fontaines. Elle remonte, dit M. de Caumont, à la plus haute antiquité, à ces époques de la période romane primitive pour lesquelles la science
n’a pas encore de classification. Elle se compose d’une nef, d’un choeur et d’une chapelle relativement moderne, construite sur le flanc nord. C’est une des premières constructions des Normands après leur conquête, et qu’elle a été, par conséquent, élevée en 950 (4).
Je n’ai jusqu’à présent trouvé cette paroisse qu’une seule fois mentionnée dans les chartes du moyen-âge : c’est en 1248. François de Mont­Berger, chevalier, confirme une donation faite à l’abbaye de Bonport, puis fait don à l’église de St.-Maclou, de Rouen, de 1,000 livres, et de 200 écus à l’église de St. Éloi-des-Prés :….. Item tres vergas terræ apud villam dictam le Houme juxta viam regis ad Fierville….. (5).
(1) Labulte, Histoire d’Honfleur et de l’arrondissement de Pont- l’Évêque.
(2) Voyez A. Le Prevost, Pouillé de Lisieux, dans les Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie.
(3) Pièces justificatives, nº. 24.
(4) Voyez la Statistique monumentale de l’arrondissement de Pont-l’Évêque, p. 402 et suiv.
(5) Voyez M. Andrieus, Carlulaire de l’abbaye royale de Notre-Dame de Bonport, p. 178.

Les fortifications circulaires isolées en France – Annales de Normandie, 15e année n°3.
Fierville-Les-Parcs (Calvados). — Feuille Lisieux. Deux petites mottes côte à côte, dont l’une avec fossés et vallum, dans le fond de la vallée près de la rivière. Mission Caen – Brionne 1955, n » 68-69.

Archives Calvados.
– Louis Fumée le jeune prêta serment comme prévôt de Normandie le 30 juin 1620. Il permuta en 1627 avec
Ithier-François Chastellain pour l’abbaye de Saint-Genou, au diocèse de Bourges.
– Ithier-François Chastellain, 1627-1661.
– Ithier-François Chastellaîn, docteur en théologie, principal du collège de Fortet à Paris et chanoine dudit Paris, prêta serment comme prévôt de Normandie le 20 novembre 1627.
1652 Aveu à Ithier-François Chastellain, docteur en Sorbonne, chanoine de l’église Notre-Dame de Paris, grand-prévôt de Normandie en l’église de Chartres, seigneur et patron en ses terres et seigneuries de Saint-Marin-aux-Chartrains et Englesqueville, Saint-Julien-sur-Calonne, Les Parcs-Fontaines, etc. par Pierre Ballen (Ballen), de terres à Englesqueville. Série H. Suppl. Honfleur 1861, H. 143.

3 – Archives ShL:

Achat du 11- 02-2003. Lot n° 82.
-FIERVILLE, 1717-1811 :
1) dossier de la famille Gibon, 2 pièces parchemin et 7 pièces papier, ventes de terre, rente ;
2)1807, déclaration à volonté d’abattre (imprimé) ;
3) 1813, licence de distillateur.

Prospections GRAPPA.

FIERVILLE-LES-PARCS (I.N.S.E.E. n° 269)
« les Buttes » Clx: 447,65 x 1174,00 – Double motte seulement Signalée par J.SOYER en 1965, bien que remarquée dès 1900 par H. Moisy . Arcisse de Caumont écrit n’avoir rien pu trouver sur les anciens seigneurs de cette paroisse. La grande enquête de 1247 mentionne pourtant Richard de Fierville , chevalier, qui devait être le seigneur du lieu, et qui est cité comme étant le protecteur des orphelins de Raoul de Bouttemont, son voisin.
Sources:
SOYER J., Les fortifications Circulaires isolées en France, Annales de Normandie, n°3 oct. 1965., p.365.
MOISY H., Communication à la Société Historique de Lisieux, Procès verbal de la réunion du 12 juin 1900.
CAUMONT.A de.Statistiques Monumentale t.IV, 1859.,p.438. Querimoniae Normannorum anno 1247 n° 84 p.13
On aurait trouvé dans la maçonnerie de l’ancienne église de Fierville, qui datait des environs de l’an Mil, des briques romaines et un morceau de céramique Sigillée.

