NOTES sur: PONT-L’EVEQUE
Collection de Répertoires Sommaires des Documents Antérieurs à 1800 Conservés dans les Archives Communales Publiés – Ministère de L’instruction Publique.
VILLE DE PONT-L’ÉVÊQUE.(1)
I. Diocèse de Lisieux. Siège d’un bailliage et d’une maîtrise des eaux et forêts. Grenier à sel de Honfleur . Siège d’une élection et subdélégation de la généralité de Rouen .
II . Chef-lieu de district et de canton ( Arrêté du 1° mars 1790 ).
III . Chef- lieu d’arrondissement ( 3° arr . communal) ; chef – lieu de canton ( – ) ( Loi du 28 pluviôse
an VIII et arrêté du 6 brumaire an X) . – Pop .: 2973-2797 hab. ( 1911 ) .
Sup .: 807 hect. ?
La commune actuelle de Pont- l’Évêque a été constituée par la réunion à la ville de Pont- l’Évêque de partie de la commune de Launay et de toute la commune de Sainte – Melaine, qui formaient chacune, avant 1790, une paroisse et communauté (Loi du 26 mai 1860) .
Observation préliminaire. Le dépouillement des archives de la ville de Pont l’Évêque n’est pas assez avancé, malgré leur bon rangement matériel, pour que tous les dossiers portés au projet d’inventaire préparé vers 1860 aient été identifiés , ni surtout pour que tous les documents antérieurs à l’an VIII aient pu être exactement reconnus.
1. – Ville de Pont- l’Évêque.
ADM Galr. Délibérations. 28 avril 1760-9 juin 1790 ( 4 reg . ) ;
14 juin 1790-22 frimaire an IV 5 reg .) – Procès- verbaux des séances de la municipalité cantonale 4 ) . 23 frimaire an IV-10 germinal an VIII ( 2 reg. )
Arrêtés et sentences de police. 10 mai 1790-8 floréal an IV (Cah . et 2 reg. ) — Arrêtés sur pétitions. 21 ventôse an II – 2 prairial an IV, 7 floréal an VII ( Reg. )
Arrêtés de la municipalité cantonale ,par bureau :
1 – affaires militaires. 27 frimaire an IV- 26 floréal an VIII ( Reg. )
2 – contributions, travaux , secours . 20 nivôse an IV- 24 floréal an VIII ( 2 reg . ) ;
3° – ? , affaires diverses. 27 frimaire an IV vendémiaire an VII ( Reg. )
Journal des opérations municipales. 26 février 1790-29 floréal an VIII ( 4 reg. , 59 reg. , fol. 1-108). — Certificats divers ( vie , résidence , etc. ) . 18 prairial an II-4 er frimaire an VII ( Reg. )
Enregistrement de la correspondance active . 19 octobre 1791-8 thermidor an IV ( 3 reg .) ; – correspondance active du 2e (contributions, etc.) . 4 thermidor an V-20 fructidor an VI (Cah .)
Enregistrement des lois et décrets .1790- an IV ( 3 reg.et 1 cah .)
Etat – Civil. – Baptèmes, depuis 1564. – Mariages et sépul tures, depuis 1602.
Lacunes : baptêmes de 1588-1590 , avril 1631-1632.- Audiences de contrats et déclarations de translations de domicile.1674-1677. Tables chronologiques, depuis l’origine ( 4 reg . )
Commencées vers 1729.
Résumé des actes de sépulture à communiquer aux contrôleurs des actes. 1747-1755 (Cah .)
STATISTIQUE . – État nominatif de la population . Vendémiaire an III (Cah ., manque le fol. 1 ?) de la population . Vendémiaire an III (Cah ., manque le fol. 1 ?) Mercuriales, depuis le 22 germinal an IV (Partie de registre) .
IMPOSITIONS. – Contribution foncière. États de sections (Sections A – E ). 1791 ( 7 cah .); – an V ( Cah.); — résumé des évaluations. S.d. ( 1 p . ) Rôle d’imposition de la taxe des dépenses locales. An II (Cah . – Matrice. An V Cah .Contribution personnelle-mobilière. Matrices . An VII – an VIII ( 2 cah .
Des journaux de recette du bureau des domaines ( 1784-1787, 4 reg . ) et un sommier des amortissements ( 1739-1751 ) ont été versés aux Archives départementales en 1887 .
AFFAIRES MILITAIRES. Routes et étapes. 29 avril 1760 – floréal an 01 ( 3 reg .) ; pour les détachements. Floréal an II – fructidor an IV ( Reg. ) ; pour les isolés. 24 nivôse an III – 1er vendémiaire an V (Reg .) – Logements fournis par les habitants . 24 frimaire an IV- 1814 ( Reg . ) – Dépenses de casernement. An V(Liasse . – Réquisitions militaires. An V- 1812 (Reg . ); – fourrages levés dans le canton . An VII (Cah. et 2 liasses).
Gendarmerie : logement, etc. An VI ( Liasse ).
Conscription : états des conscrits, procès – verbaux du jury de révision . An VII -an VIII 2 cah. et 2 liasses ). Colonnes mobiles. An VII Liasse )
Police ( ‘ ) . – Passeports délivrés. 26 août 1792-an XII 3 reg .)
Lacune : pluviôse an III messidor – an VII.
Armes : distributions à la garde nationale . 29 mars 1791 – 10 avril 1792 ; déclarations ( pour la ville ) . 18 juillet 20 septembre 1792 ; — pour le canton ). An VI ( 2 cah . et I liasse).
Société populaire : procès- verbaux des séances. 24 vendémiaire an II -20 vendémiaire, 16 germinal an III ( Reg. , fol .2-71 , 78 .
Bureau de paix et conciliation du district : plumitif d’audience. 5 avril 1791-20 brumaire an IV (7 reg. et cah .); autre série . 24 juillet 1792-5 germinal au II (Cah .) – Minutes de significations, ventes mobilières. An V – an VIII (Liasse incomplète) – Écrous. 12 frimaire- 3 messidor an VII (Reg.) – Transport des prisonniers. 30 brumaire – 20 floréal an VII (Reg .)
Police municipale : arrêtés . 1791, an V ( 2 p .)
COMPTABILITÉ . – Comptes de gestion. 1785-1788 Liasse) . Février 1790 -novembre 1791 ( cah . )
Enregistrement des mandats. 24 décembre 1771-1791 ( 2 reg .)
PROPRIÉTÉS COMMUNALES . Titres de l’ancien Hotel de Ville et du « logement de l’instituteur » Immeubles Cambremer des Aulnès). 1650 – an V (Liasse ). – Projet de halle . S. d . (Plan .Champ de foire : droit de servitude sur les représentants Le Loup et Leroux : partages. 1721 , 1777 ; plan. 1769 (3 p.)
Rivières et « mordouets » ( canaux) : procès – verbaux de visite. 1758 , 1788 (Liasse et plan); – répression d’entreprises de riverains. 1766-1767 (Liasse ).
CULTES. -Établissement des Dominicaines. Décembre 1680 Communauté de Sainte -Croix : sépultures. 1781-1786 (Cah .)
ASSISTANCE . – Hôpital . États trimestriels de mouvement et de situation . An VII- ventôse an VIII (6 cah.)
( 1 ) Nom révolutionnaire : Pont- Chalier ( ventôse an Il – pluviôse an’ III ) .
( 2 ) Le canton de Pont-l’Evêque a perdu les communes de Trouville, Deauville . Saint-Arnoult, Touque et Villerville, qui ont formé un nouveau canton . Il a reçu en compensation les communes de Pierrefitte , Saint-Benoît d’Hébertot, Saint- Julien -sur – Calonne, le Vieux – Bourg, du canton de Blangy, et Blonville, Glanville et Vauville, du canton de Dozulé ( Loi du 1er août 1872 ) .
( 3) Launay (ou Launay-sur-Calonne) appartint de l’an X à 1860 au canton de Blangy. L’autre partie de cette ancienne commune fut réunie à la paroisse de Saint-Julien-sur-Calonne.
( 4 ) Voir aux Archives du Calvados l’enregistrement des arrêtés du départe de la population . Vendémiaire an III (Cah ., manque le fol. 1 ?) Mercuriales, depuis le 22 germinal an IV ( Partie de registre ) .
IMPOSITIONS. – Contribution foncière. États de sections (Sections A – E ). 1791 ( 7 cah .); – an V ( Cah .); — résumé des évaluations. S.d. ( 1 p . ) Rôle d’imposition de la taxe des dépenses locales. An II (Cah . – Matrice. An V Cah .
Contribution personnelle-mobilière. Matrices . An VII – an VIII( 2 cah .)
Des journaux de recette du bureau des domaines ( 1784-1787,
Dictionnaire Topographique Du Département Du Calvados Comprenant Les Noms De Lieu Anciens Et Modernes – Publié Par Ordre Du Ministre De L’instruction Publique – C. Hippeau.
Pont-l’Evêque, chef-lieu d’arrondissement. La commune de Pont-l’Evêque .s’est accrue, en 1869, d’une partie du territoire de Launay-sur-Corbon. — Pons Episcopi; XII° s°(Orderic Vital, t. II, 1. v,p. 809). — Pont le Vesque, 1297 (enquête).
Par. de Saint-Michel, patr. le chapitre de Cléry. Dioc. de Lisieux, doy. de Beaumont. Génér. de Rouen. Chef-lieu d’une élection, d’un bailliage et d’une maîtrise des eaux et forêts. L’élection de Pont-l’Evêque, appartenant à la généralité de Rouen, embrassait les sergenteries d’Aragon, Beaumont, Beuvron, Bonneville, Canapville, Cambremer, Dive, Honfleur, Pont-l’Evêque, Saint-Julien-le-Faucon, Saint- Julien-sur-Calonne et Touque.
Le fief de la Hunière et le fief de Bretheville relevaient de la vicomté de Pont-l’Evêque. Autre fief nommé le Hamel-Solier (martologe de Tourgéville).
En vertu de la loi du 5 février 1790, le district de Pont-l’Evêque fut formé des cantons de Dive, Touque, Bonnebosq, Pont-l’Evêque, Beaumont.
Betteville, chât. cant de Pont-l’Évêque. Fief de la vicomte d’Ange, 1620 (aveux de la vicomte) – Cour (La), h – Geffosse , f. – Lieu-Roussel (Le), h. – Lormeraie, h – Mont-Grippon (Le), h –
1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.
1 – Bibliographie.
AGUITON Christ., Election de Pont-l’Evêque, Ms. AD 76.
AGUITON Christ., Les contribuables de l’élection de Pont-l’Evêque en 1787, Ms. A.D. 76.
ALLAIS, Ville de Pont-l’Evêque. Réunion, de la commune de Saint-Melaine et de partie de celle de Launay-sur-Calonne à la ville de Pont-l’Evêque. Delehais.= A.D. Calvados- F. 5078 – Papiers Le Court
ALLAIS, Maire de Pont-l’Evêque – réunion, de la commune de Saint Melaine et de partie de celle de Launay-sur-Calonne à la ville de Pont-l’Evêque [ 30 juillet 1858 ], Paris, Pilet, 1858..= A.D. Calvados – F. 5078 – Papiers Le Court
Almanach des villes de Pont-Audemer, Pont-l’Evêque et Honfleur, pour l’année 1792, Honfleur, Vasse.
A M. Perrée, curé de Pont-l’Evêque par Scheppers, Pont-l’Evêque, Imp.Dauge.= A.D. Calvados – F. 5078. Papiers Le Court)
ANDRE Alain, LETAC Gérard et PENAULT Pierre-Jean, Pont-l’Evêque. Jadis et Naguère, Pont-l’Evêque.
28e Année – Annuaire du Journal le Pays d’Auge – 1930 Imprimerie Humbert. Pont-l’Evêque.
AUMONT E., votr d’une adresse au Roi à l’occasion de l’attentat de Deraires [ 29 décembre 1840 ], Pont-l’Evêque.
(A.D. Calvados – F. 5078. Papiers Le Court)
F. BALLEROY, Des enfants nés hors mariage à Pont-L’Evêque, P.J. Dauge. In-12, 42 p.
BAROCHE Emile, Précis de la question relative à la création dans l’arrondissement de Pont-l’Evêque – E. Piel, 1871
= AD 14, Br. 16066
BAZIN Raymond, Rose Harel – La Servante poète normande (suivi de) Sites calvadosiens – Etudes, Pont-l’Evêque, = AD 14, Br. 5109
BODIN Pierre Docteur : Les litres seigneuriales du Calvados, supplément au BSHL n°54 ou Litres Calvados.
BOGGS Frank, Pont-l’Evêque, aquarelle – Salle Drouot, 28 Juin 1982, p. 4, rep. = AD 14, Br. 7226/62
BORNICHE Roger, Flic Story, 1979, (Ch. 24, pp. 221 sq.)
BREARD Charles, Cartulaire de Saint Ymer-en-Auge et de Bricquebec, Rouen, Lestringant, 1908. In-8°, xciij-343 p
BUREAU Dr Jean, Les cloches de Saint-Michel Pont-l’Evêque (Calvados), Pont-l’Evêque, Imp. Humbert.
BUREAU Dr Jean, « Les préoccupations de M. et Mme Bicherel », S.A.Pont-L’Evêque, I, 1947.
BUREAU Dr Jean, Rues, vieilles cours et vieux logis de Pont-l’Evêque, Pont-l’Evêque, 1948
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BUREAU Dr Jean, « Un don (Drouilly) au musée de Pont-l’Evêque », PAR, 7, N° 3, Mars 1957.
BUREAU Dr Jean, L’histoire monumentale de Pt-l’Evêque-ses environs, Art de Basse-Normandie, n° spécial 10, Eté 1958.
BUREAU Dr Jean, « L’Hôtel de Montpensier, à Pont-l’Evêque », PAR, 9, N° 3, Mars 1959, pp. 3-7
BUREAU Dr Jean, « Pont-l’Evêque », PAR, 16, N° 11, Novembre 1966; N° 12, Décembre 1966; 17, N° 1, Janvier 1967.
BUREAU Dr Jean, « L’administration domaniale et judiciaire de la Vicomté d’Auge », PAR, 16, N° 11, Novembre 1966; N° 12, Décembre 1966; 17, N° 1, Janvier 1967.
BUREAU Dr Jean, « Pour mieux connaître notre cité: de la voie romaine à l’autoroute », Bulletin officiel municipal, 1966.
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Antoine CALAX de FERLUX et Jacques LE QUENTREC de TOQUIN, Une voile martyr du calvados, Pont-l’Evêque et sa célèbre église Saint-Michel: la Cathédrale des Herbages, 1945. (Cité par Philippe DEVILLARD)
CAUMONT Arcisse de, (vitraux de Pont-l’Evêque) dans Bull. mon., 1843, pp. 304-306
CAUMONT Arcisse de, Statistique monumentale du Calvados, t. IV, p. 282
Jean CAZIN, Aménagement du territoire et petites villes du milieu rural. Pont-l’Evêque et sa zone d’influence dans Etudes normandes, 1957.
Olivier CHALINE, « Le juge et le pain », Ann. de Norm., 39 – 1989, N° 1, Mars – pp. 21-36
Pierre CHAUNU et Jean GUERIN, « Les églises de l’élection de Pont-l’Evêque aux XVIIe et XVIIIe siècles. Art de Basse-Normandie, n° 60, 1er trimestre 1973,
CHENNEBENOIST Jean, La Côte Fleurie à la Belle Epoque, t II,vues de Pont-l’Evêque.
J.-B. CHEVALLIER, Le Chemin de fer de Dozulé-Putôt à Pont-l’Evêque Mars 1883. In-8°.
COTTIN Michel : Notes sur « l’œuvre et réparations » de l’église Saint Michel de PONT-L’EVEQUE. BSHL n° 41 – Mai 1998.
DANDURAND Michel, « Pont-l’Evêque », AAN., 145, 1987 (1988), pp. 5-7; 63-72
DANDURAND Michel, « Pont-l’Evêque – Chais du Calvados Père Magloire », AAN., 145, 1987 (1988), pp. 26-29
Décrets impériaux sur les travaux à faire à Caen et aux prisons de Pont-l’Evêque et de Falaise, 25 mai 1811.
De la nécessité d’une communication directe entre Pont-l’Evêque et Pont-Audemer. Par un électeur Indépendant, Rouen, Brière, 1832. In-8°, 8 p.= A.D. Calvados – F. 5078. Papiers Le Court)
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DETERVILLE Philippe, Château de Betteville dans Richesse des châteaux du Pays d’Auge, Condé-sur-Noireau, Corlet, 1989.
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Dr R. DORANLO, « Essai de topographie rétrospective de la région d’Honfleur. Les voies antiques « , AAN, 1941-1948
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= A.D. Calvados – F.5078 – Papiers Le Court.
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= Bibl. mun. de Caen, Res. F.N..B. 971, comporte une pl. h.t.: Costume de l’arrondissement de Pont-L’Evêque
= M.C. E.D. Br. 1171 (sans le titre, ni la gravure)
HATET Nicole, ROGER Paulette et al., Le Pays d’Essay, Essay, Syndicat d’Initiative, 1991. 21 x 27, 253 p, ill.; p. 148.
photographies de la pose du tablier du pont de la rue saint-Michel par l’atelier Couturier, d’Essay.
HIPPEAU C, Cahier général des plaintes, doléances et demandes de l’assemblée générale du Tiers Etat du Bailliage de Pont-L’Evêque avec pouvoirs et instructions données par ladite assemblée à ses représentants à l’assemblée générale des 3 ordres du Bailliage de Rouen dans Le gouvernement de Normandie au XVIIe et au XVIIIe siècle d’après la correspondance des marquis de Beuvron et des ducs d’Harcourt, lieutenants généraux et gouverneurs de la province, Caen, Goussiaume de Laporte. In-8°; 2e partie, Evénements politiques, IV, 1857, pp. 333-352.
HUART Suzanne d’, Archives de la Maison de France (Branche d’Orléans) Tome I – Fonds de Dreux (300 AP I, 1 à 2634) – Inventaire, Paris, Archives Nationales, 1976. In-8°, 460 p
300 AP I, 389 : Vicomté d’Auge, Pont-L’Evêque, Beaumont, Montpensier, Roncheville
Insurrection et résistance à l’oppression des Citoyens du District de Pont-L’Evêque, (Pont-L’Evêque) [ Pièce datée du 14 juin 1793 et signée des Administrateurs du District de Pont-L’Evêque, les Officiers municipaux et membres du Conseil général de Pont-L’Evêque, etc., qui se déclarent en état d’insur-rection contre les « factieux de la Montagne et les représentans de la Commune de Paris »], De l’imprimerie de Vasse, Imprimeur du District. In-4°, 8 p.
= B.M. Caen, Lavalley)
= A.D. Calvados, L. II Administration – IV Police, 4 (ex 10134)
LABUTTE, Etude historique sur Honfleur et l’arrondisssement de Pont-L’Evêque, Paris, 1840
LALUBIE Jacques, Randonnées et patrimoine en Pays d’Auge – 1. Cantons de Dozulé et Trouville.- 2. Cantons de Pont-L’Evêque et Honfleur.- 3. Le Canton de Cambremer . Tomes 1 et 2: Heimdal, s.l.s.d. (Imp. Alençonnaise, 1983), Edit. Heimdal; Tome3: Corlet, s.l.s.d. (Condé-sur-Noireau, Corlet, 1987), 150×208, 219-191-222 p.
LAFOND Jean, « Une victime de la guerre. La vitrerie de l’église Saint-Michel de Pont-L’Evêque », BSAN, LVI, 1961-1962, pp. 569-586, ill.
LAFOND Jean, Le vitrail, Paris, Fayard, 1978. In-8°, 245 p., ill.
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LANNIER Philippe, « Les voies de communication antiques de la cité des Lexovii », Ann. de Norm., 35, juillet 1985, p. 224
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LE CACHEUX Paul, Actes de la chancellerie d’Henri VI concernant la Normandie sous la domination anglaise (1422-1435), Rouen-Paris, Lestringant-Picard, 1907, 2 vol.. In-8°.
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LE CLERC Léon, « Chaumières normandes (L’Aigle d’Or à Pont-L’Evêque) », L’Illustration
rec. factice « Pages de Tourisme de l’Illustration « )
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LE CORDIER Hélie, L’illustre Souffrant ou Job, poème par…
LE COURT Henry, Nobles ou vivant noblement à Pont-L’Evêque dans l’espace de 20 ans depuis 1742 dans Annuaire de la Noblesse de France, 1888
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LE COURT Henry, Eglise de Pont-L’Evêque in La Normandie Monumentale et Pittoresque, Le Havre, Le Male et Cie; réédit. Corlet, t. II, pp. 175-184
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Concerne une charge grevant une maison dont les propriétaires devaient aller, avec armes et bâtons prendre au château de Bonneville-sur-Touques les prisonniers qui devaient être exécutés à Pont-l’Evêque. Pour rémunération de ce service, ils avaient un droit « d’étaux »sous les halles. »
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Bénédictines – Bulletin des Antiquaires de Normandie 1875 VII p.277
Chauffer de Fleurigny : Conseiller à la Cour des Aides de Rouen, exilé le 4 octobre 1771à Pont l’Evêque, réintégré le 12 novembre 1774 (Hippeau – Gouvernement de Normandie V p.50 et 64)
Le Vavasseur – Conseiller à la Cour des Aides de Rouen exilé le 4 octobre 1771 à sa terre du Mont, près de Pont l’Evêque ; réintégré le 12 novembre 1774 (Hippeau – Gouvernement de Normandie V p.50 et 64)
Le Pont l’Evêque – poème par H. Le Cordier – médecin – Paris 1662
Ce Le Cordier était de Pont l’Evêque et médecin de Mademoiselle, dame de Pont l’Evêque. Il s’avisa de faire un poème sur son pays en sixain de 8 syllabes, d’un style pitoyable et de louanges ridicules ; il a fait 16 chants pour décrire les vaches, les fromages, le cidre et autres régionaux.
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STATISTIQUE MONUMENTALE DU CALVADOS PAR ARCISSE DE CAUMONT.
Pont-l’Évêque, Pons Episcopi.
J’ai déjà dit que je ne veux pas faire l’histoire des villes, d’abord parce qu’une statistique monumentale ne doit s’occuper que du dénombrement des édifices anciens, en les classant autant que possible chronologiquement; ensuite parce que les villes trouveront tôt ou tard des historiens, si elles n’en ont pas déjà.
D’après ce principe, je ne dirai qu’un mot de Pontl’Évêque (M. La Butte a donné, dans son Essai sur llonfleur et l’arrondissement de Pont-l’Évêque,un bon article sur cette petite ville ; on y trouvera,entr’autres renseignements historiques, des détails assez étendus sur un fait d’armes qui eut lieu près de Pont-l’Évêque pendant les guerres de la Ligue ( V. les pages 109 et suivantes de cet ouvrage))..
Cette petite ville s’élève à trois lieues de la mer, au milieu des gras pâturages arrosés par la Touque, près du confluent de la Calonne.
Orderic Vital rapporte ce qui suit : En 1077, le 17 juillet, Hugues, évêque de Lisieux, fut pris d’une maladie au bourg que l’on appelle Pont-l’Évêque; et comme on le transportait, selon son désir, à Lisieux, il mourut en chemin dans une plaine herbée. On érigea, le long du chemin, une croix qui fut appelée la croix de l’Évêque.
Pont-l’Evêque était donc, dès le XIe. siècle, une localité d’une certaine importance, puisqu’elle est qualifiée de bourg dans le récit d’Orderic Vital. Son nom semble indiquer que les évêques de Lisieux y avaient fait construire un pont.
Quoi qu’il en soit, la ville actuelle, dont la population est d’environ 2,200 habitants, se compose d’une longue rue et de quelques petites rues qui viennent y aboutir. La Touque coupe en deux parties cette rue principale.
L’église se compose d’une nef assez élevée avec des bas-côtés; elle n’a pas de transept.
La tour est placée à l’extrémité occidentale, comme dans beaucoup d’églises du XVe. siècle. Elle est très-pesante, flanquée de contreforts saillants et se termine brusquement par un toit en charpente, couvert d’ardoise.
En général, l’ornementation de cette église n’a pas dans ses moulures la finesse que l’on trouve dans beaucoup d’édifices datant, comme elle, du XVe. et du XVIe. siècle : cela tient, je crois, à la nature de la pierre employée. La craie est très-tendre dans l’arrondissement de Pont-l’Évêque; elle éclate facilement sous le ciseau, et le calcaire oolithique, dont on peut se servir à son défaut, est d’un grain assez grossier. La craie a été employée dans la construction de l’église de Pont-l’Évêque.
L’intérieur offre une certaine magnificence dans l’élévation de la grande nef, et surtout dans l’ornementation des voûtes des bas-côtés, dont les arceaux multiples sont garnis de pendentifs.
Il n’y a pas une seule partie de l’église de Pont-l’Évêque qui paraisse antérieure au XVe. siècle, et diverses portions de l’édifice, notamment les voûtes dont je viens de parler, ne sont évidemment que du XVIe. MM. Le Court et Lemétayer, qui font des recherches sur l’histoire de Pont-l’Évêque, trouveront les dates précises de la construction première et des différentes reprises qui ont été faites.
On sait d’ailleurs que l’architecte de l’église de Pont-L’évêque fut envoyé à Lisieux, aux frais de la Fabrique, pour examiner l’église de St. Jacques qui était elle-même en construction (cette église fut commencée en 1499 et terminée vers 1540 ). Ce fait explique les rapports qui existent entre les deux églises, soit pour le plan, soit pour le style.
Les lourdes consoles qui supportent un entablement, au-dessous des fenêtres de la grande nef, annoncent assez le temps d’Henri IV, ou même une époque plus récente encore.
Il est évident qu’un désastre considérable a forcé de reprendre en sous-oeuvre et de reconstruire la partie supérieure de la grande nef. Il n’y a même pas de voûtes en pierre dans cette partie, et celles qui existent ne sont qu’en bois. Il y en avait eu d’abord en pierre (Ce fut Mlle. de Montpensier qui donna la permission de prendre, dans la forêt voisine, le bois nécessaire pour refaire ces voûtes en bois ; nous connaissons donc la date approximative de cette réparation).
Il existe encore six verrières presque complètes dans l’église de Pont-l’Évêque; elles sont dans le chevet. D’autres fragments de vitraux se voient dans d’autres fenêtres.
Un des premiers essais d’autels gothiques a eu lieu dans l’église de Pont-l’Évêque, sur les dessins de M. Bouet; nous donnons cette composition, qui a provoqué d’autres travaux du même genre dans le pays.
L’église de Pont-l’Évêque est sous l’invocation de saint Michel. Le duc de Normandie nommait d’abord à la cure.
Ce droit fut ensuite donné au Chapitre de Cléry qui l’a exercé jusqu’au XVIIIe. siècle. L’église de Pont-l’Évêque dépendait du doyenné de Beaumont.
Après l’église, il n’y a pas de monuments importants à Pont-l’Évêque.
On doit citer pourtant un hôtel qui a appartenu à Mlle. de Montpensier et qui doit être de la fin du XVIe. siècle ou du commencement du XVIIe.
Le tribunal est, comme la plupart des édifices construits pour cette destination, orné d’un péristyle formant saillie et présentant l’image d’un temple tétrastyle.
La sous-préfecture est placée dans un hôtel précédé d’une cour et dont le jardin donne sur la prairie du sud. Plusieurs des maisons qui se trouvent de ce côté de la rue principale de Pont-l’Évêque ont des jardins qui donnent sur la même prairie, et cette partie de la vallée est admirablement encadrée au milieu des collines qui la bordent.
Les armes de Pont-l’Évêque sont : de gueules à deux boeufs d’or au chef cousu de France.
Il y avait à Pont-l’Évêque 23 feux privilégiés et 460 feux taillables.
Château de Bedville.
-Le château de Bedville fait partie du territoire de Pont-l’Évêque, dont il est éloigné de 2 kilomètres; il se trouve sur la rive gauche de la Touque, au midi de la ville.
Le bâtiment principal est moderne et n’offre de remarquable qu’un bel épi en plomb. A l’extrémité nord du château se trouve la partie ancienne, dont nous donnons ici le dessin. Elle se compose d’une salle basse voûtée en berceau, en pierres de grand échantillon, semblable aux caves des châteaux du siècle dernier.
Au-dessus de cette cave est la chapelle qui a de belles voûtes ogivales à clefs ornées, deux fenêtres à traceries flamboyantes, un autel ancien et une crédence du même temps.
Son pavé est en briques émaillées, à dessins rouges et jaunes. Le sanctuaire est indiqué par une marche dont le profil en biseau est assez remarquable. Au-dessus de la chapelle est une salle qui servait autrefois de chartrier, et dont le pavé est aussi en briques émaillées. Un bel escalier, d’une conservation parfaite, réunit ces trois pièces et se termine par une belle voûte formée par l’épanouissement de la colonne centrale.
Un colombier de très-grande dimension, en briques et pierres, paraissant remonter au XVIIe. siècle, et quelques constructions garnies de contreforts sont situés dans les dépendances du château.
Les seigneurs de Bedville possédaient différents droits et privilèges : il y avait à Pont-l’Évêque une chapelle de St.-Jean qui dépendait de leur fief (Le 46e. volume de la Collection de D. Lenoir, appartenant à Mme. la marquise de Mathan, renferme des documents ce sujet).
Essai historique sur Honfleur et l’arrondissement de Pont-l’Évêque – A. Labutte.
Pont-l’Evêque est une ville d’origine moyen-âge; son nom est d’une telle évidence étymologique, qu’il ne peut être l’objet de la plus petite discussion.
Pont-de-Levëque, Pons-Episcopi, ou Pont-Episcopal, Pons-Episcopalts, voilà toutes les variantes qu’il comporte.
Si l’on suivait les indications d’une tradition peu répandue, l’appellation primitive de cette petite ville, si agréablement située au milieu de vertes prairies que baigne la Touques, eût été tout humblement Pont-à-la-Vache, et son nom moderne ne lui aurait été imposé que lorsqu’un évêque de Lisieux aurait fait construire un nouveau pont à la place de l’ancien.
Si la tradition est exacte, ce changement a eu lieu dans un temps voisin de la fondation de la ville. En effet, on lit dans Orderic-Vital, qui écrivait en 1120 : «En cette année 1077, le 17 juillet, Hugues, évêque de Lisieux, fut pris de maladie au bourg que l’on appelle Pont-l’Evêque, et comme on le transportait sur sa demande à Lisieux, il mourut dans une plaine couverte d’herbe; le long du chemin on érigea une croix qui fut appelée la croix de l’Evêque. »
Quoiqu’il n’existe à Pont-l’Evêque aucun vestige d’anciennes fortifications, il n’en est pas moins hors de doute, qu’à l’époque des guerres religieuses, la ville était défendue par quelques travaux, puisque qui occasionnala destruction d’une partie du faubourg Vaucelles, où les habitants avaient creusé fossés et concavités pendant lesdites guerres.
Antérieurement à 1590, à l’époque où l’armée espagnole que les Ligueurs avaient appelée à leur aide, tenait garnison à Pont-Audemer, Pont-l’Evêque était occupé par les Royaux.
La ville de Pont-l’Evêque a subi peu de transformations: il parait néanmoins assez probable que la rue aux Prêtres se prolongeait autrefois parallèlement à la rue de Vaucelles et presque en droite ligne jusqu’à l’église, Mi suivant la direction du canal dit du Pont-de-Braban.
Pont-l’Evêque possédait avant 1787 un couvent de religieuses de Sainte-Dominique.
Sur l’emplacement qu’occupait cet établissement, en a édifié dernièrement le tribunal civil, la prison et la caserne de la gendarmerie; une maison qui fesait partie des dépendances du couvent subsiste seule aujourd’hui. Le caractère de son architecture indique une construction du XVe siècle; elle porte encore sur sa façade, gravés en caractères gothiques, les noms de Saint-Pol et Saint-Jehan.
Les réformateurs du calendrier ont sans doute oublié, dans le temps, de gratter ces inscriptions, dont l’une rappelle un grand homme du christianisme.
En 1638, les bénédictines de Bon-Secours établirent à Pont-l’Evêque un prieuré de leur ordre, mais quelques années après (1643), elles le transportèrent à Caen.
Quelques-uns des fiefs relevant directement du vicomte d’Auge, étaient tenus d’aller, avec armes et bâtons, prendre au château de Touques les prisonniers qui devaient être exécutés à Pont-l’Evêque; d’autres n’étaient tenus d’aller que jusqu’au pont de Nival.
Les armes de Pont-l’Evêque étaient de pourpre à deux bœufs d’or au chef cousu de France.
C’était là certes un brillant écusson, néanmoins Pont-l’Evêque n’eut jamais de gouverneur en propre, le gouverneur de Honfleur l’était en même temps de cette petite ville, où jamais, bien entendu, il ne fit sa résidence. Mais là se bornait la suprématie de Honfleur, car naguères comme. aujourd’hui, sous le rapport judiciaire et administratif, Pont-l’Evêque a toujours été son chef-lieu.
Cette ville possède une église du XIIIe siècle, au moins pour quelques parties: ainsi, il nous paraît que la tour daterait des commencements de l’époque gothique, que les fenêtres du chœur rappelleraient assez, par leurs formes générales et leurs détails, la manière du XIVe siècle, tandis que la nef aurait été commencée vers la fin du XVe siècle et terminée dans les premières années du XVIe.
Les vitraux du chœur, assez remarquables d’ailleurs, ont échappé aux mutilations des vandales de tous les temps et de toutes les couleurs; ils sont ornés de peintures légendaires, attribuées à Jean Cousin, par une tradition que nous croyons peu fondée.
Les vitraux de la nef ont été dévastés à l’époque où, comme la dit un grand poète:
« Les dieux étaient tombés – Les trônes étaient vides ».
Ce fut alors aussi que fut détruite une petite chapelle dite du Saint-Sacrement, qui fesait saillie sur le cimetière: elle avait été bâtie dans le XVIIe siècle.
On voit dans les comptes de la fabrique, qu’en 1498, il fut donné à un jeune clerc de Dyve, pour son salaire d’avoir joué des orgres au jour et féste Notre-Dame, la somme de deux sols six deniers.
L’église de Pont-l’Evêque, vue dans son ensemble, n’a point cette finesse, cette élégance que l’on remarque en général dans les églises de ce temps: les ornements intérieurs sont lourds, sans goût et surtout sans harmonie. La tour est par sa carrure hors de toute proportion avec le reste de l’édifice, dont cependant les dimensions sont assez vastes: c’est un amas de pierres énormes taillées en moellon. qui était sans doute destiné à supporter une flèche d’une grande hauteur, et qui se termine par un espèce de chapeau chinois, dont l’effet est des plus déplorables. Cette immense tour, ainsi coiffée, écrase le vaisseau, avec lequel elle forme d’ailleurs une disparate fort disgracieuse.
La tradition qui veut que cette tour ait été surmontée à deux reprises d’une flèche que la foudre aurait deux fois détruite, n’a pas la moindre vraisemblance: avant de poser la flèche, les artistes auraient commencé, sans nul doute, par terminer la tour, et ce travail tout d’ornements eût demandé de longues années.
Pont-l’Evêque était regardé par les anciens géographes normands, comme la capitale de ce beau et fertile pays d’Auge, dont les deux vallées principales, traversées, la plus petite par la Touques et la plus grande par la Dives, vont aboutir à la mer.
C’est donc, ce nous semble, ici le lieu de nous occuper de quelques études générales sur cette vaste et riche contrée.
Inventaire historique des actes transcrits aux insinuations ecclésiastiques de l’ancien Diocèse de Lisieux – PIEL L.F.D.
31. -.- Le 27 févr. 1693, dispense de bans pour le mariage entre Jacques Le Prévost, Esc.-, sr de Miette, l’un des deux cents chevau-légers de la garde de sa Majesté, fils de Robert Le Prévost, Escr, sr de Pontpré, et de damlle Julienne de Robert, de la parr, de Néron, diocèse de séez, d’une part, et damlle Jeanneviefve-Marie Le Douet, fille de feu Me Jean Le Douet, vivant sr des Isles, lieutenant général de Mr le vicomte d’Aulge, et de damlle Madeleine Desperiers, de la parr, de Pont-l’Evêque. – suit la dispense de temps, à cause du carême. accordée à condition qu’il n’y aura ni noces ni assemblée.
115. – Le 20 sept. 1692, lurent ordonnés sous-diacres : Jacques Bicherel, acolyte de Pont-l’Evêque. Ordonnés diacres le 21 mars 1693. Ordonnés Prêtres le 19 sept.1693
140. – Le 8 nov. 1694, vu l’attestation du sr du Rancher, curé de Pont-l’Evêque. et du sr de Coursy, curé de Tourville, dispense de bans pour le mariage entre François de Pelegars, Escr, sr du « Mirouer » (Miroir), fils d’Etienne de Pelegars, Escr, sr delà Rivière, et de damlle Marie-Esther Aparoc, de la parr, de Tourville, d’une part, et Catherine de Lannoy, fille de François et de Marie Geffray, de la parr.
st-Michel de Pont-1’Evèque.
120. – Le 3 mars 1690, dispense de parenté au 2e degré pour le mariage entre Antoine Bougard, Escr, sr des Parcs, chevalier de l’ordre royal et militaire de st-Louis, major du régiment des Vaisseaux, demeurant à Pont-l’Evêque, et damlle Magdeleine Bougard, demeurant aussi à Pont-l’Evêque.
218. – Le 11 juin 1696, dispense de bans pour le mariage entre M’ Pierre Hamon, avocat, fils de feu Me Pierre Hamon, aussi avocat, et de damlle Marie Thiron, demeurant à Pont-l’Evêque, d’une part, et damlle Marie-Jeanne-Marguerite Hardy, fille de Me Mathurin Hardy, conser du roi cy-devant receveur des tailles de l’élection de Pont-l’Evêque, et de damlle Jeanne de Bréban, demeurant aussi aud. lieu.
500. – Le 17 sept. 1698, furent autorisés à recevoir à Evreux la tonsure et les ordres mineurs : Antoine Loysel, fils d’Antoine et de Jeanne Delabarre, de la parr, de
Pont-l’Evêque.
449. – Le 29 mars 1698, Louis Quesnel, fils de Nicolas et de Suzanne Hébert, de la parr. de Pont-l’Evêque, reçoit la tonsure et les ordres mineurs.)
Le 7 sept. 1698, suzanne Hébert, Vve de Nicolas Quesnel, sr de là Londe, demeurant à Pont-l’Evêque, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Louis Quesnel, acolyte, licencié-ès-lois, afin qu’il puisse .parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Pierre De la Taille, marchand, fils David, demeurant à Pierrefitte, et Guillaume Frémont, sr des Vallées, bourgeois, demeurant à Honfleur. Le 17 sept. 1698, furent autorisés à recevoir le sous-diaconat à Evreux : Louis Quesnel, acolyte de st-Michel de Pont-l’Evêque. Ordonnés diacres le 19 sept. 1699.
21 . – Le 20 févr. 1699, vu l’attestation du sr de Rancher, curé de Pont-l’Evêque et du sr de Gémare, curé de Pierrefitte, dispense de bans pour le mariage entre Joachim de Hébert, Escr sr de Bailleul, fils de N ….. de Hébert et de dame Antoinette Crévin, de la parr, de Pont-l’Evêque, d’une part, et damlle Madeleine-Thérèse Poutrain, fille de Mesre Jacques Poutrain, Esc.-, conser du roy, grand-maître des
Eaux et Forêts en la vicomte d’Auge, et de damlle Marie-Madeleine Drubec, de la parr, de Pierrefitte.
163 – Le 12 sept. 1699, vu l’attestation du sr de Rancher, curé de Pont-1′ Evoque, et du sr Hellouin, curé de st-Ouen de Pontaudemer, dispense de bans pour le mariage entre M Louis Leroy, conser du roy, lieutenant-particulier civil et criminel de M. le bailly de Rouen au siège de Pontaudemer, fils de Me Louis Leroy, conser du roy et son procureur au grenier à sel dud. lieu, et de dam1Ie Marie Duval, de lad. parr. De Pontaudemer, d’une part, et damlle Anne Collet, fille de Me Philippe Collet, conser du roy, intendant de s. A. R. Monsieur, frère unique du roy, pour la vicomte d’Auge, et de dlle Anne Le Cordier, de là parr. De Pont-l’Evêque.
301 . – Le 24 déc. 1701, Me Jean de Lannoy, conseiller du roy en la vicomte d’Auge, et damlle Anne Lebarbier, son épouse, demeurant au Pont-l’Evêque, ayant découvert qu’ils ont contracté ensemble mariage sans savoir qu’ils étaient parents au 4e degré, obtiennent du St Père sentence de réhabilitation de leur mariage.
646. – Le 8 février 1703, vu l’attestation du sr de Lannoy, vicaire de Pont- 1’Evêque, dispense de bans pour le mariage entre M8 Jean-Pierre Regnault, conser du roy, maître des Eaux et Forêts du vicomte d’Auge, lieutenant civil et criminel en l’élection de Pont-l’Evêque, fils de Pierre Regnault et de damlle Marie de Grieu, de lad. parr, de Pont-l’Evêque, d’une part, et damlle6 Anne-Charlotte Béquet, fille de M. François, avocat fiscal à Lx, et de damlle6 Charlotte Leroy, de la parr, de st-Désir de Lx.
814. – Le 9 juillet 1703, vu l’attestation du sr Hellouin, curé de st-Ouen de Pontaudemer, et du sr Rancher, curé de Pont-l’Evêque, dispense de bans pour le mariage entre Me Robert d’Epaigne, conser du roy au bailliage et vicomte de Pontaudemer, fils de Me Philippe d’Epaigne, avocat, et de damlle Catherine de la Verge, de lad. parr. de st-Ouen, d’une part, et damlle Marie-Anne Collet, fille de feu Me Philippe Collet, avocat à la cour, et de damlle Anne Lecordier, de la parr. de Pont-l’Evêque.
855. – Le 27 juillet 1703, Guillaume Lechevalier, bourgeois, demeurant à Pont-l’Evêque, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Philippe Lechevalier, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés.
183. Le 18 mars 1704, Me Louis Quesnel deLalonde, pbrë, demeurant à Pont-l’Evêque, bachelier en droit, et Me ès-arts. en l’Université de Caen, fait réitérer ses noms et grades au seigr évêque de Lx, doyen de st-Cande-le-Vieil, au Chapitre dud. Lx, aux religieux de st-Pierre de Préaux, de Grestain, de Beaumont-en-Auge et aux religieuses de st-Désir de Lx et de st-Léger de Préaux.
586. – Le 8 août 1705, vu l’attestation du sr de Rancher, curé de Pont-l’Evêque, et du sr Bouet, vicaire de st-Hymer, dispense de bans pour le mariage entre François-Charles Le Terrier, Esc’, fils de Charles Le Terrier, Esc.-, et de noble dame Catherine Bosnel (?), demeurant à Pont-l’Evêque, d’une part, et damlle Marie-Madeleine deDramard, fille de feu Robert de Dramard, Escr , et de noble dame
Charlotte de la Rose, de la parr, de st-Hymer.
61. – Le 30 mars 1706, vu l’attestation du sr de Rancher, curé de Pont-l’Evêque, dispense de bans pour le mariage entre Jacques Pierre De la Taille, fils de Pierre et de Jeanne Dieusy, d’une part et Jacqueline Du Neveu, fille de Pierre et d’Antoine Duclos, tous deux de lad. parr. de Pont-l’Evêque.
121 . – Le 2 avril 1706, Guillaume Fromage, fils de Pierre et de Françoise Huchon, delà par de St-Michel de Pont-l’Evêque, reçoit la tonsure et les ordres mineurs.
150. – Le 11 sept. 1706, dispense de parenté au 4e degré pour le mariage entre Me Gabriel Gamare, conser duroy et président en l’élection de Pont-l’Evêque, et damlle Marie-Jeanne Haguelon.
194. – Le 10 nov. 1706, vu l’attestation du sr de Lannoy, vicaire de Pont-l’Evêque, dispense de bans pour le mariage entre Me Gabriel Gamare, conser du roy, président en l’élection de Pont-l’Evêque, fils de feu Me Robert Gamare, avocat, et de damlle Marie de Bordeaux, d’une part, et damlle Marie-Jeanne Haguelon, fille de feu Me Jean, vivant conser du roy, élu, garde-scel en lad. élection, et de damlle Marie-Madeleine de Lannoy, d’autre part, tous deux de Pont-l’Evêque.
338. – Le 16 juin 1707, vu l’ attestation du sr de Lannoy, vicaire de Pont-l’Evêque, dispense de bans pour le mariage entre Robert Louvel, sr de Repinville, fils de feu François Louvel, sr de Repinville, et de dame Marie du Mesnil-Germain, de la parr. St-Etienne-la Grande-Eglise de Rouen, d’une part, et damlle Marie-Catherine Haguelon, fille de feu Mre Jean Haguelon, conser du roy, élu en l’élection duPont-1’Evèque, et de damlle Catherine de Lannoy, de la parr, de st-Michel de Pont-l’Evêque.
359. – Le 6 sept. 1707, vu l’attestation du sr de Lannoy, vicaire de Pont-l’Evêque, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean David Aubert, fils de Clément Aubert, en son vivant conser du roy, président en l’élection et grenier à sel du Pont-de-1’Arche, et de dame Marguerite Morin, d’une part, et damlle Anne-Charlotte Hardy, fille de Me Mathurin Hardy, vivant, conser du roy, receveur des tailles en l’élection de Pont-l’Evêque, et de damlle Jeanne de Bréban, de lad. parr, de Pont-l’Evêque.
563. – Le 13 juillet 1708, dispense de parenté du 2e au 3e degré, pour le mariage entre Gabriel Coquet, Escr, sr de Tolleville, Bonneville et autres lieux, et damlle Marie-Anne-Magdeleine-Claude Le Diacre, demeurant tous deux à Pont-l’Evêque. Ce mariage fut célébré dans la chapelle d’Estimauville, parr, de st-Arnoult.
637. – Le 7 avril 1708, furent ordonnés sous-diacres : Guillaume Fromage, acolyte de st-Michel de Pont-l’Evêque.
672. – Le 29 juillet 1705, François Housset, marchand, bourgeois de Pont-l’Evêque, fait une fondation de 15 livres de rente, en faveur de la confrérie du st-Rosaire établie en l’Eglise de . Fait en présence de Me Antoine Loisnel, pbre ; Nicolas Gamare, sr de la Rosière, lieutenant de la mairie et bourgeois dud. lieu.
Pont-l’Evêque (saint Michel)
Curés. – J. de Rancher – F. Du Lys. – M. Le Marchand.
Vicaires. – Paon, I.- Morel de la Griffonnière – Carel, V. 19, 205. – E. de Lannoy.
Prêtres de la paroisse. – N. Bellencontre – Jacques Bicherel – F. Prière – J.Carel – – F.Dossain – F. Duchemin – G. Gallot – G. Hamel – P. Le Chevallier – E. Leneveu – A. Loisnel – C. Paon – L. Quesnel de la Londe – A. Train.
Clercs. – Jacques Bicherel – F. Carel – G. Fromage – G. Hamel – P. Le Chevallier – Jacques Lecordier .- A. Loysnel – L. Quesnel De là Londe – J. Train.
Patron. – Le Chapitre de Cléry.
Seigneurs et notables. – C. Aubert – Jean Aubert – J.-D. Aubert – J.-B. Bicherel – J.-J. Bicherel – G. -F. Boistard de Vauville – A. Bougard – Jacques Brochard – Jean Carel – I. Chauffer – Ph. Collet, V – G. Coquet de Valleville – G. Coquet de Tolleville – N. Dassier- 0. Fichet de Olerval. – Jacques Foisnard – G. Gamare – N. Gamare – L. de Gaugibus – M. Gautier – Jean Haguelon – P. Hamon – P. Hamon fils -J. Hébert – J.-B. Houssaye – G. de Lannoy – Jean de Lannoy – Z. Lebailly, – Jacques Le Barbier de Croix-Mare – G. Le Diacre .-Jean Le Douet – C. Lemoinne – C. Lemoinne fils – A. Lesueur – R. Lesueur – C. Leterrier – F -C. Leterrier -D. Lormier -A. Loynel – G. Main – P. du Neveu – P. Perrée -Jean P. Regnault. -Béquet – P. Regnault – P. De la Taille – Jacques P. De la Taille,- Jean Train,
Confrérie du saint Rosaire. – Fondation faite en sa faveur.
Hôtel du soleil d’Or.
157. – Le 21 déc. 1709, vu l’attestation du sr Bellencontre, pbrë habitué en l’église de Pont-l’Evêque et cy-devant desservant le bénéfice dud. lieu, dispense de bans pour le mariage entre François Chauffer, fils d’Isaac et de Renée Fontaine, d’une part, et Marie-Anne Dubreuil, fille de Jacques et de Marguerite Levasseur, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque . – Suit l’autorisation de célébrer ce mariage malgré l’opposition dud. sr Chauffer, père, et de lad. dame Fontaine.
363. – Le 18 mai 1710, vu l’attestation du sr Le Marchand, curé de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Baptiste Lesueur, fils de feu Me Jean-Baptiste Lesueur et de damlle Anne de Lannoy, d’une part, et damlle Marie-Agnès-Jeanne Le Court, fils de Vincent-Louis Le Court, Escr, sr de Noirval, et de dame Agnès Levavasseur, d’autre part, tous deux de lad. parr. de Pont-l’Evêque.
414. – Le 10 février 1711, vu l’attestation du sr Lemarchand, curé de Pont-l’Evêque , et du sr Dubuisson, vicaire desservant la parr, de Druval, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Pierre Bicherel, conser et avocat du roy, au bailliage et vicomte d’Auge, fils de feu Me Jean Bicherel, aussi conser du roy aud. siège, et de damlle Jeanne Lecordier, de là parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Marie-Anne de Semilly, fille de feu Pierre de Semilly, Escr, sr de Bernières, et de damlle Marguerite Collet, de la parr, de Druval.
339. – Le 28 mai 1712, dispense de bans pour le mariage entre Jacques Galliot, fils de feu Me Jean Galliot, officier chez le roy, et de damlle Marguerite Crévin, de la parr. de St-Etienne-la-Thillaye, d’une part, et dam1Ie Marie-Charlotte Porée, fille de feu Me Jean Porée, officier en l’élection de Pont-l’Evêque , et de damlle Marie Renault, de la parr, de Pont-l’Evêque .
308. – Le 17 mars 1712, Guillaume du Mesnil, Escr, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Jacques du Mesnil, acolyte de St-Thomas de Touques, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Louis Le Noir et par Philippe-Augustin du Mesnil, escuiers, demeurant tousdeux en la parr. St-Thomas de Touques. – Led. sr acolyte étant présentement au grand séminaire de Lx, fut représenté par Me Nicolas Duclos, pbre, vicaire de lad. parr. St-Thomas
539. – Le 2 oct. 1713, dispense de bans pour le mariage entre Charles-Ferdinand Jacquelot, Escr, sr de Monel, fils de Mesre Nicolas Jacquelot, Escr, sr de St-Firieux, président en l’élection de Réthel, et de dame Antoinette Le Dragin, de la parr. de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Louise Tassier, fille de Louis Tassier, bourgeois de Paris, et de Jeanne Bonard, de la parr, de St-Gervais de Paris.
553. – Le 3 nov. 1713, dispense de bans pour le mariage entre Jacques de Varin, Escs, sr de Beauchamp, fils de feu Bertrand de Varin, aussi Escs, conser du roy, seul assesseur au bailliage et vicomte d’Auge, et de noble dame Jacqueline Baril, de la parr. de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Anne-Françoise de Vimont, fille de feu Jean de Vimont, docteur en médecine, et de damlle Françoise Levasseur, de la parr. St-Jacques de Lx
351 . – Le 19 juillet 1715, dispense de bans pour le mariage entre Nicolas de la Rouvraye, Escr, fils de Louis de la Rouvraye, Escr, et de damlle Françoise des Chasteletz, demeurant à Pont-l’Evêque , d’une part, et Mairie-Magdeleine Leclerc, fille de Jacques Leclerc et de Françoise Baudel, aussi dud. lieu de Pont-1’Evôque
522. – Le 4 juillet 1711, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Charles Thirel, Escr, sr de Siglas, fils de feu Charles et de noble dame Catherine Thirel, de la parr, de St-Ouen de Pontaudemer, d’une part, et damlle Marie-Marguerite Collet, fille de feu Me Philippe Collet, en son vivant agent des affaires de Son Altesse Royale, et de damlle Anne Lecordier, de la parr. de Pont-l’Evêque.
66. – Le 8 avril 1714, furent ordonnés diacre : Me Zacharie Lebailly, diacre dePont-l’Evêque. Le 17 juin 1714, Zacharie Lebailly, fils de Zacharie et de Marguerite Quignette, de la parr, de Pont-l’Evêque , rite dimissus, reçoit la tonsure et les ordres mineurs dans la chapelle du séminaire de Caen. Le 8 avril 1719, il est ordonné prêtre au séminaire de Lx.
380. – Le 20 sept. 1715, reçurent la tonsure et les ordres mineurs :
Me Pierre-Ambroise de Hébert, de la parr, de Pont-l’Evêque:
Me Pierre Adam, de la parr. de Pont-l’Evêque .
Me Daniel Langlois, de la parr, de Pont-l’Evêque .
384. – Le 21 sept. 1715, furent ordonnés sous-diacres : Me Jean-Baptiste Lemoine, acolyte de Pont-l’Evêque . Il demeura plus tard à St Melaine.
18. – Le 6 juillet 1716, dispense de bans pour le mariage entre Adrien-Louis Le Court, Escr, sr de Noirval, avocat, fils de Me Vincent Louis Le Court, Esc, sr de Noirval, conser du roy, vicomte d’Auge, et de noble dame Agnès Levavasseur, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Anne-Catherine Ruault, fille de François Ruault et de damlle Anne Caval, de la parr. St-Sauveur de Caen.
107. – Le 10 oct. 1716, la nomination à la cure de Pont-l’Evêque appartenant au chapitre de Cléry, les srs chanoines nomment aud. bénéfice, vacant par la mort de Me Mathieu Le Marchand, pbrë, dernier titulaire, la personne de Me Robert-François Fondimare, pbrë du diocèse de Rouen, « tanquant benè meritum ». – Les srs chanoines ne le présentent plus, ainsi qu’au précédent article, comme le plus ancien habitué de leur église. Du reste, cette nomination n’eût pas de suites. Le 20 nov. 1716, led. sr Fondimare s’étant présenté devant le seigr évêque pour requérir la collation de la cure de Pont-l’Evêque , Sa Grandeur la lui refuse parce qu’il ne présente pas de certificat de bonnes vie et mœurs donné par le seigr évêque d’Orléans dans le diocèse duquel il réside.
100. – Le 13 nov. 1716, Me Robert Levillain, pbrê du diocèse de Lx, Me ès-arts en l’Université de Caen, premier et plus ancien habitué en l’église collégiale de N.-D. de Cléry, « et le premier de tous les habitués de lad. église à estre pourveu et nommé aux bénéfices qui sont à la nomination de lad. église, suivant la déclaration du roy Louis quatorze, requiert des srs chanoines de Cléry d’être nommé à la cure de St-Michel de Pont-l’Evêque dont ils sont patrons présentateurs et qui est vacante par la mort de Me Mathieu Le Marchand, pbrë, dernier titulaire.
Les chanoines répondent qu’il n’est pas vrai que le sr Levillain soit le plus ancien habitué de leur église, « estant de la connaissance dud.sr Levillain que le sr François Fondimar est le plus ancien de tous leurs habitués », et qu’ils l’ont pourvu de lad. cure de Pont-l’Evêque . Le sr Levillain répond par le notaire qu’il se pourvoira devant le seigr évêque de Lx pour avoir la collation dud. bénéfice.
Le 17 nov. 1716, après cette réquisition faite près des srs chanoines de Cléry, le seigr évêque donne la collation de lad. cure de Pont-l’Evêque à Me Robert Levillain.
Le 18 nov. 1716, le sr Levillain (1), chapelain de la chapelle Ste Anne en la collégiale de Cléry et ayant fait élection de domicile pour le présent seulement, en la maison de son frère, Me Pierre Levillain, pbfê, curé de Canapville, prend possession de la cure de Pont-l’Evêque , en présence de Me Pierre Gonard, curé de Beaumont-en-Auge et doyen dud. lieu ; Mes François Dossin, Guillaume Formage, Guillaume-François Cambremer, Estienne Launey, vicaire de lad. parr. et tous pbrës habitués en lad. église ; Mps Hélix Morel et Charles Périer, diacre ; Mes JacquesPhilippe Fortin et Jean Pépin, pbrës ; Me Jacques-Philippe Train, greffier en la vicomte ; Me Jean Dandel, greffier en bailliage ; Thomas Lepeltier, greffier en l’élection, et autres témoins.
(1)M. Levillain était un janséniste, ami intime de l’abbé de Roquette, prieur de St-Hymer (MM. do Hymer).
165. – Le 22 déc. 1716, la nomination à la cure de Pont-l’Evêque appartenant au Chapitre de Cléry, les srs chanoines nomment aud. bénéfice, vacant par la démission de Me Robert-François Fondimare, pbrë du diocèse de Rouen, qui n’a pas pris possession, la personne de Me Robert Levillain, pbre, habitué de lad. collégiale. Le 10 mars 1717, le seigr évêque donne aud. sr Levillain la collation de lad. cure.
341. – Le 31 mai 1717, vu l’attestation du sr Leneveu, pbrë, desservant la parr. de Pont-1′ Evoque, dispense de bans pour le mariage entre Guillaume de Mannoury, Escr, conser et procureur du roy en bailliage et vicomte d’Auge, fils de feu Estienne de Mannoury, Escr, sr de la Cressonnière, et de feue noble dame Catherine Le François, d’une part, et damlle Marie-Thérèse Lesueur, fille de Me Jean-Baptiste Lesueur, conser et procureur du roy en l’élection de Pont-l’Evêque, et de damlle Anne de Lannoy, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
449. – Le 29 août 1717, Me Zacharie Lebailly, greffier en chef des Eaux et Forêts du vicomte d’Auge, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Zacharie Lebailly, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jacques Lebailly, pbfë, curé de St-Julien-sur-Calonne, frère dud. sr Lebailly, père ; Me Hervey Le Barbier, conser du roy, président du grenier à sel d’Honfleur, demeurant à Touques ; François-Jacques Le Court, Esc, sr desTourailles ; Me Jacques Foisnard, conser du roy, maire alternatif et mi-triennal de Pont-l’Evêque et garde des Archives dud. lieu, et Me Robert Sebire, greffier à Annebault, demeurant à Pont-l’Evêque . Le 18 sept. 1717, furent ordonnés diacres: Me Zacharie Lebailly, sous-diacre de Pont-l’Evêque .
337. – Le 20 déc. 1717, dispense de bans pour le mariage outre Me Jean-Jacques Train, fils de feu Me Jacques Train et de damlle Elisabeth Hamon, d’une part, et damlle Anne-Angélique Duchemin, fille de Me Guillaume Duchemin et de damlle Marie Périer, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
386. – Le 18 janvier, 1718, titre clérical fait en faveur de Me Daniel Langlois, acolyte de Pont-l’Evêque , par Mre François de Charlemayne, Escr, seigr du Boullay, Bellelonde, demeurant à Rouen. (Fait à Beuzeville). Le 10 avril 1718, furent ordonnés sous-diacres : Me Daniel Langlois, acolyte de St-Michel de Pont-l’Evêque . Ordonnés diacres le 8 avril 1719. Le 10 avril 1718, furent ordonnés sous-diacres Furent ordonnés diacres Me Jacques-Philippe Train, sous-diacre de Pont-l’Evêque .
514. – Le 20 oct. 1718, vu l’attestation du sr Levillain, curé de Pont-l’Evêque , et du sr Hamel curé de Beuvron, dispense de bans pour le mariage entre Me Jacques Le Bailly, conser du roy, référendaire en la chancellerie du Parlement de Rouen, avocat, fils de Me Zacharie Le Bailly, greffier en chef des Eaux et Forêts du vicomte d’Auge, et de dame Marguerite Quinette, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Marie Leriche, fille de Me Gabriel Leriche, receveur de M. le duc d’Harcourt, et de feue damlle Marguerite Martin, de lad. parr, de Beuvron.
4. – Le 11 fév. 1719, vu l’attestation du sr Bellencontre, vicaire de Pont-l’Evêque, dispense de bans pour le mariage entre Me Thomas Lepeltier, procureur en l’élection du Pont-l’Evêque , fils de Thomas et de Marie Vandon, d’une part, et Catherine Leproux, d’autre part, tous deux de lad. parr.
64. – Le 8 avril 1719, furent ordonnés sous-diacres : Me Jean-Pierre Adam, acolyte de Pont-l’Evêque .
Furent ordonnés prêtres : Me Pierre-Ambroise de Hébert de Bailleul, diacre de Pont-l’Evêque .
111 . – Le 12 juin 1719, vu l’attestation du sr Bellencontre, vicaire de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre Me Jacques Vipard, fils de Jacques et de Madeleine de Bernay, de la parr, de Formentin, d’une part, et Louise-Charlotte de Brey, fille de Me Jean de Brey et de Madeleine Domin, de la parr, de Pont-l’Evêque .
124. – Le 22 juillet 1719, dispense de bans pour le mariage entre Louis-Gabriel Galliot, sr d’Aigremont, conser du roy, subdélégué de Mr l’Intendant de Rouen pour l’élection de , fils de feu Me Jean Galliot et de damlle Marguerite Crévin, de la parr. de St-Etienne-la-Thillaye, d’une part, et damlle Marie-Madeleine Coquet, fille de feu Gabriel Coquet, sr de Genneville, Escr, et de noble dame Jeanne Le Cordier, de la parr. de St-Michel de Pont-l’Evêque .
603. -Le 10 janv. 1719, titre clérical fait en faveur de Me Jean-Baptiste Marin, acolyte, par Me Gilles Marin, demeurant à Pont-l’Evêque .
610. – Le 10 juillet 1719, titre clérical fait en faveur de Me Jacques Foucher, acolyte (originaire de Pont-l’Evêque) , par Marie Vasse, vve Foucher, demeurant à Melaigne.
620- – Le 9 janvier 1719, titre clérical, fait en faveur de Me Jean-Pierre Adam, acolyte de Pont-l’Evêque
543. – Le 23 sept. 1721, dispense de bans pour le mariage entre Me Louis Gauzel, notaire royal à Pont-l’Evêque , fils du feu sr Simon Gauzel et de dame Marie Peugry, d’une part, et Madeleine Bréban, fille de feu Me Guillaume de Bréban, apothicaire, et de dame Jeanne Renault, d’autre part, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque.
333. – Le 19 avril 1723, vu l’attestation du sr Levillain, curé de Pont-l’Evêque, du sr Duclos, vicaire de St-Thomas de Toucques, et du sr Chippel, vicaire de St-Pierre de Cormeilles, dispense de bans pour le mariage entre Jacques Lebarbier, sr de Blary, avocat au bailliage de Pont-l’Evêque et y demeurant, fils de feu Me Hervé Lebarbier, et de damlle Marie-Magdeleine de Benoist de Blary, demeurant en la parr, de St-Thomas de Toucques, d’une part, et damlle Geneviève Le Paulmier, fille de feu Mesre Nicolas Lepaulmier, sr des Casteletz, et feu dame Marie de Nossey, de la parr, de St-Pierre de Cormeilles.
386. -Le 27 juillet 1723, vu l’attestation du sr Halley, vicaire de Hotot, dispense de bans pour le mariage entre Louis-François Patry, Escr, fils de Pierre Patry, Escr, sr de Precommun, et de feu noble dame Gabrielle d’Osmont, demeurant à Hotot, d’une part, et dame Françoise Hamel, fille de feu Jean Hamel, sr des Fontaines, et de feue
Françoise Perrier, de la parr, de Pont-l’Evêque .
398. – Le 25 janvier 1724, dispense de bans pour le mariage entre Louis Véron, directeur des postes de Pont-1′ Evoque, fils de Jean-Baptiste et de dame Marie Hesbert, d’une part, et damlle Catherine-Elisabeth Ollivier, fille de feu Me Nicolas Ollivier, chirurgien, et de damlle Anne Fleury, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque
493. – Le 30 mai 1724, dispense de bans pour le mariage entre Mre Joachim de Hesbert, Escr, fils de feu Mre Renaud de Hesbert, Escr, d’une part, et damlle Marie-Anne Coquet, fille de feu Mesre Gabriel Coquet, Esc, sr de Genneville, et de noble dame Jeanne Lecordier, demeurant à Pont-l’Evêque .
563. – Le 10 juillet 1724, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Marie-André de Quintanadoine, Escr, fils de feu Mre François de Quintanadoine, Esor, et de noble dame Madelaine Le Vellin, delà parr. de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Marie-Geneviève Baudry, fille de feu Mre Nicolas-Charles Baudry et de noble dame Marie des Hommets, demeurant à Rouen, parr. St-Laurent.
730. – Le 19 mars 1724, titre clérical fait en faveur de Me Pierre Lestorey, acolyte, par Pierre Isabel et Nicolas Lestorey, marchands de Pont-l’Evêque .
Titre clérical fait en faveur de Me Antoine-Augustin Loisnel, acolyte, par le sr Antoine Loisnel, capitaine de la bourgeoisie de Pont-l’Evêque .
953. – Le 26 août 1725, Pierre Isabel, marchand, bourgeois, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Jacques Isabel, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés.
995. – Le 23 oct. 1725, dispense de bans pour le mariage entre Me Jacques-Auguste Duchemin, avocat, fils de feu Me Guillaume Duchemin, aussi avocat, et de damlle Marie Périer, d’une part, et damlle Jeanne-Angélique Train, fille de feu Me Jacques Train, avocat, et de damlle Elisabeth Hamon, tous deux de Pont-l’Evêque .
Pont-l’Evêque (saint Michel)
Curés. – M. Lemarchand- R. Levillain.
Vicaires. – Bellencontre – E. de Lannoy.
Prêtres de la paroisse. – N. Bellencontre –
G. -F. Cambremer – J. Daubin – F. Dossin,- G. Formage – D. Langlois – N Le Neveu – L. Lescallard, – J.-B. Letaillois – 0. de Louis- Jq Train.
Clercs. – J.-P. Adam – G. -F. Cambremer – F. -A. Collet – J. Foucher – Jq.Isabel- C.-N. Jullien – D. Langlois – Z. Lebailly -J.-B. Lemoine – E. Morel – C. Parier – J.-Ph. Train.
Patron. – Le chapitre de Cléry.
Seigneurs et notables. – J.. – Jn Bicherel – J.-P. Bicherel-G. de Bréban. – J. de Brey -F. Chauffer – I. Chauffer -P. Collet- G. Coquet de Gonneville – G. Coquet de Tolleville – C. Delaunay – C. Delaunay, fils – F.Delaunay – G.Duchemin – J.-A. Duchemin – J. Foisnard – L. Gauzel – S Gauzel – J. Hamel, – J. de Hébert de Bailleul – R. de Hébert – J.-B. Hervieu – J. Horionney – G. Isabel – J.-G. Isabel – C.-F. Jacquelot de Monel – N.Jacquelot de St-Firieux – J. Lebailly -Z. Lebailly, – H.Lebarbier – J. Lebarbier, – J. Leclerc,- Ad -L. LeCourt – V.-L. Le Court de Noirval – F.-J. Le Court – G. Le Diacre de Martinboscq – G. Le Diacre de Martimbosq, fils – J. Le Grix, XII.
551. – C. Lepecq – T. Lepeltier – T. Lepeltier, fils – J.-B. Lesueur – J.-B. Lesueur, fils – G. Main – E. de Mannoury – G. de Mannoury- G. du Mesnil – N. Ollivier – A. Porée.- M.-A.de Quintanadoine – L. de la Rouvraye
– N. de la Rouvraye – R. Sebire – J. Tillaut – G.Train -.T. Train – J.-Ph. Train – J.-.I. Train – B. de Varin – J. de Varin de Beauchamp -J.-B. Veron – L. Véron,.
155. – Le 13 août 1726, dispense de bans pour le mariage entre Mre Jacques Le Goueslier, Escr, sr de Mont-Carel, avocat et conser du roy, enquêteur, commissaire examinateur au bailliage et vicomte d’Auge, demeurant à Pont-l’Evêque , fils de feu Mre Antoine-Jacques Le Goueslier, Escr, sr de Mont-Carel, conser du roy, enquêteur, examinateur aud. bailliage et vicomte d’Auge , et de feu damlle Catherine-Marguerite Faucon, d’une part, et damlle Marguerite Rivière, fille de noble homme Mesre Joseph Rivière, et de feu damlle Anne-Elisabeth Douin, aussi de la parr, de Pont-l’Evêque .
217. – Le 15 mars 1726, Richard Fouet, marchand, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Jean-François Fouet, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. – Led. sr acolyte fut représenté par M6 Charles Fouet, procureur en l’élection dud. lieu.
266. – Le 17 fév. 1727, dispense de bans pour le mariage entre Charles Richard, receveur des Aides, demeurant à Doudeville-en-Caux, fils de François Richard, ancien receveur du domaine d’Auge appartenant à Mgr le duc d’Orléans, et à présent contrôleur ambulant, et de dlle Anne Rivagère, de la parr, de St-Michel de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Magdeleine Jourdan, demeurant aussi à Pont-l’Evêque .
76. – Le 29 oct. 1724, Pierre Satis, fils de Jean et de Marguerite de La Rocque, de la parr. de Pont-l’Evêque , reçoit la tonsure et les ordres mineurs. Le 3 sept. 1728, Jean Satis, sr delà Garenne, bourgeois, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Pierre Satis, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Pierre Delataille, marchand, demeurant à St-Julien-sur-Calonne, et Me Jean-Jacques Carel, apothicaire, bourgeois de Pont-l’Evêque , demeurant en lad. ville.
593. – Le 28 sept. 1728, la nomination à la cure de St-Michel de Pont-1’Evèque appartenant au Chapitre de N.-D. de Cléry, les srs chanoines de lad. collégiale nomment à cette cure, vacante par la mort de Me Robert Le Villain, pbrë, dernier titulaire, la personne de Me Julien Besnier, pbrë du diocèse d’Avranches.
Le 17 oct. 1728, le seigr évêque donne aud. sr Besnier la collation dud. bénéfice.
Le 24 oct. 1728, le sr Besnier, ancien habitué en la collégiale de Cléry, prend possession de la cure de Pont-l’Evêque, en présence de Mes François Dossin, Charles Périer, Guillaume Formage, JacquesFiltrain (Filtrain pour Philippe Train.), Jean Leperchey, David-François Dallet, Jacques Main, Louis Guilbert, tous pbfês de lad. parr., et plusieurs autres témoins.
638. – Le 10 février 1729, vu l’attestation du sr Guilbert, vicaire de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre Me Charles Louvet, greffier du bailliage dud. lieu, fils de Jacques Louvet, d’une part, et Elisabeth Pellerin, tous deux de lad. parr.
733. – Le 25 août 1729, Jean-Jacques Carel, apothicaire, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de Me Pierre-Louis Montaie, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Pierre Duhamel, avocat, demeurant à Lx et oncle dud. acolyte, et par le sr Robert-Louis Montaie, marchand-perruquier, demeurant à Pont-l’Evêque , père dud. sr acolyte.
801. – Le 31 janvier 1730, dispense de bans pour le mariage entre Pierre-Louis Le Canteur, sr des Champs, fils de feu Philippe Le Canteur et de Jeanne de Bréban, natif de Pont-l’Evêque et demeurant présentement à Séez, d’une part, et damlle Marquise d’Alleaume, fille de feu Marquis d’Alleaume, Escr, et de dame Antoinette Allard, de la ville de Séez.
803. – Le 25 octobre 1729, Pierre Isabel, marchand, demeurant à Pont-l’Evêque, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Charles Isabel, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Jean Cordier, sr du Parc, marchand, demeurant à St-Melaigne ; Me Charles Lecourtois, receveur des consignations à Pont-l’Evêque ;Me Thomas Le Pelletier, procureur en l’élection dud. lieu, et autres cautions. – Led. sr acolyte était actuellement au séminaire.
Le 24 août 1731, Pierre Isabel, marchand, demeurant à Pont-l’Evêque , ratifie le contrat d’une rente de 150 livres qu’il a constituée, le 25 août 1729, en faveur de son fils, Me Charles Isabel, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Jean Le Cordier, sr du Parc, demeurant à St-Melaigne ; Me Thomas Lepelletier, procureur en l’élection de Pont-l’Evêque , et autres cautions.
902. – Le 3 juillet 1730, dispense de bans pour le mariage entre Louis Dossin, fils de feu Me Guillaume Dossin, conser du roy, élu en l’élection de Pont-l’Evêque, et dedamlle6 Dufou, demeurant à Rouen, d’une part, et damlle Jeanne Lebailly, fille de feu Me Zacharie Lebailliy, greffier en chef des Eaux et Forêts de la vicomte d’Auge, et de damlle Marguerite Guinette, de la parr, de Pont-l’Evêque .
922. – Le 12 sept. 1730, vu l’attestation du sr Guilbert, vicaire de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre Me Charles Fouet, procureur en l’élection et greffier en la subdélégation de Pont6l’Evêque, fils du sr Richard, d’une part, et damlle Anne-Angélique Cambremer, fille de Me Nicolas Cambremer, archer, garde en la connétablie de France, et de dame Anne Thouret, tous deux de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
993. – Le 12 janv. 1731, dispense de bans pour le mariage entre Me Nicolas Cambremer, fils de Me Nicolas Cambremer, archer, gardeen la connétablie de France, et de damlle Barbe Gorry, de la parr. De Pont-l’Evêque et demeurant à Reux depuis trois mois, d’une part, et Marie-Françoise Loisnel, fille de Jean, de la parr. de St-Melaigne.
1092. – Le 28 mai 1731, dispense de bans pour le mariage entre Me Jacques Hamelin, docteur en médecine, fils de Hervé et d’Anne Varin, d’une part, et damlle Marie-Marguerite Train, fille de Louis Train de Beaufiquet et de Jeanne Haraon, tous deux de la parr. de Pont-l’Evêque .
1093. – Le 7 juin 1731, dispense de bans pour le mariage entre Michel Deslandes, Escr, seigr de la Goulande, Courmartin et autres lieux, ancien officier de dragons et chevau-léger de la garde du roy, son conseiller, receveur des tailles à Pont-l’Evêque , fils de Michel Deslandes, Esc1, et de dame Ambroise Rallu, de la parr, de Pontl’Evêque, d’une part, et damlle Marie-Magdeleine-Charlotte Le Bas, fille de Charles Le Bas, seigr et patron de St-Sébastien de Préaux et ancien receveur des tailles de la ville de Lx, et de dame Marie-Barbe Begauld de la Girardière, de la parr, de St-Jacques de Lx.
1132. – Le 2 juillet 1731, Pierre De Villers, bourgeois, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de Me Arnoult Le Petit, acolyte, originaire dud. lieu de Pont-l’Evêque , afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Richard Selot, avocat en lad. ville, et par Me Jean-François Desmouceaux, bourgeois, demeurant aud. lieu.
1142. – Le 30 juin 1731, Jean Férey, marchand, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de son neveu, Me Jean-Pierre Férey, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jacques Cambremer, avocat, demeurant à Pont-l’Evêque ; Me Nicolas Cambremer, ci-devant huissier aux bailliage et vicomte d’Auge, demeurant à Reux; Me Thomas Le Pellerin et Me Charles Fouet, procureurs en l’élection de Pont-l’Evêque.
1164. – Professions faites au monastère des religieuses de St-Dominique, établi au Pont-l’Evêque .
Le 10 oct. 1726, Sr Marie-Thérèse de St-Albert la Vallée Guillourd, âgée de 22 ans et 8 mois, fille de Mr Pierre-Gaspard de la Vallée Guillourd et de Luce Lefèvre, de la parr. de St-Pierre de Caen, fait profession entre les mains de Marie-Charlotte Aufray, dite de St-Dominique, prieure de ce monastère, en présence de Sr Marie-Anne-Marguerite de St-Joseph, sous-prieure, Sr Marie de St-Louis, Sr Marie-Elisabeth-Aimée de Jésus, Sr Barbe de Ste Dorothée, Sr Marie-Thérèse de St-Ignace.
Le 27 mai 1727, Sr Catherine-Antoinette de Ste Eulalie Le Goueslier de Montcarel, âgée de 26 ans et 6 mois, fille de Mesre Jacques-Antoine Le Goueslier, Esc, sr de Montcarel, et de feue Catherine Faucon, de la parr. de Pont-l’Evêque , fait profession entre les mains de la même prieure.
Le 16 fév. 1730, Sr Marguerite-Françoise-Olive Le Terrier, dite de l’Assomption, âgée de 20 ans et quatre mois, fille de Mre FrançoisCharles Le Terrier, Esc1, de la parr. d’Equainville, et de dlle Madeleine de Dramard, de la parr. de Gonneville-sur-Dive, et de présent l’un et l’autre établis à Pont-l’Evêque , fait profession entre les mains de
Marie-Anne-Marguerite de Carentonne, dite de St-Joseph, prieure de ce monastère, en présence de Sr Marie-Charlotte de St-Dominique, sous-prieure, et des autres ci-dessus nommées, membres du conseil dela communauté.
Le 3 juillet 1731, Sr Françoise Lecointe, dite Marie de Ste Agathe, âgée de 22 ans et 10 mois, fille de Mr Jean Lecointe et de Mme Marguerite Dieusy, de la parr. de St-Clair-de-Barneville, fait profession en présence desd. sœurs.
Le 21 août 1731, Sr Marie-Marguerite Dubosc du Montbert, dite de St-Germain, fille de Mre Robert-Alphonse Dubosc, Esc’, sr du Montbert, et de dlle Marguerite de Lépiney, de la parr, de St-Jacques de Lx, fait profession en présence desd. sœurs.
Certifié conforme au registre par Sr Marie-Anne-Marguerite Mauduit de Carentonne, dite de St-Joseph, prieure du monastère de St-Dominique de Pont-l’Evêque , le 7 nov. 1731.
1171. – Le 8 janvier 1732, dispense de bans pour le mariage entre Mre Nicolas de Gillain, chevr, seigr de Rasblais, Boisdoufrey, la Salinondière, et Boisaubert, fils de feu Mre Louis de Gillain, chevr, seigr de Rasblais, et de noble dame François Le Coutelier, demeurant à Alençon, parr. N.-D., d’une part, et demlle Anne-Damienne Le Normand, fille de Pierre Normand, en son vivant conser du roy, receveur des tailles de Pont-l’Evêque, et de dame Marie-Damienne d’Epréville, de lad. parr. de Pont-l’Evêque .
1299. – Le nov. 1732, reçurent la tonsure et les ordres mineurs des mains du seigr évêque de St-Paul-Trois-Châteaux, dans la chapelle du grand séminaire de Lx :
Jean-Etienne Main, fils de Guillaume et d’Anne Lévis, de la parr, de St-Michel de Pont-l’Evêque .
1395. – Le 5 mai 1733, dispense de bans pour le mariage entre Jacques Louvet, greffier au bailliage du Pont-l’Evêque, fils de Jacques et de Jacqueline Marais, d’une part, et dlle Françoise Le Courtois, fille de feu Me Charles Le Courtois, tous deux de Pont-l’Evêque .
1433. – Le 7 sept. 1733, dispense de bans pour le mariage entre Me François Renault de Rousseville, conser du roy, lieutenant-général en l’amirauté et président au grenier à sel de Fécamp, fils de feu Me Jean-Pierre Renault de Rousseville, conser et procureur du royaux Eaux et Forêts de la vicomte d’Auge, et de dlle Anne-Charlotte Béquet, de la parr, de Pont-l’Evêque et demeurant à St-Nicolas de Fécamp depuis temps de droit, d’une part, et damlle Marie-Anne Drouet, fille de feu Daniel Drouet et de dame Anne Collas, de la parr, de Ste-Croix de Fécamp.
1434. – Le 14 sept. 1733, dispense de bans pour le mariage entre Guillaume-David Main, sr du Taillis, fils de feu Me Guillaume Main, doyen de Mrs les avocats du bailliage et vicomte d’Auge, et de dlle Marie-Paulmyer, demeurant a St-Melaine, d’une part, et damlle Catherine Le Cordier, fille de Me François Le Cordier, lieutenant de Mr le premier chirurgien du roy au bailliage et vicomte d’Auge, et de feue Marie-Magdeleine Deshoulles, de la parr, de Pont-l’Evêque1439. – Le 7 août 1733, Me Michel Le Truand, acolyte, fils Michel, demeurant à Pont-l’Evêque , se constitue 150 livres de rente afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente, hypothéquée sur plusieurs pièces de terre situées à St-Hymer, est encore garantie par Me Thomas Le Peltier, procureur en l’élection de Pont-1’Evèque, et par Thomas-Charles Le Courtois, bourgeois de lad. ville.
1441. – Le 23 juin 1733, Me Philippe Férey, sr de la Chasse, avocat, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de Me Jean Buchard, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jean Toustain, pbre de St-Martin de-la-Lieue. – Led. sr acolyte était originaire de la parr, de St-Thomas de Touques et y demeurait.
1439. – Le 7 août 1733, Me Michel Le Truand, acolyte, fils Michel, demeurant à Pont-l’Evêque , se constitue 150 livres de rente afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente, hypothéquée sur plusieurs pièces de terre situées à St-Hymer, est encore garantie par Me Thomas Le Peltier, procureur en l’élection de Pont-1’Evèque, et par Thomas-Charles Le Courtois, bourgeois de lad. ville.
1441. – Le 23 juin 1733, Me Philippe Férey, sr de la Chasse, avocat, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de Me Jean Buchard, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jean Toustain, pbre de St-Martin de-la-Lieue. – Led. sr acolyte était originaire de la parr, de St-Thomas de Touques et y demeurait.
1461 . – Le 6 oct. 1733, dispense de bans pour le mariage entre Me Gabriel-Louis Le Barbier, avocat, fils de feu Me Hervé Le Barbier, conser du roy, officier au grenier à sel de Honfleur, et de noble damlle Marie-Magdeleine Benoît de Blary, d’une part, et damlle MarieFrançoise Isabel, fille du feu sr Pierre Isabel et de dame Elisabeth
Letanneur, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
1485. – Le 22 févr. 1734, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Gabriel Petit, contrôleur ambulant des Aides des élections de Pont-l’Evêque et Pontaudemer, demeurant à Pont-1’Evèque, fils de noble homme Claude Petit, ancien receveur des fourrages de l’évêché de Quimper, et de dame Julienne Hébert, d’une part, et Anne-Jacqueline-Charlotte Brunet, demeurant à St-Germain d’Avranches, fille de feu Mre Pierre Brunet, conser du roy, grènetierau grenier à sel de Séez, et de dame Jacqueline Audalan, demeurant en lad. ville de Séez.
66. – Le 27 févr. 1735, Me Richard Selot, conser du roy, grènetier au grenier à sel d’Honlleur, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Jacques-Pierre Selot, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés.
110. – Le 17 août 1735, dispense de bans pour le mariage entre Joseph-Alexandre-Vincent Le Court, Esc, fils de Monsieur Vincent-Louis Le Court, Escr, et de dame Renée de Turgeon, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Catherine-Anne de Barville, fille de Mre Jacques de Barville, Chevr, seigr des Aulnes, et de dame Jeanne de Chéry, de la parr, de Boissy-Maugis, diocèse de Chartres.
171 . – Le 13 févr. 1736, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Pierre de la Roque de Bernières, Escr, seigr de Montfort, conser du roy, lieutenant-général civil et criminel aux bailliage et vicomte d’Auge, subdélégué de Mr Le Marquet de la Bourdonnaie, intendant de la généralité de Rouen en l’élection de Pont-l’Evêque , fils de feu Mesre Gilles de la Roque des Noïers (?), seigr et patron de Monteilles,
châtelain du Mont-de-la-Yigne, Escr, conseiller-secrétaire du roy, Maison, Couronne de France et de ses Finances, et de dame Charlotte de Jort, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Jeanne-Esther de Hébert de Bailleul, fille de feu Mre Joachim de Hébert de Bailleul, Escr, capitaine et commandant de la côte de Villers, et de feue dame Esther Duraont, aussi de la parr, de Pont-l’Evêque.
193. – Le 26 fév. 1736, Pierre Alleaume, marchand, bourgeois, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de Me Jean-Baptiste Prentout, acolyte de lad. ville, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Thomas Lepeltier, procureur en l’élection de Pont-l’Evêque , et autres cautions.
353. – Le 21 janv. 1737, Me Jean-Pierre Le Blond, acolyte, fils de feu Me Jean-Pierre Le Blond, contrôleur des Titres, et de dame Jeanne Vattier, demeurant à Pont- 1’Evêque, constitue 150 livres derente en sa faveur, afin de parvenir aux ordres sacrés.
437. – Le 11 mars 1737, Jean Horrionnay, procureur et receveur de M. l’abbé de Berlize, grand prévôt de Chartres, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Jacques-Pierre-Damian Horrionnay, acolyte de la parr, de Pont-l’Evêque , afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés.
314. – Le27oct, 1737, Louis-Olivier de Varin, fils de Mesre Jacques de Yarin, Escr, et de noble dame Anne-Françoise de Vimont, de la parr, de St-Michel de Pont- 1’Evêque, reçoit la tonsure et les ordres mineurs.
331. – Le 1er juin 1740, vu l’attestation du sr Besnier, curé de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre Mre RollandPhilippe de Perrey, fils de Philippe-Léonor de Perrey, Esc1, sr de Gutot, et de noble dame Jeanne-Françoise du Basset, de la parr. de St-Parr, diocèse de Coutances, et demeurant en celle de Marinnes, diocèse de Rouen, d’une part, et damlle Anne-Marie-Magdeleine de Lannoy, fille du feu sr Charles de Lannoy et de Judith Levannier, de lad. parr, de Pont-l’Evêque.
366. – Le 10 août 1740, Jacques de Varin, Escr, sr de Beauchamp, conser du roy, assesseur au bailliage et vicomte d’Auge, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Louis-Olivier de Varin, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jacques Cambremer, avocat au bailliage et vicomte d’Auge, et Me Charles Fouet, procureur en l’élection de Pont-l’Evêque , y demeurant tous deux.
309. – Le ler févr. 1741, vu les attestations du sr Besnier, curé de Pont-l’Evêque , et du sr David, vicaire de Condé-sur-Risle, dispense de bans pour le mariage entre Me Jacques Cambremer, avocat, fils de feu Me Nicolas et de dame Anne Thouret, de lad. parr, de Pont-l’Evêque, d’une part, et damlle Catherine Blancard, veuve en secondes noces de Mre François Vivefoy, Escr, sr de la Salle, et fille de feu François Blancard et de dame Marie-Anne Dorlay, de la parr, de Condé-sur-Risle.
310. – Le 8 févr. 1741, vu les attestations du sr de Boctey, vicaire de Pont-l’Evêque , et du sr Pilllon, vicaire de St-Etienne-la-Thillaye, dispense de bans pour le mariage entre Pierre Leroy, de la parr, de Pont-l’Evêque , et Rose-Catherine Cousin.
97. – Le 29 oct. 1741, reçurent la tonsure et les ordres mineurs: Victor-Hyacinthe-Aimé Le Cordier, fils de Jacques et de Marie-Catherine-Elisabeth-Eléonore Giffard, de la parr, de Pont-l’Evêque .
105. – Le 15 nov. 1741, dispense de bans pour le mariage entre Adrien De France, bourgeois de Pont-l’Evêque , fils de feu Me Pierre De France et de dame Françoise Leloup, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Magdeleine- Catherine Périer, fille de feu Me Pierre Périer et de dame Geneviève Tantel, de la même parr.
315. – Le 14 mai 1742, dispense de bans pour le mariage entre Charles Daumesnil, Escr, fils de Gaspard Daumesnil, Escr, et de noble dame Thérèse Boudin, de la parr. de N.-D. de Caen, d’une part, et damlle Vincenne-Jeanne Le Court, fille d’Adrien-Louis Le Court, Escr, sr de Noirval, et de noble dame Anne-Catherine Ruault, de la parr, de Pont-l’Evêque .
266. – Le 17 sept. 1742, dispense ‘de bans pour le mariage entre « Monsieur Me » Jean-Pierre Bicherel, Esc1-, conser du roy et son auditeur en sa Chambre des Comptes, Aides et Finances de Normandie, fils de feu « Monsieur Me » Jean-Pierre Bicherel, consr et avocat du roy au bailliage et vicomte d’Auge, et de damlle9 Marie-Anne de Semilly, originaire de Pont-l’Evêque et y demeurant, d’une part, et damlle Marie-Louise Pouchin, fille de feu « Monsieur Me » Jean-Pierre Pouchin, aussi conser du roy et son auditeur en la même Chambre des Comptes, Aides et Finances de Normandie, et de damlle Marie-Catherine du Mesnil, originaire de la parr, de Manneville-la-Pipard et demeurant au Pont-l’Evêque .
367. – Le 18 févr. 1743, dispense de bans pour le mariage entre Me François Lecordier, chirurgien, fils de Me François Lecordier, lieutenant du premier chirurgien du roy, et de feue damlle Magdeleine Deshoulles, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Elisabeth Aumont, aussi de lad. parr.
511. – Le 9 sept. 1743, vu l’attestation du sr Périer, pbrë, vicaire de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre Me CharlesGabriel Main, avocat, fils de feu Me Guillaume Main, aussi avocat, et de damlle Anne Lesnys, de lad. parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et dlle Marie-Elisabeth Turgis, fille de feu Philippe, de la parr. de St-Ouen de Caen et demeurant au couvent des dames dominicaines de Pont-l’Evêque.
198. – Le 12 oct. 1745, dispense de bans pour le mariage entre Mr Guillaume de Mannoury, Escr, sr de St-Germain, conser du roy et son procureur au bailliage et vicomte d’Auge, fils de feu Mr Guillaume de Mannoury, Escr, sr de St-Germain, et de noble dame Marie-Thérèse Thérèse Le Sueur, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Anne-Catherine-Jeanne Delaporte, fille du feu sr Nicolas-Pierre-Hector Delaporte, officier en la Monnaie de Caen, et de dame Jeanne Champin, de la parr, de St-Pierre de Caen.
208. – Le 21 septembre 1743, Me Louis-Olivier de Varin, diacre de Pont-l’Evêque , est ordonné prêtre.
310. – Le 15 nov. 1745, dispense de bans pour le mariage entre Mre Esprit-Jean- Baptiste de Brèvedent, Escr, ancien chevau -léger de la garde ordinaire du roy, fils de feu Mre Jean-Baptiste de Brèvedent, Escr, chevalier de l’Ordre militaire de St-Louis, capitaine-général desgardes-côtes de la capitainerie d’Honfleur, et de l’eue noble dame Fra çoise Le Doyen, de la parr, de Genneville, d’une part, et noble damlle Marie-Anne de Mannoury, fille de feu Mesre Guillaume de Mannoury, Esc, conser et procureur du roy en bailliage et vicomte à Pont-l’Evêque , et de noble dame Marie-Thérèse Lesueur, de lad. parr, de Pont-L’Evêque.
370. – Le 20 août 1746, dame Marguerite Cramoisy, Vve dePhilippe Buisson, marchand chandelier, demeurant à Pont-l’Evêque , rue St-Michel, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Etienne-Philippe Buisson, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Jacques-Philippe Buisson,frère dud. acolyte, et par Me Richard-Pierre Legrip, tabellion royal à Pont-l’Evêque , y demeurant.
395. – Le 1er févr. 1747, dispense de bans pour le mariage entre Me Pierre Lesueur, avocat, fils de feu Jacques et de Jeanne Marie, originaire de Coudray, et demeurant présentement à Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Françoise-Anne De Villers, fille de Me Pierre De Villers, et de feue damlle Suzanne Marie, aussi de lad. parr . de Pont-l’Evêque . Le même jour, dispense de parenté au 2e degré pour led. Mariage.
402. – Le 13 févr. 1747, dispense de bans pour le mariage entre Me Yves Selot du Mesnil, avocat, fils de Me Yves Selot, conser du roy, contrôleur au grenier à sel d’Honfleur et avocat, et de damlle Marguerite-Angélique de Vauquelin de la Brosse, d’une part, et dame Marie Duval, Vve de Jean-Baptiste Carel et fille de Louis Duval et de dame Charlotte Defrance, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
13. – Le 27 avril 1747, dispense de bans pour le mariage entre Jean Baudel, fils de feu Me Jean Baudel, greffier, et de Marie-Jacqueline Carbonnel, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et Marie-Magdeleine Isabel, fille de Jean-Baptiste Isabel et de Charlotte Amelot, aussi de lad. parr.
50. – Le 28 juill. 1747, dispense de bans pour le mariage entre Pierre David, marchand drapier, fils Nicolas, de la parr, de St-Pierre de Cormeilles, d’une part, et Catherine-Elisabeth Lecordier, fille de Me Jacques Lecordier, contrôleur des titres, et de Catherine-Elisabeth-Eléonore Giffard, de la parr, de Pont-l’Evêque .
143. – Le 12 févr. 1748, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Charles Herval, avocat au parlement de Paris, procureur général domanial de S. A. S. Mgr le duc d’Orléans, premier prince du sang, en sa vicomte d’Auge, fils de feu sr Thomas Herval, et de feue dame Marie-Magdeleine Dufour, demeurant à Pont-l’Evêque depuis temps de droit, d’une part, et damlle Louise-Françoise-Catherine-Michelle-Antoinette Rouelle, fille de Laurent Rouelle et de Catherine Bence, aussi de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
337. – Le 17 févr. 1749, vu le certificat du sr Bottey, vicaire de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour’ le mariage entre Jean-Baptiste Véron de Ste Marie, veuf de dame Jeanne-Françoise Louvel et fils de feu Jean-Baptiste Véron et de feue noble dame Marie Hébert, d’une part, et dame Catherine Jourdain, veuve de Zacharie Fossey, et fille de feu Jacques Jourdan et de dame Marguerite Goubey, tous deux demeurant à Pont-l’Evêque
PONT-L’ÉVÈQUE (Saint-Michel}
Curés. – R. Levillain – J. Besnier.
Vicaires. – L. Guilbert – D; Boctey – Doisnel – P Périer. – Bottey.
Prêtres de la paroisse. – D. -F. Dallet – F. Dossin – G. Formage – J. Fouet – L. Guilbert.- V.-H.-A. Le Cordier – J.-M.-A. Le Goueslier – J. Leperchey – P. Leslorey – J q Main – J.-E. Main,- P.-L. Montaye,- Jq Train- Jq -Ph. Train.
Clercs. – J.-P. Borel- E.-P. Buisson- J.Férey – J.-F. Fouet -0. Isabel – J.-P. Le Blond – V.-H.-A. Le Cordier -J.-M.-A. Le Goueslier – A. Le Petit – P. Lestorey – M. Letruand – J.-E. Main – P.-L. Montaye -J.-B. Prenthout – J.P. Selot, I. 66. – L.-O. de Varin.
Seigneurs et notables. – J Baudel – M. Basire – J.-P. – J.-P. Bicherel, fils – M. Bréard – N.-N. Bréard, – Jq. Cambremer – N. Cambremer,- A. Thouret, .- N. Cambremer, fils – J.-B. Carel – G. Coquet de Genneville – C. Daumesnil – A. Defrance – M. Deslandes, fils, – P. De Villers – G.Dossin,. – L. Dossin – L. Duval – J.Fantelin- O. Féret- P. -F. Féret – C. Fouet.- R. Fouet – G. Gamare – G.-J. Gibon – G. Hébert – J. de Hébert de Bailleul – J.-C. Herval -T.Herval – J de la Houssaye, .- J.-J. lsabel- P. Isabel- C. de Lannoy- R.-C. de Lannoy- Z. Le Bailly- G.-L. Le Barbier- H. Le Barbier-J.-P. Le Blond- P. Le Cinteur – P.-L. Le Canteur – M. Leclcrc – F. Le Cordier – F. Le Cordier, fils, – Jq Le Cordier- Adr.-L. Le Courtde Noirval- Aug. Le Court des Tourailles, . – F.-Jq Le Court des Tourailles – J.-A.-V. Le Court – V.-L. Le Court – C Le Courtois – E.-J.-B. Le Doulcet – F. Ledoux – Jq.Le Goueslier – Jq-A. Le Goueslier – F. Legrip .- R.-P. Legrip – P. Le Normand, . – T. Le Pellerin – T. Lepeltier – Jq Le Prévost – J.V. Le Prévost – Ph. Le Prévost – P. Lesueur – C. Louvet – Jq Louvet -Jq Louvet, fils – G. Main – G. de Mannoury – G. de Mannoury, fils .- F. Maurice – G. du Mesnil – G. -A. du Mesnil – F.-Jq de Mire – E. de Neuville – l.-F.-E.Orieult – R.-F. Orieult – J.-B. Patin – P. Périer- J.-G. Petit – J.-B. Queruelle – F. Renault – J.-P.-C. Renault – J.-P. Renault de Rousseville – C. Richard, – F.Richard, – Jb Rivière – P. de la Rocque de Bernières – L. Rouelle – R. Sebire, – R. Selot – Y. Selot – Y. Selot, fils, – L. Train – Jq de Varin – J.-B. Véron, -J.B. Véron de Sainte-Marie.
Couvent des Dominicaines. – Noms de religieuses.
57. – Le 22 févr. 1749, M Charles Fouet, conser et procureur du roy en l’amirauté de Dives, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de M Charles-Michel Le Truand, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jacques Cambremer, avocat, et Jean-Baptiste Queruel, apothicaire, demeurant en lad. ville de Pont-l’Evêque .
184. – Le 4 févr. 1750, dispense de bans pour le mariage entre Jacques-David Train, veuf de Françoise Perrée, fils de feu Me Jacques Train, ancien avocat, et de feue Elisabeth Hamon, d’une part, et Marie-Elisabeth-Angélique Benoit, fille de feu François, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
272. – Le 8 juin 1750, dispense de bans pour le mariage entre Pierre Creps, originaire de la parr, de Manerbe et demeurant depuis douze ans à Pont-l’Evêque , fils de feu Jacques Creps et de Françoise Le Mercier, d’une part, et Marie-Anne Hébert, originaire de Pont-l’Evêque et demeurant depuis cinq ans à Danétal, fille de feu François Hébert et de feue Anne Dalençon.
