DEAUVILLE

NOTES sur DEAUVILLE

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Deauvilla – Dyauville – Avevilla.

Deauville, canton de Pont-l’Evêque.
Avevilla, 1060 (livre blanc de Troarn). Auvilla, XII° s° (ibid.).
Deauvilla, XVI° s° (pouillé de Lisieux, p. 18).
Dyauvilla (cart. de Saint-Hymer), XIV° s° (ibid.
note).
Par. de Saint-Laurent, deux prébendes.
Dioc. de Lisieux,
doy. de Beaumont.
Génér. de Rouen,
élect. de Pont-Audemer, sergent, de Beaumont.

Archives Calvados
Deauville (Calvados)
Canton actuel : Honfleur – Deauville
Arrondissement actuel :Lisieux
Code INSEE : 14220
Histoire administrative : Un secteur est réuni à la commune de Trouville le 30 septembre 1863.
DEAUVILLE
I. Dioc. de Lisieux. Baill. de Honfleur – .Maîtrise de Pontl’Évêque. Gr. à sel de Danestal. – Gén. et int. de Rouen; él. de Pont-l’Évêque; subd. de Honfleur.
II. Distr. de Pont-l’Évêque; canton de Touque (Arrêté du 1 mars 1790).
III. 3 arr. communal (Arr. de Pont-l’Évêque); canton de Touque (Loi du 28 pluviôse an VIII); canton de Pont-l’Évêque (Arrêté du 6 brumaire an X) ; – canton de Trouville. (Loi du 1 août 1872) . – Pop.: 3824-3749 hab. ( 1911). Sup.: 289 hect .?
La commune de Deauville a cédé à Trouville une portion de son territoire. (Décret du 30 septembre 1863) .
ADMon Gale. Délibérations, depuis le 14 décembre 1834.
ÉTAT-CIVIL.— Baptêmes, mariages et sépultures, depuis 1663. Les actes de 1803-1832, 1836, 1838, ont été détruits par un
incendie, en avril 1840, et vont être reconstitués. – Audiences de contrats. 1669-1677. Délibérations du commun. 1664-1674, 1724-1762.
Voir les actes de catholicité de Deauville. 1672-1673, 1680-1683 (Série G, Deauville, cah. et débris).
P. 558. DEAUVILLE-SUR-MER, au lieu de Baill. d’Honfleur. Maîtrise de Pont-l’Evêque lire: Baill. et maîtrise de Pontl’Evêque : 1. 22 et 24, corrections correspondantes aux précédentes : Sup.: 293 hect. 12a. 35 c. — La commune de Deauvilles’est augmentée d’une petite portion du territoire de Trouville.

Lieux-dits de DEAUVILLE:
Maison-Blanche (.LA), Maison – Moulin-Saint-Laurent, Min.

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

voir : Normand du 10 juillet 1869
PANNIER Arthème : voir Archives SHL, NE12, 1er carton.
BURNET, Présentation de Deauville dans Géographie et Tourisme. Actes du Colloque tenu à Paris les 2, 3 et 4 mai 1963, Paris, Centre d’Etudes du Tourisme, 1964
CAUMONT Arcisse de : Statistique monumentale du Calvados, réédition FLOCH Tome IV page 239
DAVY Michel, « Le Bras d’Or », Athéna sur la Touques, n° 122, Décembre 1994.
DEFERT P., Etude d’aménagement touristique de Deauville et de la Côte Fleurie, Comité départemental du Tourisme du Calvados, 1961.
DOYENNEL Claude : histoire des glaces Pompon. BSHL n°34, Déc.1995
Editions FLOHIC : Le patrimoine des communes du Calvados.
LAJOYE Patrice : notes archéologiques d’Arthème PANNIER, BSHL n°48, mai 2001-
L’EXPLOITATION ANCIENNE DES ROCHES DANS LE CALVADOS : HISTOIRE ET ARCHEOLOGIE. Serv. Dep. D’Archéologie.1999. page 437.
HERAUD Colette et Guy,
– Le Duc et la Duchesse de Morny, à Deauville », PAR, 42, N°1, Janvier 1992, PAR, 42, N°2, Février 1992.
– Piscine à Deauville », Bâtir, N° 157, Mai 1967.
– Deauville, port de plaisance », Urbanisme, 1971.
– Deauville, pourquoi les marinas ? », Normandie-Actualités, N° 34, Octobre 1975.
– Port-Deauville : Bravo Messieurs les Promoteurs », L’Entreprise normande et du Nord-Ouest, Juillet 1972.
– Deauville : une saison pas mauvaise, mais … », L’Entreprise normande, N° 159, 5 octobre 1970.
– L’industrie du soleil à Deauville », L’Ouest-Industriel, N° 213-214, Août-Septembre 1969
– Tourisme d’affaires, l’été indien à Deauville », Implantations, N° 44, Septembre 1979.
– Tourisme à Deauville », L’Entreprise normande, N° 180, 5 octobre 197.
CHAUVET Marie-Pierre, « L’aéroport de Deauville-Sainrt-Gatien », Entreprises normandes et du Nord-Ouest Juin 1974.
« Deauville, carrefour bancaire international », Seine-Estuaire, N° 21, 1er trim. 1978.

2 – Pièces Justificatives:

STATISTIQUE MONUMENTALE DU CALVADOS PAR ARCISSE DE CAUMONT.
Deauville, Deauvilla.
L’église de Deauville couronne le sommet d’une colline verdoyante, au pied de laquelle s’étend un vaste marais. La vue que l’on découvre du cimetière est délicieuse : devant soi apparaît la mer; au nord, on distingue le Havre et le cap de la Hève; à l’est, Trouville étale avec coquetterie ses maisons blanches qui s’élèvent en amphithéâtre sur la rive droite de la Touque, près de son embouchure.
Le choeur de Deauville est roman et peut remonter au XI° siècle. Il est terminé par une abside circulaire, soutenue par trois contreforts très-plats ; celui du milieu était percé d’une petite fenêtre, en forme de meurtrière, disposition assez rare en Normandie et qui se voit aux églises de St.-Laurent de Falaise (Voir la Statistique monumentale, t. II, p. 450), à celle de Bucels, près Tilly (Idt. III, p. 387), d’Ecajeul, près de Mézidon, et dans quelques autres églises. Les murs latéraux du choeur, en retrait sur ceux de la nef, sont terminés par une corniche dont les modillons sont taillés en biseau ou formés de têtes grimaçantes très-détériorées. Le mur du nord est flanqué de deux contreforts plats et percé d’une fenêtre carrée du XVII. siècle. Le mur méridional de la nef est roman et flanqué d’un seul contrefort plat. Le mur septentrional, percé d’une large fenêtre ogivale sans meneau, ou dont le meneau a été détruit, n’a été élevé qu’au XIIIe. siècle. De ce côté s’ouvre la porte principale, formée d’une grande ogive avec chanfrein garnie d’un tore. La nef se termine, à l’occident, par un mur droit, sans aucune ouverture, avec contrefort s’emboîtant sur les angles, disposition commune au XVe. siècle. Le gable est surmonté d’un petit clocher moderne, construit en charpente et recouvert en ardoise.
La voûte du choeur est formée d’arcs en diagonale, très larges et très-aplatis. L’abside, en forme de cul-de-four, sert de sacristie. On remarque, à droite, une piscine à double cuvette.
Saint Laurent est le patron de l’église de Deauville. La cure était à la nomination du chanoine qui était en possession de la prébende située sur cette paroisse.
La commune de Deauville a été réunie, pour le culte, à celle de Tourgéville.

Inventaire historique des actes transcrits aux insinuations ecclésiastiques de l’ancien Diocèse de Lisieux – PIEL Léopold Ferdinand Désiré.

300. — Le 21 nov. 1693, dispense de bans p air le mariage entre Pierre Le Grix, Esc., sr de la Cour, de la parr, de St-Etienne-Lallier, d’une part, et Elisabeth de Bresy, de là parr, de Deauville.

326. — Le 13 décembre 1693, la nomination au canonicat de Deauville, 1° portion, appartenant au seigr évêque, Messire Léonor de Matignon, évêque et comte de Lx, nomme aud. bénéfice vacant par la mort de Mre. Pierre Lange (1), pbfë, dernier titulaire, la personne de Me. Simon Davoust, pbfë, bachelier en théologie, curé de St-Germain de Lx, chanoine du Faulq et titulaire de la chapelle de St-Jean-Evangéliste, en la Cathédrale.
(1) Pierre Lange fut enterré dans l’église abbatiale du Val-Richer.

10 – Le 11 août 1694, le sr Davoust est mis en possession des canonicat et prébende de Deauville, 1° portion, vacants par la mort de feu Me Pierre Lange, pbfë, dernier titulaire, décédé le 9 décembre 1693.

– Mre Michel Lecoq, pbre, chanoine prébende de Deauville, 2e portion.

208. — Le 3 févr. 1695, vu l’attestation du sr Lefebvre, pbrë, curé de Deauville, dispense de bans pour le mariage de Louis Lefebvre et de Magdeleine Perchey.

192. — Le 24 avril 1696, Mre Simon Davoust, pbrê, licencié en théologie de la faculté de Paris, chanoine prébende de Lieurey, 1° portion, et de Deauville, aussi 1° portion, demeurant à Paris au collège Louis-le-Grand, et représenté par Me Gustave Courtin, pbrê, vicaire de la Cathédrale de Lx, résigne purement et simplement lad. prébende de Deauville entre les mains du seigr évêque.
Le même jour, sa Grandeur nomme aud. bénéfice la personne de Me Gabriel Hébert, pbre, licencié ès-droits, curé de St-Jacques de Lx.
Le lendemain, le sr Hébert est mis en possession du canonicat de Deauville, 1° portion, par le ministère de M. le doyen.

395. — Le 15 décembre 1696, la nomination aux canonicat et prébende de Deauville, 2e portion, appartenant au seigr évêque de Lx, Sa Grandeur nomme aud. bénéfice vacant par la mort de Me Michel Lecoq, pbfë, dernier titulaire, la personne de Mre Louis-Henry de Rome de Vernouillet, sous-diacre de Chartres.
Le 25 décembre 1696, led. sr de Rome prend possession de son canonicat par le ministère de Mr le doyen du Chapitre. Fait et passé en présence de Mes François Desclos et Isaac Cantel, diacres, officiers de la Cathédrale.
Le 29 janvier 1697, le sr de Rome, ayant remis purement et simplement son canonicat de Deauville, 2e portion, le seigr évêque nomme à ce bénéfice la personne de Mre Jean de Pont, clerc du diocèse de Saintes.
Le 7 février 1697, led. sr Jean de Pont, demeurant à Paris et représenté par Me Antoine Guéret, pbfë, officier douze-livres en la Cathédrale de Lx, est mis en possession dud. canonicat par le ministère de M. le doyen devant tout le Chapitre assemblé. Fait et passé en présence de Mes Isaac Cantel et André Fréminot, diacres, officiers de la Cathédrale.