Fonds Cailliau 3F1 – 3F201.
3F 149 1685-1801 – Fierville : pièces de famille, contrats, partages

Fond Cailliau – Sous-série 3 F – Index.
– CORDIER – famille à Fierville – 149.
– 1613 8 juillet –Contrat de Mariage de Louis Quettier, fils d’Eustache et de Marie Requier de Moyaux et Jeanne Cassel, fille de Jean et de Jeanne Le Corps de Fierville.

Revues – Brochures.
Br 168 Fiervilles-les-Parcs, fouilles de 1994. Conseil Général du Calvados.

Archives NEDELEC Bibliographies.
5.23 – Fierville (Marguerite de) – Auge 44.

Archives NEDELEC Communes.
com.24. 2 Fierville-les-Parcs

Fonds Madame GONCALVES.
USINE SATIS à FIERVILLE LES PARCS – 14
I -Rapport et proposition de l’ingénieur ordinaire Pont et Chaussée, rivière de CHAUSSEY
Plan de situation du moulin
Procès verbal de Récolement Usine Jean Alexis Prudent SATIS.
II -Echange terrains entre Monsieur SATIS et HARANG devant Auguste FEREY fils notaire royal pour le canton de BLANGY – 18/12/1825
III – Succession de Dame Marie Anne Rose Félicité REBUT veuve Nicolas François Jean Baptiste LEFRANCOIS – Tirage au sort de trois lots situés à Manneville la Pipard et Fierville les Parcs, Document du 21 Février 1839.
IV – Faillite de Jean Alexis Prudent SATIS, document du 03 Octobre 1840.
V – Vente du Moulin à huile de Fierville les Parcs appartenant à Jean Ernest SATIS aux négociants Eugène BARON et Alexandre LAIN de LISIEUX – 14. Document du 13 Décembre 1858.
VI -Querelle droit de passage entre Jean Ernest SATIS et héritiers du 1er mariage de Jean Alexis Prudent SATIS, année 1859.
VII -Condamnation de Jean Ernest SATIS 3000 francs + intérêts envers Eugène BARON et Alexandre LAIN. Document du 14 février 1861.
VIII -Reconnaissance droit passage Moulin à Huile Jean Ernest SATIS et PLANTAFOL tuteur de Gabrielle PLANTAFOL sa fille. Document du 22 Février 1861
IX -Vente aux enchères Moulin à Huile à Ernest PIQUENOT, extraits des minutes du greffe du tribunal civil de 1ère instance de Pont l’Evêque – 14, document du 17 Août 1874.
X -Cahier de charges requête Consorts PLANTEFOL. Document du 3 Juin 1876.
Vente terrain Fierville les Parc de Marie Blanche PLANTEFOL à Edmond Guillaume PIQUENOT de Pont l’Evêque – 14. Document du 23 Décembre 1876.
XI -Cahier de charges requête des héritiers PORETS et vente de biens situés à Fierville les Parcs et Manneville la Pipard. Document du 21 Décembre 1898.

FONDS Arthème PANNIER.
NE 12.1 – 1er carton « Communes ». Fierville les Parcs ( Parcs-Fontaine).

Inventaire des imprimés anciens conservés dans les archives de la Société historique de Lisieux.
7e Carton : JOURNAUX :
Jour 15 : Journal et petites affiches de Pont-l’Évêque et de Lisieux.21-02-1808 : nouvelles étrangères : Angleterre, Autriche, Bavière. Nouvelles locales : Equemauville, Fierville, Mesnil-sur-Blangy.24-03-1811 : Turquie, Transilvanie, Autriche, Empire Français et nouvelles locales : Méry-Corbon, Pont-l’Évêque, valeur des monnaies.

Les Bulletins Shl Et Leur Sommaire.
Numéro 67, Premier semestre 2009 – Jeanne Goncalvès – Le moulin à huile de Fierville-les-Parcs.

Sommaire général des carnets d’Arthème Pannier.
Carnet 98, 1859 – 060 – Relevé d’un décor sur une cloche de Fierville.

Fonds Goupil – Plaques photographiques.
122 1955 Inauguration de la crèche – Noce d’or à Fierville – Flach (lire plaques ?) divers 2301-2324 2301 2324 24 Numérisées.

Voir le site: j.y.merienne.pagesperso Villes et villages du Calvados

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *