ECORCHEVILLE

Note sur ECORCHEVILLE.

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Réunie à LE BREUIL EN AUGE

Archives Calvados
Ecorcheville (Calvados; jusqu’en 1827)
Histoire administrative: Ecorcheville est réunie à la commune du Breuil (Le Breuil-en-Auge à partir de 1894) par l’ordonnance du 28 novembre 1827. TA Le Breuil-en-Auge (Calvados).
IMPOSITIONS. Matrices des contributions foncière et mobilière d’Écorcheville. 1791 (2 cah.)

Wido escorchevilain – Ce nom, devenu Ecorcheville, existe encore en Normandie .
Ecorcheville dérivé d’Ecorche-Villain; ce dernier nom existe encore en Normandie.
ADMINISTRATION GÉNÉRALE: Néant, dès l’inventaire arrêté le 7 juin 1859.
ÉTAT-CIVIL:-Baptêmes, mariages et sépultures, depuis 1637. Lacune : 1685-1692.

Supplément aux étymologies – L. C.
ECORCHEVILLE, erociae-villa, village du marais.

ESCORCHEVILLE -Escorcevilla – Escorchevilla
ECORCHEVILLE canton réunie au Breuil en 1827.
Sorceville, XI siècle (enquête, p. 429).
Escorcevilla,
Escorchevilla 1083 ( ch. de la Trinité).
Escorceville, 1184 (rotuli scacc. p. 21, 2).
Escorchevielle, 1198 (magni rotuli, p. 68, 2).
Par. de Saint-Martin
patr. le seigneur.
Dioc. de Lisieux,
doy., de Touque.
Génér. d’Alençon,
élect.de Lisieux,
sergent, de Moyaux

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie.

– Néant.

2 – Pièces Justificatives.

STATISTIQUE MONUMENTALE DU CALVADOS PAR ARCISSE DE CAUMONT
Note de Charles Vasseur
L’église d’Écorcheville est détruite, et la paroisse réunie au Breuil ; aussi avons-nous trouvé dans cette dernière église la cloche dont l’inscription offre de l’intérêt.
L’église était sous l’invocation de saint Martin et dépendait du doyenné de Touques. Le patronage était laïque et faisait l’un des droits honorifiques de la baronnie de Fauguernon ; voilà pourquoi on trouve, dans les registres de déclaration des bénéfices de 1751, que le marquis de Rarey les possédait, comme héritier de M. de Pierrecourt.
Le curé percevait les dîmes.
Écorcheville eut autrefois ses seigneurs particuliers. Les Rôles publiés par La Roque, dans son Traité du ban et de l’arrière-ban, ont conservé le nom de Thomas d’Écorcheville, chevalier, parmi ceux qui furent tenus de se trouver à Tours avant Pâques 1272, pour le service du roi.
J’ai vu, dans un acte original du 26 novembre 1571, le nom de François Néel, sieur d’Escorcheville, comme témoin d’une vente faite par un cultivateur de St.-Philbert-des- Champs à Georges de Lespée, représenté par sa femme, Grouffine Néel.

Inventaire historique des actes transcrits aux insinuations ecclésiastiques de l’ancien Diocèse de Lisieux – PIEL Léopold Ferdinand Désiré.

Vénérable et discrète personne Maistre Pierre Herier, prêtre, curé du bénéfice de St Martin d’Escorcheville 28 janvier 1618.
Maître Jacques Chaudru, prêtre, curé d’Escorcheville, chapelain de la chapelle Ste Catherine en l’église-cathédrale de St Pierre de Lisieux. Mars 1656.

72. — Le 21 mars 1693, Me Louis Levavasseur, pbre, curé d’Ecorcheville, Me ès-arts en l’Université de Paris, fait réitérer ses noms et grades au seigr évêque et au Chapitre de Lx, ainsi qu’aux relig. de St-Evroult et de Bernay.

298. — Le 30 mars 1694, Me Louis Levavasseur, pbre, curé d’Ecorcheville, Me ès-arts en l’Université de Paris, fait réitérer ses noms et grades au seigr évêque et au Chapitre de Lx, ainsi qu’aux religx de Bernay, St-Evroult et St-Pierre de Préaux.

53. — Le 9 nov. 1703, la nomination à la cure de St- Martin d’Ecorcheville appartenant au seigr du lieu, Mesre François Le Conte de Nonant, chev, seigr, marquis de Pierrecourt, seigr patron d’Ecorcheville et autres lieux, étant présentement en sa terre de la Pinterie, parr, du Pin, nomme à lad. cure d’Ecorcheville, vacante par la mort de Me Louis Levavasseur, pbfë, dernier titulaire, la personne de Me Jean-Guillaume Brasnu, pbfë, chapelain de St- Sauveur de Caen. Fait au château de la Pinterie.
Le 13 nov. 1703, le seigr évêque donne aud. sr Brasnu la collation dud. bénéfice.
Le lendemain, le sr Brasnu prend possession de la cure d’Ecorcheville, en présence de Me Jean-Baptiste Moullin, pbfë, curé de Blangy et promoteur de l’évêché, et autres témoins.

Curés. — L. Levavasseur — J.-G.Brasnu.

83. — Le 6 avril 1714, la nomination à la cure d’Ecorcheville appartenant au vicomte de Fauguernon, Mesre Jean-François Le Conte de Nouant, chever, seigr et marquis de Pierrecourt, baron-châtelain et haut-justicier de Fauguernon, seigr des terres de la Pinterie, du château du Pin, Angerville, Betheville, St-Philbert-des-Champs, Forges et autres terres seigneuriales, seigr et patron d’Ecorcheville, nomme aud. bénéfice cure d’Ecorcheville, vacant par la mort de Me Guillaume Brasnu, pbfë, dernier titulaire, la personne de Me François Hélix, pbfë, vicaire du Pin, Le même jour, Mre Léonorde Matignon, vic. gl, donne aud. sr Hélix la collation dud. bénéfice.
Le 9 avril 1714, le sr Hélix prend possession de la cure d’Ecorcheville.

195. — Le 24 janvier 1720, Me François Hélix, pbrë, curé d’Ecorcheville et aussi curé de Fauguernon, résigne led. bénéfice d’Ecorcheville entre les mains de Mesre Jean-François Le Conte de Nonant, marquis de Pierrecourt, patron présentateur de la cure d’Ecorcheville.

374. — Le 27 mai 1720, la nomination à la cure d’Ecorcheville appartenant au seigr du lieu, Mesre Jean-François Le Conte de Nonant, chev, seigr marquis de Pierrecourt, vicomte et baron de Fauguernon, nomme à lad. cure, vacante par le décès de Me François Hélix, pbrë, dernier titulaire, la personne de Me Nicolas Bazin, pbfê, vicaire de Blangy. Fait à Lx, à l’hôtel de la Couronne.
Le 14 juin 1720, le seigr évêque donne aud. sr Bazin, pbrë du diocèse de Bayeux, la collation dud. bénéfice.
Le 15 juillet 1720, led. sr Bazin, prend possession de la cure d’Ecorcheville, en présence de plusieurs habitants du lieu.

Curés. — G. Brasnu — F. Hélix — N. Bazin.
Patron. — Le Vicomte de Fauguernon. — J.-F. Le Conte de Nonant.

358. — Le 5 mars 1737, Me Nicolas Bazin, pbrê, curé d’Ecorcheville, y demeurant, et Jean Heroult, cordonnier, demeurant au Torquesne, constituent 150 livres de rente en faveur de Me Jacques Bazin, acolyte,
afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés.

Curé. — N. Bazin.

180. — Le 8 août 1751, Nicolas Bernière, laboureur, demeurant à Ecorcheville, constitue 150 livres de rente en faveur de Me Charles Lefranc, acolyte de Norolles, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. — Led. acolyte était fils de Guillaume Lefranc, laboureur, demeurant à Norolles.

50. — Le 5 août 1754, François Gibon, marchand, fils de feu François, demeurant à Ecorcheville, constitue 150 livres de rente en faveur de Me Jean-Baptiste Le Couteur, acolyte, de la par?, de St- Philbert-des-Champs, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés.
Fait et passé à Blangy.

170. — Le 9 août 1757, Nicolas Bernières, laboureur, demeurant à Ecorcheville, constitue 150 livres de rente en faveur de Me Jean-Baptiste Lefranc, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés.

309. — Le 18 juin 1760, la nomination à la cure d’Ecorcheville appartenant au seigr baron de Fauguernon, Mesre Jean-Joseph Le Conte de Nonant, chev., seigr marquis de Raray, vicomte, baron et châtelain de Fauguernon, seigr et patron du Pin, chevalier de l’Ordre royal et militaire de St- Louis, premier cornette des chevau-légers de la reine, représenté par haute et puissante dame Marie-Jeanne-Françoise-Elisabeth Bazan de Flamanville, son épouse, demeurant à Paris, rue de Sèvres, parr. St- Sulpice, nomme à lad. cure d’Ecorcheville, vacante par la mort de Me Nicolas Bazin, dernier titulaire, la personne de Me Thomas Duval, pbrë, vicaire du Pin. Fait et passé à Paris, en la demeure de Madame la marquise de Raray.
Le 7 juillet 1760, Mr Mery, vic. gl du chapitre, donne aud. sr Duval la collation dud. bénéfice.
Le 10 juillet 1769, le sr Duval prend possession de la cure d’Ecorcheville, en présence de Me Pierre Lespron, pbrë, curé et doyen de Moyaux ; Me Jean-Pierre Pigny, pbrë, curé du Pin; Me Jean-Jacques-Cyr Coispel, pbre, desservant la parr. d’Ecorcheville, et autres témoins.

Curés. —X. Bazin — T. Duval.
Prêtre desservant. — J.-J.-C. Crespel (et non Coispel).
Patron. — Le vicomte de Fauguernon. — Jn-Jh Le Conte de Nonant-Raray.

135. — Le 14 déc 1769, Nicolas Bernière, marchand, demeurant en la parr. d’Ecorcheville, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Michel-Nicolas Bernière (1), acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Fait et passé à Ecorcheville, par le ministère de Me Jean-Baptiste-Etienne Combault, notaire à Blangy.
(1) Mr Bernière était, en 1791, vicaire de Manneville-la-Pipard. A l’exemple de son curé, il prêta serment à la Constitution civile du clergé, mais il se rétracta peu de temps après et passa en Angleterre (depuis Le Havre Seine- Inferieure). Il s’arrêta à Gosport, chez Th. Shair, rue Chapelle-Rowe. Revenu en France après la Révolution, il fut nommé curé du Breuil où il mourut en 183), à l’âge de 81 ans. (Archives du Calvados. — Mss de Reux. — Ordo h Bx,).

138. — Le 10 févr. 1778, la nomination à la cure de St- Martin d’Ecorcheville appartenant au seigr du lieu, Mesre Marie-Jean-Joseph-Bonaventure-Augustin Le Conte de Nonant, marquis de Flamanville, ancien officier aux gardes françaises, chevalier de l’Ordre de Malte, demeurant en son château de Flamanville, diocèse de Coutances, et agissant au nom et comme curateur de son père, Mesre Jean-Joseph Le Conte de Nonant, chevr, marquis de Raray, ancien cornette des chevau-légers de la reine, ancien mestre-de-camp de cavalerie, chevalier de l’Ordre royal et militaire de St- Louis, seigr baron de Fauguernon, la Pinterie, St- Philbert, Ecorcheville, Le Pin et autres lieux, nomme à lad. cure d’Ecorcheville, vacante par la mort de M. Thomas Duval, dernier titulaire, la personne de Me Jacques-Jean-Baptiste Le Boullenger, pbfë, vicaire de St- Philbert des-Champs. Fait et passé aud. château de Flamanville.
Le 10 févr. 1778, Mr de la Baume, vie. général; donne aud. sr Le Boullenger la collation dud. bénéfice.
Le 18 févr. 1778, le sr Le Boullenger (1) prend possession de la cure d’Ecorcheville, en présence de plusieurs habitants du lieu.
(1) M. Le Boullenger, originaire de St- Philbert-des-Champs, fut le dernier curé d’Ecorcheville. Il refusa de prêter sans restrictions le serment constitutionnel. On le destitua et on ne le remplaça pas. Cet ecclésiastique avait alors plus de 60 ans. Il partit pour l’Angleterre et vécut à Winchester. Il est bien certainement mort pendant la Révolution : nous n’avons pas une seule fois retrouvé son nom dans les registres que nous avons consultés soit à la préfecture soit à l’évêché. Le nécrologe de l’Ordo de Bx n’en parle pas davantage. (Archives du Calvados. — Mss de Reux.)

Curés.—T. Duval — J.J.-B. Le Boullenger.
Clerc. — M.-N. Bernière.
Patron. — Le seigneur du lieu. — M.-Ja-Jh-B.-A. Le Conte de Nonant

Recherche faite en 1540, parles élus de Lisieux des nobles de leur élection…L’abbé de la Roque.
– Pasquet Neel a baillé l’état de sa noblesse avec Richard Néel, son frère , sur l’article et paroisse d’Ecorcherie
– Pasquet Néel, frère de Richard Néel, seigneur d’Écorcheville, faisant remonter sa filiation à messire Odoard
Néel, chevalier, et Richard Néel, écuyer, vivant en 1203.
– 119. Richard et Pasquet, dits Néel , frères; Jacques et Jacques Neel, pere et fils, pour justifier leur noblesse ancienne et leur généalogie , commençante à Mre. Odard Neel, cher., et Richard Néel, écr., Sr. de . . . vivants en l’an 1205, ont produit plusieurs lettres et écritures , et entr’autres un vidisse d’un arrêt, donné en la cour de nos seigneurs les généraux , le 10 octobre 1480 , à l’entente de Jean Neel, escuyer, duquel ils ont dit fournir leur descente par autres lettres et écritures, dont du tout copie est demeurée au greffe. Le tout vû par le procureur du Roi, il a requis qu’à leur refus de fournir plus amplement leur descente, ils fussent assis. V. le n°. 111.
120. La veuve de Jean Halley, et Martin, son fils , ont été représentés pour défaillans. Pourquoi le procureur du Roi a requis qu’ils soyent assis.
– Dans les rôles publiés par La Roque on trouve, appelé au ban de 1272, et tenu de se trouver à Tours avant Pâques, pour le service du Roy : Thomas d’Escorcheville.
– François Néel, seigneur d’Escorcheville, témoin dans un acte du 26 novembre 1571 stipulant une vente faite par un homme de St Philbert-des-Champs à Georges de Lespée, représenté par sa femme Grouffine Néel. La terre située au Breuil-sur-Dive (près Mézidon)
Fulco de Escorcevilla (M.R.N 1184)