Le 7 août 1698, Sa Grandeur donne aud. sr de Matignon la collation des canonicat et prébende de Deauville, 2e portion.

140.— Le 30 avril 1699,Mre Léonor de Matignon, clerc tonsuré du diocèse de Paris, nommé parle seigr évêque et comte de Lx au canonicat de Deauville, 2e portion, demeurant à Paris, au collège d’Harcourt,
donne sa procuration à Mre François Daubin, chanoine de Lx, pour résigner, en son nom, purement et simplement led. canonicat entre les mains dud. seigr évêque.
Le 7 mai 1699, Sa Grandeur nomme à ce bénéfice, ainsi vacant, la personne de Me Charles-François de Montaing, clerc du diocèse de Toul.
Le 30 juin 1699, led. sr de Montaing, représenté par Me Guillaume Cousture, pbfë, titulaire de la chapelle St-Sébastien en la Cathédrale, est mis en possession du canonicat de Deauville, 2e portion, par le ministère de M. Audran, chanoine.
Le 8 juillet suivant, le sr de Montaing vient en personne prendre possession de ce bénéfice.
Le 22 sept. 1690, Charles-François de Montaing reçut la tonsure à Trêves.

Gabriel Hébert, pbfë, prébende de Deauville, 1° portion.
Charles-François de Montaing, diacre, prébende de Deauville, 2e portion.

Le 10 mars 1703, le sr de Rome de Vernouillet est mis en possession de la 2e portion du canonicat de Deauville.

750. — Le 4 avril 1703, Me Gabriel Hébert, pbrë, chanoine prébende de la 1° portion de Deauville, et, en cette qualité, patron présentateur à la cure de St-Laurent de Deauville, nomme à cette cure, vacante par le décès de M. Louis Lefebvre, pbrë, dernier titulaire, la personne de Me Nicolas Le Vigneur, pbrë de la parr, de St-Désir de Lx.
Le 5 avril 1703, le seigr évêque donne aud. sr Levigneur la collation dud. bénéfice.

773. — Le 24 avril 1703, Me Nicolas Le Vigneur, pbfë, pourvu de la cure de Deauville par la nomination faite de sa personne par le chanoine prébende de la 1° portion de Deauville prend possession dud. bénéfice, en présence de Me Alexandre Odienne, pbfë, curé de St-Désir; Christophe Lefèvre, curé de Gatteville, diocèse de Coutances, et Me Jean Bence, vicaire de Trouville.

503. — Le 8 avril 1705, le seigr évoque, collateur ordinaire des canonicat et prébende de Deauville, 1° portion, nomme aud. bénéfice vacant par la mort de Me Gabriel Hébert, pbrê, dernier titulaire, décédé dans le présent mois, la personne de Me François-Nicolas Deslondes-Caboulet, pbrê, originaire de St-Aubin-sur-Auquainville, Me ès-arts en l’Université de Paris.
Le 15 avril 1705, led. sr Deslondes-Caboulet, le Chapitre étant assemblé, est mis en possession dud. canonicat de Deauville, 1° portion, en présence de Christophe Courtin, vicaire, et de Guillaume Véron, pbre, chapelain de la Cathédrale.

608. — Le 9 sept. 1705 Mesre Louis-Henry de Rome de Vernouillet, pbrë, chanoine prébende de Deauville, 2e portion.

Prébende 1° portion de Deauville. — P. Lange — S. Davoust — Gabriel — F-N. Deslandes-Caboulet.
Prébende 2e portion de Deauville. — M. Lecoq — L.H. de Rome de Vernouillet — L. de Matignon — C.F. de Montaing.

Curés. — L. Lefebvre — N. Levigneur.
Patron. — Le chanoine prébende de la 1° portion de Deauville en la Cathédrale. — G. Hébert.
Seigneur. — E. de Brésy.

Le 2 février 1712, la collation de la chapelle de St-Ursin en la Cathédrale appartenant au chanoine de semaine, Mre François-Nicolas Caboulet, pbrë, chanoine prébende de Deauville, 1° portion.

333. — Le 16 oct. 1723, Mre Nicolas Levigneur, pbfë, curé de St-Laurent de Deauville, âgé de 64 ans, étant demeuré infirme, ce qui le met hors d’état de remplir les fonctions curiales, donne sa procuration pour résigner sond. bénéfice entre les mains de N.-S.-P. le pape en faveur de Me Sébastien Laisney, pbrë, vicaire de Bonneville-sur-Toucques. Il se réserve toutefois 120 livres de rente annuelle à prendre sur les revenus de lad. cure qu’il dessert depuis 20 ans. Fait en présence de Me Nicolas Duclos, vicaire de St-Thomas de Toucques, et autres témoins.

Mesre Louis-Henry de Rome de Vernouillet, chanoine prébende de Deauville, 2e portion, conser. au parlement de Rouen, y demeurant, rue des Jacobins.

371. — Le 10 novembre 1723, Me Sébastien Laisné, pbrë, obtient en cour de Rome des lettres de provision de l’église curiale de St-Laurent de Deauville, vacante par la résignation faite en sa faveur par Me Nicolas Levigneur, dernier titulaire.
Le 3 janvier 1724, le seigr évêque donne son visa auxd. lettres de provision.
Le 11 janvier 1724, ledit sr Laisné prend possession de ce bénéfice en présence de Mre Alexandre Renout, pbrë, curé d’Englesqueville ; Christophe Paul du Perron, Escr; Georges Lefaucheur; Me Jacques Mullot, huissier au bailliage d’Orbec; Me Jacques Bouchard, notaire royal à Toucques, et autres témoins.

Prébende, 1° portion, de Deauville. — F.-N. Caboulet des Landes.
Prébende, 2° portion, de Deauville. — L.-H. de Rome de Vernouillet.

Curés. — N. Levigneur — S. Laisney.
Seigneurs et notables. — A. du Mesnil — C.-P. du Perron — G. Lefaucheur — J. Mullot.

1148. —Le 26 sept. 1731, Me Sébastien Laisné, pbre, curé de St-Laurent de Deauville et pourvu du bénéfice-cure de St-Arnoult-sur-Touques, demeurant en la parr. de Deauville, donne sa procuration pour résigner lad. cure de Deauville entre les mains de N.-S.-P. le pape en faveur de Me Jacques-Jean-Baptiste Mullot, sous-diacre de ce diocèse.
Celui-ci toutefois sera chargé de faire la pension due à Me Nicolas Le Vigneur, ancien curé du lieu. Fait en présence de M8 Pierre Pateley, pbrê de St-Germain de Lx.
Le 15 janv. 1732, led. sr Laisné, du consentement dud. sr Mullot, révoque la précédente procuration et en donne une nouvelle pour résigner également entre les mains de N.-S.-P. le pape sond. bénéfice de Deauville en faveur de Me Claude Rouelle, pbfë de ce diocèse.
Le 6 Fév. 1732, led. sr Rouelle obtient en cour de Rome des lettres de provision dud. bénéfice.
Le 4 avril 1732, le seigr évêque donne son visa auxd. lettres de provision.
Le 6 avril 1732, le sr Rouelle prend possession delà cure de Deauville, en présence dud. sr Laisné, résignant, et autres témoins.

221 . — Le 19 mai 1742, la nomination aux canonicat et prébende de Deauville, 2e portion, appartenant au seigr évêque, Sa Grandeur nomme aud. bénéfice, vacant par la mort de Mre Louis-Henry de Rome de Vernouillet, pbfë, dernier titulaire, la personne de Me François Huet, pbfë, licencié aux droits, chapelain de la Cathédrale.
Le 25 mai 1742, le Chapitre de la Cathédrale étant rassemblé, led. sr Huet est mis en possession du canonicat de Deauville, 2e portion, par le ministère du sr Faure, grand chantre de cette Eglise. Fait et passé en présence de Me Jean Débris, diacre, et de Me François Nicolas, clerc, officiers de la Cathédrale.

429. — Le 11 avril 1743, Me François Huet, pbrë, chanoine prébende de la 2e portion de Deauville, promoteur général de l’évêché et titulaire de la chapelle N.-D., 1° portion, en la Cathédrale, demeurant à Lx, parr. St-Jacques, remet purement et simplement lad. chapelle entre les mains du seig. évêque.
Le 12 avril 1743, la nomination à lad. chapelle appartenant aud. seigneur évêque, Sa Grandeur nomme à ce bénéfice la personne de M Jean-Baptiste Le Rat, pbrë de ce diocèse.
Le 13 avril 1743, led. sr Le Rat est mis en possession de la chapelle N.-D., 1° portion, par le ministère de Mr Faure, grand chantre de la Cathédrale, en présence de Mes Jean Débris et Jacques Dehah, pbfês, officiers douze-livres.
Le 30 oct. 1734, Jean -Baptiste Le Rat, fils de Jean et de Marie Bellenger, de la parr. St-Jacques de Lx, reçoit la tonsure clérical.

Prébende de Deauville 1er portion). —F.-N. Caboulet des Londes
Prébende de Deauville (2e portion). — L.-H. de Rome de Vernouillet — F. Huet.
Curés. — S. Laisney — J.-B. Mullot — C. Rouelle.

95. — Le 14 juillet 1749, la nomination à la prébende de Deauville, 1er portion, appartenant au seigr évêque, Sa Grandeur nomme aud. bénéfice, vacant par la mort de Me François Caboulet, pbrë, dernier titulaire, la personne de M. Simon-Thomas Rambaud, pbfë du diocèse de Carpentras.
Le 25 juillet 1749, led. sr Rambaud est mis en possession desd. canonicat et prébende de Deauville, 1° portion, par le ministère de Mr de Gyémare, chanoine et grand chantre de la Cathédrale.

3. — Le 24 nov. 1752, la nomination à la chapelle St-Nicolas en la Cathédrale de Lx appartenant au chanoine de semaine, Me François Huet, pbrë, licencié ès-droits, chanoine prébende de Deauville, 2e portion,
se trouvant chanoine de semaine, nomme aud. bénéfice, vacant par la mort de Me Louis-François Poret, pbrë, dernier titulaire, la personne de Me Pierre-Guillaume Formeville, diacre de ce diocèse.
Le 29 nov. 1752, led. sr Formeville est mis en possession de la chapelle St-Nicolas par le ministère d Mr Le Blond, chanoine trésorier de la Cathédrale.

223. — Le 21 févr. 1766, la nomination au canonicat et à la prébende distributive de Deauville, 2e portion, appartenant au seigr évêque,
Sa Grandeur nomme aud. bénéfice, vacant parla mort de Mre François Huet, pbrë, dernier titulaire, décédé le 18 de ce mois, la personne de Mre Estienne Bayle, pbrë du diocèse de Gap, licenciées-droits, chanoine de l’Eglise cathédrale de St-Etienne d’Auxerre et secrétaire de l’évêché de Lx. Donné à Lx, sous le seing de Mr l’abbé de Fresne, vie. gl., et le contre-seing de Mr Naudin, secrétaire particulier de Monseigneur.
Le lendemain, le sr Bayle est mis en possession dud. canonicat par le ministère de Mr le doyen. Fait et passé en présence de Me Nicolas Letournel, pbrë, et de Me Michel Ferey, aussi pbfë, officiers delà Cathédrale.
Les lettres de tonsure du sr Bayle sont datées du 21 sept. 1726.
Le seigr évêque l’avait nommé à ce canonicat « pour le remplir du brevet de serment de fidélité a luy accordé par Sa Majesté.

179. — Le 10 août 1767, vu l’attestation du sr. Bellenger, vicaire de Deauville, dispense de bans pour le mariage de Nicolas Dubosc.

255. — Le 14 nov. 1767, la nomination à la cure de St-Laurent de Deauville appartenant au chanoine prébende de la 1° portion de Deauville en la Cathédrale, Mre Simon-Thomas Rambaud, pbre, chanoine titulaire de lad prébende, docteur en théologie, vice-gérant de l’officialité de Lx, nomme à lad. cure, vacante par la mort de Me Claude Rouelle, dernier titulaire, la personne de Me Félix-Xavier-Arnoult-Jacques de Villeneuve, pbrë du diocèse de Carpentras. Mais cette nomination n’ayant pas eu de suites, led. sr Rambaud présente, le 12 févr. 1768, la personne de Me François Dubois, pbre, vicaire de Formoville. Fait et passé à Lx, en la maison canoniale dud. sr Rambaud.
Le lendemain, le seigr évêque donne aud. sr Dubois la collation dud. bénéfice.
Le 15 févr. 1768, le sr Dubois prend possession de la cure de Deauville, en présence de Me Sébastien Laisné, pbrë, curé de St-Arnoult.

Prébende de Deauville (1° portion). — F. Caboulet — S. -T. Rambaud.
Prébende de Deauville (2° portion). — F. Muet — E. Bayle.

Curés. — C. Rouelle — F.-X.-A.-J. de Villeneuve — F. Dubois.
Vicaire. — Bellenger.
Patron. — Le prébende de la 1° portion de Deauville. — S. -T. Rambaud.

9. — Le 21 janv. 1785, la nomination à la cure de St-Laurent de Deauville appartenant au chanoine prébende dud. lieu, 1° portion, Mre Ambroise-Grégoire-Bernard-Stanislas Jacques de la Récluse, pbrë, chanoine prébende de la 1° portion de Deauville, demeurant à Lx, en la maison de Mr Rambaud, ancien chanoine, archidiacre de Pontaudemer et vicaire général, sise rue de la Porte de la Chaussée, parr. St-Germain, nomme à lad. cure, vacante par la mort de Me François Dubois, dernier titulaire, la personne de Me Louis Grouard, pbre de ce diocèse.
Fait et passé en lad. maison canoniale.
Le même jour, le seigr évêque donne aud. sr Grouard la collation dud. bénéfice.
Le 25 janv. 1785, le sr Grouard (1) prend possession de la cure de Deauville, en présence de Me Jérôme Lentrain, pbrë, desservant lad. parr., et autres témoins.
(1) M. Grouard, originaire de St-Jacques de Lx, prêta d’abord serment à la Constitution civil du clergé; puis peu de temps après il se rétracta et se retira à Lisieux dans sa famille.
Mais en 1792, il lui fallut émigrer : il partit pour Jersey où il resta quelque temps et finit par se réfugier à Londres. Il ne rentra probablement jamais en France. (Archives du Calvados. — Mss de Reux.)

Prébende de Deauville (1° portion). — S. T. Rambaud — A.-G-B. -S. Jacques de la Recluse.
Prébende de Deauville (2° portion). — E. Bayle — A.-T. Nicolas.
Curés. — F. Dubois — L. Grouard.
Prêtre desservant. — J. Lentrain.
Patron. — Le prébende de la 1° portion. — A -G.-B.-S. Jacques de la Récluse.

La prébende de Deauville, première portion, consistait en 50 sols de rente que faisait le vicaire perpétuel et en un petit pré situé dans la prairie d’Ouilly. Le chanoine présentait à la cure.
La seconde portion de cette prébende se composait aussi d’un petit pré dans la prairie d’Ouilly et de quelques autres revenus.

Frère d’Empereur : Le Duc de Morny et la Société du Second Empire – Loliée, Frédéric.
Morny créateur de Deauville.
Extraits:
– Qu’était-ce, Deauville, avant Morny, avant qu’il eût engagé dans son orbite d’activité un groupe social, qui jeta, là, de l’or et des maisons? Une vague annexe de Trouville, un modeste village bâti au sommet d’une colline et par elle abrité contre les sables de la plage.
– Depuis quelques années les médecins rivalisaient d’ardeur à préconiser les bains de mer. On les avait écoutés, on les avait suivis. Trouville, où n’existaient encore, sous la précédente monarchie, que des huttes de pêcheurs, s’était édifiée, peuplée, avec une célérité merveilleuse. Il était question déjà de déverser sur d’autres points du littoral le trop plein de Trouville! Un ami et l’un des médecins de Môrny, le docteur Oliffe, eut l’idée qu’une station limitrophe pourrait s’établir avantageusement; et il avait aussitôt envisagé les chances de Deauville. Il en avait parlé à Morny, qui s’empressa de visiter cette bourgade inconnue du Calvados, en eut le regard épris, et ne tarda pas à concevoir sur son avenir possible de vastes projets. Dès 1809, il avait pris en main les destinées de Deauville. Il y fit arriver le chemin de fer, relier Trouville à Deauville, creuser un bassin, fonder un hippodrome (initiative tout explicable chez le créateur du grand prix de Paris) et construire, en 1860, la magnifique terrasse, longue d’une demi-lieue, que nous admirons, aujourd’hui, avec sa bordure élégante de villas perdues dans là verdure. Donnant toujours du large à ses visées, il n’avait pas borné là ses ambitions pour Deauville. Il n’y voyait rien moins qu’une grande ville en germe; il eût voulu en faire la tête de ligne d’un chemin de fer allant de Trouville à Bordeaux, sans passer par Paris, et qui eût porté, d’après ses plans, un coup sensible au cabotage anglais. Seulement les administrateurs chargés des intérêts de la Compagnie du Nord, craignant pour leurs dividendes, s’étaient élevés contre l’entreprise et l’empêchèrent de prendre corps.
Cependant, Deauville grandissait et se développait sous un patronage illustre, dont le nom ou l’image se retrouvait partout et qu’une statue, œuvre du ciseau d’Iselin, rappelait à tous les yeux. Devant la cité naissante s’étendait la vaste mer; l’industrie était à ses portes; le commerce y creusait un port; la finance y fondait le crédit; la mode même y appelait les visiteurs, les touristes et les malades; un Brighton français s’était fondé sur les bords de la Toucques.

Activités, urbanisme et ségrégation à Deauville – Jean Chennebenoist.
Extraits:
Quand Morny et ceux qui l’entouraient, méditèrent l’opération Deauville, ils avaient deux desseins en tête. D’une part, ils envisageaient de créer une station balnéaire dont la clientèle serait plus sélectionnée que celle à laquelle ils se voyaient confrontés à Trouville; et d’autre part, ils voulaient organiser, autour du futur bassin, un complexe industriel et une tête de pont ferroviaire; ils espéraient en faire le trait d’union entre l’Angleterre et le centre de la France.
La disparition prématurée et brutale de Morny coupa court à ce second projet.
Toutefois, la réalisation de la station luxueuse se trouvait trop avancée pour qu’elle ne survécût pas au fondateur; tout au plus, son développement en fut-il ralenti.
Tandis qu’à Trouville, les estivants avaient le plus souvent construit leurs villas sur les espaces laissés disponibles entre les chaumières du village, de l’autre côté de la Touques, un vaste espace plat et vide de toute construction, avait permis à l’architecte Breney de concevoir un plan s’inspirant d’un urbanisme bien prémédité, affectant une fonction à chaque quartier : le port, la gare, le commerce de détail, la station balnéaire.
Avant de songer à se construire un logement, il convient d’abord de satisfaire les commandes des riches Parisiens grâce auxquels le marais de Deauville va se transformer en un énorme chantier.
Morny sera ainsi en mesure d’occuper sa villa au cours de la seconde quinzaine du mois d’août 1864; il en profitera pour inaugurer le champ de courses et pour poser la première pierre de l’église Saint-Augustin, comme s’il avait voulu, par ce geste, se ménager l’indulgence céleste, il avait beaucoup à se faire
pardonner. Par contre les Deauvillais, ceux que leur travail fixe à Deauville, n’y trouvent pas toujours le toit pour s’abriter : ainsi, le secrétaire de mairie Porte en est réduit à franchir la Touques pour se loger.
Un plan de Deauville nous paraît singulièrement intéressant, car il montre la ville encore embryonnaire à la fin du Second Empire. Il la date de septembre 1877. Mais certains détails nous font penser qu’il est antérieur de huit ans. Au sud de l’avenue Impériale, on ne remarque comme constructions que la gare, près de la rivière, et l’église. La ville commerçante occupe un carré de 5 à 6 hectares autour de la place Morny et entre les rues du Marché, de la Banque et des Thermes (actuellement appelées Fossorier, Victor-Hugo et Mirabeau). Autour du bassin, seul le quai de la gare est bordé de quelques constructions; sur celui de la Marine, la scierie est bien indiquée, mais aucun bâtiment ne figure sur le plan; sans doute de simples baraques abritent-elles l’équipement; les dépôts de bois encombrent déjà le quai. On voit qu’à la fin du Second Empire, il existait une amorce du complexe industriel que Morny avait envisagé d’établir, mais qui ne se développera finalement pas.
– La scierie subsistera jusqu’à la seconde guerre mondiale, le perpétuel chantier que devait être Deauville, lui offrant les débouchés assurés.
Le Grand Hôtel et le Casino s’élèvent eux aussi au milieu d’un square d’un hectare et demi. Toutes ces constructions d’une architecture assez ingrate, tiraient leur agrément de leurs jardins. Les plus remarquables s’élevaient d’ailleurs en bordure de mer et jusqu’à la jetée de l’ouest, car à cette époque, la plage commençait de l’autre côté de la Terrasse (actuel boulevard Cornuché). Le recul de la mer, d’où résultèrent les lais de mer, ne se produira qu’en 1874, au cours d’une nuit de tempête et du fait de la formation d’un banc de galets à 300 mètres au large. Le Deauville embryonnaire, comptait quelque 1200 habitants (1147 au recensement de 1866 et 1246 à celui de 1872). En 1911, la population a triplé.

Bulletin des Antiquaires 1861
Deauville – découverte de monnaies.
Le dimanche 21 juillet 186… j’ai été appelé par Fachet, horloger, pour voir une centaine de monnaies qui lui avaient été apportées le jour même par un nommé Hubart, cultivateur à Deauville près de Trouville, qui les avait trouvées sur sa propriété en démolissant un mur. Elles étaient renfermées dans un pot de terre.
La moitié environ consiste en florins qui ont d’un côté la fleur de lys florencée, de l’autre un St Jean Baptiste avec différents monétaires à la fin de l’inscription.
Le reste se compose de quelques Agnels de Jean II, et la plupart des monnaies d’assez module de Philippe VI de Valois. Il y en a trois types forts différents.
L’Angelot; un ange debout tenant l’écu de France avec 3 fleurs de lys.
La Chaise, le monarque assis avec la main de justice et sceptre, ou la main et le glaive sur une chaise gothique à haut dossier ou sur un pliant à têtes d’animaux.
Dans certaines ses pieds posent sur un lion.
Il est probable que cette cachette a été faite lors de l’invasion anglaise de Geoffroy d’Harcourt en 1356 ( ?).

Bulletin de la Société des antiquaires de Normandie.
– M l’abbé Nonant, chanoine honoraire de Bayeux, curé de Saint-Sauveur de Caen, a été enlevé, le 22 octobre, à l’affection de ses paroissiens. Né en 1826 dans le quartier ouvrier du Vaugueux, dont il fut toujours le zélé protecteur, M. l’abbé Nonant avait d’abord été vicaire de Saint-Pierre de Lisieux, puis curé de Deauville.
– Village de Normandie ( Calvados ). Découverte d’une tirelire contenant 222 pièces de monnaies françaises , en or ; la plus ancienne était de Louis le Hutin, et les plus récentes étaient du roi Jean; t . I , 453 . -Parmi ces pièces, il s’en trouvait d’étrangères ; 454.
FLORINS . Monnaies découvertes à Deauville ; indication des noms qu’elles portent ; t . I , 453 et suiv . Un florin d’or du Daupbiné , de 1340 , recueilli à Coutances ; t . III ,197 , 368. Voir Monnaies françaises.

3 – Archives ShL:

Dossier « LIEUX A à L » : ancienne église paroissiale, coupure de presse.
Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE BEAUMONT – 14
– Election de Pont l’Evêque, sergenterie de Beaumont
1 feu privilégie, 16 feux taillables
– Sous l’invocation de St Laurent
– Patronage: XVIe et XVIIIe Prebandarius loci

« Analyses et transcriptions … » dans « aveux de fiefs : -Bénerville :
– 4 octobre 1374
Jehan de la TILLAYE à cause de sa femme Jehanne du MONT rend aveu du fief du MONT dans la vicomté d’AUGE (paroisses de TOURGEVILLE, DEAUVILLE et BENERVILLE de :
– Renoult de BAILLEUL
– Jehan MARMION
– 24 avril 1409
Jacques de BAILLEUL escuyer rend aveu du 1/3 du fief de HUMBERT (?)
sis à SAINT-ERNOUL (saint Arnoult ?) s’étendant à TOURGEVILLE, DEAUVILLE et BENERVILLE

Insinuations
Description de l’église par A. Pannier
Description de la cloche
J’ai été bénite par Maistre Claude Roville, curé de Deauville, Armand de Madaillon de Lespare, marquis de Lassay, comte de Madaillon, chevalier des ordres du roy et lieutenant général des provinces de Bresse, Bugey et Gex, Marie Thérèse de Ivst ( ?) dame et comtesse de Remiremont . André Colmiche trésorier.
Faite par Maistre Pierre Simonnot, fondeur de Brev…t en Lorraine 1734.

REVUES – BROCHURES.
Br 227 Deauville Yacht-club saison 1967. Deauville Yacht-club
Br 228 47ème Congrès National de la mutualité de la coopération et du crédit Agricoles Confédération Nationale de la mutualité.
Br 229 Deauville passions. Office du tourisme de Deauville.

FONDS DUVAL Georges 2S.
– Agence Duval
2S286 Expertises hors Lx-Boîte. Deauville.
– Deauville
2S331 Cité scolaire-Carton
AO 1: collège et lycée -1966
AO 2: externat -1966-1967
Internat-1978-1981
Plans-1969-1970
Gymnase
DG-1969-1973
Plans Entrepreneurs-1973-1975
Plans-1953-1973.