275. – Le 15 juin 1750, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Esprit de Piperey, chevr, seigr de Marolles,fils de feu Mesre Pierre de Piperey et de noble dame Marie-Anne du Rosey, demeurant à Lx, parr. St-Germain, d’une part, et damlle Agnès Le Court de Noirval, fille de Mesre Adrien Le Court, Escr, seigr de Noirval, et de noble dame Anne-Catherine de Ruault, de la parr, de Pont-l’Evêque .
315. – Le 29 juillet 1750, Marie Lefortier, Vve de Jean Lemonnier, et Jacques Debrey, bourgeois, demeurant à Pont-l’Evêque , constituent 150 livres de rente en faveur de Me Jean-Auguste-François Lemonnier, acolyte, fils de lad. veuve, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Jean-Jacques Isabel, sr de Beaulieu, et par Me Nicolas-Augustin Bréard, greffier en chef de la maîtrise du bailliage d’Auge en la ville de Pont-1’Evèque.
183. – Le 21 juillet 1751, Me Richard-Pierre Legrip, tabellion royal au bailliage d’Auge, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Louis-Etienne-François-Richard-Pierre Legrip, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jean-Pierre Bicherel, Escr, conser du roy et son auditeur en sa cour des Comptes, Aides et Finances de Normandie, et par Me Jacques Cambremer, avocat au bailliage
d’Auge, demeurant tous deux à Pont-l’Evêque . – La mère dud. sr acolyte se nommait Elisabeth Domin.
184. – Le 23 juin 1751, dle Magdeleine Grente, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de M Jean-Baptiste Lemonnier, acolyte dud. lieu, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jean Baudel, procureur en l’élection de Pont-l’Evêque , et par Me Gilles-Antoine Auber, greffier aud. siège et demeurant en lad. ville. Led. sr acolyte était fils de feu Jean Lemonnier et de Marie Lefortier, demeurant à Pont-l’Evêque .
120. – Le 1746, François-Robert Oriot, fils de Robert et d’Elisabeth Véron, de la parr, de Pont-l’Evêque , reçoit la tonsure et les ordres mineurs. Le 1er août 1751, M6 Jacques Cordier, contrôleur des titres, à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de Me François-Robert Oriot, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Fait et passé à Pont-1’Evôque, en présence de Me Jean-Pierre De la Taille, conser du roy, garde-marteau à la maîtrise, demeurant en lad. Ville.
374. – Le 10 avril 1752, vu l’attestation du sr Lalouefte, vicaire de Moyaux, et du sr Besnier, curé de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Baptiste-Etienne Combaut, notaire, fils de feu Jean-Baptiste et de Marguerite Seney, de la parr. de Moyaux, d’une part, et Marie Le Bailly, fille de feu Me Jacques-Joseph Le Bailly, greffier en chef des Eaux et Forêts de la vicomte d’Auge, et de feueMadeleine Duval, de lad. parr, de Pont-1’Evêqne. Avec l’autorisation dud. sr curé, ce mariage fut célébré à Beaufour.
331 . – Le 14 sept. 1752, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Louis-Jacques-Armand Labbey, Esc/, chevr seigr de Gonneville, conser du roy, lieutenant particulier civil et criminel du bailliage d’Auge, siège de Pont-l’Evêque , fils de Mesre Jacques Labbey, Escr, sr du Moutier, chevr seigr de Gonneville, Launey et St-Vaast, et de noble dame Anne-Charlotte Le Roy de Livet, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et dam1Ie Magdeleine-Elisabeth-Charlotte Thierry, fille de Mesre Charles-Jean Thierry, seigr du Buquet, conser du roy, juge en chef du dépôt et mesurage des sels d’Honfleur, et de dame Elisabeth Hatten, de la parr, de Ste Catherine d’Honfleur.
78. – Le 1752, noble damlle Marie-Madeleine-Gabrielle Le Goueslier de Putot, demeurant à Pont-l’Evêque , agissant au nom de Mre Jacques-Michel-Antoine Le Goueslier de Montcarel, pbfê, bachelier de Sorbonne, curé de Grandcourt au pays de Caux, constitue 150 livres derente en faveur de M6 Michel Le Goueslier, acolyte, neveu dud. sr curé, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est par Me Guillaume du Mesnil, Escr, conser et avocat du royaux Eaux et Forêts du vicomte d’Auge, et parMe Yves Selot, licencié ès-loix, avocat au bailliage de Pont-l’Evêque , demeurant tous deux en lad. ville. Fait en présence de Nicolas-Augustin Bréard, greffier en la maîtrise, et Olivier François Morel, acolyte, demeurant aussi l’un et l’autre à Pont-l’Evêque .
289. – Le 30 avril 1754, vu l’attestation du sr Bottet, vicaire de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre M6 Jean-Pierre Varin, tabellion, originaire de la parr. du Fournet et demeurant à Pont-l’Evèque, fils de feu Pierre Varin et de damlle Antoinette de Borel, d’une part, et Sainte-Marie-Anne Dufossey, fille de feu Pierre et de Marie Sandret, aussi de la parr, de Pont-l’Evêque .
311. – Le 18 juin 1754, dispense de bans pour le mariage entre David-Barthélemy-François Le Courtois, receveur des aides à la banlieue du Pont-l’Evêque , fils de feu Me David Le Courtois, procureur au parlement de Rouen, et de Marie Lalubé (?), originaire de St-Vivien de Rouen, et demeurant à Pont-l’Evêque depuis temps de droit, d’une part, et Marie-Thérèse Letorey, fille de feu François et de Catherine Vallée, de la parr. Ste Croix de Cormeilles.
343. – Le 27 août 1754, dispense de bans pour le mariage entre Me Jacques-Philippe Duchemin, avocat, fils de feu Me Jacques-Auguste Duchemin, aussi avocat, et de dame Jeanne-Angélique Train, d’une part, et damlle Marie-Charlotte Le Courtois, fille de M9 Thomas-Charles Le Courtois, avocat, et de dame Marie Troussel, tous deux de la parr. de Pont-l’Evêque .
378. – Le 18 oct. 1754, Mesre Louis-Olivier de Varin de Beauchamp, pbfë, curé de Berthouville et depuis pourvu de la cure de Pierrefitte, donne sa procuration pour résigner led bénéfice de Pierrefitte entre les mains de noble dame Marie-Geneviève Baudry, Vve de Mre Charles-André de Quintanadoine, seigr de Betteville, dame et patronne de Pierrefitte, Ticdeville et Heurville-en-Caux, demeurant à Pont-l’Evêque .
388. – Le 6 janv. 1755, dispense de bans pour le mariage entre Pierre Varin, sr de Bouclon, fils de feu Pierre Varin et de noble dame Antoinette de Borel, originaire de la parr, du Fournet et demeurant à Pont-l’Evêque , d’une part, et Marie-Louise-Dorothée Lemoine, fille de Louis-Julien Lemoine et de Marie-Françoise Defrance, de la parr, de St-Hymer.
401 . – Le 29 janv. 1755, dispense de bans pour le mariage entre Etienne Le Chevallier, Me apothicaire, fils de feu Etienne Le Chevallier, et de feue dame Louise Robinet, originaire de la parr . St-Léonard d’Honfleur, demeurant depuis temps de droit en la parr, de Pont-l’Evêque, d’une part, et dlle Thérèse-Catherine Le Roux, fille de feu Robert, demeurant aussi à Pont-l’Evêque .
80. – Le 28 février 1755, Me Jacques Hamelin, sr des Essarts, docteur en médecine, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, M9 Gilles-Jacques-Philippe Hamelin, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jacques Cordier, contrôleur des titres, et Charles Fouet, conser procureur du roy en l’amirauté de Dives et procureur en l’élection de Pont-l’Evêque, demeurant l’un et l’autre en lad. ville.
118. – Le 1er sept. 1755, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Baptiste Duval, sergent royal au bailliage d’Auge, fils de feuMe Robert Duval, huissier audiencier au même siège, et de Jeanne-Françoise Lemoine, de la parr. de Pont-l’Evêque , d’une part, et Catherine-Thérèse Leloup, fille de Jean-Pierre Leloup de la Couture et d’Elisabeth Leproux, de la parr, de St-Etienne-la-Thillaye, et lad. fille demeurant aussi à Pont-l’Evêque .
143. – Le 29 sept. 1755, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Henry-Jacques-François-Aimé Daniel, chevr, seigr et patron de Grangues et du Breuil, fils de feu Mesre Henry-Jean-Robert Daniel, chevr, seigr et patron de Grangues et du Breuil, chevalier des Ordres royaux et militaires de N.-D. du Mont-Carmel et de St-Lazare, lieutenant pour le roy.au gouvernement de Lx, et de feue noble dame Louise-Marguerite Le Cloutier de Bois-Hibout, de la parr, de Grangues,
d’une part, et damlle Marie-Anne-Charlotte Quintanadoine de Betteville, fille de feu Mesre Marin-André Quintanadoine, chevr, seigr de Betteville, et de noble dame Marie-Geneviève Baudry, dame et patronne de Betteville, Thiédeville, Eurville et St-Denis de Pierrefitte, demeurant en la parr. de Pont-l’Evêque .
42 – Le 30 oct. 1729, Arnoult Le Petit, fils de Paul et de Magdeleine Vannier, de la parr. de Pont-l’Evêque , reçoit à Lx la tonsure et les ordres mineurs des mains du seigr évoque de Boulogne.
43. – Le 8 févr. 1757, dispense de bans pour le mariage entre Me Charles-François Fouet, avocat au bailliage d’Auge, changeur royal en titre des monnaies, fils de feu Me Charles Fouet, conser et procureur du roy en l’amirauté de Dives, et de damUe Anne-Angélique Cambremer, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Anne-Françoise de la Vigne, fille de feu Guillaume de la Vigne et de dlle Anne Carel,originaire de la parr, de Rabut et demeurant en celle de Pont- l’Evêque .
140. – Le 19 juill. 1757, dispense de bans pour le mariage entre Gabriel Le Boullanger, fils de feu Gabriel et veuf de Marie-Madeleine Le Court, demeurant à St-Pierre de Touques, d’une part, et Catherine-Gabrielle-Julienne de Goupillère, fille de feu Me Antoine de Goupillère, avocat, et d’Anne de Formeville, de la parr. de Pont-l’Evêque .
154. – Le 6 août 1757, damlle Marie-Barbe Pellerin de la Coudraye, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de Me Jean-François Haraque, acolyte dud. lieu, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente hypothéquée sur un herbage, nommé le Homaron, sis à Bonneville-sur-Touques et appartenant à lad. damlle, est encore garantie par Me Charles Isabel, pbre, et par Me Pierre Lemercier, aussi pbre, demeurant l’un et l’autre à Pont-l’Evêque. Fait et passé en la maison dud. sr Isabel.
Me Pierre Lemercier, pbre du diocèse de Lx, habitué en la parr. de Pont-l’Evêque , refusa de prêter le serment schismatique en 1791. L’année suivante il partit en exil et se réfugia d’abord à Portsmouth, puis à Portsea où il logea rue Glovveester, 20. Nous ne retrouvons plus son nom nulle part après la Révolution ; il paraît certain qu’il mourut en Angleterre. (Archives du Calvados.-Mss de Reux.)
155. – Le 5 août 1757, Me Charles Louvet, greffier au bailliage de Pont-l’Evêque , y demeurant, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Gabriel-François Louvet, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente, hypothéquée sur une pièce de terre, nommée le lieu des Fondis, appartenant aud. sr Louvet et située « aux écarts de cette ville », est encore garantie par Me Jacques Cordier, contrôleur des actes des notaires de Pont-l’Evêque , y demeurant, et par Me Gabriel-Joseph Gibon de la Rue, directeur des Archives du domaine d’Auge, demeurant aussi en lad. ville. Fait et passé à Pont-l’Evêque .
226. – Le 6 févr. 1758, dispense de bans pour le mariage entre François-Jacques Béquet, originaire de St-Jacques de Lx et demeurant depuis temps de droit en celle de St-Désir, fils de feu Me Jacques Béquet, médecin, et de dame Marie Sonnet, d’une part, et dlle Marie-Anne-Marguerite-Gabrielle Regnault, fille de Me Jean-Pierre-Charles Regnault de Rousseville, avocat au bailliage d’Auge, et de dame Marie-Suzanne-Geneviève Ameline de Fréville, de la parr. de Pont-l’Evêque . Suit la dispense de parenté au 3e degré entre lesd. parties et la permission de fiancer et marier le même jour.
58. – Le 2 janv. 1759, Marie-Magdeleine Hain, Vve de Vincent-François Le Cordier, sr du Mesnil, officier chez le roy, demeurant en la parr, de St-Julien-sur-Calonne, constitue 150 livres de rente en faveur de Me Jean-François Hotot acolyte de Pont-l’Evêque , afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jacques Cordier, contrôleur des actes des notaires, et Me Nicolas-Augustin Roque, procureur en l’élection, demeurant à Pont-l’Evêque.
Mr Hotot resta prêtre habitué à Pont-l’évêque. En 1791, il refusa le serment schismatique et fut enfermé aux Carmes de Caen en 179’4. Il mourut à Pont-l’Evêque en 1803. [Liste de M. de Formigny – Ordo de Bx, année 1805).
140. – Le 10 sept. 1759, dispense de bans pour le mariage entre François- Gabriel Chauffer des Hommes, conser et procureur du roy et de Mgr le duc d’Orléans en la maitrise des Eaux-et-Forêts de la vicomte d’Auge, fils de feu Me François Chauffer, conser et procureur du roy en lad. maîtrise, et dedamlle6 Marie-Anne Du Breuil, d’une part, et noble damlle Alexandre-Cécile-Françoise de Brèvedent, fille de feu Mesre Jean-Baptiste de Brèvedent, chevalier de l’Ordre royal et militaire de St-Louis, capitaine général de la milice garde-côtes du bataillon d’Honfleur, et de feue noble dame Françoise Le Doyen, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque. Le mariage fut célébré à St-Martin-aux-Chartrains. – Les parents de la future étaient de Genneville.
180. – Le 14 nov. 1759, dispense de bans pour le mariage entre Me Georges-Jacques-Nicole Becquemont, avocat au bailliage d’Auge, fils de feu Me Jacques Becquemont, huissier en l’élection de Pont-l’Evêque, et de Françoise Legrip, de lad. parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et dlle Marie-Catherine-Elisabeth Le Roux, fille de feu Robert Le Roux et de Marie-Catherine Leloup, originaire de la parr. de Clarbec et demeurant aussi à Pont-l’Evêque depuis plusieurs années.
207. – Le 19 janv. 1760, fulmination de la dispense de parenté du 1 au 2e degré pour le mariage entre Nicolas-Guillaume-Justin Cambremer, sr de Croixmare, conser du roy, référendaire en la chancellerie du parlement de Normandie, avocat au grand Conseil, fils de feu Me Nicolas Cambremer, officier en la connétablie, et de dame Anne Thouret, de la parr. de Pont-l’Evêque , d’une part, et dame Anne-Françoise-Jeanne-Marguerite Fouet, vve en secondes noces de Me Gibriel-Louis Le Barbier, conser du roy, lieutenant général de l’amirauté de Dives, et fille de feu Mr Charles Fouet, conser et procureur du roy en l’amirauté de Dives, et de dame Anne-Angélique Cambremer, demeurant aussi en lad. parr, de Pont-l’Evèque. – Suit la dispense de bans.
165. – Le 23 janv. 1762, dispense de bans pour le mariage entre Marc-Antoine Vozaine, fils de Gilbert-Imbert Vozaine, greffier en chef et premier commissaire de police de Clermont-Ferrand, demeurant au Grand-Andelys, et de feue tlame Magdeleine Lagneau, de lad. ville de Clermont, d’une part, et dlle Anne-Charlotte-Eléonore Cordier, fille de Me Jacques Cordier, contrôleur des actes à Pont-l’Evêque , et de dame Elisabeth-Catherine-Eléonore Gilïard, de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
271. – Le 18 sept. 1762, dispense de bans pour le mariage entre Joseph Ferey, exécuteur des sentences criminelles, fils de feu François et de Gabrielle-Angélique Le Marchand, originaire de Pontaudemer et demeurant depuis plus de dix ans en la ville de la Rochelle, parr. N.-D., d’une part, et Marie-Jeanne La Caille, fille de Charles La Caille, aussi exécuteur des causes criminelles, et de Marie-Jeanne Le Marchand, originaire de la parr. de Pont-l’Evêque et y demeurant.
118. – Le 16 juillet 1763, dispense de bans pour le mariage entre Charles Hamelin, fils de Me Jacques Hamelin des Essards, docteur en médecine, et de feue dame Marguerite Train, d’une part, et damlle Françoise-Elisabeth Le Cordier, fille de feu Me François Le Cordier, maître-chirurgien, et de dame Elisabeth Osmont, tous deux de la parr. de Pont-l’Evêque .
193. – Le 20 févr. 1764, dispense de bans pour le mariage entre Mre Charles-François Fouet, seigr de Crémanville, conser du roy, auditeur en la cour des Comptes, Aides et Finances de Normandie, fils de Charles Fouet, conser et procureur du roy en l’amirauté de France pour le siège de Dives, et de feue damlle9 Anne-Angélique Cambremer, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et noble damlle Marie -Adélaïde Danican, fille de feu Mesre Jean-Baptiste-Julien Danican, marquis d’Annebaut, comte de Montfort, vicomte de Pontaudemer et Pontauthou, baron d’Aubigny et d’Annebaut-en-Auge, seigr honoraire de Brestot,Illeville, Valleville et autres lieux, conser du roy en ses conseils, maître ordinaire en sa cour des comptes de Paris, et de noble dame Claude-Charlotte de Thilly de Blaru, de la parr. St-Rochde Paris.
253. – Le 1er juin 1764, dispense de bans pour le mariage entre Louis-Charles Labbé, Escr, fils de Mesre Michel-Joseph Labbé, chevr, seigr de Druval, et de feue noble dame Marie-Barbe de Perceval, demeurant à Druval, d’une part, et noble damlle Marie-Magdeleine-Gabrielle Le Goueslier de Putot, fille de feu Mesre Antoine-Jacques Le Goueslier, sr de Montcarel, et de feue noble dame Magdeleine Le Brun, de la parr, de Pont-l’Evêque .
359- – Le 11 juin 1764, vu l’attestation du sr Besnier, curé de Pont-l’Evêque , et du sr Bosquet, vicaire de St-Sylvestre de Cormeilles, dispense de bans pour le mariage entre Mesre François-Charles de Vauquelin, Escr, sr dela Brosse, officier au régiment royal de Roussillon, fils de feu Charles de Vauquelin, Esc, sr delà Brosse, et de feue damlle Anne de Pellegars,de lad. parr. deSt-Sylvestre, d’une part, et damlle9 MarieAnne de Clinchamps, vve de Mesre Gabriel de Boisdelaville, Escr, seigr du Theil et de Boisdelaville, et fille de feu Jean-Baptiste de Clinchamps,
Escr, seigr de Trousseauville et autres lieux, et de feue damlle Marie-Hyacinthe de Boucquetot, de la parr, de Pont-l’Evêque .
285. – Le 10 sept. 1764, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Joseph-Chrysostome Le Terrier, Escr, fils de feu Mesre François-Charles Le Terrier, Escr, sr de Clermont, et de noble dame Magdeleine de Dramare, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et noble damlle9 Marie- Magdeleine de Morsent, fille de Jean-Claude de Morsent, Escr, seigr de Trousseauville, et de noble dame Marguerite Le Grix, de la parr, de Fatouville.
293. – Le 1er oct. 1764, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Anne-Jacques-Louis-Claude Dufour, Escr, sr de la Tuillerie, fils de Mesre Charles-François Dufour, Escr, et de feue noble dame Marie-Anne Loison de la Mesline, demeurant en la parr, de Silly, diocèse de Séez, d’une part, et damlle Esther-Félicité de la Rocque, fille de Mesre Pierre de la Rocque de Bernière, chevr, seigr et patron honoraire de Surville, Montfort et Brilly, conser du roy, lieutenant général civil, criminel et de police, commissaire enquêteur, examinateur au bailliage d’Auge, et de noble dame Jeanne-Esther de Hébert de Bailleul, de la parr, de Pont-l’Evêque .
5. – Le 26 nov. 1764, dispense de bans pour le mariage entre Pierre Corneille, fils de feu Jacques et de damlle Catherine Hannegué d’Ardencourt, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Marie-Magdeleine Crevel, ancien procureur au bureau des Finances de Caen, et de Magdeleine Guesdon, de la parr, de St-Jean de Caen.
114. – Le 16- mai 1765, dispense de bans pour le mariage entre Jean Daufresne, marchand, fils de feu Jean et de feue dame Marie-Anne Michault, de la parr. Ste Catherine d’Honfleur, d’une part, et dlle Catherine-Jeanne Véron de Ste Marie, fille de Me Jean-Baptiste Véron de Ste Marie, directeur des Postes à Pont-l’Evêque , et de feue dame Jeanne-Françoise Louvet, de lad. parr, de Pont-l’Evêque.
133. – Le 20 juillet 1765, dispense de bans pour le mariage entre Maurice Le Doulx, officier de la maréchaussée, fils de François Le Doulx de Glatigny , ci-devant officier de la maréchaussée, et de dame Marie-Marguerite Duchemin, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Marie-Françoise Poignant, lille de feu Pierre Poignant, de la parr, des Authieux-sur-Corbon.
146. – Le 27 août 1765, dispense de bans pour le mariage entre Jacques-Thomas-Benjamin Le Courtois, fils de Me Thomas-Charles Le Courtois, avocat en parlement, et de feue dame Marie Troussel, de la parr. de St-Michel de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Marie-Magdeleine-Elisabeth Tardif, fille de Nicolas et de feue Marie-Geneviève Delabos, de la parr, de St-Germain de Lx.
159. – Le 30 sept. 1765, dispense de bans pour le mariage entre M Jacques-Charles Louvct, procureur en l’élection de Pont-l’Evèque, fils de feu Me Charles Louvet, greffier du bailliage d’Auge, et de Catherine-Elisabeth Pellerin, d’une part, et Marie-Anne-Jacqueline Lefèvre, fille de feu M Jean-Philippe Lefèvre et d’Anne Delauney,, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
168. – Le 21 oct. 1765, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Baptiste Patin, huissier audiencier au bailliage d’Auge, fils de feu Romain, d’une part, et Marie-Françoise Alleaume, fille de feu Robert, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
297. – Le 29 juin 1766, dispense de bans pour le mariage entre Charles-Jean-Baptiste Alleaume, fils de feu Charles, d’une part, et Marie-Louise-Charlotte Rocques, fille de M6 Nicolas Rocques, procureur postulant en l’élection du Pont-l’Evêque, et de Marie-Magdeleine6Catherine Viquesnel, de là parr, de Pont-l’Evêque .
304. – Le 11 juillet 1766, dispense de bans pour le mariage entre Me Jacques Delivet, avocat, fils de Guillaume et de CatherineCécile Gannel, demeurant à Lx, parr. St-Germain, d’une part, et damlle9 Jeanne-Françoise-Elisabeth Train, fille de Louis et d’Agnès-Françoise Houssaye, de la parr. de Pont-l’Evêque.
312. – Le 21 juillet 1766, dispense de bans pour le mariage entreMe Jean-Baptiste-Louis-Michel Le Chevallier de Surlaville, avocat au bailliage d’Auge, fils de feu Antoine Le Chevallier et de feue damlle Louise Robinet, originaire de Ste Catherine d’Honfleur et demeurant à Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Marie-Jeanne-Elisabeth Duchemin, fille de feu Me Jacques-Auguste Duchemin, avocat au bailliage d’Auge, et de dlle Jeanne-Angélique Train, aussi de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
313. – Le 21 juill. 1766, dispense de bans pour le mariage entre Pierre-Joseph Isabel, fils de feu Alexandre, de la parr. de Pont-l’Evêque, d’une part, et damlle Elisabeth-Marguerite David, fille de Silvain David, Esc-, seig r de Bergirioux, et de noble dame Elisabeth Cavier, originaire de la parr, de Menain-la-Ville (Menainville) (?), diocèse de Blois, et demeurant à Pont-l’Evêque depuis plusieurs années.
319. – Le 11 août 1766, dispense de bans pour le mariage entre Charles-Adrien de Buschard, Esc, sr de Colbos, fils de Pierre-Adrien et de noble dame Marguerite-Suzanne Descalles, demeurant à Epréville-sur-Fécamp, diocèse de Rouen, d’une part, et noble damlle Thérèse-Marguerite Le Goueslier, fille de feu Mr Le Goueslier de Montcarel, conser du roy, commissaire-examinateur au bailliage d’Auge, et de noble dame Marguerite de Rivière, de la parr, de Pont-l’Evêque .
325. – Le 24 août 1766, dispense de bans pour le mariage entre René-Charles de Lannoy, chevr, chevalier de l’Ordre royal et militaire du Christ, conser du roy, président en l’élection de Pont-l’Evêque , fils de feu Me Charles de Lannoy, aussi président en la même élection, et de noble dame Marie-Anne du Chàtel, demeurant à Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Marie-Anne-Noël Le Prévost du Bouillon, fille de de Mesre Jean-Jacques-Gabriel Le Prévost, seigr et patron de St-Jean-des-Baisants, et de noble dame Marie-Catherine de Hérouard, de lad. parr, de St-Jean-des-Baisants, diocèse de Bayeux.
19. – Le 23 oct. 1766, vu l’attestation du sr Blanchemain, vicaire de Ste Croix de Cormeilles, dispense de bans pour le mariage entreJean-Baptiste Isabel, huissier en l’élection de Pont-l’Evêque , veuf de Marie-Louise Bailleul, et fils de feu Jean-Pierre, de la parr. de Pontl’Evèque, d’une part, et Marie-Louise-Claude Foret, fille de Jean-Baptiste et d’Anne-Claude Moisson, de lad. parr. de Cormeilles.
180. – Le 10 août 1767, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Pierre Lesueur, fils mineur de Me Pierre Lesueur, avocat aubailliage de Pont-l’Evêque , et de dame Françoise-Anne De Villers, demeurant à Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle6 Geneviève-Rosalie Sagot du Mont-Jean, fille de Geoffroy-Joseph Sagot du Mont-Jean,lieutenant-général civil et criminel et de police du siège de bailliage et vicomte de Gournay-en-Bray, et de Marie-Louise-Adrienne Dufour, demeurant en la parr. de Gournay.
184. – Le 31 août 1767, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Baptiste Le Grix, conser du roy et son avocat général au bailliage d’Auge, demeurant à Pont-l’Evêque , fils de feu Me GabrielLe Grix. notaire du roy, et dame Catherine Lelièvre, d’une part, et dlle Jeanne-Barbe Hauvel, fille de feu Gabriel Hauvel, négociant, et de
dame Barbe-Charlotte Piqucnot, de la parr, de St-Jacques de Lx.
315. – Le 25 nov. 1767, dispense de bans pour le mariage entreClaude-François Le Carpentier, conser du roy, maître particulier des Eaux et Forêts du bailliage d’Auge, originaire de Criqueville et demeurant à Pont-1’Evèque, fils de feu Nicolas Le Carpentier, conser du roy, lieutenant en l’élection de Pont-1’Evèque, et de dlle Anne De Laplace, d’une part, et dlle Marie-Anne-Catherine Cambremer, fille de Me Jacques Cambremer, avocat au parlement de Paris, et de feue dlle Catherine Blancard aussi de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
346. – Le 9 févr. 1768, dispense de bans pour le mariage entre François Le Cordier, demeurant à Pont-l’Evêque , fils de feu Jean-François et de Marie Gamare, demeurant aux Authieux-sur-Calonnc, d’une part, et Suzanne-Marguerite-Rose Regnault, fille de feu Jean-Pierre-Charles Regnault, avocat, et de Marie-Suzanne-Geneviève-Améline de Fréville, de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
39. – Le 10 sept. 1768, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Jacques-David Train, fils de feu Jacques-David, de la parr. dePont-1’Evèque, d’une part, et dlle Catherine-Thérèse Thillaye, fille de feu Me Jérôme Thillaye, docteur en médecine, et de dame Catherine Leloup, originaire de la parr, de St-Etienne-la-Thillaye et demeurant en lad. parr. de Pont-l’Evêque .
80. – Le 20 janv. 1769, dispense de bans pour le mariage entreMe Pierre-François Moutier, sr du Bois, avocat au bailliage d’Auge, fils de feu François et de dame Catherine Thorel, originaire de Leaupartie et demeurant ii Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Marie-Anne-Louise Vaultier, fille de feu Me Jean-Baptiste-Philippe Vaultier, sr d’Amertin (?) avocat, et de dame Marie-Anne Duval, originaire de la parr. de St-Patrice de Rouen et demeurant aussi en celle de Pont-l’Evêque .
Pont-l’Evêque (Saint Michel)
Curé. – Jn Besnier
Vicaires. – P. Bottey – David – (J.-B.) Lalouette .
Prêtres de la paroisse. – C. IsabeL -J.-M.-A. Le Houes,- – P. Le Mercier –
B. Lemonnier. – J.-E. Main.
Clercs. – G.- Jq-Ph. Hamelin – J.-F. Baraque – J.-F. Hottot – M. Le Goueslier, -Legrip – P. Le Mercier – J.-A.- F.Lemonnier – J.-B. Lemonnier – A. Le Petit,- C.-M. Le Truand – J.-G. Louvet – O.-F. Morel – F.-R. Oriot -P. Satis.
Seigneurs et notables. – G. Alleaume – C.-J.-B. Alleaume,- G. -A. Aubert -J Baudel .- G.-Jl-N. Becquemont – Jq Becquemont – J. Bicherel- N.-A. Bréard,- Jq Cambremer – N. Cnmbremer – N.-G.-J. Cambremer de Croixmare-J.-J.-M. Fond.- F. Chauffer- F. -G. Chauffer .-J.-B. de Clinchamps – M.-A. Coquet
de Genneville .- D. -A. Cordier des Granges – J.-B.-J. Cordier de Boismaison – Jq Cordier – Jq Cordier des Fontaines – Jq Corneille – P. Corneille – P. Crèps – S. David de Bergirioux – Jq-A. Duchemin – K-P. Duchemin.- J.-B. Duval – R. Duval – J.-P. Fécamp – Jh Féret – C. Fouet – -F. Fouet, – F. Gibon de la Rue – J.-G.-J. Gibon de la Rue, – A. de Goupillère – C. Hamelin. – J.q Hamelin des Essaies – L.-D. Helliot.- J.-C.Herval- A. Label – J.-J. Isabel – J.-P. Isabel, – J.-B. Isabel.-L. Bailleul .-L.-C. Féret- P.-J Isabel – M.-.I. Labbé deDruval – O.-L. Labbé de Druval – Jq Labbey du Moutiër – L.-J.-A. Labbey – C, Lacaille – C. de
Lannoy .- R.-C. de Lannoy.- J-Jh Le Bailly, -r- C.-F. Lecarpentier – E. Le Chevallier – J.-R.L.-M. Le Chevallier de Surlaville – F. Le Cordier -F. Le Cordier, fils – A.-L. Le Court de Noirval – D.-B.-F. Le Courtois – F.-C. Le Courtois – Jq-B.-T. Le Courtois -P. -T. C. Le Courtois – T.-C. Le Courtois – F. Le Doulx de Glatigny – L. Le Doulx- M. Le Doulx – J.-P. Lefèvre – M.-M.-C. Le Goueslier de Putôt .- A.-.L Le Goueslier de Montcarel .- R.-P. Legrip, – L.-F.-F -R.-P. Legrip – G. Le Grix – J.-B. Le Grix – J.-J. Lelièvre – M. -P. Leloup – Jn-P. Leloup – P. Leprevost – R. Leroux, – P. Le Sueur – J.P. Le Sueur – F.-C. Le Terrier – J.-C. Le Terrier.- T. Levasseur, – C. Loinet – Jq-C. Louvet – C.-G. Main – G. de Mannoury – O.-F. Martin – F.-J. de Mire – G. du Mesnil .-F. Moutier du Bois – P -F. Moutier du Bois – J.-B. Batin – M.-B. Pellerin de la Coudraye – Jl. Postel, fils Jq – J.-B. Queruel, – F. -J.-B. Queruel – M.-C.-A. de Quintanadoine de Betteville – J.-P.-C. Regnault de Rousseville – N.-A. Roques – F. -H. de la Roque – P. de la Roque de Bernière – Jq. du Saussey – Y. Selot – J.-P. de la Taille – N.-J.-F. Thierry – G. Thouret – Jq Train- J.-D. Train – J.-J -D. Train – J.-E. Train des Forges – L. Train – J.-P. Varin. .-L.-D. Lemoine -J.-B. Véron de Sainte-Marie.
61. – Le 28 mai 1770, dispense de bans pour le mariage entre Me Charles-Gilles-Antoine Aubert, avocat, fils de feu Gilles, de la parr. de Pont-l’Evêque , d’une part, et dlle Marguerite-Catherine-Félicité Morin des Closions, fille de Jacques-Antoine des Closions, ancien lieu- tenant d’infanterie de milice en l’île et bourg de St-Pierre de la Martinique, et de feue dame Anne Dartigues, originaire de lad. île de la Martinique et demeurant à Honfleur, parr. Ste Catherine.
163. – Le 22 juin 1770, la nomination à la cure de St-Michel de Pont-l’Evêque appartenant au chapitre de N.-D. de Cléry, les srs chanoines de lad. collégiale nomment à cette cure, vacante par la mort de Me Julien Besnier, dernier titulaire, la personne de Me Julien-François Morel, pbfë du diocèse d’Avranches, l’un des habitués de lad. Eglise de Cléry.Le 12 juillet 1770, le seigr évêque, étant au château des Loges, donne aud. sr Morel la collation dud. bénéfice en présence d’un ouvrier, charpentier et d’un terrassier. Le 11 déc. 1770, le sr Morel prend possession de la cure de Pont-l’Evêque , en présence de Me Charles Isabel ; Me Pierre-Louis Montagne ; Me Michel Letruand ; Me Jean-Etienne Main ; Me Jean-Baptiste Lemonnier, tous pbrës, demeurant en la parr, de Pont-l’Evêque ; Me Jean-François Gardin, curé de Bonneville-sur-Touques, et autres témoins. Le 30 janv. 1778, Me Julien-François Morel, pbfê, curé de Pont-l’Evêque , étant devenu malade de la vue, résigne sad. Cure avec l’autorisation des srs chanoines et chapelains de l’église collégiale de Cléry, en faveur de Me Louis Morin, pbrë, curé de N.-D. du Tanu,diocèse de Coutances.
Le 10 avril 1778, le sr Louis Morin pbrë de la ville de Lx, parr. St-Germain, présent en personne, prend possession de la cure de Pont-l’Evêque, Mr Morin refusa, le 27 févr. 1791, de prêter serment à la Constitution civile du clergé.
Il fut destitué et remplacé par J.-B. Bourrée, prêtre assermenté de la paroisse. Il resta encore à Pont-l’Evêque jusqu’au 2 juin, et puis il partit pour l’exil et se réfugia à Portsmouth. Il mourut sur la terre étrangère, à Dusseldorf, en 1795. (Archives municipales de Pont-l’Evêque. – Mss de Reux.)
75. – Le 15 sept. 1772, dispense de bans pour le mariage entre Louis-Charles Bretocq, fils de Louis Bretocq, conser du roy, élu en l’élec- tion de Pont-l’Evêque , et de dame Marie-Magdeleine Delauney, de la paîr. de Beaumont, d’une part, et dlle Marie Londe, fille de Jean-Baptiste, de la parr, de Putot.
78. – Le 22 sept. 1772, vu l’attestation du sr Lalouette, vicaire de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre Mesre CharlesFrançois Fouet de Crémanville, Escr, conseiller honoraire de la cour des Comptes, Aides et Finances de Normandie, veuf de noble dame Marie-Magdeleine Dasnières d’Annebault, fils de feu Mr Charles Fouet et de feue dame Anne-Angélique de Cambremer, demeurant aud. lieu de Pont-l’Evêque , d’une part, et dlle Magdeleine Marais, fille de Mr Nicolas Marais, négociant, et de dame Marthe Pinel, demeurant à Rouen, parr, de N.-D.-la-Ronde.
118. – Le 16 févr. 1773, dispense de bans pour le mariage entre Louis-Adrien Robillard, contrôleur ambulant des aides, demeurant à Rouen, parr. St-Cande, fils majeur de Me Jean-David Robillard, conser du roy, lieutenant particulier honoraire en la maîtrise des Eaux et Forêts de Caen, et de dame Louise-Luce Gaillard La Vallée de Glatigny, demeurant à Caen, parr. St-Pierre, d’une part, et dlle Luce-Renée Le Prévost de Miette, fille mineure de Mesre Marc-Antoine Le Prévost, Escr, seigr de Miette, et de noble dame Louise Fortin, demeurant en la parr. de Noron, diocèse de Séez, et lad. dlle demeurant à Pont-l’Evêque . Suit la dispense de l’empêchement de parenté au 3e degré existant entre lesd. parties.
205. – Le 20 juillet 1773, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Jacques-Louis-Joseph Le Court de Bellecour, lieutenant au régiment du colonel général-cavalerie, originaire de la parr, de Boissy Maugis, diocèse de Chartres, généralité d’Alençon, demeurant en la ville de Pont-l’Evêque , fils de feu Mesre Joseph-Alexandre-Vincent Le Court de Bellecour et de noble dame Catherine-Anne de Barville, d’une part, et demlle Marie-Anne-Jeanne-Charlotte Queruel, fille de feu François-Jean-Baptiste et de dame Marie-Anne Paris, ayant demeuré pendant un an en la ville d’Honfleur, parr. Ste Catherine, au couvent de bas, et demeurant actuellement en lad. parr. de Pont-1’Evèque.
368. – Le 9 août 1774, dispense de bans pour le mariage entre François-Jean-Baptiste Hamelin Bosfiquet, fils de Me Jacques Hamelin des Essarts, docteur en médecine, et de feue dame Marie-Marguerite Train, d’une part, et dlle Françoise-Jacqueline lsabel de Montviette, fille de feu Jean-Jacques lsabel de Beaulieu et de feue dame Françoise Le Normand, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
375. – Le 3 sept. 1774, dispense de bans pour le mariage entre Pierre Bordeaux, sr des Bares, Escr, demeurant à Pontallery, fils de feu Charles et de Marie Labbé, d’une part, et Françoise-Agnès Renault, fille de Jean Renault, changeur en titre des monnayes, et de Françoise Satis, de la parr, de Pont-l’Evêque .
30. – Le 23 janv. 1775, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Baptiste-Philippe-Nicolas-Réné Laumosnier, a Me ès-arts de la faculté de Paris et en chirurgie, de la ville de Lx, y demeurant parr. St-Germain, » fils de feu Philippe et de Marie Desclos, d’une part, et dIle Marie-Anne-Sainte Thouret, fille de Me Guillaume Thouret, ancien notaire royal a Pont-1’Evèque, et de feue Marie-Sainte Domin, de lad. parr, de Pont-l’Evêque .102. – Le 9 mai 1775, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Jacques-Philippe-Louis-Charles-François Isabel d’Ecots, avocat, fils de feu Jean-Jacques Isabel de Beaulieu, et de Françoise Le Normand, de la parr. de Pont-l’Evêque , d’une part, et dlle Marie-Anne de Launey, fille de Jean et de Marie-Anne Durand, de la parr, de Launey-sur-Calonne.
131. – Le 23 oct. 1775, dispense de bans pour le mariage entre Me Nicolas-Augustin Bréard, homme veuf, greffier en la maitrise des Eaux et forêts de Pont-l’Evêque , y demeurant, d’une part, et dlle Catherine-Elisabeth Querruel, fille de feu Jean-Baptiste et d’Anne Le Cordier, aussi de lad. ville de Pont-l’Evêque. Suit la dispense de l’empêchement d’affinité, au 2e degré, obtenue en cour de Rome par les parties.
134. – Le 30 janv. 1778, Me Julien-François Morel, pbfê, curé de Pont-l’Evêque , étant devenu malade de la vue, résigne sad. Cure avec l’autorisation des srs chanoines et chapelains de l’église collégiale de Cléry, en faveur de Me Louis Morin, pbrë, curé de N.-D. du Tanu, diocèse de Coutances, demeurant actuellement à Caen, parr. St-Jean ; et led. sr Morin, représenté par son oncle, Me François Morin, pbfê, bachelier de Sorbonne, titulaire de la chapelle N.-D., lre portion, en la Cathédrale de Lx, demeurant parr. St-Jacques, résigne aussi sa cure du Tanu en faveur dud. sr Morel, le tout pour cause de mutuelle permutation. Fait et passé à Lx, en présence de Me Jacques Coquerel, pbrë habitué en l’église St-Germain de Lx, et autres témoins. Le lendemain, le seig évêque donne aud. sr Louis Morin la collation dud. bénéfice de Pont-l’Evêque . Le 10 avril 1778, le sr Louis Morin pbrë de la ville de Lx, parr. St-Germain, présent en personne, prend possession de la cure de Pont-l’Evêque, en présence de Mes Charles Isabel, Pierre-Louis Montaye ; Etienne-Philippe Buisson ; Jean-Baptiste Le Monnier et Jean-Auguste-François Le Monnier, frères ; Jean-François Hotot, tous pbfês dud. lieu; Me Jean-Baptiste-Ursin Querrey, pbrë, chapelain du couvent de Pont-l’Evêque ; Me Claude Bunel, vicaire de la parr. ; Me Nicolas Lefèvre, pbrë, curé de Branville.
Mr Morin refusa, le 27 févr. 1791, de prêter serment à la Constitution civile du clergé. Il fut destitué et remplacé par J.-B. Bourrée, prêtre assermenté de la paroisse. Il resta encore à Pont-l’Evêque jusqu’au 2 juin, et puis il partit pour l’exil et se réfugia à Portsmouth. Il mourut sur la terre étrangère, à Dusseldorf, en 1795. (Archives municipales de Pont-l’Evêque. – Mss de Reux.)
193. – Le 1er juin 1778, dispense de bans pour le mariage entre Me Jacques Daufresne, avocat, fils de Me Jacques-Louis Daufresne, notaire à Lx, et de dame Marie-Anne De la Rue, demeurant à Pont-l’Evêque depuis temps de droit, d’une part, et dlle Louise-Catherine-Thérèse Le Chevalier, originaire de lad. parr, de Pont-l’Evêque et y demeurant, fille de Hugues-Etienne-Charles Le Chevalier et de feue dame Catherine-Thérèse Le Roux.
198. -Le 18déc. 1762, Jean-Baptiste Manson, fils d’Adrien et de Marie-Magdeleine Jolly, de la parr, de Pont-l’Evêque , reçoit la tonsure à Lx. Le 11 mars 1769, il est ordonné prêtre.
370. – Le 15 mars 1779, dispense de ban« pour le mariage entre Charles-Félix Troussel, demeurant en la ville de Magny-en-Vexin, diocèse de Rouen, fils de Me Jacques Troussel et de dame Jeanne-Françoise Osmont, de la parr, de Pont-l’Evêque ‘ d’une part, et dlle Charlotte-Antoinette-Germaine de Coursy, fille mineure-de feu Me Louis-Charles Germain de Coursy, avocat, et de dame Charlotte-Ignace Guillemin Duval de St-Eugène, de lad. parr, de Magny.
61. – Le 28 mai 1770, dispense de bans pour le mariage entre Me Charles-Gilles-Antoine Aubert, avocat, fils de feu Gilles, de la parr. de Pont-l’Evêque , d’une part, et dlle Marguerite-Catherine-Félicité Morin des Closions, fille de Jacques-Antoine des Closions, ancien lieutenant d’infanterie de milice en l’île et bourg de St-Pierre de la Martinique, et de feue dame Anne Dartigues, originaire de lad. île de la Martinique et demeurant à Honfleur, parr. Ste Catherine.
163. – Le 22 juin 1770, la nomination à la cure de St-Michel de Pont-l’Evêque appartenant au chapitre de N.-D. de Cléry, les srs chanoines de lad. collégiale nomment à cette cure, vacante par la mort de Me Julien Besnier, dernier titulaire, la personne de Me Julien-François Morel, pbfë du diocèse d’Avranches, l’un des habitués de lad. Eglise de Cléry.
Le 12 juillet 1770, le seigr évèque, étant au château des Loges, donne aud. sr Morel la collation dud. bénéfice en présence d’un ouvrier, charpentier et d’un terrassier. Le 11 déc. 1770, le sr Morel prend possession de la cure de Pontl’ Evoque, en présence de Me Charles Isabel ; Me Pierre-Louis Montagne ; Me Michel Letruand ; Me Jean-Etienne Main ; Me Jean-Baptiste Lemonnier, tous pbrës, demeurant en la parr, de Pont-l’Evêque ; Me Jean-François Gardin, curé de Bonneville-sur-Touques, et autres témoins.
246. – Le 17 mai 1771, dispense de bans pour le mariage entre Me Pierre-François Lefebvre, sr des Mares, inspecteur des droits et insinuations laïques de l’apanage dans l’étendue du bailliage et du vicomte d’Auge, fils de feu Jean-Baptiste Lefebvre, bourgeois de Lx, et de dame Marguerite Buisson, originaire de la pari, de St-Germain de Lx et demeurant à Pont-1’Evôque d’une part, et dlle Marie-Louise – Reine Dinet, fille de feu Me Louis Dinet, receveur général des Aides à Pont-l’Evêque , et de dame Catherine Dupuis, de lad. ville de Pont-l’Évêque.
78. – Le 22 sept. 1772, vu l’attestation du sr Lalouette, vicaire de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre Mesre Charles-François Fouet de Crémanville, Escr, conseiller honoraire de la cour des Comptes, Aides et Finances de Normandie, veuf de noble dame Marie-Magdeleine Dasnières d’Annebault, fils de feu Mr Charles Fouet et de feue dame Anne-Angélique de Cambremer, demeurant aud. lieu de Pont-l’Evêque , d’une part, et dlle Magdeleine Marais, fille de Mr Nicolas Marais, négociant, et de dame Marthe Pinel, demeurant à Rouen, parr, de N.-D.-la-Ronde.
108. – Le 11 janv. 1773, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean Thiron, procureur, fils de feu Simon et de feue Françoise Dorléans, demeurant à Pontaudemer, parr. St-Ouen, d’une part, et dlle Jeanne-Charlotte-Catherine Paris, fille de feu François et de dame Jeanne-Charlotte-Catherine Morin, originaire de la parr. de St-Jacques de Lx et demeurant à Pont-l’Evêque .
118. – Le 16 févr. 1773, dispense de bans pour le mariage entre Louis-Adrien Robillard, contrôleur ambulant des aides, demeurant à Rouen, parr. St-Cande, fils majeur de Me Jean-David Robillard, conser du roy, lieutenant particulier honoraire en la maîtrise des Eaux et Forêts de Caen, et de dame Louise-Luce Gaillard La Vallée de Glatigny, demeurant à Caen, parr. St-Pierre, d’une part, et dlle Luce-Renée Le Prévost de Miette, fille mineure de Mesre Marc-Antoine Le Prévost, Escr, seigr de Miette, et de noble dame Louise Fortin, demeurant en la parr. de Noron, diocèse de Séez, et lad. dlle demeurant à Pont-l’Evêque . Suit la dispense de l’empêchement de parenté au 3e degré existant entre lesd. parties.
205. – Le 20 juillet 1773, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Jacques-Louis-Joseph Le Court de Bellecour, lieutenant au régiment du colonel général-cavalerie, originaire de la parr, de Boissy Maugis, diocèse de Chartres, généralité d’Alençon, demeurant en la ville de Pont-l’Evêque , fils de feu Mesre Joseph-Alexandre-Vincent Le Court de Bellecour et de noble dame Catherine-Anne de Barville, d’une part, et demlle Marie-Anne-Jeanne-Charlotte Queruel, fille de feu François-Jean-Baptiste et de dame Marie-Anne Paris, ayant demeuré pendant un an en la ville d’Honfleur, parr. Ste Catherine, au couvent de bas, et demeurant actuellement en lad. parr. de Pont-1’Evèque.
368. – Le 9 août 1774, dispense de bans pour le mariage entre François-Jean-Baptiste Hamelin Bosfiquet, fils de Me Jacques Hamelin des Essarts, docteur en médecine, et de feue dame Marie-Marguerite Train, d’une part, et dlle Françoise-Jacqueline lsabel de Montviette, fille de feu Jean-Jacques lsabel de Beaulieu et de feue dame Françoise Le Normand, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
375. – Le 3 sept. 1774, dispense de bans pour le mariage entre Pierre Bordeaux, sr des Bares, Escr, demeurant à Pontallery, fils de feu Charles et de Marie Labbé, d’une part, et Françoise-Agnès Renault, fille de Jean Renault, changeur en titre des monnayes, et de Françoise Satis, de la parr, de Pont-l’Evêque .
30. – Le 23 janv. 1775, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Baptiste-Philippe-Nicolas-Réné Laumosnier, a Me ès-arts de la faculté de Paris et en chirurgie, de la ville de Lx, y demeurant parr. St-Germain, » fils de feu Philippe et de Marie Desclos, d’une part, et dIle Marie-Anne-Sainte Thouret, fille de Me Guillaume Thouret, ancien notaire royal a Pont-1’Evèque, et de feue Marie-Sainte Domin, de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
102. – Le 9 mai 1775, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Jacques-Philippe-Louis-Charles-François Isabel d’Ecots, avocat, fils de feu Jean-Jacques Isabel de Beaulieu, et de Françoise Le Normand, de la parr. de Pont-l’Evêque, d’une part, et dlle Marie-Anne de Launey, fille de Jean et de Marie-Anne Durand, de la parr, de Launey-sur-Calonne.
131. – Le 23 oct. 1775, dispense de bans pour le mariage entre Me Nicolas-Augustin Bréard, homme veuf, greffier en la maitrise des Eaux et forêts de Pont-l’Evêque , y demeurant, d’une part, et dlle Catherine-Elisabeth Querruel, fille de feu Jean-Baptiste et d’Anne Le Cordier, aussi de lad. ville de Pont-l’Evêque. Suit la dispense de l’empêchement d’affinité, au 2e degré, obtenue en cour de Rome par les parties.
193. – Le 1er juin 1778, dispense de bans pour le mariage entre M9 Jacques Daufresne, avocat, fils de Me Jacques-Louis Daufresne, notaire à Lx, et de dame Marie-Anne De la Rue, demeurant à Pon-tl’Evêque depuis temps de droit, d’une part, et dlle Louise-Catherine-Thérèse Le Chevalier, originaire de lad. parr, de Pont-l’Evêque et y demeurant, fille de Hugues-Etienne-Charles Le Chevalier et de feue dame Catherine-Thérèse Le Roux.
198. -Le 18déc. 1762, Jean-Baptiste Manson, fils d’Adrien et de Marie-Magdeleine Jolly, de la parr, de Pont-l’Evêque , reçoit la tonsure à Lx. Le 11 mars 1769, il est ordonné prêtre.
370. – Le 15 mars 1779, dispense de ban« pour le mariage entre Charles-Félix Troussel, demeurant en la ville de Magny-en-Vexin, diocèse de Rouen, fils de Me Jacques Troussel et de dame Jeanne-Françoise Osmont, de la parr, de Pont1’Evêque d’une part, et dlle Charlotte-Antoinette-Germaine de Coursy, fille mineure-de feu Me Louis-Charles-Germain de Coursy, avocat, et de dame Charlotte-Ignace Guillemin Duval de St-Eugène, de lad. parr, de Magny.
19. – Le 25 juin 1779, Mr Guillaume Labbé, procureur en l’élec- tion de Pont-l’Evêque , et le sr Antoine Labbé des Fontaines, frères, demeurant en lad. ville, constituent 150 livres de rente en faveur de Me Jean-Pierre-Antoine Labbé (1), acolyte, fils dud. Antoine, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Etienne-Philippe Buisson, pbrê, demeurant à Pont-l’Evêque, et autres cautions. Fait et passé en l’étude de Me Jean-Pierre Varin, notaire à Pont-l’Evêque .
(1) Mr J.-P.-A. Labbé, frère aîné de M. Nicolas-Dominique Labbé, était vicaire de Pont-l’Evêque en 1791. Ils refusèrent tous deux le serment constitutionnel et partirent l’année suivante pour l’Angleterre. Ils se logèrent ensemble à Gosport chez M. James Abraham, vis-à-vis le Temple de Stok. Ils revinrent en France le 18 mai 1802. L’aîné reprit ses fonctions de vicaire à Pont-l’Evêque et y mourut en 1826, à l’âge de 71 ans. (Archives du Calvados. – Mss de Reux. – Ordo de Bx. – Revue Cath. de Normandie. Juillet 1892.)
94. – Le 1er mai 1780, dispense de bans pour le mariage entre Me Luc-Pierre Oger, chirurgien, fils de feu Pierre et de feue Marie Oger, originaire de la parr. de Tribehou, diocèse de Coutances, et demeurant à Pont-l’Evêque depuis plusieurs mois, d’une part, et dame Marie-Angélique-Catherine Longmar, Vve du sr François Gardin, et fille de feu Charles, originaire de la parr. de St-Denis d’Héricourt, diocèse de Rouen, et demeurant aussi à Pont-l’Evêque depuis plusieurs années.
111. – Le 12 juin 1780 dispense de bans pour le mariage entre Me Pierre-Nicolas Boessey, avocat, fils de Nicolas et de Marie-Catherine-Thérèse Hébert, demeurant à Pont-l’Evêque, d’une part, et demlle Marie-Marguerite-Françoise Thorel de la Trouplinière, fille de David et de feue Marie-Françoise Le Rat, de la parr de St-Jacques de Lx.
37. – Le 23 oct 1780, Robert Alleaurae, laboureur, demeurant à Valsemey, constitue 150 livres de rente en faveur de Me Nicolas- Pierre-François Lecompte, acolyte de Pont-l’Evêque, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Guillaume Thouret, ancien notaire en lad. ville de Pont-l’Evêque , et par Me Jacques-Charles Louvet, procureur en l’élection de Pont-l’Evêque , y demeurant l’un et l’autre. Fait et passé en lad. ville, en l’étude de Me Jean-Pierre Varin, notaire.
133. – Le 10 sept. 1781, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Pierre-Philippe-Gilles-Alexandre de la Roque de Bernière, demeurant à Pont-l’Evêque , fils de feu M. Pierre de la Roque de Bernière, Escr, conser du roy, lieutenant-général au bailliage d’Auge, et de noble dame i Jeanne-Esther Hébert de Bailleul , demeurant en sa terre des Barreaux, parr, de Tourgéville, d’une part, et noble demlle Charlotte-Félicité de Brèvedent, fille de Mes Jean-Baptiste-Esprit de Brèvedent et de noble dame Marie-Anne de Mannoury, de la parr. d’Ablon.
165. – Le 21 janv. 1782, dispense de bans pour le mariage entre Me Gabriel-François Quesnel, avocat, fils de feu François et de feue Catherine Neuville, originaire de la ville de Bernay et demeurant en celle de Pont-l’Evêque , d’une part, et dlle Marie-Françoise-Charlotte Le Doux de Glatigny, fille de feu François et de Marie-Marguerite Duchemin, de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
51 . – Le 18 mars 1783, Pierre Fossé, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de Me Pierre-César Varin , acolyte de lad. ville, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Nicolas-Jean-François Thierry, apothicaire, demeurant aussi à Pont-l’Evêque , et par le sr Pierre Thiéry, marchand, demeurant à Repentigny.
M Varin était vicaire d’Auvillars en 1791. Il ne voulut prêter serment qu’avec restriction et fut destitué. Il émigra en 1792 et se retira à Portsmouth chez James Moore, rue du Port. Après la Révolution il revint à Pont-l’Evêque où il resta en qualité de prêtre habitué. Il y mourut en 1816. (Archives du Calvados. – Mss de Reux. – Ordo de Bx.)
134. – Le 2 sept. 1783, dispense de bans pour le mariage entre Me Joseph-François-Guillaume Baudel, receveur des domaines duroy, fils de Guillaume-Antoine et d’Anne Bunel, originaire de la parr de Pont-l’Evêque et demeurant en la ville de Gournay-en-Bray, parr.N.-D., diocèse de Rouen, d’une part, et dem1Ie Marie- Catherine RousselLe Pré, fille de feu Jacques et de Catherine Jourdain, de la parr, de Launay.
143. – Le 13 oct. 1783, dispense de bans pour le mariage entre Messe Félix-Hippolyte de la Roque de Bernière, chevr, seigr de Brilly, capitaine de dragons, lieutenant général au bailliage d’Auge, fils de feu Mesre Pierre de la Roque de Bernière et de noble dame Jeanne-Esther de Habert de Bayeul, de la parr, de St-Michel de Pont-l’Evêque , d’une part, et noble demlle Louise-Elisabeth Marquiez fille de Mes16 Gabriel-Pierre Marquier, chevr, seigr de Villons et autres lieux, et de feue noble dame Marie-Adélaïde d’Aché, de là parr, de Bray-la-Campagne, diocèse de Bayeux.
167. – Le 17 févr. 1784, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Isidore-Agapit Pellecat, fils mineur de Me François-Marie Pellecat, greffier au bailliage, et de Marie Le Manicher d’une part, et Marie-Magdeleine Hubert, fille mineure de Louis-Elie, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
307.- Le 23 mai 1784, dispense de bans pour le mariage entre Me Louis-Alexandre Héron, avocat, conser du roy, conseiller au grenier à sel de Danestal, fils de feu Jean-Baptiste et de dame Anne Harel, originaire de la parr, de Glanville et demeurant à Pont-l’Evêque depuis temps de droit, d’une part, et demlle Marie-Magdeleine Duquesney, fils de Louis et de dame Marie Jonquet, originaire de Bonneville-la-Louvet et demeurant aussi à Pont-l’Evêque.
83. – Le 19 août 1785, dispense de bans le mariage entre M. Victor-Guillaume-Michel du Nepveu, avocat au parlement de Normandie, fils de M. Michel-Guillaume et de feue dame Emélie-Annonciade-Victorienne Delauney, de la parr, de Ste Catherine d’Honneur et demeurant depuis temps de droit en celle de Pont-l’Evêque , d’une part, et demlle Marie-Josèphe-Louise-Dorothée Helliot, fille de M. Louis- Jean, de la parr, de Pont-l’Evêque .
177. – Le 15 avril 1786, furent ordonnés sous-diacres : Me Jacques-Luc Martin, acolyte de la parr, de Pont-l’Evêque .
Le 6 avril 1787. – Vendredi-Saint, après midi. – Reçurent la tonsure dans la chapelle de l’évêché : Nicolas-Dominique Labbé, fils d’Antoine et d’Anne Le Blond, de la parr, de Pont-l’Evêque ; Guillaume-Léonor Pelcat, fils de François et de Marie Manicher, de la parf. de Pont-l’Evêque .
103. – Le 6 avril 1786, reçurent les ordres mineurs : Jean-Baptiste Bourée (1), clerc de la parr, de Pont-l’Evêque . Le 21 févr. 1788, Jean-Pierre Joly, marchand, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de Me Jean-Baptiste Bourrée, acolyte de lad. parr., afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Jacques-Guillaume Le Court (2), Escr, sr et abbé de Presle, acolyte, et par Me Jean-Baptiste Isabel, huissier, tous deux demeurant à Pont-1’Evôque. Fait et passé en l’étude de Me Varin, notaire aud. lieu. Led. sr acolyte absent fut représenté dans cet acte par le sr François Bourrée, demeurant à Pont-1’Evcque.
(1) Mr Bourrée était prêtre habitué à Ponl-l’Evêque en 1791. Il parait avoir été fort populaire dans sa ville natale. Il prêta serment à la Constitution civile du clergé et fut élu curé constitutionnel de cette paroisse. Les registres de la municipalité nous le montrent siégeant tout le temps de la Révolution au conseil de la commune. Au mois d’août 1793, quand on célébra la Tête de la Fédération, il chanta solennellement la messe au pied de l’arbre de la Liberté sur l’autel de la Patrie et renouvela plusieurs fois cette cérémonie aux grandes fêles de la Révolution. Il se maria le 3 déc. 1793, et sa postérité ne s’est éteinte qu’en 1874. Il fut nommé sous l’Empire juge de paix à Abbeville (Somme). (Archives municipales de – .)
(2) ) Mr J.-G. Le Court de Presle, né à Brest, paraît être resté toute sa vie dans les ordres mineUrs. Il mourut a Pont-L’évêque en 1796, â l’âge de 76 ans. (Note de Me Le Court,notaire honoraire à Deauville.)
153. – Le 22 décembre 1788, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Baptiste-Augustin Taillefesse, fils de feu Nicolas-Rémy et de Françoise Bance, originaire de la parr, de parr, de St-Méry-en-Bray et demeurant à Pont-l’Evêque , d’une part, et dell Marie-Anne-Angélique Selot, fille de Me Yves-Richard Selot, avocat, et de dame Marie-Magdeleine Duval, de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
30. – Le 7 mars 1789, Nicolas-Dominique Labbey, clerc de la parr, de Pont-1’Evèque, reçoit les ordres mineurs.
Mr N.-D. Labbey était, en 1791, prêtre habitué à Pont-l’Evêque depuis son ordination. Ayant refusé le serment il put desservir encore pendant quelque temps la paroisse de Launay dont le curé mourut celle même année. Mais il lui fallut partir pour l’exil. Il se réfugia en Angleterre avec son frère et ils logèrent ensemble à Gosporl chez James Abraham, vis-à-vis le temple de Fock. M N. D. Labbey ne revint qu’au mois de mai 1802. Il remplit les fonctions de vicaire dans sa ville natale tant que ses forces le lui permirent. Il mourut à Pont-l’Evêque en 1812. (Archives municipales de Pont-1’Eveque. ( Revue catholique de Normandie. 1892. – Mss de Reux. – Ordo de Bx.)
121 . – Le 21 août 1790, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Philippe Hervier, chirurgien, fils de Philippe et de Marie-Rose Mariolle, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et Marie-Marguerite Lecoq, fille de feu Jean-Pierre-Robert et de feue Catherine Leprieur, originaire de la parr. de St-Maclou de Rouen et demeurant en celle de Manneville-la-Pipard.
Curés. – J. Besnier – J.-K. Morel – L. Morin.
Vicaires. – J. B. Lalouette – N. Duhamel – C. Bunel.
Prêtres de la paroisse.- E.-Ph. Buisson .- J.-F. Hotot – C. Isabel – M. Isabel – P. Lemercier – J.-A.-F. Le Monnier – J.-B. Le Monnier -M. L Truand. – J.- v . Main – P L. Montage – J -B -U. Querrey – C.-Ph.Tallon – J -B. Bourrée – P. A.-F. Fossey – J.-P.-A. Labbe – Jq-G. Le Court – J.-B. Manson – J.-L. Martin – G.-L. Pelcat – L -J B. de Pellegar – P.-C. Varin.
Patron. – Le chapitre de Clécy.
Seigneurs et notables . – Jn -A. Adam – A. L.-.I Adam – C-G.-A. Aubert – G. -A. Baudel – J-F.G. Baudet, – P. Bivol – A. Boessey,- P. N Boessey – N. A. Breard – L. Bunel – F.-G. Chauffer des Homme – J.Jh Collet Valdamepierre – Jq. Daufresne, – F.Delataille – L. Dinet, -Jq F.-C. Dubois d’Auberville – C. Fouet – C.-F. Fouet – F.-.l.-B. Hamcha (?) de Bosfiquet, – Jq Hamelin des Essart – Jq Hamelin des Essart fils – L -D. Helliot ( ?), – L.-A. Héron – P. Mér ull de Beauval – J.-C. Herval .- Ph. Hervieu -.-Jq.C-de la Houssaye – J. J Isabel de Beaulieu – J.-J.-P.-L. O. Isabel d’Ecots- G. Labbé, – A. Labbé des Fontaines – Jq Labbé du Moutier.- Jn -P. Labbé de Saint-Vaast-U.E.-C.Le Chevalier- Jq-L-Jh Le Court de Boslecourt et non Bellecourt -F. Le Doux de Glatigny, – P. F. Lefebvre des Marcs,-J. -P. Lesieur – M. A.-C. Longmar -J.-C. Louvet – E. Maisnel – G. de Mannoury – J.-B. -G. de Mannoury – L.-E. Marquier de Villons – V.-G.-M. du Nepveu – L.-P. Oger – J.-B. Patin – F.-M Pellecat – J I.-A. Pellecat – L.-C. Poupart – P. Poupart – F.-J.-B. Querruel – G. -F. Quesnel, – Jn Renault – Jq-C. Renault – F. -H. de la Roque de Berniere – P. de la Roque de Bernière, – P.-Ph.-G.-A. de la Roque de Bernière – Y.-R. Selot – J.-B.-A. Taillefesse – N.-J. Thierry – G. Thouret – L.-G. Train – C.-F. Troussel – Jq Troussel – J.-P. Varin – J.-B. Véron – J. B.-F. Véron de Sainte-Marie – Jn Yver.
Religieuses dominicaines. -Directeur.-C -Ph. Talion.
31. -.- Le 27 févr. 1693, dispense de bans pour le mariage entre Jacques Le Prévost, Esc.-, sr de Miette, l’un des deux cents chevau-légers de la garde de sa Majesté, fils de Robert Le Prévost, Escr, sr de Pontpré, et de damlle Julienne de Robert, de la parr, de Néron, diocèse de séez, d’une part, et damlle Jeanneviefve-Marie Le Douet, fille de feu Me Jean Le Douet, vivant sr des Isles, lieutenant général de Mr le vicomte d’Aulge, et de damlle Madeleine Desperiers, de la parr, de Pont-l’Evêque. – suit la dispense de temps, à cause du carême. accordée à condition qu’il n’y aura ni noces ni assemblée.
115. – Le 20 sept. 1692, lurent ordonnés sous-diacres : Jacques Bicherel, acolyte de Pont-l’Evêque. Ordonnés diacres le 21 mars 1693. Ordonnés Prêtres le 19 sept.1693
140. – Le 8 nov. 1694, vu l’attestation du sr du Rancher, curé de Pont-l’Evêque. et du sr de Coursy, curé de Tourville, dispense de bans pour le mariage entre François de Pelegars, Escr, sr du « Mirouer » (Miroir), fils d’Etienne de Pelegars, Escr, sr delà Rivière, et de damlle Marie-Esther Aparoc, de la parr, de Tourville, d’une part, et Catherine de Lannoy, fille de François et de Marie Geffray, de la parr. St-Michel de Pont-1’Evèque.
120. – Le 3 mars 1690, dispense de parenté au 2e degré pour le mariage entre Antoine Bougard, Escr, sr des Parcs, chevalier de l’ordre royal et militaire de st-Louis, major du régiment des Vaisseaux, demeurant à Pont-l’Evêque, et damlle Magdeleine Bougard, demeurant aussi à Pont-l’Evêque.
218. – Le 11 juin 1696, dispense de bans pour le mariage entre M’ Pierre Hamon, avocat, fils de feu Me Pierre Hamon, aussi avocat, et de damlle Marie Thiron, demeurant à Pont-l’Evêque, d’une part, et damlle Marie-Jeanne-Marguerite Hardy, fille de Me Mathurin Hardy, conser du roi cy-devant receveur des tailles de l’élection de Pont-l’Evêque, et de damlle Jeanne de Bréban, demeurant aussi aud. lieu.
500. – Le 17 sept. 1698, furent autorisés à recevoir à Evreux la tonsure et les ordres mineurs : Antoine Loysel, fils d’Antoine et de Jeanne Delabarre, de la parr, de Pont-l’Evêque.
449. – Le 29 mars 1698, Louis Quesnel, fils de Nicolas et de Suzanne Hébert, de la parr. de Pont-l’Evêque, reçoit la tonsure et les ordres mineurs.)
Le 7 sept. 1698, suzanne Hébert, Vve de Nicolas Quesnel, sr de là Londe, demeurant à Pont-l’Evêque, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Louis Quesnel, acolyte, licencié-ès-lois, afin qu’il puisse .parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Pierre De la Taille, marchand, fils David, demeurant à Pierrefitte, et Guillaume Frémont, sr des Vallées, bourgeois, demeurant à Honfleur. Le 17 sept. 1698, furent autorisés à recevoir le sous-diaconat à Evreux : Louis Quesnel, acolyte de st-Michel de Pont-l’Evêque. Ordonnés diacres le 19 sept. 1699.
21 . – Le 20 févr. 1699, vu l’attestation du sr de Rancher, curé de Pont-l’Evêque et du sr de Gémare, curé de Pierrefitte, dispense de bans pour le mariage entre Joachim de Hébert, Escr sr de Bailleul, fils de N ….. de Hébert et de dame Antoinette Crévin, de la parr, de Pont-l’Evêque, d’une part, et damlle Madeleine-Thérèse Poutrain, fille de Mesre Jacques Poutrain, Esc.-, conser du roy, grand-maître des Eaux et Forêts en la vicomte d’Auge, et de damlle Marie-Madeleine Drubec, de la parr, de Pierrefitte.
163 – Le 12 sept. 1699, vu l’attestation du sr de Rancher, curé de Pont-1′ Evoque, et du sr Hellouin, curé de st-Ouen de Pontaudemer, dispense de bans pour le mariage entre M Louis Leroy, conser du roy, lieutenant-particulier civil et criminel de M. le bailly de Rouen au siège de Pontaudemer, fils de Me Louis Leroy, conser du roy et son procureur au grenier à sel dud. lieu, et de dam1Ie Marie Duval, de lad. parr. De Pontaudemer, d’une part, et damlle Anne Collet, fille de Me Philippe Collet, conser du roy, intendant de s. A. R. Monsieur, frère unique du roy, pour la vicomte d’Auge, et de dlle Anne Le Cordier, de là parr. De Pont-l’Evêque.
301 . – Le 24 déc. 1701, Me Jean de Lannoy, conseiller du roy en la vicomte d’Auge, et damlle Anne Lebarbier, son épouse, demeurant au Pont-l’Evêque, ayant découvert qu’ils ont contracté ensemble mariage sans savoir qu’ils étaient parents au 4e degré, obtiennent du St Père sentence de réhabilitation de leur mariage.
646. – Le 8 février 1703, vu l’attestation du sr de Lannoy, vicaire de Pont- 1’Evêque, dispense de bans pour le mariage entre M8 Jean-Pierre Regnault, conser du roy, maître des Eaux et Forêts du vicomte d’Auge, lieutenant civil et criminel en l’élection de Pont-l’Evêque, fils de Pierre Regnault et de damlle Marie de Grieu, de lad. parr, de Pont-l’Evêque, d’une part, et damlle6 Anne-Charlotte Béquet, fille de M. François, avocat fiscal à Lx, et de damlle6 Charlotte Leroy, de la parr, de st-Désir de Lx.
814. – Le 9 juillet 1703, vu l’attestation du sr Hellouin, curé de st-Ouen de Pontaudemer, et du sr Rancher, curé de Pont-l’Evêque, dispense de bans pour le mariage entre Me Robert d’Epaigne, conser du roy au bailliage et vicomte de Pontaudemer, fils de Me Philippe d’Epaigne, avocat, et de damlle Catherine de la Verge, de lad. parr. de st-Ouen, d’une part, et damlle Marie-Anne Collet, fille de feu Me Philippe Collet, avocat à la cour, et de damlle Anne Lecordier, de la parr. de Pont-l’Evêque.
855. – Le 27 juillet 1703, Guillaume Lechevalier, bourgeois, demeurant à Pont-l’Evêque, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Philippe Lechevalier, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés.
183. Le 18 mars 1704, Me Louis Quesnel deLalonde, pbrë, demeurant à Pont-l’Evêque, bachelier en droit, et Me ès-arts. en l’Université de Caen, fait réitérer ses noms et grades au seigr évêque de Lx, doyen de st-Cande-le-Vieil, au Chapitre dud. Lx, aux religieux de st-Pierre de Préaux, de Grestain, de Beaumont-en-Auge et aux religieuses de st-Désir de Lx et de st-Léger de Préaux.
586. – Le 8 août 1705, vu l’attestation du sr de Rancher, curé de Pont-l’Evêque, et du sr Bouet, vicaire de st-Hymer, dispense de bans pour le mariage entre François-Charles Le Terrier, Esc’, fils de Charles Le Terrier, Esc.-, et de noble dame Catherine Bosnel (?), demeurant à Pont-l’Evêque, d’une part, et damlle Marie-Madeleine deDramard, fille de feu Robert de Dramard, Escr , et de noble dame Charlotte de la Rose, de la parr, de st-Hymer.
61. – Le 30 mars 1706, vu l’attestation du sr de Rancher, curé de Pont-l’Evêque, dispense de bans pour le mariage entre Jacques Pierre De la Taille, fils de Pierre et de Jeanne Dieusy, d’une part et Jacqueline Du Neveu, fille de Pierre et d’Antoine Duclos, tous deux de lad. parr. de Pont-l’Evêque.
121 . – Le 2 avril 1706, Guillaume Fromage, fils de Pierre et de Françoise Huchon, delà par de St-Michel de Pont-l’Evêque, reçoit la tonsure et les ordres mineurs.
150. – Le 11 sept. 1706, dispense de parenté au 4e degré pour le mariage entre Me Gabriel Gamare, conser duroy et président en l’élection de Pont-l’Evêque, et damlle Marie-Jeanne Haguelon.
194. – Le 10 nov. 1706, vu l’attestation du sr de Lannoy, vicaire de Pont-l’Evêque, dispense de bans pour le mariage entre Me Gabriel Gamare, conser du roy, président en l’élection de Pont-l’Evêque, fils de feu Me Robert Gamare, avocat, et de damlle Marie de Bordeaux, d’une part, et damlle Marie-Jeanne Haguelon, fille de feu Me Jean, vivant conser du roy, élu, garde-scel en lad. élection, et de damlle Marie-Madeleine de Lannoy, d’autre part, tous deux de Pont-l’Evêque.
338. – Le 16 juin 1707, vu l’ attestation du sr de Lannoy, vicaire de Pont-l’Evêque, dispense de bans pour le mariage entre Robert Louvel, sr de Repinville, fils de feu François Louvel, sr de Repinville, et de dame Marie du Mesnil-Germain, de la parr. St-Etienne-la Grande-Eglise de Rouen, d’une part, et damlle Marie-Catherine Haguelon, fille de feu Mre Jean Haguelon, conser du roy, élu en l’élection du Pont-1’Evèque, et de damlle Catherine de Lannoy, de la parr, de St-Michel de Pont-l’Evêque.
359. – Le 6 sept. 1707, vu l’attestation du sr de Lannoy, vicaire de Pont-l’Evêque, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean David Aubert, fils de Clément Aubert, en son vivant conser du roy, président en l’élection et grenier à sel du Pont-de-1’Arche, et de dame Marguerite Morin, d’une part, et damlle Anne-Charlotte Hardy, fille de Me Mathurin Hardy, vivant, conser du roy, receveur des tailles en l’élection de Pont-l’ Evêque, et de damlle Jeanne de Bréban, de lad. parr, de Pont-l’ Evêque.
563. – Le 13 juillet 1708, dispense de parenté du 2e au 3e degré, pour le mariage entre Gabriel Coquet, Escr, sr de Tolleville, Bonneville et autres lieux, et damlle Marie-Anne-Magdeleine-Claude Le Diacre, demeurant tous deux à Pont-l’Evêque. Ce mariage fut célébré dans la chapelle d’Estimauville, parr, de st-Arnoult.
637. – Le 7 avril 1708, furent ordonnés sous-diacres : Guillaume Fromage, acolyte de st-Michel de Pont-l’Evêque.
672. – Le 29 juillet 1705, François Housset, marchand, bourgeois de Pont-l’Evêque, fait une fondation de 15 livres de rente, en faveur de la confrérie du st-Rosaire établie en l’Eglise de . Fait en présence de Me Antoine Loisnel, pbre ; Nicolas Gamare, sr de la Rosière, lieutenant de la mairie et bourgeois dud. lieu.
Pont-l’Evêque (saint Michel)
Curés. – J. de Rancher – F. Du Lys. – M. Le Marchand.
Vicaires. – Paon, I.- Morel de la Griffonnière – Carel, V. 19, 205. – E. de Lannoy.
Prêtres de la paroisse. – N. Bellencontre – Jacques Bicherel – F. Prière – J.Carel – – F.Dossain – F. Duchemin – G. Gallot – G. Hamel – P. Le Chevallier – E. Leneveu – A. Loisnel – C. Paon – L. Quesnel de la Londe – A. Train.
Clercs. – Jacques Bicherel – F. Carel – G. Fromage – G. Hamel – P. Le Chevallier – Jacques Lecordier .- A. Loysnel – L. Quesnel De là Londe – J. Train.
Patron. – Le Chapitre de Cléry.
seigneurs et notables. – C. Aubert – Jean Aubert – J.-D. Aubert – J.-B. Bicherel – J.-J. Bicherel – G. -F. Boistard de Vauville – A. Bougard – Jacques Brochard – Jean Carel – I. Chauffer – Ph. Collet, V – G. Coquet de Valleville – G. Coquet de Tolleville – N. Dassier- 0. Fichet de Olerval. – Jacques Foisnard – G. Gamare – N. Gamare – L. de Gaugibus – M. Gautier -Jean Haguelon – P. Hamon – P. Hamon fils -J. Hébert – J.-B. Houssaye –
G. de Lannoy – Jean de Lannoy – Z. Lebailly, – Jacques Le Barbier de Croix-Mare – G. Le Diacre .-Jean Le Douet – C. Lemoinne – C. Lemoinne fils – A. Lesueur – R. Lesueur – C. Leterrier – F -C. Leterrier – D. Lormier -A. Loynel – G. Main – P. du Neveu – P. Perrée -Jean P. Regnault. Béquet – P. Regnault – P. De la Taille – Jacques P. De la Taille,- Jean Train,
Confrérie du saint Rosaire. – Fondation faite en sa faveur.
Hôtel du soleil d’Or.
157. – Le 21 déc. 1709, vu l’attestation du sr Bellencontre, pbrë habitué en l’église de Pont-l’Evêque et cy-devant desservant le bénéfice dud. lieu, dispense de bans pour le mariage entre François Chauffer, fils d’Isaac et de Renée Fontaine, d’une part, et Marie-Anne Dubreuil, fille de Jacques et de Marguerite Levasseur, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque . – Suit l’autorisation de célébrer ce mariage malgrél’opposition dud. sr Chauffer, père, et de lad. dame Fontaine.
363. – Le 18 mai 1710, vu l’attestation du sr Le Marchand, curé de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Baptiste Lesueur, fils de feu Me Jean-Baptiste Lesueur et de damlle Anne de Lannoy, d’une part, et damlle Marie-Agnès-Jeanne Le Court, fils de Vincent-Louis Le Court, Escr, sr de Noirval, et de dame Agnès Levavasseur, d’autre part, tous deux de lad. parr. de Pont-l’Evêque.
414. – Le 10 février 1711, vu l’attestation du sr Lemarchand, curé de Pont-l’Evêque , et du sr Dubuisson, vicaire desservant la parr, de Druval, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Pierre Bicherel, conser et avocat du roy, au bailliage et vicomte d’Auge, fils de feu Me Jean Bicherel, aussi conser du roy aud. siège, et de damlle Jeanne Lecordier, de là parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Marie-Anne de Semilly, fille de feu Pierre de Semilly, Escr, sr de Bernières, et de damlle Marguerite Collet, de la parr, de Druval.
339. – Le 28 mai 1712, dispense de bans pour le mariage entre Jacques Galliot, fils de feu Me Jean Galliot, officier chez le roy, et de damlle Marguerite Crévin, de la parr. de St-Etienne-la-Thillaye, d’une part, et dam1Ie Marie-Charlotte Porée, fille de feu Me Jean Porée, officier en l’élection de Pont-l’Evêque , et de damIle Marie Renault, de la parr, de Pont-l’Evêque .
308. – Le 17 mars 1712, Guillaume du Mesnil, Escr, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Jacques du Mesnil, acolyte de St-Thomas de Touques, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Louis Le Noir et par Philippe-Augustin du Mesnil, escuiers, demeurant tousdeux en la parr. St-Thomas de Touques. – Led. sr acolyte étant présentement au grand séminaire de Lx, fut représenté par Me Nicolas Duclos, pbre, vicaire de lad. parr. St-Thomas
539. – Le 2 oct. 1713, dispense de bans pour le mariage entre Charles-Ferdinand Jacquelot, Escr, sr de Monel, fils de Mesre Nicolas Jacquelot, Escr, sr de St-Firieux, président en l’élection de Réthel, et de dame Antoinette Le Dragin, de la parr. de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Louise Tassier, fille de Louis Tassier, bourgeois de Paris, et de Jeanne Bonard, de la parr, de SSt-Gervais de Paris.
553. – Le 3 nov. 1713, dispense de bans pour le mariage entre Jacques de Varin, Esc1″, sr de Beauchamp, fils de feu Bertrand de Varin, aussi Esc, conser du roy, seul assesseur au bailliage et vicomte d’Auge, et de noble dame Jacqueline Baril, de la parr. de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Anne-Françoise de Vimont, fille de feu Jean de Vimont, docteur en médecine, et de damlle Françoise Levasseur, de la parr. St-Jacques de Lx
351 . – Le 19 juillet 1715, dispense de bans pour le mariage entre Nicolas de la Rouvraye, Escr, fils de Louis de la Rouvraye, Escr, et de damlle Françoise des Chasteletz, demeurant à Pont-l’Evêque , d’une part, et Mairie-Magdeleine Leclerc, fille de Jacques Leclerc et de Françoise Baudel, aussi dud. lieu de Pont-1’Evôque
522. – Le 4 juillet 1711, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Charles Thirel, Escr, sr de Siglas, fils de feu Charles et de noble dame Catherine Thirel, de la parr, de St-Ouen de Pontaudemer, d’une part, et damlle Marie-Marguerite Collet, fille de feu Me Philippe Collet, en son vivant agent des affaires de Son Altesse Royale, et de damlle Anne Lecordier, de la parr. de Pont-l’Evêque.
66. – Le 8 avril 1714, furent ordonnés diacre : Me Zacharie Lebailly, diacre de Pont-l’Evêque. Le 17 juin 1714, Zacharie Lebailly, fils de Zacharie et de Marguerite Quignette, de la parr, de Pont-l’Evêque , rite dimissus, reçoit la tonsure et les ordres mineurs dans la chapelle du séminaire de Caen. Le 8 avril 1719, il est ordonné prêtre au séminaire de Lx.
380. – Le 20 sept. 1715, reçurent la tonsure et les ordres mineurs:
Me Pierre-Ambroise de Hébert, de la parr, de Pont-l’Evêque .
Me Pierre Adam, de la parr. de Pont-l’Evêque .
Me Daniel Langlois, de la parr, de Pont-l’Evêque .
384. – Le 21 sept. 1715, furent ordonnés sous-diacres : Me Jean-Baptiste Lemoine, acolyte de Pont-l’Evêque . Il demeura plus tard à St Melaine.;
18. – Le 6 juillet 1716, dispense de bans pour le mariage entre Adrien-Louis Le Court, Escr, sr de Noirval, avocat, fils de Me VincentLouis Le Court, Esc, sr de Noirval, conser du roy, vicomte d’Auge, et de noble dame Agnès Levavasseur, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Anne-Catherine Ruault, fille de François Ruault et de damlle Anne Caval, de la parr. St-Sauveur de Caen.
107. – Le 10 oct. 1716, la nomination à la cure de Pont-l’Evêque appartenant au chapitre de Cléry, les srs chanoines nomment aud. bénéfice, vacant par la mort de Me Mathieu Le Marchand, pbrë, dernier titulaire, la personne de Me Robert-François Fondimare, pbrë du diocèse de Rouen, « tanquant benè meritum ». – Les srs chanoines ne le présentent plus, ainsi qu’au précédent article, comme le plus ancien habitué de leur église. Du reste, cette nomination n’eût pas de suites.
Le 20 nov. 1716, led. sr Fondimare s’étant présenté devant le seigr évêque pour requérir la collation de la cure de Pont-l’Evêque , Sa Grandeur la lui refuse parce qu’il ne présente pas de certificat de bonnes vie et mœurs donné par le seigr évêque d’Orléans dans le diocèse duquel il réside.
100. – Le 13 nov. 1716, Me Robert Levillain, pbrê du diocèse de Lx, Me ès-arts en l’Université de Caen, premier et plus ancien habitué en l’église collégiale de N.-D. de Cléry, « et le premier de tous les habitués de lad. église à estre pourveu et nommé aux bénéfices qui sont à la nomination de lad. église, suivant la déclaration du roy Louis quatorze, requiert des srs chanoines de Cléry d’être nommé à la cure de St-Michel de Pont-l’Evêque dont ils sont patrons présentateurs et qui est vacante par la mort de Me Mathieu Le Marchand, pbrë, dernier titulaire.
Les chanoines répondent qu’il n’est pas vrai que le sr Levillain soit le plus ancien habitué de leur église, « estant de la connaissance dud.sr Levillain que le sr François Fondimar est le plus ancien de tous leurs habitués », et qu’ils l’ont pourvu de lad. cure de Pont-l’Evêque . Le sr Levillain répond par le notaire qu’il se pourvoira devant le seigr évêque de Lx pour avoir la collation dud. bénéfice.
Le 17 nov. 1716, après cette réquisition faite près des srs chanoines de Cléry, le seigr évêque donne la collation de lad. cure de Pont-l’Evêque à Me Robert Levillain.
Le 18 nov. 1716, le sr Levillain (1), chapelain de la chapelle Ste Anne en la collégiale de Cléry et ayant fait élection de domicile pour le présent seulement, en la maison de son frère, Me Pierre Levillain, pbfê, curé de Canapville, prend possession de la cure de Pont-l’Evêque , en présence de Me Pierre Gonard, curé de Beaumont-en-Auge et doyen dud. lieu ; Mes François Dossin, Guillaume Formage, Guillaume-François Cambremer, Estienne Launey, vicaire de lad. parr. et tous pbrës habitués en lad. église ; Mps Hélix Morel et Charles Périer, diacre ; Mes Jacques-Philippe Fortin et Jean Pépin, pbrës ; Me Jacques-Philippe Train, greffier en la vicomte ; Me Jean Dandel, greffier en bailliage ; Thomas Lepeltier, greffier en l’élection, et autres témoins.
(1)M. Levillain était un janséniste, ami intime de l’abbé de Roquette, prieur de St-Hymer (MM. do Hvmer).
165. – Le 22 déc. 1716, la nomination à la cure de Pont-l’Evêque appartenant au Chapitre de Cléry, les srs chanoines nomment aud. bénéfice, vacant par la démission de Me Robert-François Fondimare, pbrë du diocèse de Rouen, qui n’a pas pris possession, la personne de Me Robert Levillain, pbre, habitué de lad. collégiale.
Le 10 mars 1717, le seigr évêque donne aud. sr Levillain la collation de lad. cure.
341. – Le 31 mai 1717, vu l’attestation du sr Leneveu, pbrë, desservant la parr. de Pont-1′ Evoque, dispense de bans pour le mariage entre Guillaume de Mannoury, Escr, conser et procureur du roy en bailliage et vicomte d’Auge, fils de feu Estienne de Mannoury, Escr, sr de la Cressonnière, et de feue noble dame Catherine Le François, d’une part, et damlle Marie-Thérèse Lesueur, fille de Me Jean-Baptiste Lesueur, conser et procureur du roy en l’élection de Pont-l’Evêque, et de damlle Anne de Lannoy, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
449. – Le 29 août 1717, Me Zacharie Lebailly, greffier en chef des Eaux et Forêts du vicomte d’Auge, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Zacharie Lebailly, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jacques Lebailly, pbfë, curé de St-Julien-sur-Calonne, frère dud. sr Lebailly, père ; Me Hervey Le Barbier, conser du roy, président du grenier à sel d’Honfleur, demeurant à Touques ; François-Jacques Le Court, Esc, sr desTourailles ; Me Jacques Foisnard, conser du roy, maire alternatif et mi-triennal de Pont-l’Evêque et garde des Archives dud. lieu, et Me Robert Sebire, greffier à Annebault, demeurant à Pont-l’Evêque .
Le 18 sept. 1717, furent ordonnés diacres: Me Zacharie Lebailly, sous-diacre de Pont-l’Evêque .
337. – Le 20 déc. 1717, dispense de bans pour le mariage outre Me Jean-Jacques Train, fils de feu Me Jacques Train et de damlle Elisabeth Hamon, d’une part, et damlle Anne-Angélique Duchemin, fille de Me Guillaume Duchemin et de damlle Marie Périer, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
386. – Le 18 janvier, 1718, titre clérical fait en faveur de Me Daniel Langlois, acolyte de Pont-l’Evêque , par Mre François de Charlemayne, Escr, seigr du Boullay, Bellelonde, demeurant à Rouen. (Fait à Beuzeville). Le 10 avril 1718, furent ordonnés sous-diacres : Me Daniel Langlois, acolyte de St-Michel de Pont-l’Evêque . Ordonnés diacres le 8 avril 1719.
Le 10 avril 1718, furent ordonnés sous-diacres Furent ordonnés diacres Me Jacques-Philippe Train, sous-diacre de Pont-l’Evêque .
514. – Le 20 oct. 1718, vu l’attestation du sr Levillain, curé de Pont-l’Evêque , et du sr Hamel curé de Beuvron, dispense de bans pour le mariage entre Me Jacques Le Bailly, conser du roy, référendaire en la chancellerie du Parlement de Rouen, avocat, fils de Me Zacharie Le Bailly, greffier en chef des Eaux et Forêts du vicomte d’Auge, et de dame Marguerite Quinette, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Marie Leriche, fille de Me Gabriel Leriche, receveur de M. le duc d’Harcourt, et de feue damlle Marguerite Martin, de lad. parr, de Beuvron.
4. – Le 11 fév. 1719, vu l’attestation du sr Bellencontre, vicaire de Pont-l’Evêque, dispense de bans pour le mariage entre Me Thomas Lepeltier, procureur en l’élection du Pont-l’Evêque , fils de Thomas et de Marie Vandon, d’une part, et Catherine Leproux, d’autre part, tous deux de lad. parr
64. – Le 8 avril 1719, furent ordonnés sous-diacres : Me Jean-Pierre Adam, acolyte de Pont-l’Evêque .
Furent ordonnés prêtres : Me Pierre-Ambroise de Hébert de Bailleul, diacre de Pont-l’Evêque .
111 . – Le 12 juin 1719, vu l’attestation du sr Bellencontre, vicaire de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre Me Jacques Vipard, fils de Jacques et de Madeleine de Bernay, de la parr, de Formentin, d’une part, et Louise-Charlotte de Brey, fille de Me Jean de Brey et de Madeleine Domin, de la parr, de Pont-l’Evêque .
124. – Le 22 juillet 1719, dispense de bans pour le mariage entre Louis-Gabriel Galliot, sr d’Aigremont, conser du roy, subdélégué de Mr l’Intendant de Rouen pour l’élection de , fils de feu Me Jean Galliot et de damlle Marguerite Crévin, de la parr. de St-Etienne-la-Thillaye, d’une part, et damlle Marie-Madeleine Coquet, fille de feu Gabriel Coquet, sr de Genneville, Escr, et de noble dame Jeanne Le Cordier, de la parr. de St-Michel de Pont-l’Evêque .
603; -Le 10 janv. 1719, titre clérical fait en faveur de Me Jean-Baptiste Marin, acolyte, par Me Gilles Marin, demeurant à Pont-l’Evêque .
610. – Le 10 juillet 1719, titre clérical fait en faveur de Me Jacques Foucher, acolyte (originaire de Pont-l’Evêque ) , par Marie Vasse, vve Foucher, demeurant à Melaigne.
620- – Le 9 janvier 1719, titre clérical, fait en faveur de Me Jean-Pierre Adam, acolyte de Pont-l’Evêque
543. – Le 23 sept. 1721, dispense de bans pour le mariage entre Me Louis Gauzel, notaire royal à Pont-l’Evêque , fils du feu sr Simon Gauzel et de dame Marie Peugry, d’une part, et Madeleine Bréban, fille de feu Me Guillaume de Bréban, apothicaire, et de dame Jeanne Renault, d’autre part, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque.
333. – Le 19 avril 1723, vu l’attestation du sr Levillain, curé de Pont-l’Evêque , du sr Duclos, vicaire de St-Thomas de Toucques, et du sr Chippel, vicaire de St-Pierre de Cormeilles, dispense de bans pour le mariage entre Jacques Lebarbier, sr de Blary, avocat au bailliage de Pont-l’Evêque et y demeurant, fils de feu Me Hervé Lebarbier, et de damlle Marie-Magdeleine de Benoist de Blary, demeurant en la parr, de
St-Thomas de Toucques, d’une part, et damlle Geneviève Le Paulmier, fille de feu Mesre Nicolas Lepaulmier, sr des Casteletz, et feu dame Marie de Nossey, de la parr, de St-Pierre de Cormeilles.
386. -Le 27 juillet 1723, vu l’attestation du sr Halley, vicaire de Hotot, dispense de bans pour le mariage entre Louis-François Patry, Escr, fils de Pierre Patry, Escr, sr de Precommun, et de feu noble dame Gabrielle d’Osmont, demeurant à Hotot, d’une part, et dame Françoise Hamel, fille de feu Jean Hamel, sr des Fontaines, et de feue
Françoise Perrier, de la parr, de Pont-l’Evêque .
398. – Le 25 janvier 1724, dispense de bans pour le mariage entre Louis Véron, directeur des postes de Pont-1′ Evoque, fils de Jean-Baptiste et de dame Marie Hesbert, d’une part, et damlle Catherine-Elisabeth Ollivier, fille de feu Me Nicolas Ollivier, chirurgien, et de damlle Anne Fleury, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque
493. – Le 30 mai 1724, dispense de bans pour le mariage entre Mre Joachim de Hesbert, Escr, fils de feu Mre Renaud de Hesbert, Escr, d’une part, et damlle Marie-Anne Coquet, fille de feu Mesre Gabriel Coquet, Esc, sr de Genneville, et de noble dame Jeanne Lecordier, demeurant à Pont-l’Evêque .
563. – Le 10 juillet 1724, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Marie-André de Quintanadoine, Escr, fils de feu Mre François de Quintanadoine, Esor, et de noble dame Madelaine Le Vellin, delà parr. de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Marie-Geneviève Baudry, fille de feu Mre Nicolas-Charles Baudry et de noble dame Marie des Hommets, demeurant à Rouen, parr. St-Laurent.
730. – Le 19 mars 1724, titre clérical fait en faveur de Me Pierre Lestorey, acolyte, par Pierre Isabel et Nicolas Lestorey, marchands de Pont-l’Evêque .
Titre clérical fait en faveur de Me Antoine-Augustin Loisnel, acolyte, par le sr Antoine Loisnel, capitaine de la bourgeoisie de Pont-l’Evêque .
953. – Le 26 août 1725, Pierre Isabel, marchand, bourgeois, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Jacques Isabel, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés.
995. – Le 23 oct. 1725, dispense de bans pour le mariage entre Me Jacques-Auguste Duchemin, avocat, fils de feu Me Guillaume Duchemin, aussi avocat, et de damlle Marie Périer, d’une part, et damlle Jeanne-Angélique Train, fille de feu Me Jacques Train, avocat, et de damlle Elisabeth Hamon, tous deux de Pont-l’Evêque .
Pont-l’Evêque (saint Michel)
Curés. – M. Lemarchand- R. Levillain.
Vicaires. – Bellencontre – E. de Lannoy.
Prêtres de la paroisse. – N. Bellencontre –
G. -F. Cambremer – J. Daubin – F. Dossin,- G. Formage – D. Langlois –
N Le Neveu – L. Lescallard, – J.-B. Letaillois – 0. de Louis- Jq Train.
Clercs. – J.-P. Adam – G. -F. Cambremer – F. -A. Collet – J. Foucher – Jq.Isabel- C.-N. Jullien – D. Langlois – Z. Lebailly -J.-B. Lemoine – E. Morel – C. Parier – J.-Ph. Train.
Patron. – Le chapitre de Cléry.
Seigneurs et notables. – J.. – Jn Bicherel – J.-P. Bicherel-G. de Bréban. -J. de Brey -F. Chauffer – I. Chauffer -P. Collet- G. Coquet de Gonneville – G.Coquet de Tolleville – C. Delaunay – C. Delaunay, fils – F.Delaunay – G.Duchemin – J.-A. Duchemin – J. Foisnard – L. Gauzel – S Gauzel – J. Hamel, – J. de Hébert de Bailleul – R. de Hébert – J.-B. Hervieu – J. Horionney – G. Isabel – J.-G. Isabel – C.-F. Jacquelot de Monel – N.Jacquelot de St-Firieux – J. Lebailly -Z. Lebailly, – H.Lebarbier – J. Lebarbier, – J. Leclerc, – Ad -L. LeCourt – V.-L. Le Court de Noirval – F.-J. Le Court – G. Le Diacre de Martinboscq – G. Le Diacre de Martimbosq, fils – J. Le Grix – C. Lepecq – T. Lepeltier – T. Lepeltier, fils – J.-B. Lesueur – J.-B. Lesueur, fils – G. Main – E. de Mannoury – G. de Mannoury- G. du Mesnil – N. Ollivier – A. Porée.- M.-A.de Quintanadoine – L. de la Rouvraye – N. de la Rouvraye – R. Sebire – J. Tillaut – G.Train -.T. Train – J.-Ph. Train – J.-.I. Train – B. de Varin – J. de Varin de Beauchamp -J.-B. Veron – L. Véron.
155. – Le 13 août 1726, dispense de bans pour le mariage entre Mre Jacques Le Goueslier, Escr, sr de Mont-Carel, avocat et conser du roy, enquêteur, commissaire examinateur au bailliage et vicomte d’Auge, demeurant à Pont-l’Evêque , fils de feu Mre Antoine-Jacques Le Goueslier, Escr, sr de Mont-Carel, conser du roy, enquêteur, examinateur aud. bailliage et vicomte d’Auge , et de feu damlle Catherine-Marguerite Faucon, d’une part, et damlle Marguerite Rivière, fille de noble homme Mesre Joseph Rivière, et de feu damlle Anne-Elisabeth Douin, aussi de la parr, de Pont-l’Evêque .
217. – Le 15 mars 1726, Richard Fouet, marchand, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Jean-François Fouet, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. – Led. sr acolyte fut représenté par Me Charles Fouet, procureur en l’élection dud. lieu.
266. – Le 17 fév. 1727, dispense de bans pour le mariage entre Charles Richard, receveur des Aides, demeurant à Doudeville-en-Caux, fils de François Richard, ancien receveur du domaine d’Auge appartenant à Mgr le duc d’Orléans, et à présent contrôleur ambulant, et de dlle Anne Rivagère, delà parr, de S^Michel de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Magdeleine Jourdan, demeurant aussi à Pont-l’Evêque .
76. – Le 29 oct. 1724, Pierre Satis, fils de Jean et de Marguerite de La Rocque, de la parr. de Pont-l’Evêque , reçoit la tonsure et les ordres mineurs. Le 3 sept. 1728, Jean Satis, sr delà Garenne, bourgeois, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Pierre Satis, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Pierre Delataille, marchand, demeurant à St-Julien-sur-Calonne, et Me Jean-Jacques Carel, apothicaire, bourgeois de Pont-l’Evêque , demeurant en lad. ville.
593. – Le 28 sept. 1728, la nomination à la cure de St-Michel de Pont-1’Evèque appartenant au Chapitre de N.-D. de Cléry, les srs chanoines de lad. collégiale nomment à cette cure, vacante par la mort de Me Robert Le Villain, pbrë, dernier titulaire, la personne de Me Julien Besnier, pbrë du diocèse d’Avranches.
Le 17 oct. 1728, le seigr évêque donne aud. sr Besnier la collation dud. bénéfice.
Le 24 oct. 1728, le sr Besnier, ancien habitué en la collégiale de Cléry, prend possession de la cure de Pont-l’Evêque , en présence de Mes François Dossin, Charles Périer, Guillaume Formage, JacquesFiltrain (Filtrain pour Philippe Train.), Jean Leperchey, David-François Dallet, Jacques Main, Louis Guilbert, tous pbfês de lad. parr., et plusieurs autres témoins.
638. – Le 10 février 1729, vu l’attestation du sr Guilbert, vicaire de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre Me Charles Louvet, greffier du bailliage dud. lieu, fils de Jacques Louvet, d’une part, et Elisabeth Pellerin, tous deux de lad. parr.
733. – Le 25 août 1729, Jean-Jacques Carel, apothicaire, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de Me Pierre-Louis Montaie, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Pierre Duhamel, avocat, demeurant à Lx et oncle dud. acolyte, et par le sr Robert-Louis Montaie, marchand-perruquier, demeurant à Pont-l’Evêque , père dud. sr acolyte.
801. – Le 31 janvier 1730, dispense de bans pour le mariage entre Pierre-Louis Le Canteur, sr des Champs, fils de feu Philippe Le Canteur et de Jeanne de Bréban, natif de Pont-l’Evêque et demeurant présentement à Séez, d’une part, et damlle Marquise d’AUeaume, fille de feu Marquis d’Alleaume, Escr, et de dame Antoinette Allard, de la ville de Séez.
803 – Le 25 octobre 1729, Pierre Isabel, marchand, demeurant à Pont-l’Evêque, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Charles Isabel, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Jean Cordier, sr du Parc, marchand, demeurant à St-Melaigne ; Me Charles Lecourtois, receveur des consignations à Pont-l’Evêque ;Me Thomas Le Pelletier, procureur en l’élection dud. lieu, et autres cautions. – Led. sr acolyte était actuellement au séminaire.
Le 24 août 1731, Pierre Isabel, marchand, demeurant à Pont-l’Evêque , ratifie le contrat d’une rente de 150 livres qu’il a constituée, le 25 août 1729, en faveur de son fils, Me Charles Isabel, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Jean Le Cordier, sr du Parc, demeurant à St-Melaigne ; Me Thomas Lepelletier, procureur en l’élection de Pont-l’Evêque , et autres cautions.
902. – Le 3 juillet 1730, dispense de bans pour le mariage entre Louis Dossin, fils de feu Me Guillaume Dossin, conser du roy, élu en l’élection de Pont-l’Evêque, et dedamlle6 Dufou, demeurant à Rouen, d’une part, et damlle Jeanne Lebailly, fille de feu Me Zacharie Lebailliy, greffier en chef des Eaux et Forêts de la vicomte d’Auge, et de damlle Marguerite Guinette, de la parr, de Pont-l’Evêque .
922. – Le 12 sept. 1730, vu l’attestation du sr Guilbert, vicaire de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre Me Charles Fouet, procureur en l’élection et greffier en la subdélégation de Pont6l’Evêque, fils du sr Richard, d’une part, et damlle Anne-Angélique Cambremer, fille de Me Nicolas Cambremer, archer, garde en la connétablie de France, et de dame Anne Thouret, tous deux de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
993. – Le 12 janv. 1731, dispense de bans pour le mariage entre Me Nicolas Cambremer, fils de Me Nicolas Cambremer, archer, gardeen la connétablie de France, et de damlle Barbe Gorry, de la parr. De Pont-l’Evêque et demeurant à Reux depuis trois mois, d’une part, et Marie-Françoise Loisnel, fille de Jean, de la parr. de St-Melaigne.
1092. – Le 28 mai 1731, dispense de bans pour le mariage entre Me Jacques Hamelin, docteur en médecine, fils de Hervé et d’Anne Varin, d’une part, et damlle Marie-Marguerite Train, fille de Louis Train de Beaufiquet et de Jeanne Haraon, tous deux de la parr. de Pont-l’Evêque .
1093. – Le 7 juin 1731, dispense de bans pour le mariage entre Michel Deslandes, Escr, seigr de la Goulande, Courmartin et autres lieux, ancien officier de dragons et chevau-léger de la garde du roy, son conseiller, receveur des tailles à Pont-l’Evêque , fils de Michel Deslandes, Esc1, et de dame Ambroise Rallu, de la parr, de Pontl’Evêque, d’une part, et damlle Marie-Magdeleine-Charlotte Le Bas, fille de Charles Le Bas, seigr et patron de St-Sébastien de Préaux et ancien receveur des tailles de la ville de Lx, et de dame Marie-Barbe Begauld de la Girardière, de la parr, de St-Jacques de Lx.
1132. – Le 2 juillet 1731, Pierre De Villers, bourgeois, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de Me Arnoult Le Petit, acolyte, originaire dud. lieu de Pont-l’Evêque , afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Richard Selot, avocat en lad. ville, et par Me Jean-François Desmouceaux, bourgeois, demeurant aud. lieu.
1142. – Le 30 juin 1731, Jean Férey, marchand, demeurant à Pont-l’Evêque, constitue 150 livres de rente en faveur de son neveu, Me Jean-Pierre Férey, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jacques Cambremer, avocat, demeurant à Pont-l’Evêque; Me Nicolas Cambremer, ci-devant huissier aux bailliage et vicomte d’Auge, demeurant à Reux ; Me Thomas Le Pellerin et Me Charles Fouet, procureurs en l’élection de Pont-l’Evêque .
1164. – Professions faites au monastère des religieuses de St-Dominique, établi au Pont-l’Evêque .
Le 10 oct. 1726, Sr Marie-Thérèse de St-Albert la Vallée Guillourd, âgée de 22 ans et 8 mois, fille de Mr Pierre-Gaspard de la Vallée Guillourd et de Luce Lefèvre, de la parr. de St-Pierre de Caen, fait profession entre les mains de Marie-Charlotte Aufray, dite de St-Dominique, prieure de ce monastère, en présence de Sr Marie-Anne-Marguerite de St-Joseph, sous-prieure, Sr Marie de St-Louis, Sr Marie-Elisabeth Aimée de Jésus, Sr Barbe de Ste Dorothée, Sr Marie-Thérèse de St-Ignace.
Le 27 mai 1727, Sr Catherine-Antoinette de Ste Eulalie Le Goueslier de Montcarel, âgée de 26 ans et 6 mois, fille de Mesre Jacques-Antoine Le Goueslier, Esc1-, sr de Montcarel, et de feue Catherine Faucon, de la parr. de Pont-l’Evêque , fait profession entre les mains de la même prieure.
Le 16 fév. 1730, Sr Marguerite-Françoise-Olive Le Terrier, dite de l’Assomption, âgée de 20 ans et quatre mois, fille de Mre François-Charles Le Terrier, Esc, de la parr. d’Equainville, et de dlle Madeleine de Dramard, de la parr. de Gonneville-sur-Dive, et de présent l’un et l’autre établis à Pont-l’Evêque , fait profession entre les mains de
Marie-Anne-Marguerite de Carentonne, dite de St-Joseph, prieure de ce monastère, en présence de Sr Marie-Charlotte de St-Dominique, sous-prieure, et des autres ci-dessus nommées, membres du conseil dela communauté.
Le 3 juillet 1731, Sr Françoise Lecointe, dite Marie de Ste Agathe, âgée de 22 ans et 10 mois, fille de Mr Jean Lecointe et de Mme Marguerite Dieusy, de la parr. de St-Clair-de-Barneville, fait profession en présence desd. sœurs.
Le 21 août 1731, Sr Marie-Marguerite Dubosc du Montbert, dite de St-Germain, fille de Mre Robert-Alphonse Dubosc, Esc’, sr du Montbert, et de dlle Marguerite de Lépiney, de la parr, de St-Jacques de Lx, fait profession en présence desd. sœurs. Certifié conforme au registre par Sr Marie-Anne-Marguerite Mauduit de Carentonne, dite de St-Joseph, prieure du monastère de St-Dominique de Pont-l’Evêque, le 7 nov. 1731.
1171. – Le 8 janvier 1732, dispense de bans pour le mariage entre Mre Nicolas de Gillain, chevr, seigr de Rasblais, Boisdoufrey, la Salinondière, et Boisaubert, fils de feu Mre Louis de Gillain, chevr, seigr de Rasblais, et de noble dame François Le Coutelier, demeurant à Alençon, parr. N.-D., d’une part, et demlle Anne-Damienne Le Normand, fille de Pierre Normand, en son vivant conser du roy, receveur des tailles de Pont-l’Evêque, et de dame Marie-Damienne d’Epréville, de lad. parr. de Pont-l’Evêque .
1299. – Le nov. 1732, reçurent la tonsure et les ordres mineurs des mains du seigr évêque de St-Paul-Trois-Châteaux, dans la chapelle du grand séminaire de Lx :
Jean-Etienne Main, fils de Guillaume et d’Anne Lévis, de la parr, de St-Michel de Pont-l’Evêque .
1395. – Le 5 mai 1733, dispense de bans pour le mariage entre Jacques Louvet, greffier au bailliage du Pont-l’Evêque, fils de Jacques et de Jacqueline Marais, d’une part, et dlle Françoise Le Courtois, fille de feu Me Charles Le Courtois, tous deux de Pont-l’Evêque .
1433. – Le 7 sept. 1733, dispense de bans pour le mariage entre Me François Renault de Rousseville, conser du roy, lieutenant-général en l’amirauté et président au grenier à sel de Fécamp, fils de feu Me Jean-Pierre Renault de Rousseville, conser et procureur du royaux Eaux et Forêts de la vicomte d’Auge, et de dlle Anne-Charlotte Béquet, de la parr, de Pont-l’Evêque et demeurant à St-Nicolas de Fécamp depuis temps de droit, d’une part, et damlle Marie-Anne Drouet, fille de feu Daniel Drouet et de dame Anne Collas, de la parr, de Ste-Croix de Fécamp.
1434. – Le 14 sept. 1733, dispense de bans pour le mariage entre Guillaume-David Main, sr du Taillis, fils de feu Me Guillaume Main, doyen de Mrs les avocats du bailliage et vicomte d’Auge, et de dlle Marie-Paulmyer, demeurant a St-Melaine, d’une part, et damlle Catherine Le Cordier, fille de Me François Le Cordier, lieutenant de Mr le premier chirurgien du roy au bailliage et vicomte d’Auge, et de feue Marie-Magdeleine Deshoulles, de la parr, de Pont-l’Evêque .
1439. – Le 7 août 1733, Me Michel Le Truand, acolyte, fils Michel, demeurant à Pont-l’Evêque , se constitue 150 livres de rente afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente, hypothéquée sur plusieurs pièces de terre situées à St-Hymer, est encore garantie par Me Thomas Le Peltier, procureur en l’élection de Pont-1’Evèque, et par Thomas-Charles Le Courtois, bourgeois de lad. ville.
1441. – Le 23 juin 1733, Me Philippe Férey, sr de la Chasse, avocat, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de Me Jean Buchard, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jean Toustain, pbre de St-Martin de-la-Lieue. – Led. sr acolyte était originaire de la parr, de St-Thomas de Touques et y demeurait.
1439. – Le 7 août 1733, Me Michel Le Truand, acolyte, fils Michel, demeurant à Pont-l’Evêque , se constitue 150 livres de rente afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente, hypothéquée sur plusieurs pièces de terre situées à St-Hymer, est encore garantie par Me Thomas Le Peltier, procureur en l’élection de Pont-1’Evèque, et par Thomas-Charles Le Courtois, bourgeois de lad. ville.
1441. – Le 23 juin 1733, Me Philippe Férey, sr de la Chasse, avocat, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de Me Jean Buchard, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jean Toustain, pbre de St-Martin de-la-Lieue. – Led. sr acolyte était originaire de la parr, de St-Thomas de Touques et y demeurait.
1461 . – Le 6 oct. 1733, dispense de bans pour le mariage entre Me Gabriel-Louis Le Barbier, avocat, fils de feu Me Hervé Le Barbier, conser du roy, officier au grenier à sel de Honfleur, et de noble damlle Marie-Magdeleine Benoît de Blary, d’une part, et damlle MarieFrançoise Isabel, fille du feu sr Pierre Isabel et de dame Elisabeth
Letanneur, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
1485. – Le 22 févr. 1734, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Gabriel Petit, contrôleur ambulant des Aides des élections de Pont-l’Evêque et Pontaudemer, demeurant à Pont-1’Evèque, fils de noble homme Claude Petit, ancien receveur des fourrages de l’évêché de Quimper, et de dame Julienne Hébert, d’une part, et Anne-Jacqueline-Charlotte Brunet, demeurant à St-Germain d’Avranches, fille de feu Mre Pierre Brunet, conser du roy, grènetierau grenier à sel de Séez, et de dame Jacqueline Audalan, demeurant en lad. ville de Séez.
66. – Le 27 févr. 1735, Me Richard Selot, conser du roy, grènetier au grenier à sel d’Honlleur, demeurant à Pont-l’Evêque, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Jacques-Pierre Selot, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés.
110. – Le 17 août 1735, dispense de bans pour le mariage entre Joseph-Alexandre-Vincent Le Court, Esc, fils de Monsieur Vincent-Louis Le Court, Escr, et de dame Renée de Turgeon, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Catherine-Anne de Barville, fille de Mre Jacques de Barville, Chevr, seigr des Aulnes, et de dame Jeanne de Chéry, de la parr, de Boissy-Maugis, diocèse de Chartres.
171 . – Le 13 févr. 1736, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Pierre de la Roque de Bernières, Escr, seigr de Montfort, conser du roy, lieutenant-général civil et criminel aux bailliage et vicomte d’Auge, subdélégué de Mr Le Marquet de la Bourdonnaie, intendant de la généralité de Rouen en l’élection de Pont-l’Evêque , fils de feu Mesre Gilles de la Roque des Noïers (?), seigr et patron de Monteilles, châtelain du Mont-de-la-Yigne, Escr, conseiller-secrétaire du roy, Maison, Couronne de France et de ses Finances, et de dame Charlotte de Jort, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Jeanne-Esther de Hébert de Bailleul, fille de feu Mre Joachim de Hébert de Bailleul, Escr, capitaine et commandant de la côte de Villers, et de feue dame Esther Duraont, aussi de la parr, de Pont-l’Evêque
193. – Le 26 fév. 1736, Pierre Alleaume, marchand, bourgeois, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de Me Jean-Baptiste Prentout, acolyte de lad. ville, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Thomas Lepeltier, procureur en l’élection de Pont-l’Evêque , et autres cautions.
353. – Le 21 janv. 1737, Me Jean-Pierre Le Blond, acolyte, fils de feu Me Jean-Pierre Le Blond, contrôleur des Titres, et de dame Jeanne Vattier, demeurant à Pont- 1’Evêque, constitue 150 livres derente en sa faveur, afin de parvenir aux ordres sacrés.
437. – Le 11 mars 1737, Jean Horrionnay, procureur et receveur de M. l’abbé de Berlize, grand prévôt de Chartres, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Jacques-Pierre-Damian Horrionnay, acolyte de la parr, de Pont-l’Evêque , afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés.
314. – Le27oct, 1737, Louis-Olivier de Varin, fils de Mesre Jacques de Yarin, Escr, et de noble dame Anne-Françoise de Vimont, de la parr, de St-Michel de Pont- 1’Evêque, reçoit la tonsure et les ordres mineurs.
331. – Le 1er juin 1740, vu l’attestation du sr Besnier, curé de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre Mre RollandPhilippe de Perrey, fils de Philippe-Léonor de Perrey, Esc1, sr de Gutot, et de noble dame Jeanne-Françoise du Basset, de la parr. de St-Parr, diocèse de Coutances, et demeurant en celle de Marinnes, diocèse de Rouen, d’une part, et damlle Anne-Marie-Magdeleine de Lannoy, fille du feu sr Charles de Lannoy et de Judith Levannier, de lad. parr, de Pont-l’Evêque.
366. – Le 10 août 1740, Jacques de Varin, Escr, sr de Beauchamp, conser du roy, assesseur au bailliage et vicomte d’Auge, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Louis-Olivier de Varin, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jacques Cambremer, avocat au bailliage et vicomte d’Auge, et Me Charles Fouet, procureur en l’élection de Pont-l’Evêque , y demeurant tous deux.
309. – Le ler févr. 1741, vu les attestations du sr Besnier, curé de Pont-l’Evêque , et du sr David, vicaire de Condé-sur-Risle, dispense de bans pour le mariage entre Me Jacques Cambremer, avocat, fils de feu Me Nicolas et de dame Anne Thouret, de lad. parr, de Pont-l’Evêque, d’une part, et damlle Catherine Blancard, veuve en secondes noces de Mre François Vivefoy, Escr, sr de la Salle, et fille de feu François Blancard et de dame Marie-Anne Dorlay, de la parr, de Condé-sur-Risle.
310. – Le 8 févr. 1741, vu les attestations du sr de Boctey, vicaire de Pont-l’Evêque , et du sr Pilllon, vicaire de St-Etienne-la-Thillaye, dispense de bans pour le mariage entre Pierre Leroy, de la parr, de Pont-l’Evêque , et Rose-Catherine Cousin.
97. – Le 29 oct. 1741, reçurent la tonsure et les ordres mineurs: Victor-Hyacinthe-Aimé Le Cordier, fils de Jacques et de Marie-Catherine-Elisabeth-Eléonore Giffard, de la parr, de Pont-l’Evêque .
105. – Le 15 nov. 1741, dispense de bans pour le mariage entre Adrien De France, bourgeois de Pont-l’Evêque , fils de feu Me Pierre De France et de dame Françoise Leloup, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Magdeleine- Catherine Périer, fille de feu Me Pierre Périer et de dame Geneviève Tantel, de la même parr.
315. – Le 14 mai 1742, dispense de bans pour le mariage entre Charles Daumesnil, Escr, fils de Gaspard Daumesnil, Escr, et de noble dame Thérèse Boudin, de la parr. de N.-D. de Caen, d’une part, et damlle Vincenne-Jeanne Le Court, fille d’Adrien-Louis Le Court, Escr, sr de Noirval, et de noble dame Anne-Catherine Ruault, de la parr, de Pont-l’Evêque .
266. – Le 17 sept. 1742, dispense ‘de bans pour le mariage entre « Monsieur Me » Jean-Pierre Bicherel, Esc1-, conser du roy et son auditeur en sa Chambre des Comptes, Aides et Finances de Normandie, fils de feu « Monsieur Me » Jean-Pierre Bicherel, consr et avocat du roy au bailliage et vicomte d’Auge, et de damlle9 Marie-Anne de Semilly, originaire de Pont-l’Evêque et y demeurant, d’une part, et damlle Marie-Louise Pouchin, fille de feu « Monsieur Me » Jean-Pierre Pouchin, aussi conser du roy et son auditeur en la même Chambre des Comptes, Aides et Finances de Normandie, et de damlle Marie-Catherine du Mesnil, originaire de la parr, de Manneville-la-Pipard et demeurant au Pont-l’Evêque .
367. – Le 18 févr. 1743, dispense de bans pour le mariage entre Me François Lecordier, chirurgien, fils de Me François Lecordier, lieutenant du premier chirurgien du roy, et de feue damlle Magdeleine Deshoulles, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Elisabeth Aumont, aussi de lad. parr.
511. – Le 9 sept. 1743, vu l’attestation du sr Périer, pbrë, vicaire de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre Me CharlesGabriel Main, avocat, fils de feu Me Guillaume Main, aussi avocat, et de damlle Anne Lesnys, de lad. parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et dlle Marie-Elisabeth Turgis, fille de feu Philippe, de la parr. de St-Ouen de Caen et demeurant au couvent des dames dominicaines de Pont-l’Evêque.
198. – Le 12 oct. 1745, dispense de bans pour le mariage entre Mr Guillaume de Mannoury, Escr, sr de St-Germain, conser du roy et son procureur au bailliage et vicomte d’Auge, fils de feu Mr Guillaume de Mannoury, Escr, sr de St-Germain, et de noble dame Marie-Thérèse Thérèse Le Sueur, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Anne-Catherine-Jeanne Delaporte, fille du feu sr Nicolas-Pierre-Hector Delaporte, officier en la Monnaie de Caen, et de dame Jeanne Champin, de la parr, de St-Pierre de Caen.
208. – Le 21 septembre 1743, Me Louis-Olivier de Varin, diacre de Pont-l’Evêque , est ordonné prêtre.
310. – Le 15 nov. 1745, dispense de bans pour le mariage entreMre Esprit-Jean- Baptiste de Brèvedent, Escr, ancien chevau -léger de la garde ordinaire du roy, fils de feu Mre Jean-Baptiste de Brèvedent, Escr, chevalier de l’Ordre militaire de St-Louis, capitaine-général desgardes-côtes de la capitainerie d’Honfleur, et de l’eue noble dame Fra çoise Le Doyen, de la parr, de Genneville, d’une part, et noble damlle Marie-Anne de Mannoury, fille de feu Mesre Guillaume de Mannoury, Esc, conser et procureur du roy en bailliage et vicomte à Pont-l’Evêque , et de noble dame Marie-Thérèse Lesueur, de lad. parr, de Pont-L’Evêque.
370. – Le 20 août 1746, dame Marguerite Cramoisy, Vve dePhilippe Buisson, marchand chandelier, demeurant à Pont-l’Evêque , rue St-Michel, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Etienne-Philippe Buisson, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Jacques-Philippe Buisson,
frère dud. acolyte, et par Me Richard-Pierre Legrip, tabellion royal à Pont-l’Evêque , y demeurant.
395. – Le 1er févr. 1747, dispense de bans pour le mariage entre Me Pierre Lesueur, avocat, fils de feu Jacques et de Jeanne Marie, originaire de Coudray, et demeurant présentement à Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Françoise-Anne De Villers, fille de Me Pierre De Villers, et de feue damlle Suzanne Marie, aussi de lad. parr . de Pont-l’Evêque . Le même jour, dispense de parenté au 2e degré pour led. Mariage.
402. – Le 13 févr. 1747, dispense de bans pour le mariage entre Me Yves Selot du Mesnil, avocat, fils de Me Yves Selot, conser du roy, contrôleur au grenier à sel d’Honfleur et avocat, et de damlle Marguerite-Angélique de Vauquelin de la Brosse, d’une part, et dame Marie Duval, Vve de Jean-Baptiste Carel et fille de Louis Duval et de dame Charlotte Defrance, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
13. – Le 27 avril 1747, dispense de bans pour le mariage entre Jean Baudel, fils de feu Me Jean Baudel, greffier, et de Marie-Jacqueline Carbonnel, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et Marie-Magdeleine Isabel, fille de Jean-Baptiste Isabel et de Charlotte Amelot, aussi de lad. parr.
50. – Le 28 juill. 1747, dispense de bans pour le mariage entre Pierre David, marchand drapier, fils Nicolas, de la parr, de St-Pierre de Cormeilles, d’une part, et Catherine-Elisabeth Lecordier, fille de Me Jacques Lecordier, contrôleur des titres, et de Catherine-Elisabeth-Eléonore Giffard, de la parr, de Pont-l’Evêque .
143. – Le 12 févr. 1748, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Charles Herval, avocat au parlement de Paris, procureur général domanial de S. A. S. Mgr le duc d’Orléans, premier prince du sang, en sa vicomte d’Auge, fils de feu sr Thomas Herval, et de feue dame Marie-Magdeleine Dufour, demeurant à Pont-l’Evêque depuis temps de droit, d’une part, et damlle Louise-Françoise-Catherine-Michelle-Antoinette Rouelle, fille de Laurent Rouelle et de Catherine Bence, aussi de lad. parr, de Pont-1’E Pont-l’Evêque .
337. – Le 17 févr. 1749, vu le certificat du sr Bottey, vicaire de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour’ le mariage entre Jean-Baptiste Véron de Ste Marie, veuf de dame Jeanne-Françoise Louvel et fils de feu Jean-Baptiste Véron et de feue noble dame Marie Hébert, d’une part, et dame Catherine Jourdain, veuve de Zacharie Fossey, et fille de feu Jacques Jourdan et de dame Marguerite Goubey, tous deux demeurant à Pont-l’Evêque
PONT-L’ÉVÈQUE (Saint-Michel}
Curés. – R. Levillain – J. Besnier.
Vicaires. – L. Guilbert – D; Boctey – Doisnel – P Périer. – Bottey.
Prêtres de la paroisse. – D. -F. Dallet – F. Dossin – G. Formage – J. Fouet – L. Guilbert.- V.-H.-A. Le Cordier – J.-M.-A. Le Goueslier – J. Leperchey – P. Leslorey – J q Main – J.-E. Main,- P.-L. Montaye,- Jq Train- Jq -Ph. Train.
Clercs. – J.-P. Borel- E.-P. Buisson- J.Férey – J.-F. Fouet -0. Isabel – J.-P. Le Blond – V.-H.-A. Le Cordier -J.-M.-A. Le Goueslier – A. Le Petit – P. Lestorey – M. Letruand – J.-E. Main – P.-L. Montaye -J.-B. Prenthout – J.P. Selot, I. 66. – L.-O. de Varin.
Seigneurs et notables. – J Baudel – M. Basire – J.-P. – J.-P. Bicherel, fils – M. Bréard, . 393 ; (A. Dupin, . 393). – N.-N. Bréard, – Jq. Cambremer – N. Cambremer,- A. Thouret, .- N. Cambremer, fils – J.-B. Carel – G. Coquet de Genneville – C. Daumesnil – A. Defrance – M. Deslandes, fils, – P. De Villers – G.Dossin,. – L. Dossin – L. Duval – J.Fantelin- O. Féret- P. -F. Féret – C. Fouet.- R. Fouet – G. Gamare – G.-J. Gibon – G. Hébert – J. de Hébert de Bailleul – J.-C. Herval -T.Herval – J de la Houssaye, .- J.-J. lsabel- P. Isabel- C. de Lannoy- R.-C. de Lannoy- Z. Le Bailly- G.-L. Le Barbier- H. Le Barbier-J.-P. Le Blond- P. Le Cinteur – P.-L. Le Canteur – M. Leclcrc – F. Le Cordier – F. Le Cordier, fils, – Jq Le Cordier- Adr.-L. Le Courtde Noirval- Aug. Le Court des Tourailles, . – F.-Jq Le Court des Tourailles – J.-A.-V. Le Court – V.-L. Le Court – C Le Courtois – E.-J.-B. Le Doulcet – F. Ledoux – Jq.Le Goueslier – Jq-A. Le Goueslier – F. Legrip .- R.-P. Legrip – P. Le Normand, . – T. Le Pellerin – T. Lepeltier – Jq Le Prévost – J.V. Le Prévost – Ph. Le Prévost – P. Lesueur – C. Louvet – Jq Louvet -Jq Louvet, fils – G. Main – G. de Mannoury – G. de Mannoury, fils .- F. Maurice – G. du Mesnil – G. -A. du Mesnil – F.-Jq de Mire – E. de Neuville – l.-F.-E.Orieult – R.-F. Orieult – J.-B. Patin – P. Périer- J.-G. Petit – J.-B. Queruelle – F. Renault – J.-P.-C. Renault – J.-P. Renault de Rousseville – C. Richard, . 266 ; M. Maurice, . 266). – F.Richard, – Jb Rivière – P. de la Rocque de Bernières – L. Rouelle – R. Sebire, – R. Selot – Y. Selot – Y. Selot, fils, – L. Train – Jq de Varin – J.-B. Véron, -J.B. Véron de Sainte-Marie.
Couvent des Dominicaines. – Noms de religieuses.
57. – Le 22 févr. 1749, M Charles Fouet, conser et procureur du roy en l’amirauté de Dives, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de M Charles-Michel Le Truand, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jacques Cambremer, avocat, et Jean-Baptiste Queruel, apothicaire, demeurant en lad. ville de Pont-l’Evêque .
184. – Le 4 févr. 1750, dispense de bans pour le mariage entre Jacques-David Train, veuf de Françoise Perrée, fils de feu Me Jacques Train, ancien avocat, et de feue Elisabeth Hamon, d’une part, et Marie-Elisabeth-Angélique Benoit, fille de feu François, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
272. – Le 8 juin 1750, dispense de bans pour le mariage entre Pierre Creps, originaire de la parr, de Manerbe et demeurant depuis douze ans à Pont-l’Evêque , fils de feu Jacques Creps et de Françoise Le Mercier, d’une part, et Marie-Anne Hébert, originaire de Pont-l’Evêque et demeurant depuis cinq ans à Danétal, fille de feu François Hébert et de feue Anne Dalençon.
275. – Le 15 juin 1750, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Esprit de Piperey, chevr, seigr de Marolles,fils de feu Mesre Pierre de Piperey et de noble dame Marie-Anne du Rosey, demeurant à Lx, parr. St-Germain, d’une part, et damlle Agnès Le Court de Noirval, fille de Mesre Adrien Le Court, Escr, seigr de Noirval, et de noble dame Anne-Catherine de Ruault, de la parr, de Pont-l’Evêque .
315. – Le 29 juillet 1750, Marie Lefortier, Vve de Jean Lemonnier, et Jacques Debrey, bourgeois, demeurant à Pont-l’Evêque , constituent 150 livres de rente en faveur de Me Jean-Auguste-François Lemonnier, acolyte, fils de lad. veuve, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Jean-Jacques Isabel, sr de Beaulieu, et par Me Nicolas-Augustin Bréard, greffier en chef de la maîtrise du bailliage d’Auge en la ville de Pont-1’Evèque.
183. – Le 21 juillet 1751, Me Richard-Pierre Legrip, tabellion royal au bailliage d’Auge, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Louis-Etienne-François-Richard-Pierre Legrip, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jean-Pierre Bicherel, Escr, conser du roy et son auditeur en sa cour des Comptes, Aides et Finances de Normandie, et par Me Jacques Cambremer, avocat au bailliage
d’Auge, demeurant tous deux à Pont-l’Evêque . – La mère dud. sr acolyte se nommait Elisabeth Domin.
184. – Le 23 juin 1751, dle Magdeleine Grente, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de M Jean-Baptiste Lemonnier, acolyte dud. lieu, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jean Baudel, procureur en l’élection de Pont-l’Evêque , et par Me Gilles-Antoine Auber, greffier aud. siège et demeurant en lad. ville.
Led. sr acolyte était fils de feu Jean Lemonnier et de Marie Lefortier, demeurant à Pont-l’Evêque .
120. – Le 1746, François-Robert Oriot, fils de Robert et d’Elisabeth Véron, de la parr, de Pont-l’Evêque , reçoit la tonsure et les ordres mineurs. Le 1er août 1751, M6 Jacques Cordier, contrôleur des titres, à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de Me François-Robert Oriot, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Fait et passé à Pont-1’Evôque, en présence de Me Jean-Pierre De la Taille, conser du roy, garde-marteau à la maîtrise, demeurant en lad. Ville.
374. – Le 10 avril 1752, vu l’attestation du sr Lalouefte, vicaire de Moyaux, et du sr Besnier, curé de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Baptiste-Etienne Combaut, notaire, fils de feu Jean-Baptiste et de Marguerite Seney, de la parr. de Moyaux, d’une part, et Marie Le Bailly, fille de feu Me Jacques-Joseph Le Bailly, greffier en chef des Eaux et Forêts de la vicomte d’Auge, et de feue Madeleine Duval, de lad. parr, de Pont-1’Evêqne. Avec l’autorisation dud. sr curé, ce mariage fut célébré à Beaufour.
331 . – Le 14 sept. 1752, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Louis-Jacques-Armand Labbey, Esc/, chevr seigr de Gonneville, conser du roy, lieutenant particulier civil et criminel du bailliage d’Auge, siège de Pont-l’Evêque , fils de Mesre Jacques Labbey, Escr, sr du Moutier, chevr seigr de Gonneville, Launey et St-Vaast, et de noble dame Anne-Charlotte Le Roy de Livet, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et dam1Ie Magdeleine-Elisabeth-Charlotte Thierry, fille de Mesre Charles-Jean Thierry, seigT du Buquet, conser du roy, juge en chef du dépôt et mesurage des sels d’Honfleur, et de dame Elisabeth Hatten, de la parr, de Ste Catherine d’Honfleur.
78. – Le 1752, noble damlle Marie-Madeleine-Gabrielle Le Goueslier de Putot, demeurant à Pont-l’Evêque , agissant au nom de Mre Jacques-Michel-Antoine Le Goueslier de Montcarel, pbfê, bachelier de Sorbonne, curé de Grandcourt au pays de Caux, constitue 150 livres derente en faveur de M6 Michel Le Goueslier, acolyte, neveu dud. sr curé, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est par Me Guillaume du Mesnil, Escr, conser et avocat du royaux Eaux et Forêts du vicomte d’Auge, et parMe Yves Selot, licencié ès-loix, avocat au bailliage de Pont-l’Evêque , demeurant tous deux en lad. ville. Fait en présence de Nicolas-Augustin Bréard, greffier en la maîtrise, et Olivier François Morel, acolyte, demeurant aussi l’un et l’autre à Pont-l’Evêque .
289. – Le 30 avril 1754, vu l’attestation du sr Bottet, vicaire de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre M6 Jean-Pierre Varin, tabellion, originaire de la parr. du Fournet et demeurant à Pont-l’Evèque, fils de feu Pierre Varin et de damlle Antoinette de Borel, d’une part, et Sainte-Marie-Anne Dufossey, fille de feu Pierre et de Marie Sandret, aussi de la parr, de Pont-l’Evêque .
311. – Le 18 juin 1754, dispense de bans pour le mariage entre David-Barthélemy-François Le Courtois, receveur des aides à la banlieue du Pont-l’Evêque , fils de feu Me David Le Courtois, procureur au parlement de Rouen, et de Marie Lalubé (?), originaire de St-Vivien de Rouen, et demeurant à Pont-l’Evêque depuis temps de droit, d’une part, et Marie-Thérèse Letorey, fille de feu François et de Catherine Vallée, de la parr. Ste Croix de Cormeilles.
343. – Le 27 août 1754, dispense de bans pour le mariage entre Me Jacques-Philippe Duchemin, avocat, fils de feu Me Jacques-Auguste Duchemin, aussi avocat, et de dame Jeanne-Angélique Train, d’une part, et damlle Marie-Charlotte Le Courtois, fille de M9 Thomas-Charles Le Courtois, avocat, et de dame Marie Troussel, tous deux de la parr. de Pont-l’Evêque .
378. – Le 18 oct. 1754, Mesre Louis-Olivier de Varin de Beauchamp, pbfë, curé de Berthouville et depuis pourvu de la cure de Pierrefitte, donne sa procuration pour résigner led bénéfice de Pierrefitte entre les mains de noble dame Marie-Geneviève Baudry, Vve de Mre Charles-André de Quintanadoine, seigr de Betteville, dame et patronne de Pierrefitte, Ticdeville et Heurville-en-Caux, demeurant à Pont-l’Evêque .
388. – Le 6 janv. 1755, dispense de bans pour le mariage entre Pierre Varin, sr de Bouclon, fils de feu Pierre Varin et de noble dame Antoinette de Borel, originaire de la parr, du Fournet et demeurant à Pont-l’Evêque , d’une part, et Marie-Louise-Dorothée Lemoine, fille de Louis-Julien Lemoine et de Marie-Françoise Defrance, de la parr, deSt-Hymer.
401 . – Le 29 janv. 1755, dispense de bans pour le mariage entre Etienne Le Chevallier, Me apothicaire, fils de feu Etienne Le Chevallier, et de feue dame Louise Robinet, originaire de la parr. St-Léonard d’Honfleur, demeurant depuis temps de droit en la parr, de Pontl’Evêque, d’une part, et dlle Thérèse-Catherine Le Roux, fille de feu Robert, demeurant aussi à Pont-l’Evêque .
80. – Le 28 février 1755, Me Jacques Hamelin, sr des Essarts, docteur en médecine, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, M9 Gilles-Jacques-Philippe Hamelin, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jacques Cordier, contrôleur des titres, et Charles Fouet, conser procureur du roy en l’amirauté de Dives et procureur en l’élection de Pont-l’Evêque, demeurant l’un et l’autre en lad. ville.
118. – Le 1er sept. 1755, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Baptiste Duval, sergent royal au bailliage d’Auge, fils de feuMe Robert Duval, huissier audiencier au même siège, et de Jeanne-Françoise Lemoine, de la parr. de Pont-l’Evêque , d’une part, et Catherine-Thérèse Leloup, fille de Jean-Pierre Leloup de la Couture et d’Elisabeth Leproux, de la parr, de St-Etienne-la-Thillaye, et lad. fille demeurant aussi à Pont-l’Evêque .
143. – Le 29 sept. 1755, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Henry-Jacques-François-Aimé Daniel, chevr, seigr et patron de Grangues et du Breuil, fils de feu Mesre Henry-Jean-Robert Daniel, chevr, seigr et patron de Grangues et du Breuil, chevalier des Ordres royaux et militaires de N.-D. du Mont-Carmel et de St-Lazare, lieutenant pour le roy.au gouvernement de Lx, et de feue noble dame Louise-Marguerite Le Cloutier de Bois-Hibout, de la parr, de Grangues,
d’une part, et damlle Marie-Anne-Charlotte Quintanadoine de Betteville, fille de feu Mesre Marin-André Quintanadoine, chevr, seigr de Betteville, et de noble dame Marie-Geneviève Baudry, dame et patronne de Betteville, Thiédeville, Eurville et St-Denis de Pierrefitte, demeurant en la parr. de Pont-l’Evêque .
42 – Le 30 oct. 1729, Arnoult Le Petit, fils de Paul et de Magdeleine Vannier, de la parr. de Pont-l’Evêque , reçoit à Lx la tonsure et les ordres mineurs des mains du seigr évoque de Boulogne.
43. – Le 8 févr. 1757, dispense de bans pour le mariage entre Me Charles-François Fouet, avocat au bailliage d’Auge, changeur royal en titre des monnaies, fils de feu Me Charles Fouet, conser et procureur du roy en l’amirauté de Dives, et de damUe Anne-Angélique Cambremer, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Anne-Françoise de la Vigne, fille de feu Guillaume de la Vigne et de dlle Anne Carel, originaire de la parr, de Rabut et demeurant en celle de Pont-l’Evêque .
140. – Le 19 juill. 1757, dispense de bans pour le mariage entre Gabriel Le Boullanger, fils de feu Gabriel et veuf de Marie-Madeleine Le Court, demeurant à St-Pierre de Touques, d’une part, et Catherine-Gabrielle-Julienne de Goupillère, fille de feu Me Antoine de Goupillère, avocat, et d’Anne de Formeville, de la parr. de Pont-l’Evêque .
154. – Le 6 août 1757, damlle Marie-Barbe Pellerin de la Coudraye, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de Me Jean-François Haraque, acolyte dud. lieu, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente hypothéquée sur un herbage, nommé le Homaron, sis à Bonneville-sur-Touques et appartenant à lad. damlle, est encore garantie par Me Charles Isabel, pbre, et par Me Pierre Lemercier, aussi pbre, demeurant l’un et l’autre à Pont-l’Evêque. Fait et passé en la maison dud. sr Isabel.
Me Pierre Lemercier, pbre du diocèse de Lx, habitué en la parr. de Pont-l’Evêque , refusa de prêter le serment schismatique en 1791. L’année suivante il partit en exil et se réfugia d’abord à Portsmouth, puis à Portsea où il logea rue Glovveester, 20. Nous ne retrouvons plus son nom nulle part après la Révolution ; il paraît certain qu’il mourut en Angleterre. (Archives du Calvados.-Mss de Reux.)
155. – Le 5 août 1757, Me Charles Louvet, greffier au bailliage de Pont-l’Evêque , y demeurant, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Gabriel-François Louvet, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente, hypothéquée sur une pièce de terre, nommée le lieu des Fondis, appartenant aud. sr Louvet et située « aux écarts de cette ville », est encore garantie par Me Jacques Cordier, contrôleur des actes des notaires de Pont-l’Evêque , y demeurant, et par Me Gabriel-Joseph Gibon de la Rue, directeur des Archives du domaine d’Auge, demeurant aussi en lad. ville. Fait et passé à Pont-l’Evêque .
226. – Le 6 févr. 1758, dispense de bans pour le mariage entre François-Jacques Béquet, originaire de St-Jacques de Lx et demeurant depuis temps de droit en celle de St-Désir, fils de feu Me Jacques Béquet, médecin, et de dame Marie Sonnet, d’une part, et dlle Marie-Anne-Marguerite-Gabrielle Regnault, fille de Me Jean-Pierre-Charles Regnault de Rousseville, avocat au bailliage d’Auge, et de dame Marie-Suzanne-Geneviève Ameline de Fréville, de la parr. de Pont-l’Evêque .
Suit la dispense de parenté au 3e degré entre lesd. parties et la permission de fiancer et marier le même jour.
58. – Le 2 janv. 1759, Marie-Magdeleine Hain, Vve de Vincent-François Le Cordier, sr du Mesnil, officier chez le roy, demeurant en la parr, de St-Julien-sur-Calonne, constitue 150 livres de rente en faveur de Me Jean-François Hotot acolyte de Pont-l’Evêque , afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jacques Cordier, contrôleur des actes des notaires, et Me Nicolas-Augustin Roque, procureur en l’élection, demeurant à Pont-1’Evèque.
Mr Hotot resta prêtre habitué à l’pont-l’évêque. En 1791, il refusa le serment schismatique et fut enfermé aux Carmes de Caen en 179’4. Il mourut à Pont-l’Evêque en 1803. [Liste de M. de Formigny – Ordo de Bx, année 1805).
140. – Le 10 sept. 1759, dispense de bans pour le mariage entre François- Gabriel Chauffer des Hommes, conser et procureur du roy et de Mgr le duc d’Orléans en la maitrise des Eaux-et-Forêts de la vicomte d’Auge, fils de feu Me François Chauffer, conser et procureur du roy en lad. maîtrise, et dedamlle6 Marie-Anne Du Breuil, d’une part, et noble damlle Alexandre-Cécile-Françoise de Brèvedent, fille de feu Mesre Jean-Baptiste de Brèvedent, chevalier de l’Ordre royal et militaire de St-Louis, capitaine général de la milice garde-côtes du bataillon d’Honfleur, et de feue noble dame Françoise Le Doyen, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque . – Le mariage fut célébré à St-Martin-aux-Chartrains. – Les parents de la future étaient de Genneville.
180. – Le 14 nov. 1759, dispense de bans pour le mariage entre Me Georges-Jacques-Nicole Becquemont, avocat au bailliage d’Auge, fils de feu Me Jacques Becquemont, huissier en l’élection de Pont-l’Evêque, et de Françoise Legrip, de lad. parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et dlle Marie-Catherine-Elisabeth Le Roux, fille de feu Robert Le Roux et de Marie-Catherine Leloup, originaire de la parr. de Clarbec et demeurant aussi à Pont-l’Evêque depuis plusieurs années.
207. – Le 19 janv. 1760, fulmination de la dispense de parenté du 1 au 2e degré pour le mariage entre Nicolas-Guillaume-Justin Cambremer, sr de Croixmare, conser du roy, référendaire en la chancellerie du parlement de Normandie, avocat au grand Conseil, fils de feu Me Nicolas Cambremer, officier en la connétablie, et de dame Anne Thouret, de la parr. de Pont-l’Evêque , d’une part, et dame Anne-Françoise-Jeanne-Marguerite Fouet, vve en secondes noces de Me Gibriel-Louis Le Barbier, conser du roy, lieutenant général de l’amirauté de Dives, et fille de feu Me Charles Fouet, conser et procureur du roy en l’amirauté de Dives, et de dame Anne-Angélique Cambremer, demeurant aussi en lad. parr, de Pont-1’Evèque. – Suit la dispense de bans.
165. – Le 23 janv. 1762, dispense de bans pour le mariage entre Marc-Antoine Vozaine, fils de Gilbert-Imbert Vozaine, greffier en chef et premier commissaire de police de Clermont-Ferrand, demeurant au Grand-Andelys, et de feue tlame Magdeleine Lagneau, de lad. ville de Clermont, d’une part, et dlle Anne-Charlotte-Eléonore Cordier, fille de Me Jacques Cordier, contrôleur des actes à Pont-l’Evêque , et de dame Elisabeth-Catherine-Eléonore Gilïard, de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
271. – Le 18 sept. 1762, dispense de bans pour le mariage entre Joseph Ferey, exécuteur des sentences criminelles, fils de feu François et de Gabrielle-Angélique Le Marchand, originaire de Pontaudemer et demeurant depuis plus de dix ans en la ville de la Rochelle, parr. N.-D., d’une part, et Marie-Jeanne La Caille, fille de Charles
La Caille, aussi exécuteur des causes criminelles, et de Marie-Jeanne Le Marchand, originaire de la parr. de Pont-l’Evêque et y demeurant.
118. – Le 16 juillet 1763, dispense de bans pour le mariage entre Charles Hamelin, fils de Me Jacques Hamelin des Essards, docteur en médecine, et de feue dame Marguerite Train, d’une part, et damlle Françoise-Elisabeth Le Cordier, fille de feu Me François Le Cordier, maître-chirurgien, et de dame Elisabeth Osmont, tous deux de la parr. de Pont-l’Evêque .
193. – Le 20 févr. 1764, dispense de bans pour le mariage entre Mre Charles-François Fouet, seigr de Crémanville, conser du roy, auditeur en la cour des Comptes, Aides et Finances de Normandie, fils de Charles Fouet, conser et procureur du roy en l’amirauté de France pour le siège de Dives, et de feue damlle9 Anne-Angélique Cambremer, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et noble damlle Marie -Adélaïde Danican, fille de feu Mesre Jean-Baptiste-Julien Danican, marquis d’Annebaut, comte de Montfort, vicomte de Pontaudemer et Pontauthou, baron d’Aubigny et d’Annebaut-en-Auge, seigr honoraire de Brestot, Illeville, Valleville et autres lieux, conser du roy en ses conseils, maître
ordinaire en sa cour des comptes de Paris, et de noble dame Claude-Charlotte de Thilly de Blaru, de la parf. St-Rochde Paris.
253. – Le 1er juin 1764, dispense de bans pour le mariage entre Louis-Charles Labbé, Escr, fils de Mesre Michel-Joseph Labbé, chevr, seigr de Druval, et de feue noble dame Marie-Barbe de Perceval, demeurant à Druval, d’une part, et noble damlle Marie-Magdeleine-Gabrielle Le Goueslier de Putot, fille de feu Mesre Antoine-Jacques Le Goueslier, sr de Montcarel, et de feue noble dame Magdeleine Le Brun, de la parr, de Pont-l’Evêque .
359- – Le 11 juin 1764, vu l’attestation du sr Besnier, curé de Pont-l’Evêque , et du sr Bosquet, vicaire de St-Sylvestre de Cormeilles, dispense de bans pour le mariage entre Mesre François-Charles de Vauquelin, Escr, sr dela Brosse, officier au régiment royal de Roussillon, fils de feu Charles de Vauquelin, Esc, sr delà Brosse, et de feue damlle Anne de Pellegars,de lad. parr. deSt-Sylvestre, d’une part, et damlle9 MarieAnne de Clinchamps, vve de Mesre Gabriel de Boisdelaville, Escr, seigr du Theil et de Boisdelaville, et fille de feu Jean-Baptiste de Clinchamps,
Escr, seigr de Trousseauville et autres lieux, et de feue damlle Marie-Hyacinthe de Boucquetot, de la parr, de Pont-l’Evêque .