Chronique du Mont-Saint-Michel (1343-1468) : publiée avec notes et pièces diverses relatives au Mont-Saint-Michel et à la défense nationale en basse Normandie pendant l’occupation anglaise – Luce, Siméon.
1434, 21 Octobre, Falaise
Mention du massacre des nobles et des gens du commun accompli naguères à Vicques près Falaise.
A tous ceulx qui ces lettres verront, Guillaume Eude, lieutenant commis de noble homme messire Richart Haryngton, chevalier, bailli de Caen, salut. Savoir faisons et certiffions à tous à qui il appartient que Guillaume Guillermes a prins et amené es prisons du roy nostre sire à Faloise le corps de Jehan le Maçon, natif de la parroisse d’Escorcheville-en-Auge, larron, murdrier et infracteur des ordonnances du roy nostre sire, lequel, pour avoir fait et confessé en jugement plusieurs larrecins, pilleries et roberies sur les subgez du roy nostre sire et auxi pour avoir esté au murdre n’a gaires fait à Vicques près Faloise sur les nobles et gens du commun, a esté condempné pour ses démérites, c’est as- savoir à estre trayné et son corps pendu au gibet et l’execucion d’icellui faite et accomplie.

Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie.
– Jean, et Nicolas Louvet donnent à l’abbaye en 1263, 5 sols de rente, ainsi que l’hommage qui leur était dû par Guillaume Ëcorcheville , à cause du patronage de l’église de Colleville.
– Mathilde Ecorcheville , de Maiserets, et Guillaume, son fils aîné, donnent à Sainte-Marie-de-Villers, tout le fief que Guillaume Rabel tenait dans le Gorlovain , lequel fief dépendait de son domaine.
– Guillaume Le Rabel donne à Sainte-Marie-de-Villers toute sa terre Gorlouai (sic), dépendante du fief de Guillaume Escorcheville , à charge de diverses redevances. (Le sceau brisé et sans date.)

Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790. Calvados.
Promesse de M. de Brévedent au baron de Creully, de faire déclarer frauduleux l’échange du fief de Brévedent contre la vavassorie d’Escorcheville (1634). — Aveu rendu à Jean-Baptiste Colbert, baron de Creully, par Françoise de Mire, fille et héritière de Nicolas de Mire (1686).

3 – Archives ShL.
(ndlr : rien trouvé à ECORCHEVILLE hors dans Charles Vasseur.)

FONDS BOUDARD SOUS-SERIE 2F M
2FM81 – période révolutionnaire – Nonant, Raray, La Pintrie, Fauguernon, Piercourt, Norolles, Ecorcheville, Lambot.
2FM97 – an X – reçu de perception de contributions pour Fauguernon et Ecorcheville.

Election de Lisieux – sergenterie de Moyaux – 29 feux
Sous l’invocation de St Martin
Patronage:
14e dominus ejusdem villa
16e dominus de Fauguernone
18e le seigneur

Insinuations
L’église a été détruite et la paroisse réunie au Breuil.
Il ne reste sur le territoire aucun monument archéologique.
La cloche, aujourd’hui, dans l’église du Breuil est assez intéressante.

Emplacement supposé de l’ancienne église.

Image Géoportail

LE BOIS-RAVENOT
Le Bois-Ravenot était un fief dépendant de la baronnie de Fauguernon assis sur Escorcheville. On y voyait encore en 1721 les ruines d’un ancien château qui y avait été bâti (Loisel de Boismare – Dictionnaire des Tailles II p.61)
La sieurie du Bois-Ravenot avait des terres de sa dépendance à St Philbert.
Révérend Père en Dieu Messire de Brézey, abbey des abbayes de St Pharon et Ygny, seigneur et baron de La Haye-du-Pin, chapelain et viscomte de Fauguernon, seigneur du Chasteau du Pin et de Bois-Ravenot – 7 mai 1571 (Hospices de Lisieux)
Noble Dame Madame Marie de Cerisay, dame et vicomtesse hériditale de la vicomté et chastellerie de Fauguernon et du chasteau du Pin – 20 septembre 1537 (Ib id)
En 1663 Louis Jacques Le Comte, marquis de Pierrecourt, prend dans ses titres de terres Bois-Ravenot et le Brefdent.

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