FONDS COTTIN 2019.
20 – REVUES DIVERSE – Boîte d’archives.
Bien vivre loisirs et voyages 1973, Lisieux Deauville et Calvados avec photos.

MOISY Sommaire Des Carnets.
– EPITOME – XI – La jeune Deauville.

INVENTAIRE COOPERATIVE DE RECONSTRUCTION DE LISIEUX.
CARTON 23:
ILOTS 29-33-37 :
29 33/37 Correspondances :
Dont 29B 33/37 Architectes – Zigler
Entrepreneurs : Pieux Franki – Robert – Mary couvreur – Hamard – Gautheron 1, bis rue Desperriers – Castelain serrurier Deauville – Revel – oscan Bongard F?? boulang à Strasbourg – et entrepreneurs divers.

ARCHIVES NEDELEC BIBLIOGRAPHIES.
1.55-Bartillat (de) Christian-Le récit rêvé d’un amoureux de Deauville-10/12/2005
1.85-Bergé Pierre-Candidat à Deauville ?-01/04/1999
2.30.-1-Boudin Eugène-Vente de Deauville Auction-02/04/1997.
2.30.-16-Boudin Eugène Deauville réhabilite E. Boudin 10/09/199
5.71.-7 Garcin Jérôme Dédicace de « Cavalier seul » à Trouville-Deauville 28/01/2006
5.144 Guibourgé Nicolas Dédicace de « Lettres d’Hélène » à Deauville 13/08/2004
5.152.-1 – Guitry Sacha Récital littéraire à Deauville 19/19/1999
6.3. -3 Hallier Jean-Edern Fan de Deauville 13/01/1997
7.30-Lederman Paul Deauvillais de cœur 03/09/1994

Inventaire des enveloppes:
– Enveloppe n°356 Dons divers (septembre 2013)
Carte postale de l’inauguration de la gare rénovée de Trouville Deauville le 13 septembre 1985 (2 exemplaires).
– Enveloppe n°321 Auschwitz-Birkenau – don de Mr Corblin
Copie des mémoires de Mr Emmanuel Michel, employé SNCF à la gare de Trouville-Deauville, déporté à Auschwitz.
– Enveloppe n° 236 Don de Mr Catherine.
Souvenir philatélique du cinquantenaire de la gare de Trouville-Deauville (29-31 mai 1981)
– Enveloppe n° 222 Catalogue vente Artcurial et divers – don de Mr Catherine
Catalogue de vente Artcurial Deauville des 14 et 15 décembre 2008 concernant entier mobilier d’une demeure bas-normande.
– Enveloppe n° 225 Dons divers de Mr Catherine.
Copie de facture de la clinique Saint François à Deauville pour le séjour de Mme Catherine et son bébé en date du 9 juillet 1951.
– Enveloppe n° 226 Dons divers de Mr Martin.
Clinique Saint François à Deauville.
Enveloppe n° 222 Catalogue vente Artcurial et divers – don de Mr Catherine.
Catalogue de vente Artcurial Deauville des 14 et 15 décembre 2008 concernant entier mobilier d’une demeure bas-normande.

Fonds Michel COTTIN Série 11F A1.
11 FA – 20 – Divers IV – Plans lignes de chemin de fer Mesnil-Mauger – Sainte-Gauburge – Lisieux – Trouville-Deauville. Documents divers sur les églises de Monteille etc.

FONDS PANNIER ARTHÈME.
NE 12.1
1er carton « Communes ».
Deauville et Saint Arnoult ;

25 F – FONDS LEMETAYER-DESPLANCHE.
1er Dossier – II – VIE LOCALE:
B – Diverses localités
A 1 Deauville – A 2 Mont Canisy 1- A 3 Mont Canisy 2.
12/10/1859 lettre sur des affaires en cours De Me MAINIER avoué à LM CAEN
Ensemble de feuilles (45 pages – peu lisibles sur l’appartenance de certaines terres DEAUVILLE.

FONDS STURLER – PHOTOS ET PELLICULES.
– BOITE 24
24 O
MARIE fabricant de cordes août 1961
10 pellicules villa de Deauville
8 pellicules Usine route de Dives … Lisieux
– BOITE 27
27 C
Salon de coiffure Beaussin … Deauville avril 1963
2 pellicules vitrine
8 pellicules intérieur salon.
– BOITE 38
38 D
SRPT chantiers décembre 1966
Deauville 4 pellicules
– BOITE 53
Giberville, Pont-l’Evêque, Trouville, Deauville, Honfleur reportage
1 pellicule 24/36
4 photos

ARCHIVES NEDELEC COMMUNES.
com.20.2. 1 Deauville Vie de la commune
com.20.2. 2 Deauville Notes historiques
com.20.2. 3 Deauville Revue : le 21è Arrondissement. Automne-hiver 2002-2003
com.20.2. 4 Deauville Revue : le 21è Arrondissement. Eté 2000
com.20.2. 5 Deauville Revue : A chaque saison ses plaisirs 2002
com.20.2. 6 Deauville Revue : A chaque saison ses plaisirs. Manuel des ventes. 2003

1866.Archives SHL – 1F109 –
1866 : Deauville : état individuel des immeubles Donon Pierre Amand et Olive Joseph François.


Voir le site: j.y.merienne.pagesperso Villes et villages du Calvados

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