285. – Le 10 sept. 1764, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Joseph-Chrysostome Le Terrier, Escr, fils de feu Mesre FrançoisCharles Le Terrier, Escr, sr de Clermont, et de noble dame Magdeleine de Dramare, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et noble damlle9 Marie- Magdeleine de Morsent, fille de Jean-Claude de Morsent, Escr, seigr de Trousseauville, et de noble dame Marguerite Le Grix, de la parr, de Fatouville.
293. – Le 1er oct. 1764, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Anne-Jacques-Louis-Claude Dufour, Escr, sr de la Tuillerie, fils de Mesre Charles-François Dufour, Escr, et de feue noble dame MarieAnne Loison de la Mesline, demeurant en la parr, de Silly, diocèse de Séez, d’une part, et damlle Esther-Félicité de la Rocque, fille de Mesre Pierre de la Rocque de Bernière, chevr, seigr et patron honoraire de Surville, Montfort et Brilly, conser du roy, lieutenant général civil, criminel et de police, commissaire enquêteur, examinateur au bailliage d’Auge, et de noble dame Jeanne-Esther de Hébert de Bailleul, de la parr, de Pont-l’Evêque .
5. – Le 26 nov. 1764, dispense de bans pour le mariage entre Pierre Corneille, fils de feu Jacques et de damlle Catherine Hannegué d’Ardencourt, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Marie-Magdeleine Crevel, ancien procureur au bureau des Finances de Caen, et de Magdeleine Guesdon, de la parr, de St-Jean de Caen.
114. – Le 16- mai 1765, dispense de bans pour le mariage entre Jean Daufresne, marchand, fils de feu Jean et de feue dame Marie-Anne Michault, de la parr. Ste Catherine d’Honfleur, d’une part, et dlle Catherine-Jeanne Véron de Ste Marie, fille de Me Jean-Baptiste Véron de Ste Marie, directeur des Postes à Pont-l’Evêque , et de feue dame Jeanne-Françoise Louvet, de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
133. – Le 20 juillet 1765, dispense de bans pour le mariage entre Maurice Le Doulx, officier de la maréchaussée, fils de François Le Doulx de Glatigny , ci-devant officier de la maréchaussée, et de dame Marie-Marguerite Duchemin, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Marie-Françoise Poignant, lille de feu Pierre
Poignant, de la parr, des Authieux-sur-Corbon.
146. – Le 27 août 1765, dispense de bans pour le mariage entre Jacques-Thomas-Benjamin Le Courtois, fils de Me Thomas-Charles Le Courtois, avocat en parlement, et de feue dame Marie Troussel, de la parr. de St-Michel de Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Marie-Magdeleine-Elisabeth Tardif, fille de Nicolas et de feue Marie-Geneviève Delabos, de la parr, de St-Germain de Lx.
159. – Le 30 sept. 1765, dispense de bans pour le mariage entre M Jacques-Charles Louvct, procureur en l’élection de Pont-1’Evèque, fils de feu Me Charles Louvet, greffier du bailliage d’Auge, et de Catherine-Elisabeth Pellerin, d’une part, et Marie-Anne-Jacqueline Lefèvre, fille de feu M Jean-Philippe Lefèvre et d’Anne Delauney,, tous deux de la parR, de Pont-l’Evêque .
168. – Le 21 oct. 1765, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Baptiste Patin, huissier audiencier au bailliage d’Auge, fils de feu Romain, d’une part, et Marie-Françoise Alleaume, fille de feu Robert, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
297. – Le 29 juin 1766, dispense de bans pour le mariage entre Charles-Jean-Baptiste Alleaume, fils de feu Charles, d’une part, et Marie-Louise-Charlotte Rocques, fille de M6 Nicolas Rocques, procureur postulant en l’élection du Pont-l’Evêque, et de Marie-Magdeleine6Catherine Viquesnel, de là parr, de Pont-l’Evêque .
304. – Le 11 juillet 1766, dispense de bans pour le mariage entre Me Jacques Delivet, avocat, fils de Guillaume et de CatherineCécile Gannel, demeurant à Lx, parr. St-Germain, d’une part, et damlle9 Jeanne-Françoise-Elisabeth Train, fille de Louis et d’Agnès-Françoise Houssaye, de la parr. de Pont-l’Evêque
312. – Le 21 juillet 1766, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Baptiste-Louis-Michel Le Chevallier de Surlaville, avocat au bailliage d’Auge, fils de feu Antoine Le Chevallier et de feue damlle Louise Robinet, originaire de Ste Catherine d’Honfleur et demeurant à Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Marie-Jeanne-Elisabeth Duchemin, fille de feu Me Jacques-Auguste Duchemin, avocat au bailliage d’Auge, et de dlle Jeanne-Angélique Train, aussi de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
313. – Le 21 juill. 1766, dispense de bans pour le mariage entre Pierre-Joseph Isabel, fils de feu Alexandre, de la parr. de Pont-l’Evêque, d’une part, et damlle Elisabeth-Marguerite David, fille de Silvain David, Esc-, seig r de Bergirioux, et de noble dame Elisabeth Cavier, originaire de la parr, de Menain-la-Ville (Menainville) (?), diocèse de Blois, et demeurant à Pont-l’Evêque depuis plusieurs années.
319. – Le 11 août 1766, dispense de bans pour le mariage entre Charles-Adrien de Buschard, Esc, sr de Colbos, fils de Pierre-Adrien et de noble dame Marguerite-Suzanne Descalles, demeurant à Epréville-sur-Fécamp, diocèse de Rouen, d’une part, et noble damlle Thérèse-Marguerite Le Goueslier, fille de feu Mr Le Goueslier de Montcarel, conser du roy, commissaire-examinateur au bailliage d’Auge, et de noble dame Marguerite de Rivière, de la parr, de Pont-l’Evêque .
325. – Le 24 août 1766, dispense de bans pour le mariage entre René-Charles de Lannoy, chevr, chevalier de l’Ordre royal et militaire du Christ, conser du roy, président en l’élection de Pont-l’Evêque , fils de feu Me Charles de Lannoy, aussi président en la même élection, et de noble dame Marie-Anne du Chàtel, demeurant à Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Marie-Anne-Noël Le Prévost du Bouillon, fille de de Mesre Jean-Jacques-Gabriel Le Prévost, seigr et patron de St-Jean-des-Baisants, et de noble dame Marie-Catherine de Hérouard, de lad.parr, de St-Jean-des-Baisants, diocèse de Bayeux.
19. – Le 23 oct. 1766, vu l’attestation du sr Blanchemain, vicaire de Ste Croix de Cormeilles, dispense de bans pour le mariage entreJean-Baptiste Isabel, huissier en l’élection de Pont-l’Evêque , veuf de Marie-Louise Bailleul, et fils de feu Jean-Pierre, de la parr. de Pontl’Evèque, d’une part, et Marie-Louise-Claude Foret, fille de Jean-Baptiste et d’Anne-Claude Moisson, de lad. parr. de Cormeilles.
180. – Le 10 août 1767, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Pierre Lesueur, fils mineur de Me Pierre Lesueur, avocat aubailliage de Pont-l’Evêque , et de dame Françoise-Anne De Villers, demeurant à Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle6 Geneviève-Rosalie Sagot du Mont-Jean, fille de Geoffroy-Joseph Sagot du Mont-Jean,lieutenant-général civil et criminel et de police du siège de bailliage et
vicomte de Gournay-en-Bray, et de Marie-Louise-Adrienne Dufour, demeurant en la parr. de Gournay.
184. – Le 31 août 1767, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Baptiste Le Grix, conser du roy et son avocat général au bailliage d’Auge, demeurant à Pont-l’Evêque , fils de feu Me GabrielLe Grix. notaire du roy, et dame Catherine Lelièvre, d’une part, et dlle Jeanne-Barbe Hauvel, fille de feu Gabriel Hauvel, négociant, et de
dame Barbe-Charlotte Piqucnot, de la parr, de St-Jacques de Lx.
315. – Le 25 nov. 1767, dispense de bans pour le mariage entreClaude-François Le Carpentier, conser du roy, maître particulier des Eaux et Forêts du bailliage d’Auge, originaire de Criqueville et demeurant à Pont-1’Evèque, fils de feu Nicolas Le Carpentier, conser du roy, lieutenant en l’élection de Pont-1’Evèque, et de dlle Anne De Laplace, d’une part, et dlle Marie-Anne-Catherine Cambremer, fille de Me Jacques Cambremer, avocat au parlement de Paris, et de feue dlle Catherine Blancard aussi de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
346. – Le 9 févr. 1768, dispense de bans pour le mariage entre François Le Cordier, demeurant à Pont-l’Evêque , fils de feu Jean-François et de Marie Gamare, demeurant aux Authieux-sur-Calonnc, d’une part, et Suzanne-Marguerite-Rose Regnault, fille de feu Jean-Pierre-Charles Regnault, avocat, et de Marie-Suzanne-Geneviève-Amélinede Fréville, de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
39. – Le 10 sept. 1768, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Jacques-David Train, fils de feu Jacques-David, de la parr. dePont-1’Evèque, d’une part, et dlle Catherine-Thérèse Thillaye, fille de feu Me Jérôme Thillaye, docteur en médecine, et de dame Catherine Leloup, originaire de la parr, de St-Etienne-la-Thillaye et demeurant en lad. parr. de Pont-l’Evêque .
80. – Le 20 janv. 1769, dispense de bans pour le mariage entre Me Pierre-François Moutier, sr du Bois, avocat au bailliage d’Auge, fils de feu François et de dame Catherine Thorel, originaire de Leaupartie et demeurant ii Pont-l’Evêque , d’une part, et damlle Marie-Anne-Louise Vaultier, fille de feu Me Jean-Baptiste-Philippe Vaultier, sr d’Amertin (?) avocat, et de dame Marie-Anne Duval, originaire de la parr. de St-Patrice de Rouen et demeurant aussi en celle de Pont-l’Evêque .
Pont-l’Evêque (Saint Michel)
Curé. – Jn Besnier
Vicaires. – P. Bottey – David – (J.-B.) Lalouette .
Prêtres de la paroisse. – C. IsabeL -J.-M.-A. Le Houes,- – P. Le Mercier –
B. Lemonnier. – J.-E. Main.
Clercs. – G.- Jq-Ph. Hamelin – J.-F. Baraque – J.-F. Hottot – M. Le Goueslier, -Legrip – P. Le Mercier – J.-A.-F.Lemonnier – J.-B. Lemonnier – A. Le Petit, – C.-M. Le Truand – J.-G. Louvet – O.-F. Morel – F.-R. Oriot -P. Satis.
Seigneurs et notables. – G. Alleaume – C.-J.-B. Alleaume,- G. -A. Aubert – J Baudel .- G.-Jl-N. Becquemont – Jq Becquemont – J. Bicherel- N.-A. Bréard,- Jq Cambremer – N. Cnmbremer – N.-G.-J. Cambremer de Croixmare-J.-J.-M. Fond.- F. Chauffer- F. -G. Chauffer .-J.-B. de Clinchamps – M.-A. Coquet de Genneville .- D. -A. Cordier des Granges – J.-B.-J. Cordier de Boismaison – Jq Cordier – Jq Cordier des Fontaines – Jq Corneille – P. Corneille – P. Crèps – S. David de Bergirioux – Jq-A. Duchemin – K-P. Duchemin.- J.-B. Duval – R. Duval – J.-P. Fécamp – Jh Féret – C. Fouet – -F. Fouet, – F. Gibon de la Rue – J.-G.-J. Gibon de la Rue, – A. de Goupillère – C. Hamelin. – J.q Hamelin des Essaies – L.-D. Helliot.- J.-C.Herval- A. Label – J.-J. Isabel – J.-P. Isabel, – J.-B. Isabel.-L. Bailleul .-L.-C. Féret- P.-J Isabel – M.-.I. Labbé deDruval – O.-L. Labbé de Druval – Jq Labbey du Moutiër – L.-J.-A. Labbey – C, Lacaille – C. de Lannoy .- R.-C. de Lannoy.- J-Jh Le Bailly, -r- C.-F. Lecarpentier – E. Le Chevallier – J.-R.L.-M. Le Chevallier de Surlaville – F. Le Cordier -F. Le Cordier, fils – A.-L. Le Court de Noirval – D.-B.-F. Le Courtois – F.-C. Le Courtois – Jq-B.-T. Le Courtois -P. -T. C. Le Courtois – T.-C. Le Courtois – F. Le Doulx de Glatigny – L. Le Doulx- M. Le Doulx – J.-P. Lefèvre – M.-M.-C. Le Goueslier de Putôt .- A.-.L Le Goueslier de Montcarel .- R.-P. Legrip, – L.-F.-F -R.-P. Legrip – G. Le Grix – J.-B. Le Grix – J.-J. Lelièvre – M. -P. Leloup – Jn-P. Leloup – P. Leprevost – R. Leroux, – P. Le Sueur – J »P. Le Sueur – F.-C. Le Terrier – J.-C. Le Terrier.- T. Levasseur, – C. Loinet – Jq-C. Louvet – C.-G. Main – G. de Mannoury – O.-F. Martin – F.-J. de Mire – G. du Mesnil .-F. Moutier du Bois – P -F. Moutier du Bois – J.-B. Batin – M.-B. Pellerin de la Coudraye – Jl. Postel, fils Jq – J.-B. Queruel, – F. -J.-B. Queruel – M.-C.-A. de Quintanadoine de Betteville – J.-P.-C. Regnault de Rousseville – N.-A. Roques – F. -H. de la Roque – P. de la Roque de Bernière – Jq. du Saussey – Y. Selot – J.-P. de la Taille – N.-J.-F. Thierry – G. Thouret – Jq Train- J.-D. Train – J.-J -D. Train – J.-E. Train des Forges – L. Train – J.-P. Varin. .-L.-D. Lemoine -J.-B. Véron de Sainte-Marie.
61. – Le 28 mai 1770, dispense de bans pour le mariage entre Me Charles-Gilles-Antoine Aubert, avocat, fils de feu Gilles, de la parr. de Pont-l’Evêque , d’une part, et dlle Marguerite-Catherine-Félicité Morin des Closions, fille de Jacques-Antoine des Closions, ancien lieu- tenant d’infanterie de milice en l’île et bourg de St-Pierre de la Martinique, et de feue dame Anne Dartigues, originaire de lad. île de la Martinique et demeurant à Honfleur, parr. Ste Catherine.
163. – Le 22 juin 1770, la nomination à la cure de St-Michel de Pont-l’Evêque appartenant au chapitre de N.-D. de Cléry, les srs chanoines de lad. collégiale nomment à cette cure, vacante par la mort de Me Julien Besnier, dernier titulaire, la personne de Me Julien-François Morel, pbfë du diocèse d’Avranches, l’un des habitués de lad. Eglise de Cléry.
Le 12 juillet 1770, le seigr évêque, étant au château des Loges, donne aud. sr Morel la collation dud. bénéfice en présence d’un ouvrier, charpentier et d’un terrassier. Le 11 déc. 1770, le sr Morel prend possession de la cure de Pont-l’Evêque , en présence de Me Charles Isabel ; Me Pierre-Louis Montagne ; Me Michel Letruand ; Me Jean-Etienne Main ; Me Jean-Baptiste Lemonnier, tous pbrës, demeurant en la parr, de Pont-l’Evêque ; Me Jean-François Gardin, curé de Bonneville-sur-Touques, et autres témoins.
Le 30 janv. 1778, Me Julien-François Morel, pbfê, curé de Pont-l’Evêque , étant devenu malade de la vue, résigne sad. Cure avec l’autorisation des srs chanoines et chapelains de l’église collégiale de Cléry, en faveur de Me Louis Morin, pbrë, curé de N.-D. du Tanu,diocèse de Coutances.
Le 10 avril 1778, le sr Louis Morin pbrë de la ville de Lx, parr. St-Germain, présent en personne, prend possession de la cure de Pont-l’Evêque,
Mr Morin refusa, le 27 févr. 1791, de prêter serment à la Constitution civile du clergé.
Il fut destitué et remplacé par J.-B. Bourrée, prêtre assermenté de la paroisse. Il resta encore à Pont-l’Evêque jusqu’au 2 juin, et puis il partit pour l’exil et se réfugia à Portsmouth. Il mourut sur la terre étrangère, à Dusseldorf, en 1795. (Archives municipales de Pont-l’Evêque. – Mss de Reux.)
75. – Le 15 sept. 1772, dispense de bans pour le mariage entre Louis-Charles Bretocq, fils de Louis Bretocq, conser du roy, élu en l’élec- tion de Pont-l’Evêque , et de dame Marie-Magdeleine Delauney, de la paîr. de Beaumont, d’une part, et dlle Marie Londe, fille de Jean-Baptiste, de la parr, de Putot.
78. – Le 22 sept. 1772, vu l’attestation du sr Lalouette, vicaire de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre Mesre CharlesFrançois Fouet de Crémanville, Escr, conseiller honoraire de la cour des Comptes, Aides et Finances de Normandie, veuf de noble dame Marie-Magdeleine Dasnières d’Annebault, fils de feu Mr Charles Fouet et de feue dame Anne-Angélique de Cambremer, demeurant aud. lieu de Pont-l’Evêque , d’une part, et dlle Magdeleine Marais, fille de Mr Nicolas Marais, négociant, et de dame Marthe Pinel, demeurant à Rouen, parr, de N.-D. -la-Ronde.
118. – Le 16 févr. 1773, dispense de bans pour le mariage entre Louis-Adrien Robillard, contrôleur ambulant des aides, demeurant à Rouen, parr. St-Cande, fils majeur de Me Jean-David Robillard, conser du roy, lieutenant particulier honoraire en la maîtrise des Eaux et Forêts de Caen, et de dame Louise-Luce Gaillard La Vallée de Glatigny, demeurant à Caen, parr. St-Pierre, d’une part, et dlle Luce-Renée Le
Prévost de Miette, fille mineure de Mesre Marc-Antoine Le Prévost, Escr, seigr de Miette, et de noble dame Louise Fortin, demeurant en la parr. de Noron, diocèse de Séez, et lad. dlle demeurant à Pont-l’Evêque . Suit la dispense de l’empêchement de parenté au 3e degré existant entre lesd. parties.
205. – Le 20 juillet 1773, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Jacques-Louis-Joseph Le Court de Bellecour, lieutenant au régiment du colonel général-cavalerie, originaire de la parr, de Boissy Maugis, diocèse de Chartres, généralité d’Alençon, demeurant en la ville de Pont-l’Evêque , fils de feu Mesre Joseph-Alexandre-Vincent Le Court de Bellecour et de noble dame Catherine-Anne de Barville, d’une part, et demlle Marie-Anne-Jeanne-Charlotte Queruel, fille de feu François-Jean-Baptiste et de dame Marie-Anne Paris, ayant demeuré pendant un an en la ville d’Honfleur, parr. Ste Catherine, au couvent de bas, et demeurant actuellement en lad. parr. de Pont-1’Evèque.
368. – Le 9 août 1774, dispense de bans pour le mariage entre François-Jean-Baptiste Hamelin Bosfiquet, fils de Me Jacques Hamelin des Essarts, docteur en médecine, et de feue dame Marie-Marguerite Train, d’une part, et dlle Françoise-Jacqueline lsabel de Montviette, fille de feu Jean-Jacques lsabel de Beaulieu et de feue dame Françoise Le Normand, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
375. – Le 3 sept. 1774, dispense de bans pour le mariage entre Pierre Bordeaux, sr des Bares, Escr, demeurant à Pontallery, fils de feu Charles et de Marie Labbé, d’une part, et Françoise-Agnès Renault, fille de Jean Renault, changeur en titre des monnayes, et de Françoise Satis, de la parr, de Pont-l’Evêque .
30. – Le 23 janv. 1775, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Baptiste-Philippe-Nicolas-Réné Laumosnier, a Me ès-arts de la faculté de Paris et en chirurgie, de la ville de Lx, y demeurant parr. St-Germain, » fils de feu Philippe et de Marie Desclos, d’une part, et dIle Marie-Anne-Sainte Thouret, fille de Me Guillaume Thouret, ancien notaire royal a Pont-1’Evèque, et de feue Marie-Sainte Domin, de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
102. – Le 9 mai 1775, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Jacques-Philippe-Louis-Charles-François Isabel d’Ecots, avocat, fils de feu Jean-Jacques Isabel de Beaulieu, et de Françoise Le Normand, de la parr. de Pont-l’Evêque, d’une part, et dlle Marie-Anne de Launey, fille de Jean et de Marie-Anne Durand, de la parr, de Launey-sur-Calonne.
131. – Le 23 oct. 1775, dispense de bans pour le mariage entre Me Nicolas-Augustin Bréard, homme veuf, greffier en la maitrise des Eaux et forêts de Pont-l’Evêque , y demeurant, d’une part, et dlle Catherine-Elisabeth Querruel, fille de feu Jean-Baptiste et d’Anne Le Cordier, aussi de lad. ville de Pont-l’Evêque.
Suit la dispense de l’empêchement d’affinité, au 2e degré, obtenue en cour de Rome par les parties.
134. – Le 30 janv. 1778, Me Julien-François Morel, pbfê, curé de Pont-l’Evêque , étant devenu malade de la vue, résigne sad. Cure avec l’autorisation des srs chanoines et chapelains de l’église collégiale de Cléry, en faveur de Me Louis Morin, pbrë, curé de N.-D. du Tanu, diocèse de Coutances, demeurant actuellement à Caen, parr. St-Jean ; et led. sr Morin, représenté par son oncle, Me François Morin, pbfê, bachelier de Sorbonne, titulaire de la chapelle N.-D., lre portion, en la Cathédrale de Lx, demeurant parr. St-Jacques, résigne aussi sa cure du Tanu en faveur dud. sr Morel, le tout pour cause de mutuelle permutation. Fait et passé à Lx, en présence de Me Jacques Coquerel, pbrë habitué en l’église St-Germain de Lx, et autres témoins. Le lendemain, le seig1′ évoque donne aud. sr Louis Morin la collation dud. bénéfice de Pont-l’Evêque . Le 10 avril 1778, le sr Louis Morin pbrë de la ville de Lx, parr. St-Germain, présent en personne, prend possession de la cure de Pont-l’Evêque, en présence de Mes Charles Isabel, Pierre-Louis Montaye ; Etienne-Philippe Buisson ; Jean-Baptiste Le Monnier et Jean-Auguste-François Le Monnier, frères ; Jean-François Hotot, tous pbfês dud. lieu; Me Jean-Baptiste-Ursin Querrey, pbrë, chapelain du couvent de Pont-l’Evêque ; Me Claude Bunel, vicaire de la parr. ; Me Nicolas Lefèvre, pbrë, curé de Branville.
Mr Morin refusa, le 27 févr. 1791, de prêter serment à la Constitution civile du clergé.
Il fut destitué et remplacé par J.-B. Bourrée, prêtre assermenté de la paroisse. Il resta encore à Pont-l’Evêque jusqu’au 2 juin, et puis il partit pour l’exil et se réfugia à Portsmouth. Il mourut sur la terre étrangère, à Dusseldorf, en 1795. (Archives municipales de Pont-l’Evêque. – Mss de Reux.)
193. – Le 1er juin 1778, dispense de bans pour le mariage entre M9 Jacques Daufresne, avocat, fils de Me Jacques-Louis Daufresne, notaire à Lx, et de dame Marie-Anne De la Rue, demeurant à Pont-l’Evêque depuis temps de droit, d’une part, et dlle Louise-Catherine-Thérèse Le Chevalier, originaire de lad. parr, de Pont-l’Evêque et y demeurant, fille de Hugues-Etienne-Charles Le Chevalier et de feue dame Catherine-Thérèse Le Roux.
198. -Le 18déc. 1762, Jean-Baptiste Manson, fils d’Adrien et de Marie-Magdeleine Jolly, de la parr, de Pont-l’Evêque , reçoit la tonsure à Lx. Le 11 mars 1769, il est ordonné prêtre.
370. – Le 15 mars 1779, dispense de ban pour le mariage entre Charles-Félix Troussel, demeurant en la ville de Magny-en-Vexin, diocèse de Rouen, fils de Me Jacques Troussel et de dame Jeanne-Françoise Osmont, de la parr, de Pont-l’Evêque d’une part, et dlle Charlotte-Antoinette-Germaine de Coursy, fille mineure-de feu Me Louis-Charles Germain de Coursy, avocat, et de dame Charlotte-Ignace Guillemin Duval de St-Eugène, de lad. parr, de Magny.
61. – Le 28 mai 1770, dispense de bans pour le mariage entre Me Charles-Gilles-Antoine Aubert, avocat, fils de feu Gilles, de la parr. de Pont-l’Evêque , d’une part, et cl lle Marguerite-Catherine-Félicité Morin des Closions, fille de Jacques-Antoine des Closions, ancien lieu- tenant d’infanterie de milice en l’île et bourg de St-Pierre de la Martinique, et de feue dame Anne Dartigues, originaire de lad. île de la Martinique et demeurant à Honfleur, parr. Ste Catherine.
163. – Le 22 juin 1770, la nomination à la cure de St-Michel dePont-l’Evêque appartenant au chapitre de N.-D. de Cléry, les srs chanoines de lad. collégiale nomment à cette cure, vacante par la mort de Me Julien Besnier, dernier titulaire, la personne de Me Julien-François Morel, pbfë du diocèse d’Avranches, l’un des habitués de lad. Eglise de Cléry.
Le 12 juillet 1770, le seigr évèque, étant au château des Loges, donne aud. sr Morel la collation dud. bénéfice en présence d’un ouvrier, charpentier et d’un terrassier. Le 11 déc. 1770, le sr Morel prend possession de la cure de Pontl’ Evoque, en présence de Me Charles Isabel ; Me Pierre-Louis Montagne ; Me Michel Letruand ; Me Jean-Etienne Main ; Me Jean-Baptiste Lemonnier, tous pbrës, demeurant en la parr, de Pont-l’Evêque ; Me Jean-François Gardin, curé de Bonneville-sur-Touques, et autres témoins.
246. – Le 17 mai 1771, dispense de bans pour le mariage entre Me Pierre-François Lefebvre, sr des Mares, inspecteur des droits et insinuations laïques de l’apanage dans l’étendue du bailliage et du vicomte d’Auge, fils de feu Jean-Baptiste Lefebvre, bourgeois de Lx, et de dame Marguerite Buisson, originaire de la pari, de St-Germain
de Lx et demeurant à Pont-1’Evôque d’une part, et dlle Marie-Louise – Reine Dinet, fille de l’eu Me Louis Dinet, receveur général des Aides à Pont-l’Evêque , et de dame Catherine Dupuis, de lad. ville de Pont-l’Évêque.
78. – Le 22 sept. 1772, vu l’attestation du sr Lalouette, vicaire de Pont-l’Evêque , dispense de bans pour le mariage entre Mesre Charles-François Fouet de Crémanville, Escr, conseiller honoraire de la cour des Comptes, Aides et Finances de Normandie, veuf de noble dame Marie-Magdeleine Dasnières d’Annebault, fils de feu Mr Charles Fouet et de feue dame Anne-Angélique de Cambremer, demeurant aud. lieu de Pont-l’Evêque , d’une part, et dlle Magdeleine Marais, fille de Mr Nicolas Marais, négociant, et de dame Marthe Pinel, demeurant à Rouen, parr, de N.-D. -la-Ronde.
108. – Le 11 janv. 1773, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean Thiron, procureur, fils de feu Simon et de feue Françoise Dorléans, demeurant à Pontaudemer, parr. St-Ouen, d’une part, et dlle Jeanne-Charlotte-Catherine Paris, fille de feu François et de dame Jeanne-Charlotte-Catherine Morin, originaire de la parr. de St-Jacques de Lx et demeurant à Pont-l’Evêque .
118. – Le 16 févr. 1773, dispense de bans pour le mariage entre Louis-Adrien Robillard, contrôleur ambulant des aides, demeurant à Rouen, parr. St-Cande, fils majeur de Me Jean-David Robillard, conser du roy, lieutenant particulier honoraire en la maîtrise des Eaux et Forêts de Caen, et de dame Louise-Luce Gaillard La Vallée de Glatigny, demeurant à Caen, parr. St-Pierre, d’une part, et dlle Luce-Renée Le Prévost de Miette, fille mineure de Mesre Marc-Antoine Le Prévost, Escr, seigr de Miette, et de noble dame Louise Fortin, demeurant en la parr. de Noron, diocèse de Séez, et lad. dlle demeurant à Pont-l’Evêque .
Suit la dispense de l’empêchement de parenté au 3e degré existant entre lesd. parties.
1205. – Le 20 juillet 1773, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Jacques-Louis-Joseph Le Court de Bellecour, lieutenant au régiment du colonel général-cavalerie, originaire de la parr, de Boissy Maugis, diocèse de Chartres, généralité d’Alençon, demeurant en la ville de Pont-l’Evêque , fils de feu Mesre Joseph-Alexandre-Vincent Le Court de Bellecour et de noble dame Catherine-Anne de Barville, d’une part, et demlle Marie-Anne-Jeanne-Charlotte Queruel, fille de feu François-Jean-Baptiste et de dame Marie-Anne Paris, ayant demeuré pendant un an en la ville d’Honfleur, parr. Ste Catherine, au couvent de bas, et demeurant actuellement en lad. parr. de Pont-1’Evèque.
368. – Le 9 août 1774, dispense de bans pour le mariage entre François-Jean-Baptiste Hamelin Bosfiquet, fils de Me Jacques Hamelin des Essarts, docteur en médecine, et de feue dame Marie-Marguerite Train, d’une part, et dlle Françoise-Jacqueline lsabel de Montviette, fille de feu Jean-Jacques lsabel de Beaulieu et de feue dame Françoise Le Normand, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
375. – Le 3 sept. 1774, dispense de bans pour le mariage entre Pierre Bordeaux, sr des Bares, Escr, demeurant à Pontallery, fils de feu Charles et de Marie Labbé, d’une part, et Françoise-Agnès Renault, fille de Jean Renault, changeur en titre des monnayes, et de Françoise Satis, de la parr, de Pont-l’Evêque .
30. – Le 23 janv. 1775, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Baptiste-Philippe-Nicolas-Réné Laumosnier, a Me ès-arts de la faculté de Paris et en chirurgie, de la ville de Lx, y demeurant parr. St-Germain, » fils de feu Philippe et de Marie Desclos, d’une part, et dIle Marie-Anne-Sainte Thouret, fille de Me Guillaume Thouret, ancien notaire royal a Pont-1’Evèque, et de feue Marie-Sainte Domin, de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
102. – Le 9 mai 1775, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Jacques-Philippe-Louis-Charles-François Isabel d’Ecots, avocat, fils de feu Jean-Jacques Isabel de Beaulieu, et de Françoise Le Normand, de la parr. de Pont-l’Evêque, d’une part, et dlle Marie-Anne de Launey, fille de Jean et de Marie-Anne Durand, de la parr, de Launey-sur-Calonne.
131. – Le 23 oct. 1775, dispense de bans pour le mariage entre Me Nicolas-Augustin Bréard, homme veuf, greffier en la maitrise des Eaux et forêts de Pont-l’Evêque , y demeurant, d’une part, et dlle Catherine-Elisabeth Querruel, fille de feu Jean-Baptiste et d’Anne Le Cordier, aussi de lad. ville de Pont-l’Evêque.
Suit la dispense de l’empêchement d’affinité, au 2e degré, obtenue en cour de Rome par les parties.
193. – Le 1er juin 1778, dispense de bans pour le mariage entre M9 Jacques Daufresne, avocat, fils de Me Jacques-Louis Daufresne, notaire à Lx, et de dame Marie-Anne De la Rue, demeurant à Pon-tl’Evêque depuis temps de droit, d’une part, et dlle Louise-Catherine-Thérèse Le Chevalier, originaire de lad. parr, de Pont-l’Evêque et y demeurant, fille de Hugues-Etienne-Charles Le Chevalier et de feue dame Catherine-Thérèse Le Roux.
198. -Le 18déc. 1762, Jean-Baptiste Manson, fils d’Adrien et de Marie-Magdeleine Jolly, de la parr, de Pont-l’Evêque , reçoit la tonsure à Lx. Le 11 mars 1769, il est ordonné prêtre.
370. – Le 15 mars 1779, dispense de ban« pour le mariage entre Charles-Félix Troussel, demeurant en la ville de Magny-en-Vexin, diocèse de Rouen, fils de Me Jacques Troussel et de dame Jeanne-Françoise Osmont, de la parr, de Pont1’Evêque d’une part, et dlle Charlotte-Antoinette-Gerraaine de Coursy, fille mineure-de feu Me Louis-Charles-Germain de Coursy, avocat, et de dame Charlotte-Ignace Guillemin Duval de St-Eugène, de lad. parr, de Magny.
19. – Le 25 juin 1779, Mr Guillaume Labbé, procureur en l’élec- tion de Pont-l’Evêque , et le sr Antoine Labbé des Fontaines, frères, demeurant en lad. ville, constituent 150 livres de rente en faveur de Me Jean-Pierre-Antoine Labbé (1), acolyte, fils dud. Antoine, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Etienne-Philippe Buisson, pbrê, demeurant à Pont-l’Evêque, et autres cautions. Fait et passé en l’étude de Me Jean-Pierre Varin, notaire à Pont-l’Evêque .
Mr J.-P.-A. Labbé, frère aîné de M. Nicolas-Dominique Labbé, était vicaire de Pont-l’Evêque en 1791. Ils refusèrent tous deux le serment constitutionnel et partirent l’année suivante pour l’Angleterre. Ils se logèrent ensemble à Gosport chez M. James Abraham, vis-à-vis le Temple de Stok. Ils revinrent en France le 18 mai 1802. L’aîné reprit ses fonctions de vicaire à Pont-l’Evêque et y mourut en 1826, à l’âge de 71 ans. (Archives du Calvados. – Mss de Reux. – Ordo de Bx. – Revue Cath. de Normandie. Juillet 1892.)
94. – Le 1er mai 1780, dispense de bans pour le mariage entre Me Luc-Pierre Oger, chirurgien, fils de feu Pierre et de feue Marie Oger, originaire de la parr. de Tribehou, diocèse de Coutances, et demeurant à Pont-l’Evêque depuis plusieurs mois, d’une part, et dame Marie-Angélique-Catherine Longmar, Vve du sr François Gardin, et fille de feu Charles, originaire de la parr. de St-Denis d’Héricourt, diocèse de Rouen, et demeurant aussi à Pont-l’Evêque depuis plusieurs années.
111. – Le 12 juin 1780 dispense de bans pour le mariage entre Me Pierre-Nicolas Boessey, avocat, fils de Nicolas et de Marie-Catherine-Thérèse Hébert, demeurant à Pont-l’Evêque , d’une part, et demlle Marie-Marguerite-Françoise Thorel de la Trouplinière, fille de David et de feue Marie-Françoise Le Rat, de la parr de St-Jacques de Lx
37. – Le 23 oct 1780, Robert Alleaurae, laboureur, demeurant à Valsemey, constitue 150 livres de rente en faveur de Me Nicolas- Pierre-François Lecompte, acolyte de Pont-l’Evêque, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Guillaume Thouret, ancien notaire en lad. ville de Pont-l’Evêque , et par Me Jacques-Charles Louvet, procureur en l’élection de Pont-l’Evêque , y demeurant l’un et l’autre. Fait et passé en lad. ville, en l’étude de Me Jean-Pierre Varin, notaire.
133. – Le 10 sept. 1781, dispense de bans pour le mariage entre Mesre Pierre-Philippe-Gilles-Alexandre de la Roque de Bernière, demeurant à Pont-l’Evêque , fils de feu M. Pierre de la Roque de Bernière, Escr, conser du roy, lieutenant-général au bailliage d’Auge, et de noble dame i Jeanne-Esther Hébert de Bailleul , demeurant en sa terre des Barreaux, parr, de Tourgéville, d’une part, et noble demlle Charlotte-Félicité de Brèvedent, fille de Mes Jean-Baptiste-Esprit de Brèvedent et de noble dame Marie-Anne de Mannoury, de la parr. d’Ablon.
165. – Le 21 janv. 1782, dispense de bans pour le mariage entre Me Gabriel-François Quesnel, avocat, fils de feu François et de feue Catherine Neuville, originaire de la ville de Bernay et demeurant en celle de Pont-l’Evêque , d’une part, et dlle Marie-Françoise-Charlotte Le Doux de Glatigny, fille de feu François et de Marie-Marguerite Duchemin, de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
51 . – Le 18 mars 1783, Pierre Fossé, demeurant à Pont-l’Evêque ,
constitue 150 livres de rente en faveur de Me Pierre-César Varin , acolyte de lad. ville, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Nicolas-Jean-François Thierry, apothicaire, demeurant aussi à Pont-l’Evêque , et par le sr Pierre Thiéry, marchand, demeurant à Repentigny.
M Varin était vicaire d’Auvillars en 1791. Il ne voulut prêter serment qu’avec restriction et fut destitué. Il émigra en 1792 et se retira à Portsmouth chez James Moore, rue du Port. Après la Révolution il revint à Pont-l’Evêque où il resta en qualité de prêtre habitué. Il y mourut en 1816. (Archives du Calvados. – Mss de Reux. – Ordo de Bx.)
134. – Le 2 sept. 1783, dispense de bans pour le mariage entre Me Joseph-François-Guillaume Baudel, receveur des domaines duroy, fils de Guillaume-Antoine et d’Anne Bunel, originaire de la parr de Pont-l’Evêque et demeurant en la ville de Gournay-en-Bray, parr.N.-D., diocèse de Rouen, d’une part, et dem1Ie Marie- Catherine RousselLe Pré, fille de feu Jacques et de Catherine Jourdain, de la parr, de Launay.
143. – Le 13 oct. 1783, dispense de bans pour le mariage entre Messe Félix-Hippolyte de la Roque de Bernière, chevr, seigr de Brilly, capitaine de dragons, lieutenant général au bailliage d’Auge, fils de feu Mesre Pierre de la Roque de Bernière et de noble dame Jeanne-Esther de Habert de Bayeul, de la parr, de St-Michel de Pont-l’Evêque , d’une part, et noble demlle Louise-Elisabeth Marquiez fille de Mes16 Gabriel-Pierre Marquier, chevr, seigr de Villons et autres lieux, et de feue noble dame Marie-Adélaïde d’Aché, delà parr, de Bray-la-Campagne, diocèse de Bayeux.
167. – Le 17 févr. 1784, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Isidore-Agapit Pellecat, fils mineur de Me François-Marie Pellecat, greffier au bailliage, et de Marie Le Manicher d’une part, et Marie-Magdeleine Hubert, fille mineure de Louis-Elie, tous deux de la parr, de Pont-l’Evêque .
307.- Le 23 mai 1784, dispense de bans pour le mariage entre Me Louis-Alexandre Héron, avocat, conser du roy, conseiller au grenier à sel de Danestal, fils de feu Jean-Baptiste et de dame Anne Harel, originaire de la parr, de Glanville et demeurant à Pont-l’Evêque depuis temps de droit, d’une part, et demlle Marie-Magdeleine Duquesney, fils de Louis et de dame Marie Jonquet, originaire de Bonneville-la-Louvet et demeurant aussi à Pont-l’Evêque.
83. – Le 19 août 1785, dispense de bans le mariage entre M. Victor-Guillaume-Michel du Nepveu, avocat au parlement de Normandie, fils de M. Michel-Guillaume et de feue dame Emélie-Annonciade-Victorienne Delauney, de la parr, de Ste Catherine d’Honneur et demeurant depuis temps de droit en celle de Pont-l’Evêque , d’une part, et demlle Marie-Josèphe-Louise-Dorothée Helliot, fille de M. Louis- Jean, de la parr, de Pont-l’Evêque .
177. – Le 15 avril 1786, furent ordonnés sous-diacres : Me Jacques-Luc Martin, acolyte de la parr, de Pont-l’Evêque .
Le 6 avril 1787. – Vendredi-Saint, après midi. – Reçurent la tonsure dans la chapelle de l’évêché : Nicolas-Dominique Labbé, fils d’Antoine et d’Anne Le Blond, de la parr, de Pont-l’Evêque ; Guillaume-Léonor Pelcat, fils de François et de Marie Manicher, de la parf. de Pont-l’Evêque .
103. – Le 6 avril 1786, reçurent les ordres mineurs : Jean-Baptiste Bourée (1), clerc de la parr, de Pont-l’Evêque . Le 21 févr. 1788, Jean-Pierre Joly, marchand, demeurant à Pont-l’Evêque , constitue 150 livres de rente en faveur de Me Jean-Baptiste Bourrée, acolyte de lad. parr., afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Jacques-Guillaume Le Court (2), Escr, sr et abbé de Presle, acolyte, et par Me Jean-Baptiste Isabel, huissier, tous deux demeurant à Pont-1’Evôque. Fait et passé en l’étude de Me Varin, notaire aud. lieu. Led. sr acolyte absent fut représenté dans cet acte par le sr François Bourrée, demeurant à Pont-1’Evcque.
(1) Mr Bourrée était prêtre habitué à Ponl-l’Evêque en 1791. Il parait avoir été fort populaire dans sa ville natale. Il prêta serment à la Constitution civile du clergé et fut élu curé constitutionnel de cette paroisse. Les registres de la municipalité nous le montrent siégeant tout le temps de la Révolution au conseil de la commune. Au mois d’août 1793, quand on célébra la Tête de la Fédération, il chanta solennellement la messe au pied de l’arbre de la Liberté sur l’autel de la Patrie et renouvela plusieurs fois cette cérémonie aux grandes fêles de la Révolution. Il se maria le 3 déc. 1793, et sa postérité ne s’est éteinte qu’en 1874. Il fut nommé sous l’Empire juge de paix à Abbeville (Somme). (Archives municipales de – .)
(2) ) Mr J.-G. Le Court de Presle, né à Brest, paraît être resté toute sa vie dans les ordres mineUrs. Il mourut a Pont-L’évêque en 1796, â l’âge de 76 ans. (Note de Me Le Court,notaire honoraire à Deauville.)
153. – Le 22 décembre 1788, dispense de bans pour le mariage entre Me Jean-Baptiste-Augustin Taillefesse, fils de feu Nicolas-Rémy et de Françoise Bance, originaire de la parr, de parr, de St-Méry-en-Bray et demeurant à Pont-l’Evêque , d’une part, et dell Marie-Anne-Angélique Selot, fille de Me Yves-Richard Selot, avocat, et de dame Marie-Magdeleine Duval, de lad. parr, de Pont-l’Evêque .
30. – Le 7 mars 1789, Nicolas-Dominique Labbey, clerc de la parr, de Pont-1’Evèque, reçoit les ordres mineurs.
Mr N.-D. Labbey était, en 1791, prêtre habitué à Pont-l’Evêque depuis son ordination. Ayant refusé le serment il put desservir encore pendant quelque temps la paroisse de Launay dont le curé mourut celle même année. Mais il lui fallut partir pour l’exil. Il se réfugia en Angleterre avec son frère et ils logèrent ensemble à Gosporl chez James Abraham, vis-à-vis le temple de Fock. M N. D. Labbey ne revint qu’au mois de mai 1802. Il remplit les fonctions de vicaire dans sa ville natale tant que ses forces le lui permirent. Il mourut à Pont-l’Evêque en 1812. (Archives municipales de Pont-1’Eveque. ( Revue catholique de Normandie. 1892. – Mss de Reux. – Ordo de Bx.)
121 . – Le 21 août 1790, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Philippe Hervier, chirurgien, fils de Philippe et de Marie-Rose Mariolle, de la parr, de Pont-l’Evêque , d’une part, et Marie-Marguerite Lecoq, fille de feu Jean-Pierre-Robert et de feue Catherine Leprieur, originaire de la parr. de St-Maclou de Rouen et demeurant en celle de Manneville-la-Pipard.
Curés. – J. Besnier – J.-K. Morel – L. Morln.
Vicaires. – J. B. Lalouette – N. Duhamel – C. Bunel.
Prêtres de la paroisse.- E.-Ph. Buisson .- J.-F. Hotot – C. Isabel –
M. Isabel – P. Lemercier – J.-A.-F. Le Monnier – J.-B. Le Monnier -M. L Truand. – J.- v . Main – P L. Montage – J -B -U. Querrey – C.-Ph.Tallon – J -B. Bourrée – P. A.-F. Fossey – J.-P.-A. Labbe – Jq-G. Le Court – J.-B. Manson – J.-L. Martin – G.-L. Pelcat – L -J B. de Pellegar – P.-C. Varin.
Patron. – Le chapitre de Clécy.
Seigneurs et notables . – Jn -A. Adam – A. L.-.I Adam – C-G.-A. Aubert – G. -A. Baudel – J-F.G. Baudet, – P. Bivol – A. Boessey,- P. N Boessey – N. A. Breard – L. Bunel – F.-G. Chauffer des Homme – J.Jh Collet Valdamepierre – Jq. Daufresne, – F.Delataille – L. Dinet, -Jq F.-C. Dubois d’Auberville – C. Fouet, XXXIV. 78; [A. -A. de Cambremer, XXXIV. 78.) C.-F. Fouet – F.-.l.-B. Hamcha (?) de Bosfiquet, – Jq Hamelin des Essart – Jq Hamelin des Essart fils – L -D. Helliot ( ?), – L.-A. Héron – P. Mér ull de Beauval – J.-C. Herval .- Ph. Hervieu -.-Jq.C-de la Houssaye – J. J Isabel de Beaulieu – J.-J.-P.-L. O.Isabel d’Ecots- G. Labbé, – A. Labbé des Fontaines – Jq Labbé du Moutier.- Jn -P. Labbé de Saint-Vaast-U.E.-C.Le Chevalier- Jq-L-Jh Le Court de Boslecourt et non Bellecourt -F. Le Doux de Glatigny, – P. F. Lefebvre des Marcs,-J. -P. Lesieur – M. A.-C. Longmar -J.-C. Louvet – E. Maisnel – G. de Mannoury – J.-B. -G. de Mannoury – L.-E. Marquier de Villons – V.-G.-M. du Nepveu – L.-P. Oger – J.-B. Patin – F.-M Pellecat – J I.-A. Pellecat – L.-C. Poupart – P. Poupart – F.-J.-B. Querruel – G. -F. Quesnel, – Jn Renault – Jq-C. Renault – F. -H. de la Roque de Berniere – P. de la Roque de Bernière, – P.-Ph.-G.-A. de la Roque de Bernière – Y.-R. Selot – J.-B.-A. Taillefesse – N.-J. Thierry – G. Thouret – L.-G. Train – C.-F. Troussel – Jq Troussel – J.-P. Varin – J.-B. Véron – J. B.-F. Véron de Sainte-Marie – Jn Yver.
Religieuses dominicaines. -Directeur.-C -Ph. Talion.
Histoire L’ancien Evêché – Comté de — M. H. De Formeville.
PONT-L’EVÊQUE, Pons-Episcopi , est une petite ville sans murailles Elle n’a qu’une paroisse ,
sous le nom de Saint-Michel , à la nomination du chapitre de Cléry ; un hôpital de nouvelle fondation , et un monastère de religieuses de Saint- Dominique , établi en 1644 , sous l’épiscopat de M. de Cospean. Cette petite ville, appartient à M. le duc d’Orléans , est le principal siège de la
vicomté d’Auge, réunie depuis peu au bailliage du même lieu , qui ressortit au parlement , ou au présidial de Rouen , dans les cas prévotaux.
La Normandie monumentale et pittoresque… Calvados, 1re [-2e] partie-1895.
L’ÉGLISE DE PONT-L’ÉVÊQUE.
L’église Saint-Michel de Pont-l’Évêque est certainement un des plus curieux monuments du pays d’Auge.
Décrivons-la tout d’abord, nous dirons ensuite son âge probable et quelques particularités sur sa construction.
Elevé à peu près au centre de la ville actuelle, entre la grande rue et la rivière la Touques, au fond d’une place qui était autrefois son cimetière, ce monument présente dès l’abord un aspect imposant. Il se compose d’une tour massive, située à l’ouest, flanquée d’énormes contreforts et qui, hélas! c’est là la partie faible de l’édifice, se termine brusquement par un toit couvert en ardoises, surbaissé et du plus disgracieux effet.
Cette grosse tour contient trois cloches dont la plus forte a été refondue successivement en 1863 et en 1874; leur ensemble donne un son grave et harmonieux.
Quant à l’église, à la suite de la tour ayant son chœur à l’est, c’est un grand vaisseau avec bas-côtés, mais sans transept ni chapelles latérales; le chevet du chœur, formant simplement sanctuaire, se termine par une sacristie moderne mais bien aménagée dans le style de l’ensemble et pour les besoins du culte.
Ce chœur est garni de six magnifiques verrières représentant des sujets tirés de l’Ancien et du Nouveau Testament; ces verrières, et deux autres se trouvant dans les bas-côtés, vers le nord, sont anciennes et du plus bel effet. Les autres fenêtres des bas-côtés sont garnies de vitraux modernes.
Saint-Michel de Pont-l’Evêque fut, à deux reprises différentes, en 1867 et en 1888, l’objet de restaurations importantes. Malheureusement, la première de ces restaurations a complètement fait disparaître le caractère des deux façades du nord et du sud, refaites sur un plan tout autre que l’ancien. Quant à la dernière, qui a porté surtout sur l’intérieur de l’église, elle a été faite avec beaucoup de goût et de souci du style du monument. C’est à cette dernière restauration on pourrait presque dire réédification sont dus la voûte en pierre de la grande nef et du chœur et le triforium qui n’avait jamais existé, quoique le plan de l’édifice le comportât.
Un orgue monumental, venu vers 1760 d’une église conventuelle de Rouen, se trouve sous la tour; des autels gothiques ont été placés il y a une trentaine d’années au fond des bas-côtés, vers le chœur; quant au maître-autel, d’un goût déplorable, il est en marbre de différentes couleurs, mais déjà entouré de lambris gothiques au-dessous des verrières du sanctuaire. Espérons qu’on ne s’arrêtera pas là!
La tour était autrefois environnée de bâtiments servant de presbytère et de chambre du trésor; elle est maintenant isolée ainsi que l’église, et entourée seulement de la place et du jardin du presbytère actuel, et le tout se détache admirablement dans ce vide sur les grands peupliers bordant la Touques vers le nord.
Vers le chœur, où se prolonge maintenant la place, était jadis un quai où s’amarraient, il y a quelque quarante ans, les gabares ou bateaux plats transportant le cidre à Roncheville et à l’embouchure de la Touques. C’est de ce côté que l’église se montre le plus avantageusement, offrant au regard son chevet si élancé avec ses six belles fenêtres aux gracieux contours.
Les anciens comptes, conservés au trésor de la fabrique et remontant à l’année 1483, indiquent que, dès cette époque, on travaillait à « l’œuvre et réparation » de notre édifice religieux, et que tout n’était pas encore terminé en 1530.
Ces expressions « découvre et réparation » font supposer que l’église avait été commencée longtemps auparavant et non entièrement achevée, ou bien qu’elle avait été détruite soit par le temps, soit par suite des troubles qui avaient eu lieu antérieurement. Ce qui est certain, c’est que, dès 1483 et depuis, les habitants d’alors ceux de ce temps-ci ont continué ces heureuses traditions de générosité contribuèrent volontairement à la construction, au moyen de leurs offrandes et deniers perçus chaque année par les trésoriers, qui faisaient exécuter les travaux au fur et à mesure des ressources, et avaient quelquefois bien de la peine « à faire besongner les machons ».
En 1487, le compte porte : « Item pour deux peaulx de perchemin pour avoir couché le devisde l’œuvre de l’église, 3 sols tournois ».
En 1494, cc à maistre Guillaume Le Franc, machon et maistre de l’ œuvre de machonnerie de ladite église, et à ses gens et serviteurs, a esté baillé et paié par les dits trésoriers sur l’aleu et marchié a lui faict pour ladite œuvre pour tout le dit an, 7 livres 3 sols 9 deniers ».
En 1500, les trésoriers paient cc à Jehan Menart, machon, pour l’œuvre qu’il a commencée à faire pour ladicte église, 5 livres 10 sols ».
Les comptes des années suivantes mentionnent, bien entendu, d’autres paiements faits à divers entrepreneurs.
La majeure partie de la pierre employée pour la construction était prise dans le pays, car on voit plusieurs achats de pierres venant de la Flammanguerie, d’autres de la « Carrière Georges
Le Feuvre », cependant on en faisait aussi venir de Caen et, en 1494, il en fut apporté un grand nombre de « tonneaulx » au prix de 15 sols le « tonnel » rendu sur le quai de Roncheville.
Il fut alors payé « à ung nommé Sorey, batellier, pour avoir apporté ladicte pierre de Caen jusqu’à Trouville, auquel lieu son batel, par fortune, fut rompu et péry et devait rendre ladicte pierre pour le prix de 9 livres, dont il n’a eu que 15 sols 6 deniers ».
Cet accident causa naturellement de grands embarras aux bons trésoriers et de nombreuses dépenses « pour ce que la dicte pierre était pesante, mal maniable et en dangier d’être perdue, observant qu’elle était presque couverte de sablons et vazes ».
On voit aussi, à cette occasion, une preuve de l’esprit charitable et bienfaisant qui, dès lors, animait la population de Pont-L’Évêque. La pierre naufragée, rendue à Roncheville, il fallut « l’amener à ceste ville du Pont-l’Évesque », et l’un des ouvriers fut blesse dans ce transport. « Par le commandement d’aulcuns des paroissiens, il fut baillé X sols à Alix Boudin pour aucunement le recompenser et se medeciner d’une main, laquelle il avait eue blessée en aydant à charger ladicte pierre audict lieu de Roncheville. »
De 1496 à 1500, on voit encore figurer de fortes dépenses de cc machonnerie » et de charpente; on couvre l’église ou au moins quelques parties, et, pour cela, on achète de grandes quantités de tuiles prises chez divers fournisseurs.
Les ce vitres » sont posées en 1498 et 1499. Cette dernière année, on paie « à Allexandre Duboys, vervenier, pour le dernier vitre, XX livres » « , on établit les « chacys », les garnitures en fil de laton ».
Les belles verrières qui subsistent encore et ornent si magnifiquement le chevet de l’église sont sans doute celles dont il est question dans ces comptes, car leur perfection accuse bien l’époque du XVe siècle, et elles sont, en effet, des plus remarquables de la Normandie.
En 1519, les travaux extérieurs paraissent terminés ou à peu près, puisque cette année il fut « baillé aux couvreurs, lesquels ont couvert la tour et la nef de ladicte église, XVIII livres ». « Item baillé au plombeur qui a plombé la tour, IV livres. »
L’église est surtout remarquable par l’élévation de la grande nef et du chœur, et l’ornementation des voûtes des bas-côtés garnies d’arceaux multiples et de beaux pendentifs accusant le commencement du XVIe siècle.
La voûte principale était originairement en pierre, comme celle des collatéraux; mais en 1590, la ville fut assiégée par Henri IV, et les huguenots se réfugièrent dans la tour, qui porte encore la trace des biscayens et fut incendiée. Il est probable que la voûte dut beaucoup souffrir à cette époque; aussi, plus tard, Mademoiselle de Montpensier, vicomtesse d’Auge, donna-t-elle cent chênes de sa forêt de Touques pour en faire une nouvelle : c’est cette voûte de bois, recouverte de plâtre et ornée
de très courts pendentifs du XVIIe siècle, qui fut remplacée par une voûte en pierre lors de la trèsremarquable restauration de 1888.
On trouve encore aux comptes du trésor d’intéressants renseignements sur les offices et le mobilier d’église.
En 1484, il fut « baillé à Pol Meslier pour le service qu’il a faict de jouer des ogres en ladicte église, XXXVIII sols »
En 1486, il fut (c paie à Me Gilles dePoctiers qui prescha la sepmaine des Rovoisons (Rogations) entière, VII sols VI deniers ». «Au prédicateur qui prescha la Passion et la Résurrection, V sols. »
La même année, il fut reçu « de la damoiselle veufve de feu Jehan Duval pour le service de la Croix dict par le maistre et enffants de l’Escolle, ainsy que led. feu Duval l’ordonna en son vivant, XXX sols».
En 1496, il fut payé« à pour sa payne d’avoir paint le petit Michelot, VII sols IV deniers ».
C’était, il nous semble, traiter un peu sans cérémonie saint Michel, patron de l’église!
En 1500, les trésoriers paient « pour avoir faict troys aubes et le fil, X sols ».
En 1506, sont fondues les trois cloches pour le prix de « CCCXXXIV livres IV sols IV deniers ».
En cette même année, on fait recette (a raison de la vente des porceaulx donnés à saint Anthoyne durant ceste dicte année, lesquels ont esté vendus au proffict dud. trésor, de XXIX sols, 1 denier »
En 1660, il est payé « XV livres pour les ornements de veloux ».
En 1663, et par acte notarié, il fut fait marché moyennant « XC livres et C sols de vin » pour la refonte de la grosse cloche.
Avant la Révolution, plusieurs confréries existaient en l’église, celle de la Charité, fondée sous Thomas Bazin, évêque de Lisieux, au XVe siècle; celles du Rosaire, du Saint-Sacrement et de Saint-Michel. Les deux premières ont subsisté jusqu’à nos jours. Il fallait, pour faire partie de la dernière, fondée au XVIIIe siècle, avoir fait, au moins une fois, le pèlerinage du Mont-Saint-Michel & au péril de la mer ».
Aussi, avant 1789, les comptes du trésor, qui touchait un droit de ce grande partie des habitants de Pont-l’Évêque se faisaient enterrer dans l’église, les uns dans la nef, les bas-côtés de la chapelle de la Vierge, et les autres, surtout les nobles, dans le chœur. C’est ainsi que le nouveau pavage de cette partie de l’église, posé en 1868, recouvre les tombeaux de plusieurs membres des familles Le Jumel de Lisores, Le Cordier de Maloisel, de Cheron de Beauchesne et du Fresney, Boistard de Premagny et de Glanville, des plus notables de la ville et des environs.
En 1793, l’édifice subit de très graves mutilations, notamment les vitraux : toutes les verrières des façades du nord et du sud furent cassées; les statues qui surmontaient la porte principale disparurent de leurs niches pour n’y plus rentrer, car la restauration de 1867 a fait malheureusement disparaître ces ornements, et aussi l’inscription déjà à moitié effacée par le temps et tracée en 1794 :
Le Peuple Français Reconnait L’existence De L’ Être Supreme Et L’immortalité De L’âme.
Le Commandeur HENRY LE COURT.
La Sous-Préfecture De Pont-L’évêque (Ancien Hôtel De Brilly).
D’après une photographie de M.H. Magron. sa disposition intérieure et aussi son aspect, a été bâti, dans la première moitié du :XVIIIe siècle, par les derniers membres ont occupé, avant et depuis la Révolution, les premières charges de judicature de la ville.
Nous voulons parler de la famille de la Rocque, qui paraît originaire du pays de Vire et vint ensuite s’établir, d’abord aux environs de Lisieux, puis à Pont-l’Evêque.
C’est Pierre de la Rocque, escuyer, seigneur de Bernières, lieutenant général du bailliage d’Auge, ou comme on disait alors vicomte d’Auge, qui fit bâtir l’hôtel actuel; il mourut en 1772.
Il eut plusieurs enfants de son mariage avec Jeanne-Esther de Hébert de Bailleul, parmi lesquels Félix-Hippolyte de la Rocque, escuyer, seigneur de Brilly, lieutenant général du bailliage d’Auge après son père et ensuite président du Tribunal civil de Pont-l’Evêque, mort en cette ville en 1817.
Ce dernier eut deux fils dont la postérité s’est éteinte en ligne masculine, et qui, en 1839, vendirent l’hôtel de Brilly au département du Calvados. La sous-préfecture y installa dès lors ses services, mais d’abord dans la moitié de l’hôtel seulement; l’autre moitié n’y fut affectée qu’en 1849, au décès de M. Angot, avocat, qui en était usufruitier.
Cet édifice, de style Louis XV, bâti en brique et pierre, est précédé d’un perron monumental avec escalier; il se compose d’un corps de logis principal, avec fronton fort élégant, et de deux ailes ou tourelles carrées terminées par des toits d’ardoise en pointe : il comprend un rez-de-chaussée et deux étages.
Du côté de la rue, au nord, l’hôtel ouvre sur une cour, avec portail extérieur, dans le style du bâtiment principal; vers la vallée, un très beau jardin va jusqu’à la rivière d’Ivie, qui le sépare de l’herbage des Hunières : la vue sur la vallée est splendide.
A l’intérieur se trouvent un très bel escalier avec rampe en fer ouvragé, de magnifiques boiseries, et plusieurs appartements sont garnis de panneaux d’anciennes tapisseries.
C’est, en somme, une très belle demeure du siècle dernier.
Le Commandeur Henry Le Court.
La Maison De La Miséricorde (Dite Maison Montpensier)
Vieil hôtel Louis XIII qui passe pour avoir appartenu à la grande Mademoiselle, duchesse de Montpensier.
Jetons d’abord un coup d’œil sur cet édifice, et puis nous dirons ce qu’il faut penser de la tradition qui s’y rattache.
C’est un grand bâtiment en brique et pierre avec corps principal, précédé, vers la cour, d’un perron surmonté de quatre colonnes rondes soutenant un toit d’ardoises formant porche; de chaque côté sont deux tourellés carrées, des ailes un peu lourdes terminées par des toits en poivrière; l’édifice entier est couvert en ardoise ; le toit central affecte la forme d’une coque de navire, l’ensemble, quoique un peu massif, offre pourtant un certain caractère.
L’intérieur présente des cheminées monumentales quoique simples; il a souffert de sa disposition actuelle, car cet hôtel sert maintenant de crèche, ouvroir et dispensaire aux sœurs de la Miséricorde, chargées du service du Bureau de bienfaisance de la ville.
En arrière se trouve un jardin dont les murs sont baignés par les eaux du canal Breban, joignant la Touques à l’Ivie.
Parlons maintenant de la tradition locale à laquelle nous venons de faire allusion.
« Un mot sur cette maison, si vous le voulez bien » — dit l’auteur des Esquisses sur Pont-L’Évêque et ses monuments, on croit généralement, on l’a même imprimé, qu’elle a appartenu à Mademoiselle de Montpensier, la grande Mademoiselle, qui, comme on sait, était dame d’Auge. Eh bien, il n’est pas douteux qu’on se trompe en cela.
En ma qualité de dénicheur de vieux papiers, j’en ai trouvé d’authentiques, qui ne disent pas du tout que la maison dont je parle ait appartenu à Mademoiselle, et prouvent au contraire qu’elle avait une qualification beaucoup plus modeste que celle de maison princière.
On voit, en effet, dans un contrat passé en 1710, le 30 décembre, devant les notaires de Pont-L’Évêque, qu’elle fut vendue par M. Chéron du Fresney à M. Chauffer, et, pour ne laisser aucun doute dans les esprits sur ce point, j’en transcris ici la désignation prise sur l’acte même :
« Une maison située en la paroisse de Pont-l’Évêque, consistant en cave et caveaux, cuisine à côté de la dite cave salles, chambres et cabinets à côté et greniers au-dessus; écurie joignant les dits lieux qui sont bâtis de briques et pierre de taille, couverts d’ardoises et de plomb. Cour devant ladite maison jardin sur le derrière d’icelle, laquelle maison était anciennement appelée : le Bâtiment dit Fresney-, bornée en sa totalité, d’un côté par le pavé du roi en partie et en l’autre partie les représentants Coquet, prêtre, et d’autre bout le mort Buit ou la Petite Rivière. »
L’année 1710 n’était pas si loin de l’époque où avait vécu Mademoiselle de Montpensier, pour qu’on eût pu substituer le nom de Bâtiment du Fresney à celui de l’Hôtel de la Princesse.
Tout cela est assez clair et que devons-nous en dire ? Rien de plus, si ce n’est qu’il ne faut pas toujours ajouter aux traditions une confiance aveugle.
Disons, de notre côté, qu’il résulte d’un acte passé devant les notaires de Pont-l’Évêque, le 13 mai 1 624, que «la Cour du Bâtiment » appartenait déjà alors à Nicolas Cheron, escuyer, seigneur du Fresney; on voit ainsi que cette maison n’a jamais cessé d’être désignée autrement ni d’appartenir a cette famille, d’où elle n’est sortie qu’en 1710.
Le Commandeur Henry Le Court.
Notes du Premier Président Pellot sur la Normandie.
– Jean de Borel, seigneur châtelain et baron de Manerbe, lieutenant-général au Pont-l’Evêque, y demeurant, maintenu le 24 février 1668; il aurait épousé : 1° Madeleine de Grimouville; 2° N… de
Mouchy, dame d’honneur de Madame de Nemours. (La Galiss., Elect. de Pont-l’Evêque,)
– Jean Le Barbier, sieur de Croixmare [? probablement Troismare], demeurant au Pont-l’Evêque, fut maintenu, en octobre 1668 « par faveur », en même temps que sa mère Anne Le Tessier, veuve de Jacques, son père. (La Galiss., Elect. de Pont-l’Evêque.)
Généalogie de la famille Le Cordier – Henry Le Court.
Branche de Maloisel.
Me Guillaume Ier Le Cordier, vicomte de Roncheville, exerçait ces importantes fonctions dès 1584 (1). — Il était mort lors d’une sentence des pieds d’Honfleur, du 13 mars 1598 (2).
Il habitait Pont-l’Évêque avec Catherine, sa femme, dont l’état civil ne mentionne pas le nom de famille.
Nous lui connaissons 4 enfants :
1. Jacques Le Cordier, qui ne paraît pas avoir laissé postérité.
2. Marguerite Le Cordier,qui était mariée, lors de la sentence de 1598, à : Laurens Ier Thouret.
3. Catherine Le Cordier, baptisée à Pont-l’Évêque, le 15 décembre 1564.
Mariée à Thomas Perrée
4. Jean Ier, Esc., Sr de Maloisel.
Me Jean Ier Le Cordier, Esc., Sr de Maloisel et de la « Sieurie » de Manneville dit Brévedent. Il fut baptisé à Pont-L’évêque, le 17 septembre 1566. En1597 ; il habitait alors Pont-l’Évêque. Il paraît être mort avant le 15 mars 1622. Il fut enterré dans l’Église Saint-Michel de Pont-l’Évêque ; le registre de la Charité, dont il faisait partie, indique sa mort en 1627. Marié à : 1° Rachel Gillain « de Caen », 2° à Anne Eude.
De Rachel Gillain :
1. Jacques II Le Cordier, Esc., Sr de Maloisel, baptisé à Pont. l’Évêque, le 5 août 1601. Il était mort en 1668, sans alliance.
2. Jean II Le Cordier, Esc., Sr de Maloisel et de Brévedent, baptisé le 19 janvier 1603.
3. Dom Guillaume II Le Cordier, religieux. Il fut baptisé à Pont-l’Évêque, le 6 juin 1605.
4. Marie Le Cordier.
Branche Issue De Simon Cordier. 1. Ligne aînée.
1 – Simon Ier Cordier, premier auteur connu de cette branche, habitait Pont-L’évêquez, en 1564 (1).
Il avait épousé Marie, dont le nom de famille ne figure pas dans l’état civil. Nous leur connaissons 7 enfants :
1.a Jean Ier Le Cordier (l’aîné), Sr des Parcs.
2. b Marie Le Cordier, baptisée en septembre 1568.
3. c Madeleine Le Cordier, baptisée en janvier 1570.
4. d Me Jean Le Cordier (le jeune.
5.e Jeanne Le Cordier, baptisée le 1er octobre 1576.
6.f Pierre Cordier ou Le Cordier, auteur du rameau de Glanville.
7.g Anne Cordier, baptisée en janvier 1587
(1) D’après une généalogie moderne (XIXe siècle), conservée par M. Chauvel, mais sans indication d’aucune preuve et avec des dates seulement approximatives pour les degrés anciens, Simon. serait fils D’olivier Cordier ou Le Cordier ; celui-ci, fils d’antoine, qui aurait eu pour père Pascal Le Cordier, vivant à la fin du XVe siècle.
1 a) Jean Ier Le Cordier (l’aîné), Sr des Parcs ou des Parquets, était né avant 1564, date des plus anciens actes de l’état civil de Pont-l’Évêque, mais il est dit « fils de Simon », dans un acte du 19 mars 1619. — Il était mort le 1er juin 1630.
De sa femme, dont le nom ne nous est pas connu, il laissa les 6 enfants dont :
Simon II Le Cordier, Sr de St-Laurent, fils de Jean Ier, Sr des Parcs, habitait St-Julien-sur-Calonne ; Il est auteur du Rameau De Saint-Laurent.
Nobles ou Vivant Noblement A Pont-L’evesque – Extrait de L’ Annuaire Normand.
M. et Mme DE SAINT-SAUVEUR.
Il nous a été absolument impossible de nous procurer le moindre renseignement sur cette famille de
Saint-Sauveur.
M. et Mme de PREMAGNY.
La famille Boistard de Prémagny et de Glanville paraît remonter à Guillaume Boistard, sr des Portes, anobli par lettres de Henry IV (Table des édits, déclarations de noblesse enregistrées à Rouen, Mss. in-8°, Cabinet H. L. C) en mars 1590.
Il mourut sans lignée directe, mais un de ses successeurs, Guillaume-François Boistard, sieur de Prémagny et Glanville reçut de Louis XV de nouvelles lettres de noblesse, enregistrées le 8 janvier 1720. Il avait épousé Marie-Marguerite Bunout, morte en 1742 et mourut lui-même en 1746 ; ils furent inhumés dans le chœur de l’église de Pont-Evêque, près de leur fille. Cette famille Boistard de Glanville, a pour dernier représentant M. Louis- Guillaume-Léonce Boistard de Glanville, descendant au IVe degré, et petit-fils par sa mère du célèbre médecin Le Pecq de La Clôture : M. de Glanville n’a qu’une fille, mariée à M. le marquis Rioult de Neuville
Armes.
D’azur à 3 aigles éployées d’argent, armées et membrées de sable ; au chef d’or chargé de 3 molettes de sable.
M. et Mme de NEUVILLE.
Il s’agit ici de la famille de Neufville de Bavent, qui est étrangère à notre contrée, c’est-à-dire à l’élection de Pont-l’Évêque. Une généalogie conservée, aux archives du Calvados, fait remonter cette maison par titres authentiques et filiation prouvée à Jean de Neufville, qui accompagna Robert Courte-Heuze à Jérusalem à la fin du XVe siècle
Armes.
De sable à 3 besants d’or, au chef d’argent chargé
de 9 mouchetures d’hermine, 5 et 4.
M. VARIN DE BEAUCHAMP.
Jacques de Varin, Esc, sr de Beaughamp, conseiller et assesseur du roi aux vicomtes d’Auge et de
Roncheville, avait épousé Anne-Françoise de Vimont, qui était morte en 1746.
Cette famille de Varin a pour auteur Guillaume Varin, Sr de Saint-Martin, élu en l’élection de Pont-l’Évêque, receveur des deniers de la ville d’Honfleur, anobli par lettres de 1594.
Il épousa Marie Barbel et eut deux fils : Jacques Varin, Esc, Sr de Saint-Quentin, grenetier grenier à sel d’Honfleur, auteur pour Jacques et Jacques de Varin, ses deux fils, des branches de Saint- Quentin et de Prestreville ; Et Guillaume Varin, Esc. , Sr de Beauchamp, marié à Jeanne Le Maistre, et bisaïeul de celui qui nous occupe.
La famille de Varin portait pour armes : D’or a 3 flammes de gueules au chef d’azur chargé d’un besant d’or accosté de deux croissants d’argent.
Supports et cimier : Lions d’or.
M. et Mme BICHEREL.
M. Jean-Pierre Bicherel, Esc, Sr des Enclos, était marié en 1742 à Louise- Catherine Pouchin.
M. Bicherel fut le dernier de sa famille. Cette famille Bicherel n’était pas noble, et le titre d’écuyer porté par Jean-Pierre lui était personnel comme attaché à sa qualité de conseiller du roi. Les Bicherel paraissent originaires de Pont-l’Évêque.
Le premier que nous y trouvons est Jean Bicherel, sieur des Champs, vivant en 1599.
Il paraît avoir eu deux fils. Me Richard Bicherel, procureur de Mme la duchesse de Montpensier, mort à Pont-l’Évêque le 17 juin 1721, qui, d’une alliance qui nous est inconnue, laissa, entre autres enfants, Mr Christophe, qui occupa les mêmes fonctions que son père. Il épousa noble dame Madeleine Rioult, dame des Enclos, à Benerville, elle était de la famille des Rioult de Vaudoré et d’Ouilly Leur fils, Me Jean-Pierre Bicherel, conseiller-avocat du roi aux Bailliage et Vicomte d’Auge, marié à MarieAnne de Semilly, fut le père de celui qui nous occupe.
Me Christophe Bicherel eut en outre plusieurs filles, dont une mariée à Jean de Borel, Esc, Sr des Essarts. Le 27 mars 1632.
A Pont-l’Évêque . M. et Mme Bicherel occupaient une maison rue de Vaucelles.
M. de MIRE, Avocat Son Épouse.
M. François-Jacques de Mire, Esc, Sr de Sainte-Marie, avocat au parlement, demeurant à Pont-l’Évêque en 1742, avait épousé : Marie-Aune-Marguerite Apparoc, dame de Ste-Marie, au Theil, qui mourut le 30 germinal an IX.
La famille de Mire, primitivement Le Mire, fut maintenue dans sa noblesse, le 18 septembre 1668, en la personne de Antoine Le Mire, Esc, Sr de Chaumont, marié à Antoinette de Mauvoisin, et de Jacques, Sr de Mirancourt.
En 1463, Montfaut avait déjà trouvé nobles Jean Le Mire à Saint-Jean-de-la-Léqueraye et autre Jean à St-Georges-du-Mesnil. Cette famille se divisa ensuite, vers la fin du XVII° siècle, en deux branches, qui habitaient Canapville, près Pont-l’Évêque.
Armes.
La famille de Mire portait : D’azur au chevron d’or, accompagné de 3 coquilles d’argent.
Supports et cimier : Lions d’or.
M. et Mm LE COURT de TOURAILLE.
M. et Mme LE COURT de NOIRVAL.
Cette branche de la famille Le Court remonte à Me Vincent Le Court, Sr de La Couture, demeurant à Pont-Evêque, anobli par lettres d’octobre 1643, avec Robert Le Court, Sr de Querrières, son frère. Ils étaient fils de Gilles Le Court et de Marye Maryolle. Gilles Le Court descendait au 4e degré de Jehan Le Court, habitant, vers 1500, St-Pierre-du-Chastel en Lieuvin, dont cette famille Le Court paraît originaire.
Armes.
D’hermines à trois quintefeuilles de gueules (aliàs de pourpre), 2 et t. Supports et cimier : licornes d’argent.
Le cachet relativement moderne de M. Le Court de Bolscourt, dernier du nom, porte une couronne de marquis et l’écu est soutenu de deux lions, l’un debout et l’autre couché ; c’est cet écusson qui est reproduit sur la grande vitre du chœur de l’église Notre-Dame du Havre.
M. et Mme LE TERRIER.
La famille Le Terrier est étrangère au pays d’Auge. Elle fut maintenue dans sa noblesse sur la paroisse
d’Equainville, élection de Pont-Audemer, le 20 octobre 1666, en la personne de Jacques Le Terrier, fils d’Hélie, et petit-fils de Louis, Esc, Sr d’Equainville, par acquisition du mois de novembre 1596.
Armes. La famille Le Terrier porte : D’azur à 3 pals engrelés d’or, au chef cousu de gueules chargé de 3 étoiles du second émail.
M. et Mme de BERNIÈRE.
Pierre de La Rocque,Esc, sr de Bernières, lieutenant général du Bailliage d’Auge, mourut en 1772.
Il avait épousé, à Tourgeville, le 14 février 1736 : Jeanne-Esther de Hébert de Bailleul. Pierre-Philippe-Gille -Alexandre de La Rocque, leur fils aîné, né à Pont-l’Évêque le 17 avril 1740, Esc,sr de Bernières et Surville , épousa Charlotte-Félicité de Brévedent d’Ablon.
Armes.
D’azur à trois fasces d’argent alias d’azur au rocher d’or, surmonté d’un croissant d’argent.
Mme de BAÏLLEUL. Belle-mère de Mme de Bernière.
M. et Mme de BAÏLLEUL.
Noble dame Esther du Mont, demeurant à Pont-l’Evêque , veuve de Messire Jean-Joachim-Pierre de Hébert de Bailleul, Esc., n’était pas la belle-mère de Mme de Bernières, mais bien sa mère.
Son mari l’avait épousée en secondes noces, et elle était veuve le 14 octobre 1735.
M. de GRIEU de BEAUMOUCHEL.
Messire Nicolas de Grieu, chevalier, seigr de Beaumouchel, était mort sans postérité en 1754.
Il était fils de Messire Jean de Grieu, chevalier, seigr de Beaumouchel, et de Marie-Jeanne Ferey, qui était veuve et habitait St-Pierre-de-Touques en 1696.
Il laissa pour seul héritier à ses propres paternels, Messire Joseph-Laurent de Grieu, son cousin au septième degré.
Armes.
La famille de Grieu portait pour armes : D’argent à 3 grues de sable. Supports et cimier : Licornes d’argent.
M. et Mme de BLANVILLE.
Messire Michel des Landes de Blanville, chevalier, seigr et patron de Saint-Melaine, La Gourlande, Courmartin et autres lieux, mourut à Pont-l’Évêque, le 16 septembre 1748, à 76 ans.
Il avait épousé Marguerite Chauffer, fille d’Isaac et de Renée Fontaine.
Armes. D’azur au chevron d’or.
M. et Mme LEGOUELIER de MONTCAREL.
Messire Antoine-Jacques Le Goueslier, Esc, sp de Montcarel, fils d’autre Antoine-Jacques et de Marguerite-Catherine Faulcon, avait épousé en premières noces Madeleine Le Brun, dame de Putot.
Devenu veuf, M. Le Goueslier se remaria à noble dame Marguerite Rivière, qui mourut le 7 octobre 1780, et lui, à 54 ans, le 26 juin 1747.
Armes.
D’azur à 3 molettes d’or. Supports et cimier : Lions d’or.
M. et Mme LEPRÉYOST. – Mme LE DOUCET, leur tante.
Messire Philippe Le Prévost, sr et Patron de Cremainville, Argentelles et autres lieux, épousa à Pont-l’Évêque, le 18 janvier 1746, noble demoiselle Françoise de Varin. Il était fils de Messire Jacques Le Prévost, Esc. , sr de Viette et noble dame Geneviève Le Doulcet, morte à l’époque de ce mariage.
Philippe Le Prévost descendait de Robert, sr de Granchamp , baron de St-Julien-le-Faucon, marié à demoiselle Du Moncel de Richement, qui fut maintenu dans sa noblesse en 1667.
Armes.
La famille Le Provost portait : D’azur au chevron d’or, accompagné en chef de deux roses de même et en tête d’un épervier, aussi d’or, fondant sur une perdrix d’argent.
Supports et cimier : Lions d’or.
M. et Mme CHAUFFER de FLEURIGNY.
Messire Jean-Joseph Chauffer, Esc, sr de St-Martin, et à cause de noble dame Charlotte de Nollent, son épouse, chevalier seigneur du noble fief, terre et seigneurie de Lepiney et Fleurigny, à Touques, habitait Pont-l’Évêque, en 1742, avec sa famille.
Il était fils de M. Isaac Chauffer, conseiller du roi, receveur des tailles en l’élection de Pont-l’Évêque, en 1687 et de Renée Fontaine. La famille Chauffer, absolument roturière avant celui qui nous occupe, paraît originaire de Touques ou de St-Martin-aux-Chartrains.
Isaac-Joseph Chauffer acquit, par contrat devant les notaires d’Honfleur, le 4 avril 1748, la terre et seigneurie de Toutlaville, à St-Martin.
Depuis son alliance avec les de Nollent, la famille Chauffer porte : Écartelé : au 1er d’azur à l’épée haute en pal d’argent, accostée en chef de deux étoiles de même, aux 2 et 3 d’argent à la fleur de lys de gueules, accompagnés de 3 roses de même, 2 et au 4e d’azur plein. Les 2 et 3 quartiers sont les armes de Nollent. Cimier : Casque taré de profil orné de ses lambrequins aux couleurs de l’écu.
M. de HAUTEMER de BOUCTOT.
Pierre-Louis de Bouquetot, Esc, sr de Hautemer, mourut à Pont-l’Évêque, à 62 ans, le 29 juin 1745. Il était le dernier rejeton d’une puissante et forte race connue depuis le XIe siècle, et qui passe pour une branche sortie de la noble maison d’Harcourt, dont elle portait les armes brisées d’un canton d’hermines.
Armes.
La maison de Bouquetot portait : De gueules à 2 fasces d’or au franc canton d’hermines.
Supports et cimier : Lions d’or.
M. et Mme PATRI.
Nous pensons qu’il s’agit ici de Pierre Patry, Esc, sr de Criquebceuf, paroisse de Bonnebosq, qui vendit, en 1726, cette terre et celle de Glanville. Il paraît avoir été le dernier de sa branche.
Les Patry appartenaient tous, à la branche des Patry de La Motte, remontant à Raoul Ier Patry, marié avant 1406, à Isabeau de Troismonts.
La famille Patry porte pour armes : De gueules granité d’or à 3 quintefeuilles d’argent, 2 et 1. La maintenue de 1668 manuscrite que nous possédons donne pour armes aux brandies du Pays-d’Auge: De gueules au chevron fait de grains de patenôtres d’or accompagné de 3 quintefeuilles de même.
Supports et cimier: Lions d’or. Devise : « Gloria, decus, honor Patry. »
M. et Mme de BRÉVEDENT.
Jean-Baptiste-Esprit de Brévedent, chevalier, seigr d’Ablon et du Bocage . épousa à Pont-l’Évêque , le 16 novembre 1745, noble demoiselle Marie-Anne de Mannoury.
Il était fils de Jean-Baptiste de Brévedent, Esc., seigr d’Ablon, et de Françoise Le Doyen, dame d’Ablon, sa seconde femme.
La famille de Brévedent, qui a donné son nom à deux paroisses normandes, Le Brévedent, près Lisieux, et St-Laurent-de-Brévedent, en Gaux, apparaît dans la province au milieu du XIIIe siècle en la personne de Valerien de Brévedent ; d’après une tradition conservée dans cette maison, elle serait originaire du duché de Juliers et remonterait à Rollon de Brévedent, vivant l’an 885.
Quoiqu’il en soit, celte famille a formé deux branches principales.
Les trois branches de la famille de Brévedent ont porté des armes différentes. Celle du Faulq : D’azur à la croix ancrée d’or. Celles du Pays-d’Auge, auxquelles appartiennent les seigneurs de Saint-Nicol, du Plessis et d’Ablon, ajoutent à ce blason un chef d’argent chargé de 3 anilles de sable. Le chef paraît avoir été ajouté aux armes des branches du Pays-d’Auge, lors du mariage, vers 1560, de
Jean de Brévedent avec Agathe de Brévedent-Sahurs.
Supports : 2 lévriers de sable (1). Cimier : Casque de profil avec lambrequins.
De MANOURY.
Messire Guillaume de Manoury, épousa,en 1745, Anne-Catherine Jean de La Porte, fille de Nicolas-Pierre-Hector, et de Jeanne Champin.
Le 7 février 1758, Mme de Mannoury, devenue veuve, épousait à Vauville-la-Haule, messire Bobert-Charles de Mannoury, fils de Charles et de Marie-Madeleine Le Boux.
La famille de Mannoury a pour premier auteur connu Etienne de Mannoury, dit le chevalier du Tremblay, seigneur, l’an 1395, du Mont-de-la-Vigne, terre située près de Lisieux. Il épousa, en 1373, Austreberte de Dreux, princesse du sang royal de France, fille de Robert de Dreux.
Armes.
D’argent à 3 hermines de sable, 2 et 1. Supports et cimier : Licornes.
Devise : Régi fidelis.
M. et Mme de DRUMARD.
Louis Eude, sr de Drumare et de Lépiney-Surville, marié à Anne Le Doyen, vivait en 1745.
La famille Eude, remonte à Pierre Eude, anobli sans doute par les francs-fiefs, et dont les deux fils Jean et Bertrand Eude, furent maintenus en 1540, par les Élus de Lisieux, l’un à St- Julien-sur-Calonne et l’autre à Tourville.
Armes.
La famille Eude portait : D’argent au chevron de sable accompagné de 3 molettes de même, 2 et 1. Supports et cimier : Lions.
M. et Mme de BEDVILLE.
Messire Charles-Marin-Antoine de Quintanadoine , Esc, sr de Betteville, conseiller au Parlement de Rouen en 1757, avait épousé noble dame Marie-Geneviève Baudry.
La famille de Quintanadoine (Quinquan Meduanas) est espagnole.
Don Fernando de Quintanadoine habitait Ja ville de Bargos avec sa femme dona Claire de Perguera.
Leur fils Jean passa en France et s’établit a Rouen ; il épousa Isabeau de Civille, et obtint des lettres de naturalité l’an 1517.
Armes.
La famille Quintanadoine portail : Écartelé au 1er et 4e d’argent à la croix vidée et fleur de lysée de sable ; aux 2 et 3 de gueules, à la fleur de lys d’or.
M. et Mmc ORIEULT.
Claude-Pierre Orieult, Esc., avait épousé Marie d’Alençon, morte après lui à Pont-l’Évêque, le 9 mai 1748, à 67 ans.
Cette famille Orieult paraît originaire de Pont-l’Evêque et des environs, et fut sans doute anoblie par des charges.
Armes.
La famille Orieult portait : D’argent, à 6 trèfles de gueules, 3, 2 et 1. Supports et cimier : lévriers.
Archives ShL
1 – Notes et documentation concernant l’église Saint Michel de Pont-l’Evêque.
1 – Notes sur l’OEUVRE et REPARATIONS de l’église SAINT-MICHEL de PONT-L’EVEQUE
Michel COTTIN – Décembre 1989 – Mai/Juin 1993
1 – les notes de cette première partie proviennent de la documentation personnelle de Monsieur Michel COTTIN, Président de la Société historique de Lisieux, décédé.
HISTORIQUE
Les travaux de restauration dont la Tour de l’église Saint Michel de Pont-l’Evêque a fait l’objet en 1989, avaient incité M. Pénault à me demander de mener quelques recherches sur cette église afin de compléter l’article que lui avait consacré Henry Le COURT [1]. En effet, quelques années auparavant j’avais eu l’occasion de consulter quelques uns des comptes d’entretien et de construction de cette église. Quoiqu’il n’ait pas cité ses sources il est vraisemblable que le Commandeur Le COURT avait travaillé sur ces documents mais qui au cours des années se sont trouvés dispersés et viennent simplement d’être réunis[2]
Avant lui, Arcisse de CAUMONT[3] avait sans doute eu connaissance de ces textes sans les avoir exploités pour la datation des différentes parties, Ces documents sont de première importance pour l’histoire du monument et plus largement de la vie de la cité; tantôt sur parchemin, tantôt sur papier ils nous permettent de suivre, malheureusement avec une lacune de plus d’un demi-siècle entre 1530 et 1584, la vie de la Fabrique, de connaître ses revenus et ses entreprises, L’on y retrouve une foule de renseignements sur la liturgie et le mobiliers cultuels, les statues, les peintures, les cloches, » l’ologe » ou les » ogres »
Nous nous arrêterons ici aux seules œuvres de « machonnerie et de carpenterie » en ce qu’elles peuvent nous aider quant à la compréhension de l’articulation des diverses campagnes de construction et à la datation de l’édifice car tel qu’il nous est parvenu, l’édifice est difficile à dater avec précision tant les travaux de restauration – dont certains remontent au XVIème siècle – avaient profondément modifié l’œuvre originale avant les travaux de reconstruction qui suivirent l’incendie de 1944,
La construction ou seulement sont entretien mobilisent d’importants capitaux que gèrent sous le contrôle constant de la communauté, des trésoriers souvent remplacés et en butte à de multiples procès,.. Lorsqu’ils ne meurent pas à la tâche auquel cas ce sont leurs héritiers qui doivent débrouiller des comptes encombrés de reprises pour non paiement,
Ces communautés d’habitants des bourgs et des villes, bien structurées, ayant parfois même profité des guerres pour acquérir une certaine indépendance vis à vis du seigneur local[4], occupent une place prépondérante dans la société qui se renouvelle après les longues hostilités franco-anglaises [5] et leur œuvre maîtresse consiste justement dans cette première Renaissance, entre 1485 et 1550, à reconstruire leur église. Lisieux reconstruira de fond en comble deux de ses trois églises paroissiales, de même que la ville d’ORBEC, et des paroisses plus modestes telles que Blangy-le-Château, SAINT-GERMAIN-la-CAMPAGNE, MAROLLES, etc..
L’essentiel des fonds provient du domaine foncier de la fabrique constitué d’une multitude petites places de maisons disséminées dans la ville et dont l’étude permettrait de restituer sa topographie et ses extensions,
Henry LE COURT, pour sa part pensait que les travaux avaient débuté avant 1483 – date des comptes les plus anciens – mais ceux-ci ne sont que les récapitulatifs de comptes beaucoup plus détaillés ne permettant pas de toujours faire la différence entre réparations et travaux de construction proprement dits qui pour leur part ont du se poursuivre sur près d’un demi siècle, En 1485, par exemple, le trésorier regroupe sous une seule rubrique les 33 livres 18 sols 10 deniers de ses dépenses de l’année,
D’autre part, les quantités de matériaux employés, quelques mètres carrés de tuile, un cent tout au plus de pierre, sont des quantités raisonnables pour un entretien, une petite transformation mais très insuffisantes pour alimenter un chantier de l’envergure que fut à une époque celui de Saint-Michel,
A partir de 1487, nous entrons dans une autre phase et un nouveau projet prend forme concrétisé par le devis pour lequel on paie 3 deniers les deux peaux de parchemin sur lesquels il sera » couché « ,[6]
En 1494, le batel qui apporte la pierre provenant des carrières caennaises fait naufrage et ce sont là environ 144 tonneaux de pierre qu’il faudra récupérer dans des conditions difficiles,
Les notations concernant les matériaux sont particulièrement intéressantes, qu’elles nous renseignent sur les quantités utilisés, leurs origines ou leur prix. L’emploi du plâtre, par exemple, doit être souligné car ce matériau, vraisemblablement importé, ne paraît pas avoir été d’un usage courant en Pays d’Auge Son emploi est cependant relevé par FORMEVILLE 1834 dans le scellement des briquettes au Manoir de la Salamandre à Lisieux au XVIe siècle, et toute mention le concernant mériterait d’être cartographié.
En 1499/1500 on procède à la pose de la quatrième verrière
Les grands travaux dureront semble-t-il encore près de trois-quarts de siècle.
Les Guerres de religion furent à l’origine de la destruction des voûtes qui ne furent reconstruites en pierre qu’à la fin du XIXe siècle.
DESCRIPTION
La similitude avec l’église Saint-Jacques de Lisieux a souvent suscité des observations. L’église Saint-Michel, qui appartient aux dernières années du XV° siècle ou au commencement du XVI°, offre une telle analogie avec l’église Saint-Jacques de Lisieux, qu’on se demande avec raison laquelle a pu servir de prototype à l’autre, Les textes manquent pour corroborer la comparaison entre les deux édifices, Il semblerait si l’on prend à la lettre un fragment de compte publié par de Caumont, que l’église de Lisieux serait plus ancienne, mais ce fragment ne suffit pas pour se prononcer d’une manière définitive, M. le chanoine Morel a souligné certains détails des vitraux de l’abside, qui permettent de supposer qu’ils sont l’œuvre de verriers normands ou ayant séjourné en Normandie, Ces remarques se rapportent surtout aux constructions qui animent le paysage « . BSHL, n° 24, 1919, p. 17,) mais nous savons par le comptes que les trésoriers se rendirent à Lisieux pour examiner l’œuvre alors en cours de Guillemot de Samaison.
Nef de travées avec collatéraux et massif d’escalier au centre, Tour à l’extrémité orientale.
Grandes arcades avec retombées à pénétration: Saint-Jacques de Dieppe, de Lisieux, La Bouille, Argentan, etc. lourdeur des moulures dues à la qualité de la pierre
Fenêtres hautes à claire-voie – Voûtes des collatéraux avec clés pendantes dans les parties hautes, sculpture assez lourde –
Vitraux : Arbre de Jessé – Mort de saint Grégoire environ de 1525 – Ascension travail germanique – Annonciation id° (à rattacher au centre de Lisieux) – Arbre de sainte Anne – Nativité – haut du chœur c. 1540 ? – Prédication de Jésus – Ascension et Pentecôte. vitrerie peinte vers 1560 – Vitrerie blanche décorée de « fermaillets », par Binet 1619, Bourgeois de Bernay, a travaillé pour plusieurs églises des environs. (LAFONT, p. 584.).
Litre funéraire – Chaire à prêcher
– MANOIR DE MARTINBOSC.
adresse à Pont-l’Evêque: 96, rue Saint-Michel -14130 Pont-l’Evêque
Ancien fichier PONTLEMA.SPR -PONT-L’EVEQUE
Dossier établi par Michel COTTIN président de la SHL. Non daté.
Bibliographie
Dr Jean BUREAU, Rues, vieilles cours et vieux logis de Pont-l’Evêque, Pont-l’Evêque, Imprimerie du Pays d’Auge, In-16, 153 p., ill. de Jean Bureau. 1948; pp. 38-39:
« Du même côté que l’hôpital, au n° 110, se trouve une ancienne maison dont la façade aux robustes pans de bois supportés par de massives sablières moulurées porte la marque du XVIIe siècle; un portail s’ouvre sur une cour intérieure entourée de bâtiments de la même époque.
» Cette vaste demeure était habitée, en 1748, par M. et Mme de Blanville, chevalier, seigneur et patron de saint Melaine et autres lieux, Conseiller du Roi, receveur ancien et alternatif des Tailles en l’élection, avait épousé Marguerite Chauffer, fille d’Isaac, que nous retrouverons Cour Montpensier. Leur neveu, Mre Louis des Landes de Blanville, écuyer, sieur de presles, fut le dernier Seigneur et patron de Saint-Melaine.
« Cette famille des Landes était étrangère au Pays d’Auge, nous dit Henri Le Court: originaire de l’élection de Domfront et maintenue dans sa noblesse en 1667, elle avait probablement été appelée à Pont-l’Evêque par des charges. Elle possédait en 1748, selon Madame Bicherel, le train de vie habituel aux grosses maisons de la ville: deux domestiques de représentation, une femme de chambre, une gouvernante d’enfants, chaise roulante et chevaux ».
= Dr Jean BUREAU, Pont-l’Evêque en Pays d’Auge – Passé. Présent, Condé-sur-Noireau, Corlet (1986), 163×242, 161 p. ill.; pp. 41-46, ill.:
« Une porte cochère s’ouvre au numéro 96; c’était avant la guerre, au numéro 110, la maison de madame Ozanne.
« Au fond d’une cour pavée: un logis à étage au pan de bois vertical, avec, en retour d’équerre, à gauche, une aile en pierres de grand appareil abritant un large escalier aux marches de grès.
« Un autre corps de bâtiment le précédait avec une galerie extérieure le réunissant à la demeure sur une rue qui présente, face à la place du Tribunal, son étage au massif pan de bois reposant sur un rez-de-chaussée de briques.
« La vieille dame est morte, oubliée, mais la maison subsiste, avec tous ses souvenirs. Elle a trouvé des amoureux de vieux logis…
« Le grand salon a conservé l’image des appartements de la noblesse et de la haute bourgeoisie au XVIIe siècle: ses boiseries à simples compartiments montant jusqu’à la corniche sans astragale, avec une simple rosace en leur milieu, son plafond en chapeau de gendarme, sa cheminée basse à la royale avec tablette et chambranles galbées, de marbre gris, ses portes à vantaux.
« La porte cochère ouvre sur la rue, comme autrefois. En pénétrant dans la cour, à droite, les écuries, au-dessus desquelles des appartements sont ceux de la propriété voisine occupée autrefois par la maison Bauvel: aussi l’appelait-on la maison aux Bauvels.
« Le corps de logis des pièces de réception, au fond de la cour, est parallèle à la Grande-Rue, face à l’herbages des Hunières (aujourd’hui occupé par l’hôpital d’où le sépare un bras de l’Yvie.
« Le 26 mai 1681, la Grande Mademoiselle, vicomtesse d’Auge, avait nommé un avocat au parlement, Me Gilles, le diacre de Martinbosq, lieutenant civil et criminel au Bailliage de Pont-l’Evêque, office vacant par le décès de Louis de Borel, seigneur de Manerbe.
« En 1736, la demeure était vendue, moyennant 15.000 livres, à Michel des Landes de Blanville, seigneur et patron de Saint-Melaine, receveur des tailles à l’Election.
« Le train de vie persistait avec deux domestiques de représentation, une femme de chambre et une gouvernante d’enfants, des chevaux et une chaise roulante.
« Moins de vingt ans plus tard, en 1755, le manoir passait entre les mains de M. Labbey de Saint-Vast, seigneur de Gonneville, procureur au Bailliage d’Auge.
La demeure allait changer de mains plusieurs fois encore avant 1798 où elle devenait la propriété d’un médecin, le docteur Poupard (jusqu’à sa mort en 1836); son fils devait faire construire le château de la Pommeraie, à Berville-sur-Mer. (Pastiche réussi qui émerveille le touriste.
« La famille Ozanne apparaissait en 1874, avec le notaire Henri Ozanne dont le fils, André, sera maire de Pont-l’Evêque de 1902 à 1912.
« La propriété s’étendait le long de la Grande-Rue jusqu’à d’anciens immeubles qui disparurent lors du percement de la route nouvelle de Lisieux, en 1855. (aujourd’hui la rue de Brossard.) ».
Fonds F1
1F100 – 1777 et autres – Fieffé du moulin de Pont-l’Evêque.
1F120 – 25 janvier 1835 : Contrat de mariage Jean Baptiste Alcide Michel de Pont-l’Evêque et Louise Elisa Noël d’Orbec.
1F251 : 14 janvier 1665 : Contrat de mariage de Philippe Bréhonset Marie d’Orvilliers de Pont l’Evêque.
1F263 : 17 mai 1648 : Jean Chauffer demeurant à St Martin aux Chartreux vend à André Launoy (Pont l’Evêque) 2 pièces de terre en pré.
1F435 : 16 mai 1725 : pièce de procédure entre Jean Legarand, corroyeur à Pont-l’Evêque appelant au sujet de ses héritages.
1F802 : 1848 : Enquête commerciale, artisanale et industrielle concernant la région de Pont-l’Evêque (Bonneville, Canapville, Clarbec, Drubec, Englesqueville, Pont-l’Evêque, St Arnoult, St Hymer, St Etienne la Thillaye, St Martin aux Chartrains, Ste Melaine, Surville, Tourgéville, Touques, Tourville, Trouville, Villerville.
1F876 : 1847 : reçus de la Société d’Agriculture, de Commerce, d’Industrie, des Arts… de Pont-l’Evêque.
FONDS CAILLIAU 3F1.
3F97 – 1741-1767 – Pont-l’Evêque: cession d’une maison.
Fonds Michel COTTIN Série 11F A1.
11 FA – 37 – Divers. Région de Pont-L’Evêque, Bonnebosq, Clarbec, Reux, Drubec, Beaumont, Villers, Manneville-la-Pipard, Manoir de Pommereul à Sainte-Marthe (Eure) etc.
FONDS BOUDARD 2F.
2FM120 : 1793 : La Pintrie : liasse des contraintes en saisie, recettes du citoyen Regnault receveur des droits d’enregistrement à Pont-l’Evêque contre les citoyens fermiers du citoyen Nonant de Raray.
Documents contenus dans le FONDS DEVILLE.
E.D. – FONDS COQUET Pont-l’Evêque :
– 1 carton concernant la famille COQUET de Pont-l’Evêque.
Documents contenus dans le FONDS INVENTAIRES :
Mémoires.
M 45 Relecture des comptes du Trésor de L’église paroissiale de Pont-L’Evêque – HELIN PALLU de la BARRIERE Nathalie
Brochures.
Br 062 Pont L’Evêque SCHNERB Françoise.
Br 095 Églises (les) de l’élection de Pont-l’Evêque aux XVIIe et XVIIIe siècles GUERIN Jean.
Br 125 Pont-l’Evêque (le). Remerciement à Mademoiselle LE CORDIER,H.
Br 127 Hôpital (un) sous l’Ancien Régime Les Amis de Pont-l’Evêque.
Br 131 De la nécessité d’une communication directe entre Pont-l’Evêque et Pont-Audemer.
Br 267 Société d’Agriculture de l’arrondissement de Pont-L’Evêque. Société d’Agriculture de l’arrondissement.
BR 477 Art de Basse-Normandie numéro spécial été 1958 Pont-l’Eveque, St.Hymer et la région.
Fond Courel – Architecte: archives anciennes.
3S7 – avril 1856: inscription au bureau des hypothèques de Pont-L’Evêque au profit de JeanPierre Deshoulles contre Jean-Baptiste Baumier Notaire: Me CR. Delamarre (Blangy)
7 avril 1856: Inscription de privilège d’action au bureau des hypothèques de Pont-L’Evêque au profit de Jean-Pierre Deshoulles contre Jean-Baptiste Baumier.
Fonds Erudits NE 26 NEDELEC Yves Bibliographies.
2.68. 2- Bureau Jean, Hommage des amis de Pont l’Evêque 22/04/1988
3.17. 2- Cordier, Sous préfet de Pont-l’Evêque 31/12/1845
4.72. 3- Déterville Philippe, Dédicace à Pont l’Evêque 16/12/1999
5.71. 8- Garcin Jérôme Dédicace à Pont l’Evêque 30/01/2006
5.95. 8- Gillotin ou Guillotin, Sur les pas de R.Gillotin à Pont l’Evêque 22/09/2005
5.95. 10- Gillotin ou Guillotin, Exposition à Pont l’Evêque 29/06/2005
6.38. 1- Hommet Jean, Le curé de Pont l’Evêque quitte le Pays d’Auge 16/08/2005
7.66 Le Métayer des Planches, Aux électeurs de l’arrondissement de Pont-l’Evêque 23/03/1848
FONDS II J.
II J 13 : Arrêt de la Cour d’Appel de Caen du 21 juillet 1807 reformant un jugement du tribunal de Pont-l’Evêque dans le procès opposant M. Desjardins au sieur A._J. Delamyre fermier à Reux ;
III J 21 : Griefs et moyens d’appel pour M. D. Prévost de Lisieux contre MM Satis, Oriot, de Cormeilles, Pouettre Ex N°93. (biens à Pont-l’Evêque dont moulin, entre autres)
III J 25 : Affaire David, Aubert, Desgarceaux et Magny de Pont-l’Evêque. Ex n° 97 (après décès de M. Aubrée, affaires de banquiers à Pont-l’Evêque.) (11 pièces)
III J 26 : Observations médicales sur la maladie de Melle Lecarpentier, de Beaumont, par le docteur Quillet médecin à Pont-l’Evêque et éclaircissement par le docteur Gauvin, médecin à Beaumont. 1818. ex n° 99. (Cas d’un cancer traité pour un ver solitaire et autopsie cadavérique)
Jour 1 : « Le Pays d’Auge » (Pont-l’Evêque)
Jeudi 31 août 1837 : annonces légales, ventes de terres, d’un moulin à Crocy, La Rivière Saint-Sauveur……
Jeudi 16 août 1838 : canalisation de la Touque, annonces légales.
Jeudi 23 juin 1870 : communes du secteur, annonces locales.
Jour 15 : Journal et petites affiches de Pont-l’Evêque et de Lisieux.
21-02-1808 : nouvelles étrangères : Angleterre, Autriche, Bavière. Nouvelles locales : Equemauville, Fierville, Mesnil sur Blangy.
24-03-1811 : Turquie, Transilvanie, Autriche, Empire Français et nouvelles locales : Méry-Corbon, Pont-l’Evêque, valeur des monnaies.
II M 9 : Circulaire de la commission des armes et poudres sur la fabrication et la récupération du charbon de bois. (2 ventôse, an 2)
Arrêté du district de Pont Chaslier (Pont l’Evêque) concernant les cendres des herbes (28 thermidor an 2)
I A 12 :Edit du roi portant rétablissement de différents offices dans les communes où il y a un corps municipal ; 1771.
Extrait du procès-verbal de l’Assemblée du département tenue à Pont-l’Evêque en 1787 : formation des Etats généraux (avec liste des communes et liste des délégués)
Observations de la Commission de la généralité d’Alençon 1787 (même sujet)
I A 23 : Arrêt du Parlement de Rouen ordonnant l’exécution du contrat d’échange de la vicomté d’Auge et réduisant les fonctions de l’office d’enquêteur examinateur du siège de Pont-l’Evêque et vicomté d’Auge. (échange de 1529) (arrêté de 1742)
II A 5 : Tableau du district de Pont-l’Evêque, réduit à 93 paroisses et deux succursales, avec la liste des paroisses supprimées, noms des fonctionnaires publics et autres ecclésiastiques qui ont déféré à la loi du serment et l’indication des remplacements à faire par l’ordre de suppression proposé.
(cantons de Pont-l’Evêque, Honfleur, Blangy le Château, Bonnebosq, Cambremer, Beuvron, Touques, Dives, Crévecoeur, Beaumont)
II A 19 : Circulaires administratives concernant Pont-l’Evêque (dit parfois Pont-Chaslier) sous la Révolution
(affranchissements, approvisionnements en bois, contributions diverses,, armées, élevage, grains, recensement, fers, élection de députés, emprunt).
II A 25 : Mémoire pour les membres de la commission des faits sur les autorités constituées du district de Pont-l’Evêque, en l’exécution de l’arrêt du représentant Pierre Lozeau contre Becquemont, agent du district. An III.
II A 32 : Utilisation des noix dans le district de Pont-Chaslier (Pont-l’Evêque) Thermidor, an II (rapprocher de II M 9)
III A1 : – discours et lettre de Guizot à l’occasion de l’élection de 1830.
circulaire indiquant aux maires les travaux à effectuer dans l’arrondissement de Pont-l’Evêque (commune de Pont-l’Evêque) (1817)
Circulaire du procureur du Roi de Pont-l’Evêque aux maires et commissaires concernant l ‘envoi des procès verbaux. (1820)
Discours de M. Félix de La Roque, président du 4e arrondissement électoral. (1830)
III A 9 : Observation aux Conseils généraux du Calvados et de l’Eure sur deux nouvelles routes projetées (Pont-l’Evêque – Brionne et Pont-l’Evêque – Pont-Audemer, juillet 1834.
Voir « Journaux divers 18e et19e siècles. » 2e et 3e carton.
Archives SHL, dossier « Lieux M à Z » : : Lisieux et Pont l’Evêque en 1789 (R. Bazin), Notes sur les origines de Pont l’Evêque (abbé Simon)
Archives SHL : « Le Lexovien » 22 octobre1924, page 2,article de l’abbé G.-A. SIMON, président de la SHL concernant l’origine du nom Pont-Chalier.
Fonds 25F LEMETAYER-DESPLANCHES .
(1er et 2e classeur et autres).
Fonds Etienne DEVILLE Série 9 F.
E.D. FONDS COQUET Pont-l’Evêque : – 1 carton concernant la famille COQUET de Pont-l’Evêque.
Fonds Manuscrits.
SECTION B C BAILLIAGE ET VICOMTE D’AUGE ET ANNEXES.
124 – Registre des minutes du greffe de Pont-L’évêque et Roncheville; 5 janvier 1739 – 20 novembre.
605 – Registre des présentations au greffe de Pont-l’Evêque; 8 janvier 1739- 6 février 1741.
607 – Registre plumitif du greffe de Ia vicomté de Pont-L’Evêque et baronnie de Roncheville; 28 novembre 1741 – 14 octobre 1743.
609 – Registre des défauts donnés au bailliage de Pont-l’Evêque; 14 novembre 1740 – 28 décembre 1744.
610. – Registre des présentations au greffe de Pont: l’Evêque; 3 octobre 1742 – 30 décembre 1744.
612. – Fragment du registre des pièces de procès à rendre par Me Le Sueur, avocat à Pont-l’Evêque; 3 novembre 1759 = 11 avril 1761.
613. – Registre des restitutions de pièces de procès par Mr Le Sueur, avocat à Pont-l’Evêque; 13 juillet 1761 – 21 mars 1765.
614.- Registre des causes de Me Le Sueur, avocat à Pont-L’Evêque; 23 septembre 1365 – 8 novembre 1768.
615 – Registre des causes de Me Le Sueur, avocat À Pont L’Evêque: du 17 septembre 1770 au 10 août 112; du 8 janvier 1773 au 19 mars 1774; et du 7 novembre 1781 au 25 octobre 1784.
616. – Fragment du registre des restitutions de pièces de procès par Me Le Sueur, avocat à Pont-l’Evêque; 28 juillet 1767 – 13 janvier 1770.
672. – Transaction sur procès on la vicomté d’Auge entre Pierre Joseph Marguerite, écuyer, sieur du Mesnil, et Me Robert Thierry, élu à Pont- l’Evêque. 10 juin 1681.
SECTION C D. – ELECTION DE PONT-L’EVEQUE.
417. – Rôle de répartition d’une taxe ajoutée à la capitation levée en la ville de Pont-l’Evêque; 1748.
450.- Enregistrement à l’Election de Pont-L’Evêque des lettres données à Gilles Le Gras pour l’office de lieutenant aux traites foraines du bourg de Dives; décembre 1703.
451.- Rôle de répartition des tailles en la ville de Pont-l’Evêque; 1748.
730. – Assignation donnée à Mr Laurent Thouret, pour produire l’inventaire des titres de la maîtrise des Eaux et Forêts de Pont-l’Evêque; 30 septembre 1667.
SECTION E A. – TITRES DE FAMILLE. ETATS DE. LA NOBLESSE.
732. – Franchissement d’une rente due par Me Jacques Train à la confrérie du Saint-Sacrement de Pont-l’Evêque; 12 août 1720.
Section F I. – CAMBREMER, CANTON.
205. – Vente par Guillaume Crevyn, de Clarbec, à Me Guillaume Crevyn, avocat à Pont-l’Evêque, de quatre pièces de terre à Valsemé; 24 juillet 1574.
SECTION DE – PONT-L’EVEQUE, CANTON.
481. – Pièce concernant Robert Pitraye, fermier de la coutume de Pont-l’Evêque; 1777.
490. -Amortissement d’une rente due par Me Jacques Train, prêtre, à l’hôpital général de Pont-l’Evêque, représenté par Me Pierre-Ambroise de Hébert, prêtre, écuyer, sieur de Bailleul, administrateur de cet hôpital; 10 août 1720.
492. – Amortissement d’une rente due par Me Jacques Train, prêtre, à Me Robert Le Villain, curé de Pont-l’Evêque; 19 août 1720.
493. – Amortissement d’une rente due par Me Jacques Train, avocat à Pont-l’Evêque, et les enfants mineurs de Me Jean Train, enquêteur, à Me Germain Langlois, représentant le droit de François Rogier, écuyer, sieur de la Mare; 14 décembre 1698.
542.-Vente par Me Jacques Train, avocat, à Jacques-Antoine Le Goueslier, écuyer, sieur de Montcarel, d’une maison à Pont-l’Evêque, donnée à fieffé en 1687 par Nicolas Coquet, écuyer. sieur de la Brunerie; 17 novembre 1713.
546. – Trois pièces. Constitution de rente par Me Jean Le Barbier, avocat à Pont-l’Evêque, tuteur des enfants de son frère Me Robert Le Barbier, avocat, au profit de noble seigneur Gilles de Saint-Pierre, sieur des Authieux, chevalier de l’ordre du roi; 29 octobre 1579. – Transport de cette rente A, M » Adrien de la Haie par noble seigneur Jacques Vipart, baron et chastelain de la Ferté, des Authieux et de Saint-Julien; 20 août 1623. – Signification à Robert Le Barbier; 6 mai 1626.
573. – Aveu rendu au duc d’Orléans par Jean Jamot des Douaires et autres, pour fonds et maisons à Pont-l’Evêque; 20 décembre 1745.
590. – Deux pièces. Copies authentique et informe du contrat de mariage de Louis-Gabriel Galliot, subdélégué à Pont-l’Evêque, avec Marie-Madeleine Coquet; 24 mai 1719.
598. – Trois pièces. Constitution de rente par noble daine Madeleine Bretocq, veuve de Guillaume de Nollent, écuyer, sieur de Mouceaux, au profit de Louis- Gabriel Galliot, sieur d’Aigremont; 24 septembre 1715. Franchissement de rente due par ladite dame à l’hôpital général de Pont-l’Evêque, représenté par Julien de Rancher, curé de Pont-Evêque, et Guillaume-François Boistard, sieur de Prémagny, administrateurs de l’hôpital; 13 décembre 1700. – Franchissement d’une rente due par ladite dame à Jean-Guillaume Le Barbier, écuyer, sieur de Grainville, par paiement de M. Galliot; 7 octobre 1715.
599.-Trois pièces. Testament de Me Pierre Bretocq, avocat; 17 octobre 1694. -Vente par dame Madeleine Bretocq, veuve de Guillaume de Nollent, écuyer, sieur de Mouceaux, à Louis-Gabriel Galliot, sieur d’Aigremont, d’un pré à Saint-Cloud; IM février 1713. – Constitution par ladite dame d’une rente à l’hôpital général de Pont-l’Evêque, en acquit d’un legs fait par son père; 14 décembre 1697.
602. – Quatre pièces. Constitution de rente par Jacques Bougard, écuyer, élu à Pont-Evêque, et Me Guillaume Balain, au profit de Jean Brière, écuyer, secrétaire du roi; 10 décembre 1657. -Transport de cette rente à François-Olivier de Thiremois, écuyer, sieur de Prétot; 10 mars 1699. – Procuration à cet effet; 23 janvier 1699. – Franchissement reçu par François-Christophe de Thiremois, écuyer, sieur de Prétot, de Jacques Bougard, bourgeois de Rouen; 4 décembre 1710.
687. – Echange de fonds à Reux entre François- Jean de la Myre, comte de Mory, seigneur et patron de Reux, et Charles-François Le Carpentier des Jonquets, lieutenant particulier des Eaux et Forêts à Pont-l’Evêque; 4 février 1778.
772. – Deux pièces. Reconnaissance de rentes seigneuriales dues à S.A.R. Mademoiselle, pour terres à Canapville, par Adam Estièvre, receveur des tailles à Pont-l’Evêque, et autres; 23 juin 1673. – Note y relative; 1677.
779.- Deux pièces. Reconnaissance d’une promesse de vente par Pierre Orieult, avocat, pour une pièce de terre à Pont-l’Evêque; 9 décembre 1517. – Quittance de rentes seigneuriales payées au prieuré de Saint- Ymer par Me Guillaume Orieult; 28 juillet 1598.
782. – Trente pièces. Lettres du sieur Chauvel aux sieurs du Bouillon et de la Cressonnière Orieult, à Pont-l’Evêque; 1654-1656.
Fonds Seconde guerre mondiale 08.
– Bombardements sur Pont-l’Évêque, journal et date non précisés, témoignage de Paul Duval.
– Série d’articles sur la Libération de Pont l’Evêque en 1944, Le Pays d’Auge, 23 août 1989
Carnets Charles Vasseur.
Particulièrement « Analyses et Transcriptions … »
mentions diverses. Liste des notaires.
Bulletins de la Sh.
Numéro 41, mai 1998 .
Michel Cottin – Notes sur « l’oeuvre et réparations de l’église Saint-Michel de Pont-L’Evêque ».
Numéro 62, Avril 2007
Daniel Deshayes – sortie annuelle dans la région de Pont-l’Evêque.
Numéro 67, Premier semestre 2009
Raymond Raveaux avec la collaboration de Geneviève de la Bretèche – Deux enfants d’Afrique baptisés en 1752 dans la paroisse de Pont-l’Evêque.
Numéro 85 Premier semestre 2018
Jeanne Goncalvès
Cartulaire Shl avec inventaires ShL et sources bibliographiques diverses du Xe siècle à 1940.
1352, 19 mai
Colin de Saint-Amand et Jehan du Mont donnent quittance au vicomte d’Auge de la somme de 40 l.t. en doubles noirs de 2 d.t. à valoir sur ce qui leur est dû pour trois tâches à eux confiées par Me Gilles Millet, maître des œuvres de charpenterie au baillage de Rouen, inscrites à son compte du terme de Pâques dernier, à savoir:
– paumeer » (GODEFROY, Dictionnaire de l’anc. franç. n’a pu retrouver le sens de ce mot (voir paumoier 2).) la maison du cellier de la geôle de Pont-l’Evêque (32 l.t.)
– faire la cheminée de la salle toute neuve où demeure le verdier de bonne espèce de plâtre (15 l.t.)
Acte de Jehan Target, garde du sceau des obligations de la vicomté d’Auge à la relation de Colin Orient, tabellion pour Robert du Mont.
= B.N Fr. 25999, 145. (id° 165: paiement supplémentaire de 32 l. le 20 juillet 1352)
+ IND.: NORTIER Michel, » Les Sources… Le fonds français du département des manuscrits « , Suppl. Ann. de Norm, Décembre 1962, n° 341.
1352, 18 juillet
Johen Caste donne quittance au vicomte d’Auge de la somme de 50 l.t. à valoir sur ce qui lui est dû pour trois tâches de charpenterie à lui confiées par Guillaume Millet, maître des œuvres de charpenterie au bailliage de Rouen, à savoir:
pour faire le comble d’une maison « travessaine » (poutre transversale) toute neuve sur l’arête, en la geôle de Pont-l’Evêque (40 l.t.) -pour poser 1 millier de lattes (40 s.t.), pour faire des sièges tout autour de la cohue de ladite ville (40 l.t.), pour faire un pont appelé « le pont de Calonne » (50 l.t.)
Acte de Jehan Target, garde du sceau des obligations de la vicomté d’Auge.
= B.N Fr. 25999, 163
+ IND.: NORTIER Michel, » Les Sources… Le fonds français du département des manuscrits « , Suppl. Ann. de Norm, Décembre 1962, n° 350.
1354, 20 juillet
Inventaire fait par Raoul Labbé, sergent de Pont-l’Evêque des biens meubles vendus ce jour pour 60 s.t. ayant appartenu à Huet Chary, pendu et traîné pour avoir corrompu une fille de 14 ans qui en était morte.
= B.N Fr. 26000, 280.
+ IND.: NORTIER Michel, » Les Sources… Le fonds français du département des manuscrits « , Suppl. Ann. de Norm, Juin 1963, n° 408.
= voir SHL FONDS INVENTAIRES à 1354.
1354, 24 juillet – Pont-l’Evêque
Inventaire fait par Jean du Bois Regnoult, sergent d’Honfleur, des biens meubles vendus 6 l. 5 s.t. de Jehan de Rouen et de sa femme « mis és appeaux du roi (=recherchés) pour souspechon d’avoir naié en hable de Honnefleu Ricart de Mortemer ».
= B.N Fr. 26000, 281.
+ IND.: NORTIER Michel, » Les Sources… Le fonds français du département des manuscrits « , Suppl. Ann. de Norm, Juin 1963, n° 409.
1375, 22 janvier – Pont-l’Evêque
Information de Robert Assire, vicomte d’Auge, pour savoir si Jean de La Tillaie, écuyer, est bien au droit de sa femme héritier de Philippot du Mont, mort en 1374, alors qu’il était en la garde du roi à cause d’un fief assis à Tourgéville.
= Arch. nat. Dom Lenoir, 7, p. 315.
+ IND. M. NORTIER, Cahiers L. Delisle, XVI, fasc. 1-2, 1967, p. 13.
1395, 8 avril – Touques, Pont-l’Evêque
Information de Guillaume de Longueil, vicomte d’Auge, pour savoir si une maison et un pré sis à Pont-l’Evêque et qui avaient appartenu à feu Jean Guérin, ont été mis mal à propos en la main du roi.
= Arch. nat. Dom Lenoir, 7, p. 81.
+ IND. M. NORTIER, Cahiers L. Delisle, XVI, fasc. 1-2, 1967, p. 31.
1395, 8 avril – Touques, Pont-l’Evêque
Information de Guillaume de Longueil, vicomte d’Auge, pour savoir si une maison et un pré sis à Pont-l’Evêque et qui avaient appartenu à feu Jean Guérin, ont été mis mal à propos en la main du roi.
= Arch. nat. Dom Lenoir, 7, p. 81.
+ IND. M. NORTIER, Cahiers L. Delisle, XVI, fasc. 1-2, 1967, p. 31.
1397-1398 – Vicomté d’Auge
Nomenclature des droits à payer à la prévôté de Pont-l’Evêque et à Guillaume de Longueuil, vicomte d’Auge, par les marchands pendant les foires et marchés des villes et bourgs de la vicomté
= Cité in Suzanne d’HUART.- Archives de la Maison de France (Branche d’Orléans) Tome I – Fonds de Dreux (300 AP I, 389), Paris, 1976, p. 174.
1402-1789 – Vicomté d’Auge
Compte de recette de la terre de Saint-Clair–en-Auge (1473-1477)
Comptes du domaine du roi en la vicomté d’Auge (1527-1531); Livres des plaids de la sergenterie de Saint-Clair-en-Auge appartenant à Madame d’Estouteville (1528 et 1537-1543); Lettres de Marie, duchesse de Longueville, et de Léonor, duc de Longueville concernant Saint-Clair et Barneville (1564-1567) Livre des assises de la vicomté d’Auge, relevant du duc de Longueville, pour son droit de présentation à des églises (1565); Gage-pleige du fief de Saint-Clair (1570); Journal de recette du domaine d’Auge (1585); Livres des plaids de Pont-l’Evêque et déclaration de fiefs (1666); Bordereaux pour servir au paiement des fermes des domaines et marais de la vicomté d’Auge (1689); Journal des recette des fermes du domaine d’Auge (1691-1695); Aveux de Daenétal (1736) Administration d’Herval: état des rentes domaniales, pièces justificatives de la régie du domaine d’Auge, fournitures et travaux pour les prisons des bailliage de Honfleur (1751-1783) Beuvron, Honfleur, Saint-Julien-sur-Calonne – Jean-Philippe-Antoine Herval – Saint-Clair-en-Auge, Roncheville, Valsemé, Goustranville, Valsemé, Clarbec, Danestal, Darnétal, Cambremer, tabellionnage de Saint-Julien-le-Faucon, sergenterie de Bonnebosq, Saint-Clair-en-Auge, Barneville, Devoitine, Le Pelletier
= Cité in Suzanne d’HUART.- Archives de la Maison de France (Branche d’Orléans) Tome I – Fonds de Dreux (300 AP I, 383 à 388), Paris, 1976, p. 171-174
1404, 17 juin – Pont-L’Evêque
Information de Massot du Boulay, vicomte d’Auge, sur la diminution de valeur de certains héritages, sis à Saint-Gatien et à Fourneville qui sont chargés de rentes envers le duc d’Orléans.
= Arch. nat. Dom Lenoir, 6, pp. 233-234. Arch. nat. P 19092, n° 18952.
+ IND. M. NORTIER, Cahiers L. Delisle, XVIII, fasc. 3-4, 1969, p. 14.
1404, 15 décembre – Pont-L’Evêque
Information de Massot du Boulay, vicomte d’Auge pour la mise hors de garde noble de Jean Servain, écuyer, seigneur de Boutemont (Bouttemont, canton de Blangy, commune de Norolles) et de Grandouet, né vers la SaintMichel 1384, fils de Colette de Montfort, dame de Boutemont, morte le 12 mai 1402.
= Arch. nat. Dom Lenoir, 6, pp. 245.
+ IND. M. NORTIER, Cahiers L. Delisle, XVIII, fasc. 3-4, 1969, p. 15.
1406, 13 janvier – Pont-L’Evêque
Information de Durant de Thieuville, lieutenant de Massot du Boulay, vicomte d’Auge pour la mise hors de garde noble de Jean Méry, écuyer, seigneur du fief de Criqueboeuf-sur-Mer (Calv. canton d’Honfleur), né à Bonnebosq vers 1384, fils de Jean Méry,mort en août 1401
= Arch. nat. Dom Lenoir, 6, p. 257
+ IND. M. NORTIER, Cahiers L. Delisle, XVIII, fasc. 3-4, 1969, p. 16.
1407-1762 – Environs de Pont-L’Evêque
Recueil de pièces concernant Le Mesnil-en-Vimeu, Saint-André de Clarbec, Notre-Dame de Goustranville, Saint-Gabriel de Valsemé, Saint-Clair, en la vicomté de Pont-L’Evêque….
= Bibl. Nat. Ms. franç. 5383
1412-1696 – Vicomté d’Auge
Comptes, livres de plaids des sergenteries de Pont-L’Evêque, Bonneville et Canapville et de la baronnie de Roncheville, gage-pleige de Saint-Clair-en-Auge
= Cité in Suzanne d’HUART.- Archives de la Maison de France (Branche d’Orléans) Tome I – Fonds de Dreux (300 AP I, 524), Paris, 1976, p. 207.
1418, 15 novembre – Estrée
N° 238 –
Rex omnibus, etc, salutem. Sciatis quod de gratia nostra, etc, dedimus et concessimus dilecto armigero nostro Cayrot Carbonnel terras hereditates et posssessiones quascumque Johannis de la haye, chivaler domini d’Arrodville, valentes communibus annis exoneratas de deveriis ducentas et sexaginta coronas, ac etial teram et dominium de Lestrée (Election de Pont-L’Evêque.) cum omnibus aliis hereditatibus domine Lucie de Brucourt, vidue Willelmi Gomeul, dicti Moradas chivaler defuncti.
= Coll. Bréquigny – Normandie. Vol. III – Rot. Norm. memb. 7. dans MSAN, t. XXIV, p. 39
1458, 14 juin
1) Montre de 97 hommes d’armes et 190 archers, de la grande ordonnance du roi, sous la charge de Robert de Floques, dit Floquet, bailli et capitaine d’Evreux, reçue à Evreux, Honfleur et Pont-L’Evêque par Guillaume de Bigars, écuyer, commissaire du Maréchal de Lohéac.
Suivie de la quittance de 8.460 l. t.
2) Montre semblable reçue à Evreux, Beaumont, Conches, Honfleur et Verneuil (septembre 1460)
= A.M. de Rouen, Martainville, 198, n° 4 (2), 6, la seconde pièce mutilée.
1485 – Pont-L’Evêque
pour les réparations à l’église faites à cette époque, voir le passage sur Saint Michel en début de ce dossier.
1488, 21 janvier
Jean de Bellemare, écuyer, lieutenant du bailli de Rouen, accorde 13 s. 4 d. à Richard >Le Tenneur, geôlier des prisons du roi à Point-L »=’Evêque, pour avoir gardé pendant 42 jours Jean Roussel, barbier, condamné à la pendaison.
Signé Dehaussay. Au dos quittance du même jour.
= Bibl. mun. de Rouen. Y 29, t. II, n° 35
+ IND. M. NORTIER, Cahiers L. Delisle, XVI, fasc. 3-4, 1967, p. 44, n° 834
1488, octobre
Jean de Bellemare, écuyer, lieutenant du bailli de Rouen en la vicomté d’Auge, ordonne au vicomte d’Auge de payer 45 s.t. à Guiillaume Blondel, messager à cheval pour avoir apporté à Pont-L’Evêque un mandement du lieutenant général bailli de Rouen convoquant les nobles et sujets à l’arrière-ban devant le bailli et le commissaire du roi.
Signé Poitevin, fragment de sceau; quittances correspondantes devant Guillaume Mauvoisin et Nicolas Le Parmentier, tabellions jurés, en date du 14 octobre 1489.
= Bibl. mun. de Rouen. Y 29, t. V, n° 65.
+ IND. M. NORTIER, Cahiers L. Delisle, XVI, fasc. 3-4, 1967, p. 47, n° 849
1580, jeudi 10 novembre – Norolles
Noble homme Loys Halley, demeurant à Pont-L’Evêque, baille à échange à noble homme François Parey, sieur de la Monteillerie, demeurant aud. lieu paroisse de Norolles, plusieurs héritages en un tenant, contenant onze à douze acres nommée le Lieu au Templier, sis à Norolles, jouxte d’un côté le chemin tendant du Breuil à L’Hôtellerie, d’autre côté et d’un bout le seigneur de Fauguernon et d’autre bout ledit seigneur de la Monteillerie, tenus de la seigneurie et chastellenie de Fauguernon. Il reçoit en contre échange divers biens à Saint-Philbert-des-Champs.
= Tabell. Lisieux – Analyse Et. Deville
1588, 16 juin – Courtonne-la-Meurdrac
Par devant Robert Le Suent et Pierre Myorque, tabellions au siège de Touques, Jehan du Houlley, rend et remet à Gabriel du Houlley, son frère demeurant à Courtonne-la-Meurdrac, un certain contrat de rente, moyennant le rembours d’une somme de 563 écus. Il est question dans cet acte, d’une maison « en la rue du Bouteiller », à Lisieux. Témoins: Guillaume Bréard, chandelier à Pont-L’Evêque, et Pierre Rémy, d’Orbec.
= Arch. SHL. Parch. Analyse Et. Deville.
1589, 3 mars – Courtonne-la-Meurdrac
Me Adrien Le Boctey, sieur de Grasmesnil, conseiller en l’Election de Pont-L’Evêque, y demeurant, reconnaît avoir reçu de Nicolas Desjardins, de Courtonne-la-Meurdrac, à l’acquit et décharge de Raulin Le Bouteiller, de Saint-Denis-du-Val-d’Orbec, le franchissement de 40 sols tournois de rente.
= Arch. SHL. 9 FA. Parch. Analyse Et. Deville.
16.. – Pont-L’Evêque
Premier volume des rotures de Pont-L’Evêque: copies de chartes de coutumes et d’actes féodaux du XIVe au XVIIe siècle
= Cité in Suzanne d’HUART.- Archives de la Maison de France (Branche d’Orléans) Tome I – Fonds de Dreux (300 AP I, 523), Paris, 1976, p. 207.
1600, 22 mai – Lisieux
Laurent Héroult, fils Kehan, de la paroisse du Torquesne, du métier de boucher, demeurant en la paroisse et bourg de Pont-L’Evêque, confesse avoir vendu à Gilles Le Guay, du métier de bourlier, demeurant Saint-Germain de Lisieux, une maison consistant en une petite cave ou cellier, une boutique, chambre et grenier l’un sur l’autre, située en la ville de Lisieux, devant la Halle à blé dudit lieu, appartenant aud. vendeur par droit du retrait par lui ci-devant fait au droit de lignage de Alexis Barbas, tenue de la Comté de Lisieux, par la faisance de demi-livre de poivre de rente, moyennant 200 écus d’or.
Passé à Lisieux, avant midi, en la maison dud. Leguay, en présence de Colas Le Cousteur, de la Paroisse du Fournet, et Pierre Pains, d’Hermival.
=Arch. SHL. 9F Deville. A. Minute, 2 ff.
16.. – Pont-L’Evêque
Premier volume des rotures de Pont-L’Evêque: copies de chartes de coutumes et d’actes féodaux du XIVe au XVIIe siècle
= Cité in Suzanne d’HUART.- Archives de la Maison de France (Branche d’Orléans) Tome I – Fonds de Dreux (300 AP I, 523), Paris, 1976, p. 207.
1614-1674 – Manerbe, Pont-L’Evêque, Saint-Hymer
Famille Le Cousteur
AD 14 2E 516 – (4 pièces)
1618, 23 novembre –
Noble homme Guillaume Ballan, receveur du domaine de la vicomté d’Auge, demeurant à Pont-L’Evêque. Il figure dans un contrat d’échange de biens.
= Arch. 9 FB – 6 – Familles. Notes ms. Et. DEVILLE.
1663, Samedi 23 juin –
A Pont-L’Evêque, devant Jean Borel, écuyer, seigneur et châtelain de Manerbe, conseiller du roi, lieutenant général, civil et criminel de M. le bailli de Rouen, en la vicomté d’Auge, à l’instance du procureur du roi et diligence de damoiselle Marie de Corneille, veuve de défunt Guillaume Ballan, se sont réunis Jean d’Escarville, écuyer, Jacques Bougand, écuyer, Louis Duchemin, avocat, Samuel Legrand, chirurgien, Jean Bougand, escuier, Tanneguy Bougand, docteur en médecine, Pierre Postel, tabellion royal, Pierre Corneille, écuyer, sieur de Douville, Thomas Corneille, écuyer, sieur de l’Isle, tous deux représentés par leur procureur, Mitres Pierre Corneille, bourgeois de Rouen; pour nommer un tuteur à Marie Ballan, fille mineure de Marie Corneille et Guillaume Ballan. La mère est nommée tuteur et s’engage à faire dresser un inventaire des biens meubles et écritures provenant de la succession. Le tout devra être vendu et le produit partagé entre les deux sœurs Marie-Madeleine et Marie.
= Arch. 9 FB – 6 – Familles. Notes ms. Et. DEVILLE.
1664, 26 décembre.
Devant les tabellions de Pont-L’Evêque et Touques, Jean de Carville, écuyer, demeurant à Ners, vicomté de Falaise et Olivier Guérin, écuyer, sieur de Saint-Léger, procèdent au partage de la succession de feu noble homme Guillaume Ballan. Le premier lot comprenait le lieu où ledit Ballan faisait sa demeure, comprenant 8 corps de logis et huit et huit tonnes se trouvant dans la maison; 11 pièces de terre, le Moulin de Tacue (ou Tacul) avec ses droitures et dépendances.
Le 2e lot 18 pièces de terre sises à Canapville, Englesqueville et Saint-Martin-aux-Chartrains et des rentes annuelles en argent et en nature s’élevant à la somme de 154 livres 10 sols 6 deniers, 6 poules et 1 chapon.
Les héritiers devaient payer à Marie Corneille, chacun 400 livres pour sa part de la succession par chacun an. Jean de Carville, en qualité d’aîné choisit le premier lot. L’acte est passé à Canapville le vendredi après midi 26e jour de décembre 1664, en présence de Pierre Ballan, sieur de la Champaigne, demeurant à Honfleur et Jean Cavelier, demeurant à Canapville.
= Arch. 9 FB – 6 – Familles. Notes ms. Et. DEVILLE. Parch. 16 ff.
1668, 10 février
Entre François de Tiremois, écuyer, sieur de Prétot, fils et héritier de feu Gilles de Tiremois, écuyer, sieur de Saint-Blaise et de damoiselle Françoise de Calmesnil, ses père et mère, et noble dame Marie de Ballan, veuve d’Olivier Guérin, vivant écuyer, sieur de Saint-Léger et des Champeaux, d’autre part, ont été faites les conventions qui ensuivent C’est assavoir que ledit sieur de Prétot a promis prendre pour sa femme et légitime épouse noble dame Marie de Ballan avec ce qui lui peut compeller (?) et appartenir tant dans la succession échue enf… Ballan son père duquel elle est héritière en une moitié, que de celle à venir de Damoiselle Marie de Corneille et ce quelle peut avoir à prendre sur les biens de la succession dud. feu sieur de Saint-Léger suivant son traitté de mariage et la renonciation quelle a faite de lad. succession ou autre droit, dont et de tous les biens et droits a elle appartenant lad. dame future épouse en faveur dudit mariage a donné la tierce partie en propriété aud. sieur de Prétot son futur époux arrivant quelle décède avant lui sans enfants issus et et vivants de leur mariage – Lequel de Prétot lui a gagé le douaire coustumière sur tous ses biens présents et à venir du jour que douaire aura lieu sans autre demande et outre lui a autouné quelle remporte en exemption de toutes dettes et charges, sa chambre garnie, habits, linges, bagues, joyaux, meubles à son usage aussi un carrosse attelé de chevaux ou la somme de six mille livres au choix de lad. dame future épousée tant entendus s’il y a enfants dud. mariage et qu’ils vivent que les douaireries (?) et autres donations demeureront de nul effet à l’égard des enfants qui naîtront et demeureront dudit mariage A ce présent consentante la dite damoiszelle de Corneille, mère dde ladite future épouse laquelle l’a reconnue pour son héritière en une moitié et a promis de lui garder sa part de succession se contentant a la rente ou portion de 800 livres qui lui ont ete promis par led. feu sieur de Saint-Léger et le sieur de Ners, ses gendres par contrat passé par devant Postel et d’Auge, tabellions au Pont-L’Evêque le 29e jour d’avril 1664, aux termes et condition portées par icelui et a refusé a rien prétendre ne demander au plus outre que ladite somme de 800 livres par an pour quelque cause ou en quelque manière que ce soit pour toutes prétentions et demandes quelconques. Fait et arrête le 10e de février 1668, présents les parents et amis desd. futurs mariés avec eux soussignés.
= Arch. 9 FB – 6 – Familles. Notes ms. Et. DEVILLE.
1673, 23 juin – Canapville
Reconnaissance de rentes seigneuriales dues à S.A.R. Mademoiselle, pour terres à Canapville, par Adam Estièvre, receveur des tailles à Pont-L’Evêque, et autres. Note y relative: 1677.
= Arch. SHL. FL 772.
1709
« Rolle des sommes que le Roy… a ordonné estre payées par les redevables de la capitation en exécution de l’édit de septembre dernier… »
Elections de Rouen, Evreux, Pont-L’Evêque, Pont-Audemer.
= Bibl. mun. de Rouen. Ms. g 2021-72 – XVIIIe siècle. Papier, 23 ff. 370×245 mm.
+ IND. J. DUPIC, Cahiers L. Delisle, XVI, fasc. 1-2, 1967, p. 57.
1713, 17 novembre – Pont-L’Evêque
Vente par Me Jacques Train, avocat, à Jacques-Antoine Le Goueslier, écuyer, sieur de Montcarel, d’une maison à Pont-L’Evêque, donnée à fieffe en 1687 par Nicolas Coquet, écuyer, sieur de la Brunerie.
= Arch. SHL. FL 542.
1715, 28 mars – Pont-L’Evêque, Reux
Vente par Louis-Gabriel Galliot d’Aigremont, subdélégué à Pont-L’Evêque, à François-Jacques Le Court, écuyer, sieur des Tourailles, d’une pièce de terre à Reux.
= Arch. SHL. FL 581.
1720, 12 août
Franchissement d’une rente due par Me Jacques Train, à la confrèrie du saint-Dacrement de Pont-L’Evêque
= Arch. SHL EE 732, 1 p. parchemin
1724, 21 février – 13 mars – Pont-L’Evêque
Acte de tutelle d’Esprit-Gabriel Galliot fils mineur de Jean-Jacques Galliot et de Marie-Charlotte Porée; présents, Joachim de Hébert, écuyer, sieur de Bailleul; François-Jacques Le Court, écuyer, sieur des Tourailles; Pierre de Bouquetot, écuyer, sieur de Hautemert; Guillaume de Borel, écuyer, et autres parents.
= Arch. SHL. FL 587.
1739, 5 janvier – 1741, 20 novembre
Registre des minutes du greffe de Pont-L’Evêque et Roncheville.
= Arch. SHL. BC 124.
1740, 15 octobre – Pont-L’Evêque
Accord sous seing privé entre Esprit-Gabriel Galliot et Eustache de Neufville, écuyer, sieur du Mesnil, ayant épousé noble dame Marie-Madeleine Coquet, veuve Gabriel Galliot, sieur d’Aigremont.
= Arch. SHL. FL 586.
1745, 19 juillet
Sentence du bailliage d’Auge, entre Jacques Dossin, officier en l’hôtel des Invalides de paris, ayant épousé noble dame Madeleine de Hally, tant pour lui que pour noble dame Anne de Hally, veuve de Jean Duneveu, seigneur de Jouveaux, toutes deux filles de Christophe de Hally, écuyer et de Madeleine de Hally, fille d’autre Christophe, fils d’Alexandre de Hally et de Madeleine Chéron; et Jacques de Parfouru, écuyer, seigneur et patron de Jouveaux, ayant épousé noble dame Marie-Madeleine d’Auge, fille de Louis d’Auge, écuyer et de noble dame de Hally, fille de Christophe, fils d’Alexandre de Hally et de Marguerite de Chéron, d’une part; et demoiselles Jeanne-Anne-Françoise-Thérèse et Marie-Charlotte Le Terrier soeurs; Me Jacques Cordier, receveur de l’hôpital de Pont-L’Evêque; demoiselle Marie-Madeleine-Cécile de saint-Pierre; Adrien Lambert, chevalier, seigneur de Formentin; M. de Piperey, de Marolles; et Abel Toussaint de Thiville, comte de Bapaume, de l’autre. Avec diverses pièces de procédure s’y rapportant.
= Arch. SHL. BC 387.. Treize pièces.
1745, 20 décembre – Pont-L’Evêque
Aveu rendu au duc d’Orléans par Jean Jamot des Douaires, pour fonds et maisons à Pont-L’Evêque.
= Arch. SHL. FL 573.
1751, 22 février – Vicomté d’Auge
Lettres patentes attribuant au bailliage de Pont-L’Evêque, la connaissance des saisies féodales, blâmes d’aveux des terres relevant de la vicomté d’Auge.
= Cité in Suzanne d’HUART.- Archives de la Maison de France (Branche d’Orléans) Tome I – Fonds de Dreux (300 AP I, 389), Paris, 1976, p. 175.
1755, 17 mai – Pont-L’Evêque
Vente par Etienne-Louis de Neufville, chevalier, demeurant à Ernes, procureur de sa mère, dame Marie-Madeleine Coquet, veuve d’Eustache de Neufville, et précédemment de Louis-Gabriel Galliot d’Aigremont, d’une rente de six cent soixante-cinq livres, à Gabriel Gibon de la Rue, garde des archives du duc d’Orléans en la vicomté d’Auge.
= Arch. SHL. FL 577.
1773, 27 août – Reux
Le 27 août 1773, la nomination à la cure de Saint-Etienne de Reux appartenant au seigneur du lieu, Messire François-Jean de la Myre, comte de Mory, d’Honneingheim, chevalier honoraire de l’Ordre de Malte, seigneur haut-justicier de Congis, Villers, Burignault, la Tourterelle, Monjay, Hinaucourt, Latrix, seigneur et patron de la châtellenie de Reux, la Salle, Canouville et autres Lieux, demeurant à Paris, en l’hôtel de S.A.Mgr le comte de la Marche, prince du sang, rue de Grenelle, paroisse saint-Sulpice, et représenté par Me Jean-Charles Herval, Escuier, procureur général domanial de Mgr le duc d’Orléans en sa vicomté d’Auge, demeurant à Pont-L’Evêque, nomme à la dite cure, vacante par la mort de Me Jacques Gisey, prêtre, dernier titulaire, décédé le 9 mars de la présente année, la personne de Me Pierre Lemercier, prêtre du diocèse de Lisieux, habitué en la paroisse de Pont-L’Evêque. Fait et passé en ladite ville, au logis du sr Herval, en présence de Me François Delataille, avocat, et de Me Louis-Guillaume Train, bourgeois de Pont-L’Evêque, tous deux y demeurant.
Le lendemain, Mr Mery, vicaire-général donne aud. sr Lemercier la collation dudit bénéfice.
Le 31 août 1773, le sr Lemercier (M. Lemercier, originaire de Pont-L’Evêque, refusa de prêter le serment schismatique en 1791. L’année suivante il partit en exil et se réfugia d’abord à Portsmouth, puis à à Portsea où il logea rue Glowcester, 20. Nous ne retrouvons plus son nom nulle part après la Révolution; il paraît certain qu’il mourut en Angleterre. (Archives du Calvados.- Mss. de Reux.)) prend possession de la cure de Reux, présence de Me Julien Morel, curé de Pont-L’Evêque, Me Jean-Baptiste Lalouette, curé de Valsemey, demeurant encore en ladite ville; Me Pierre Bottey, curé de Saint-Melaine et autres témoins.
= abbé PIEL, Inventaire historique, t. V, p. 150, N° 221.
1775-1783
» Plan itinéraire de la route de Honfleur vers la Touraine et le Perche, par Lisieux, Livarot depuis l’entrée de la Généralité du côté de Pont-L’Evêque, jusqu’à la jonction sur la route de Basse-Bretagne au Bourg avec des notes des ingénieurs sur l’état et les besoins de ces routes »
= A.D. Orne, C 182
1786-1787 – Lisieux
Lettre de Julien, intendant de la généralité d’Alençon à Despeaux, vicaire général de l’évêque de Lisieux, concernant l’indemnité due à l’hôpital de Lisieux, pour terrain pris par la route de Lisieux à Pont-L’Evêque – Lettres adressées de Cherbourg par Pimbert à Lenoir, receveur des hôpitaux, concernant le paiement des fermages de la cour dans laquelle est construite la chapelle dite de Saint-Roch.- Copie de lettre en interprétation des conditions de l’adjudication de la ferme du lieu de santé ou la chapelle du Bois, appartenant aux hôpitaux et concernant l’indemnité reçue pour le terrain pris par la route de Pont-L’Evêque.
= in BENET (Armand).- Inventaire…, 1891, H. Suppl. 47.- B.44., p. 16-17.
1793, 14 juin – Pont-L’Evêque
Insurrection et résistance à l’oppression des Citoyens du District de Pont-L’Evêque, (Pont-L’Evêque) (Pièce datée du 14 juin 1793 et signée des Administrateurs du District de Pont-L’Evêque, les Officiers municipaux et membres du Conseil général de Pont-L’Evêque, etc., qui se déclarent en état d’insurrection contre les » factieux de la Montagne et les représentants de la Commune de Paris « ), De l’imprimerie de Vasse, Imprimeur du District, In-4, 8 p.
(B.M. Caen, Lavalley)
(A.D. Calvados, L. II Administration – IV Police, 4 (ex 10134)
1815
Réponse de la Ville de Pont-l’Evêque, à la Supplique présentée à Son Excellence Monseigneur le Ministre de l’Intérieur, par les Autorités de la Ville de Honfleur le 15 décembre 1815 (pour le maintien à Pont-l’Evêque de tribunal, de la Sous-préfecture..), A Pont-l’Evêque, Vve D’Auge
A.D. Calvados – série F. 5097)
[1] (Commandeur Henry LE COURT, Eglise de Pont-L’Evêque in La Normandie Monumentale et Pittoresque, Le Havre, Le Male et Cie., réédit. Corlet, t. II, pp. 175-184)
[2] (Comptes de l’Oeuvre et Réparations conservé aux Archives départementales du Calvados G.1164 à 1169 et.)
[3] (Arcisse de CAUMONT, Statistique monumentale du Calvados, t. IV, p. 282-287)
[4] (Certaines oeuvres furent même entreprises pendant l’occupation anglaise telle l’église Saint-Maclou de Rouen. Voir en dernier lieu: Etienne HAMON, « Saint-Maclou de Rouen », Bull. mon., 151, 1993, pp. 422-424: c.r. de: L. E. NAEGLEY et Linda Elaine NEAGLEY.)
[5] (Pierre CHAUNU, L’investissement sur l’église paroissiale in Fernand BRAUDEL et Ernest LABROUSSE, Histoire économique et sociale de la France, Paris, 1977, t.1, pp. 59-61.)
[6] (Rapporté au prix des peaux de parchemin nécessaires au compte de la même année, ce devis ne devait pas comporter moins de 12 pages).
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